- T’es prêt Seb à te manger ta premiêre queue ? - Ouais mec, putain j’ai grave envie de sentir ta bite au fond de moi…
Je me mets en place et positionne mon gland sur son trou. Dans un premier temps, je ne fais pénétrer que mon gland par de tous petits va et viens, pour que son orifice s’habitue. A chacun de mes mouvements, je pousse un peu plus profond. Seb me regarde fixement avec un large sourire de plaisir. Il s’accroche à mes épaules de cuir et par un mouvement de rein, il s’empale sur ma teub, il m’offre complêtement son cul. Je le sodomise par de longs coups de bite, lents et puissants. Je m’arrête un instant, ma queue plantée au plus profond de son corps, et je me plaque contre lui pour l’embrasser avec passion. Il enlace mon corps de cuir, je sens sa trique mouillée se branler contre mon abdomen bouillant. Je le regarde et lui dit :
- C’est bon hein… - Yeah… putain, c’est trop bon ouais, c’est trop puissant, je kiffe un max Je remue mon bassin pour bien lui faire profiter de ma trique au fond de lui. On est en fusion totale
- Tu sens bien ma teub ? tu vois comme elle a envie de toi ?
Sa réponse se traduit par ses mouvements de bassin et les gémissements qu’il pousse : C’est lui qui s’empale littéralement sur moi, comme s’il voulait que ce trip ne s’arrête jamais. Ce mec aime vraiment la bite. Je me retire quelques instants de son trou chaud et dilaté, juste le temps de faire une petite séance de palpe en cuir et de roulage de pelles viriles, avant de positionner Seb sur le ventre, le cul bien cambré, pour que je puisse reprendre mon accouplement sur lui. Et c’est reparti… encore et toujours plus hard. Ce coup-ci, je le prends avec toute ma virilité, toute la force qui se dégage de mon corps moulé sous la combine cuir de mon mec. Il aime ça, il kiffe quand mon corps de cuir le couvre, quand mes gants caressent ses pecs pendant que je le pénêtre violement. Il me crie ª encore, vas-y, ouais… déchire moi, ouais…putain c’est trop bon !» Mes coups de rein font bouger le lit un maximum et éclatent le beau cul musclé de mon motard. Ca me fait trop délirer de voir ma pine luisante entrer et sortir du boule de Seb. C’est pas une baise de tapette, mais une kiffante baise virile, entre vrai jeunes mâles accrocs a la teub.
Ca doit faire maintenant une bonne demi heure que j’encule Seb dans toutes les positions possibles. Nos corps sont en sueur, la combarde est bouillante et maculée de salive, de transpiration et de mouille. Jamais j’ai pris un tel pied a faire l’amour à un mec… sans doute parce qu’il incarne tout ce que j’aime chez un mâle, mais aussi parce que pour la premiêre fois de ma vie, je baise en total cuir, en motard, et je ressens cette sensation de puissance et de virilité que cela représente. Celui qui n’a jamais essayé ne peut pas comprendre. Je me retire de Seb et prend place pour l’ultime position. Je m’allonge sur le lit et demande à Seb de venir s’empaler une derniêre fois sur ma trique surgissant de la combine cuir. Il s’accroupit, face a moi, et se plante bien a fond, sur ma colonne de chair. Il pose ses mains sur mes pecs saillants, a peine découverts par le cuir, et on repart dans un coìt fabuleux. Les mouvements de nos corps sont synchronisés, on ne se quitte pas des yeux, nous sommes en totale symbiose sexuelle. Je repense alors à notre semaine passée et aux nombre impressionnant d’érections que ce mec m’a provoqué. Je regarde son sexe en érection qui laisse échapper un filet de mouille sur mes abdos. J’en peux plus, et dans un ultime mouvement de bassin, sans avoir le temps de dire quoi que ce soit, j’expulse par de puissantes saccades tout mon sperme au plus profond de Seb. Il comprend a ce moment ce qui vient de se passer, et je lis sur son visage un kiffe impressionnant laissant envisager qu’il va juter dans les secondes suivantes… Mais au même moment, je vois une chose que Seb, vu sa position, ne peut pas voir : la porte de notre chambre qui s’ouvre. C’est Kamel qui innocemment (ou pas ?) est venu voir ce qu’il se passait sans doute attiré par le bruit. J’hallucine quand je mate la tête que fait Kamel en me voyant allongé sur le lit en combarde cuir et avec Seb empalé sur ma queue. La suite va se passer três vite : Seb, ne se doutant toujours de rien, libêre dans un râle immense, un geyser de sperme. Deux jets épais viennent inonder mon visage, et quelques autres (ce mec est le plus gros éjaculateur que j’ai jamais connu) finissent leur course sur mon torse et sur la combarde cuir. Seb, dans son élan, et avec toujours ma queue en lui, se jette sur mon visage et le nettoie avant d’échanger avec moi un patin bien baveux et spermé. Il s’attaque ensuite au léchage de mes pecs et du cuir englué de son foutre chaud pour venir ensuite se blottir contre mon corps de cuir. Il voit que mon regard fixe la porte de la chambre. Le temps qu’il se retourne, il peut juste s’apercevoir que la porte se referme…
- C’était qui ? - C’était Kamel… il nous a grillé…
Il me regarde, me lâche un putain de sourire mortel et juste avant de me redonner sa langue chaude me dit :
- J’en ai rien à foutre… depuis aujourd’hui, je suis PD et je compte bien rattraper maintenant le temps perdu !
On restera deux bonnes heures, enlacés l’un contre l’autre, moi toujours dans la combine cuir de mon motard. On repartira dans un génial semi sommeil , le meilleur…celui qui vient juste aprês l’amour. On en profitera aussi pour se nettoyer nos bites avec de bons coups de langues. On se lêvera ensuite pour rejoindre les autres qui prennent le petit déjeuner sur la terrasse.
Seb et moi descendons, torse nu, et juste en caleçon, histoire de provoquer encore plus… Arrivés sur la terrasse, on capte tout de suite que l’ambiance est três bizarre… que tout le monde nous regarde étrangement. Seb nous sert du café, puis avec son habituel franc parlé, n’hésite pas une seconde a prendre la parole :
- Bon, ben, Mesdames et Messieurs, si Kamel ne vous a pas déjà mis au courant, j’ai l’honneur de vous annoncer que les temps changent… ! je suis PD depuis cette nuit ! J’ai baisé toute la nuit avec Franck, ici présent , qui franchement, s’y connaít sur ce sujet… c’est un putain de bon baiseur. Ah ouais…une chose Kamel : c’est pas parce que tu m’a vu avec la bite de Franck dans le cul que tu dois en conclure que j’ai fais que ça ! J’ai pris un super pied à me faire baiser par lui…j’ai aussi kiffé à le baiser…mais ce coup-ci, tu n’étais pas là !
Silence total autour de la table… Ils sont scotchés. Seb s’approche de moi et me roule une méga pelle devant tout le monde. Je ne résiste pas et entre dans son jeu en poursuivant :
- Bon, ben pour moi… c’est pareil, sauf que je suis PD depuis bien plus longtemps et que cette nuit, j’ai pris un réel kiffe à faire l’amour avec le mec le plus canon de la planête. Je peux vous dire que c’est pas avec des mecs comme Seb que je vais devenir hétéro… Merci à vous de me l’avoir fait rencontré. Jamais je n’aurai pensé prendre un tel pied pendant ces vacances…
Pas de commentaires aprês nos déclarations… En fait, ils acceptent la situation, même s’ils sont três surpris, surtout de la part de Seb qui a leurs yeux était encore hier un pur mâle motard hétéro en puissance… Il y a juste Kamel qui laisse percevoir três discrêtement des signes de jalousie… ou plutót d’envie. Je suis persuadé au fond de moi-même que ce mec est un bon coup au plumard… peut-être une prochaine fois qui sait ?
La fin de cette semaine de vacances approche. Ce soir, tout le monde repartira chez lui. Inutile de vous dire que Seb et moi, nous ne nous cachons plus et que nous passerons la matinée ensemble, a nous faire quelques excitations entre mâles, mais sans aller jusqu’au bout, car dans l’aprês-midi, nous avons la ferme intention de brancher Cyril afin de le baiser en cuir et par tous les trous. Cet épisode fera ultérieurement l’objet d’un ª bonus » à cette histoire, car ce plan a été particuliêrement chaud.
Le soir, au moment de partir, Seb me voyant complêtement déprimé a l’idée de le quitter m’a demandé si ça me branchait de venir passer une semaine chez lui. Vous connaissez ma réponse ? J’ai immédiatement accepté. J’ai posé une semaine supplémentaire de vacances et je suis allé découvrir ou il vivait. On a passé une semaine incroyable, avec au programme : moto, cuir et sexe. J’ai jamais autant baisé (et été baisé) de ma vie.
Depuis, je suis resté en contact avec Seb. J’ai passé le permis moto et aujourd’hui, je suis motard…cuir. Seb est venu me voir pour étrenner ma moto et mes équipements cuir. Chaque fois qu’on se retrouve, c’est à une véritable orgie de cuir et de sexe que nous nous livrons, avec toujours autant de plaisir. On kiffe de baiser entre motards cuir, on kiffe de spermer nos combardes. Et on peut maintenant vous dire avec l’expérience, qu’une grande majorité de mecs motards en combines cuir intégrale sur des bécanes sportives sont toujours partant pour un bon plan sexe… entre mecs.
Si un de ces jours vous en croisez un, pensez à nous… et imaginez aussi à ce qui se cache sous les cuirs des motards… un long sexe bien dur et chaud prêt à l’attaque.
FIN - vos réactions sur dm2847@hotmail.com
02h15 du mat, je reviens de Paris. J'avais rencard dans un bar avec un mec rencontré sur le réseau. Le mec n'étais pas motard mais fantasmait grave sur tout ce qui était mâle en cuir. La rencontre a tournée court, car le mec ne correspondait pas à sa description. Encore un qui se la joue top model et qui n'assume pas du tout son physique. Cóté look, il m'annonce qu'il est en 501 destroy et
Septiême jour : Il est à peine 7h00 du mat. Je suis réveillé par le soleil et je suis encore dans un état de grâce! A cóté de moi, Sébastien est encore en plein sommeil. J’aime le voir dormir. Je pose alors délicatement ma main sur son sexe chaud et encore au repos ; je veux juste sentir son début d’érection, l’exciter durant son sommeil... et ça fonctionne. Il émet un gémissement de plaisir et
Septiême et dernier jour… Ultime journée à passer en vacances avant le départ de ce soir… En toute fin de matinée, j’appelle Cyril pour lui demander s’il est toujours ok pour une bonne partie de sexe avec 2 motards cuir cet aprês midi. Il ne pensait pas que je le rappellerai et est donc três agréablement surpris d’apprendre qu’on ne l’a pas oublié. Sa réponse se fait sans attendre: Il est
Premier jour. Eté 2003. Avec des potes, nous avions décidé de louer pendant 1 semaine un grand gíte dans le sud de la France. Le groupe était composé de 2 couples (mecs et meuf), d'un pote à un des couples et de moi. Leur pote (Sébastien, que je ne connaissais pas) devait débarquer le lendemain. Dês l'arrivée, nous avons pu constater que le gíte était grandiose: isolé, spacieux, 3 grandes
Le lendemain matin, je laisse Sébastien se lever avant moi. Une fois qu'il sort de la chambre, j'inspecte ses dégâts de la veille…Une grosse tache de foutre sec sur le drap. J'y mets naturellement un bon coup de langue, et comme ce mec à giclé sur moi sans le vouloir, je décide de continuer à marquer mon territoire en m’excitant sur sa combinaison et pour finir, en me branlant et en me vidant
Quatriême jour: Le comportement de Sébastien plait de moins en moins au reste du groupe. Pourtant, il est três serviable, donne réguliêrement un coup de main, il est toujours de bonne humeur. Non, ce qui ne plait pas ,c'est son cóté direct, nature et le fait qu'il parle cul sans tabou! Moi, ça me va. J'aime les mecs qui parlent de tout sans retenue. Du coup, Seb et moi, on se rapproche de plus
Cinquiême jour : Je suis réveillé de bonne heure par un tendre baisé de Seb sur ma tête. Nos positions n’ont pas bougé de la nuit : L’abdomen musclé de Seb me sert toujours d’oreiller. Il me demande si j’ai bien dormi. Je lui réponds que j’ai passé une nuit géniale et lui avoue que je l’ai sucé plusieurs fois pendant son sommeil. Il me dit qu’il a super bien dormi, qu’il n’a fait que des rêves
Seb enfourche sa R1 et m’invite à monter pour la premiêre fois derriêre lui. J’enfile le casque et je m’accroche à son bas ventre. N’ayant pas de gants, je prends mon pied à pouvoir toucher le cuir de mon pilote, à faire corps avec lui. La position en tant que passager n’est pas três confortable. La selle surélevée ne me permet pas de faire sentir à Seb ma gaule sur son petit cul moulé. Mon
Sixiême jour : Il est environ 1 heure du mat quand nous arrivons au gíte. La maison est calme et tout le monde semble dormir. Je réanime le feu tandis que Seb apporte 2 biêres et tout le matos pour faire un bon tarpé. On s’installe sur le canapé, toujours lookés en cuir intégral, lui comme moi. Seb est vautré sur le canapé. Il écarte bien ses cuisses afin que le cuir se tende un maximum pour
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