Gay Erotic Stories

Paris, 4hoo du mat... Je viens d'arriver aprês avoir roulé toute la nuit... J'aime la moto mais là j'en ai plein le cul de rouler. Comme d'hab, au matin, j'ai faim de cul... Je suis dans mon combard de cuir noir, super moulant qui laisse démontrer que je suis un culto massif... Je viens à paris pour une competition importante pour moi... J'ai soulevé de la fonte pendant plusieurs mois pour en arriver à ce stade aujourd'hui : 95 KG de purs muscles, saillants, des pecs gonflés, des bras énormes, des cuisses puissantes... Le tout mis en valeur dans un cuir qui me colle à la peau et qui laisse montrer ma teub, sur la cuisse gauche, prete a fourrer tout ce qu'elle trouvera. Je m'arrete à un bar, rainbow flag sur la facade, intinctivement j'y vais... j'en peux plus : fatigue mais aussi et surtout furieuse envie de me tirer une bonne salope, pourquoi pas là, sur le comptoir... Manque de bol, le bar est presque vide mais le barman comprend tout de suite... "oh c'est bien dommage de laisser comme ca une si belle tige" "que veux tu mek, je viens de me taper la route" "tu prends quoi" "une biere et aussi un cul si tu as" le barman me fait un sourire... Il n'est pas três beau de gueule mais a un cul d'enfer. Je tente de lui attirer son attention en ouvrant jusqu'au niveau du ventre mon combart.... En tirant la fermeture vers le bas, mes deux pecs, compressés sortent... Une plaque militaire que j'ai autour du cou fait un peu de bruit, le barman se retourne et mate mes pecs "oh la la... ca donne envie tout ca" "eh bien viens, viens me masser les pecs, viens on va passer un peu de temps ensemble" "je ferme dans 10 minutes" j'ai compris que j'avais enfin trouver un mec à remplir... Je prends ma biere et on discute en attendant la fermeture et que le dernier client dans un coté sombre là bas parte... "et tu es de paris" "non je viens faire une compet de muscu et j'ai bien l'intention de la gagner" "faut dire que tu est bien bâti" "et encore tu n'as rien vu" Presque machinalement et surtout parcequ'il faisait une chaleur à creuver dans ce putain de bar, je retire les manches de ma combrinaison pour l'arreter au niveau de la taille... Ma peau moite fait briller mes muscles supérieurs qui roulent sur ma peau pendant que je tente de m'extirper du cuir... le barman n'en perd pas une miette et commence à se frotter la ke... Plus loin dans le bar le dernier client se lêve. Je ne le vois pas tout de suite car il était dans l'ombre... Faut dire aussi que ce bar est franchement pas top et que question éclairage c'est pas trop ca. Trop occupé à l'idée que j'allais enfin décharger dans le cul de ce barman, je n'y prete pas attention...