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Concentement de viol

by Mcwriter


Aprês 10 années bien comptée de vie sexuelle active dans le monde gai, je me suis retrouvé dans une période pendant laquelle une seule chose comptait : trouver des moyens de triper sexe qui sortaient de l’ordinaire. À la base, cela paraít facile surtout quand on parle avec plein de gens qui se font un plaisir de vous raconter leurs exploits et leurs prouesses.

Donc, pendant plusieurs mois, voir des années, j’ai emmagasiné des expériences, des scénarios, des fantasmes vécus par d’autres mais le plus dur restait à faire : avoir le courage de les réaliser.

Avant d’aller plus loin, parlons un peu de moi : j’ai 28 ans, je mesure environ 5.8po, pêse approximativement 150lbs, j’ai les cheveux châtains et les yeux bleus, je suis poilu et je n’apprécie pas nécessairement les séances de rasage – bien que je le fasse à l’occasion – c’est quand moi j’en ai envie et non pour faire plaisir aux autres. Jusque là, on peut dire que je suis plutót ordinaire, je ne me considêre pas du tout comme étant un canon de beauté, loin de là mais on peut quand-même dire que je plais à certaines catégories de personnes et que cela me convient três bien. En ce qui concerne ma queue : 7’’, uncut mais bien dilatée et disons que je gagne quelques points en ce qui concerne sa largeur car je suis de toute évidence au-dessus de la moyenne de ce cóté. Encore là, pas la plus grosse queue en ville mais elle fait son effet et j’en suis conscient et cela, depuis les premiêres fois que j’ai pu en faire profiter d’autres gars.

Mais revenons aux choses sérieuses. Par un beau soir três froid de janvier, je jasais sur le Net avec un mec qui semblait aimer faire les choses différemment et on en est venu, je ne sais pas trop comment, à mettre au point un scénario de viol qu’on allait jouer le soir même. Je serais le violé et lui, le violeur : début trentaine, 5.9po, 165-170lbs, assez cute selon les photos qu’il m’avait montrées. Il disait avoir une queue d’environ 7’’ ½ d’une largeur moyenne ce qui me convenait tout à fait. On a réglé les derniers détails et au moment de me mettre en route, j’étais particuliêrement nerveux car en plus de tous les tracas reliés à ce genre de rencontre s’ajoutaient maintenant ceux reliés au fantasme que nous nous apprêtions à vivre.

J’avais quand-même quelques minutes de marche à faire en sortant de la station de métro la plus prês de chez-lui et plus j’approchais, plus mon cœur battait à tout rompre. Rendu à la hauteur de son adresse, premier soulagement : elle existait. Le deuxiême soulagement ne tarda pas à survenir : j’ai sonné à sa porte, je l’ai entendu se déverrouiller et je suis entré. j’ai monté l’escalier en colimaçon et une fois au sommet, tel que convenu, sa porte était déjà ouverte. Je suis donc entré, refermé la porte derriêre moi et entrepris de me déshabiller – ce qui ne m’emballa pas dans un premier temps car il faisait tellement froid dehors que j’étais complêtement gelé. J’ai quand-même commencé à au moins retirer mes bottes, puis mon manteau et à partir de cet instant, le désir a pris une place de loin plus importante que mes craintes et mon manque de chaleur.

Mon violeur s’était confectionné un espêce de muret qu’il placerait dans le cadrage de sa porte de chambre. À une hauteur bien précise, il y avait un trou qui, comme vous vous en doutez bien, servirait à y passer sa queue afin que je puisse la prendre, dans un premier temps, dans ma bouche qui elle, était bien chaude. Lorsqu’il y introduisit son engin à 75% déjà bandé, j’ai réalisé qu’il y avait quelque chose de bizarre mais je vous en reparlerai plus tard. J’avais encore tellement les mains gelées – à cause du froid et súrement de la nervosité – que je n’osais même pas me masturber et encore bien moins toucher à mon partenaire, je me suis donc servi exclusivement de ma bouche et de ma langue pour le rendre complêtement dur et pour découvrir plus en profondeur ce membre auquel je ne m’attendais pas.

Ce fut avec une três grande joie que j’ai enfin pu me servir de mes mains pour m’occuper de lui aprês avoir finalement réussis à me les réchauffer adéquatement. Mentionnons que je me sens três triste lorsque je ne peux pas me servir de ces derniêres – j’adore toucher, caresser - ainsi que de mes doigts. Tout allait relativement bien et mon violeur semblait suffisamment à l’aise pour m’offrir une érection maximale et moi, de mon cóté, je ne savais plus trop quoi souhaiter.

Lorsqu’il retira enfin le panneau, il me fit signe de me relever et au moment oû j’allais commencer à jouer mon róle, il me pris fermement par les cheveux et me jeta sans ménagement sur son lit, de sorte que je tombe sur le ventre. À ce moment-là, je devais lui dire :

- Écoute, c’est cool, mais en ce qui concerne la pénétration, je pense qu’on va laisser faire, ta queue est pas mal plus grosse que ce que tu m’avais dit.

Et je l’ai dit. Le hic, c’est que contrairement aux mecs qui exagêrent à la hausse la taille de leur bite, lui m’avait donné des mesures nettement inférieures à la réalité. Sa queue devait mesurer au moins 8’’ ½, - et je reste conservateur – mais encore là, c’est la largeur qui a joué des tours car il devait avoir un bon 6 à 7’’ pouces de circonférence; pas mal plus large que la mienne qui en fait 5. Donc, à partir de ce moment, j’ai vraiment commencé à me faire à l’idée que je ne jouais plus un scénario mais qu’il s’agissait vraiment de la réalité et que j’allais y goúter… J’ai donc ajouté :

- Tu ne fais pas 7’’ ½, tu dois faire au moins 9’’!

Et lui de me répondre :

- Je ne pense pas faire 9’’ mais si tu veux pas te faire fourrer, c’est pas grave, on va faire autre chose mais laisse moi au moins regarder ce beau petit cul là.

À cet instant, je ne savais plus si on jouait ou si les rêgles avaient changées et honnêtement, je ne savais plus ce que je voulais. Habituellement, lorsque je rencontrais un mec avec une queue plus grosse que ce que j’étais habitué, j’avais comme manie de me placer à 4 pattes et de dire au mec, un peu par provocation, de me fourrer avec dans l’idée que si ça ne fonctionnait pas, ça ne serait pas grave, même si habituellement, ça rentrait si le mec savait s’y prendre, sauf que là, je ne me sentais plus tellement en contróle de moi-même donc, je n’avais plus réellement de pouvoir décisionnel. Je me suis toutefois en partie détendu quand j’ai senti la langue du mec s’introduire dans mon petit trou, ce qui a eu comme impact 2 choses : 1 : j’oscillais beaucoup plus du cóté que je voulais me faire mettre plutót que du cóté de celui que je ne voulais pas. 2 : je pense que le mec en a penser la même chose. En attendant, je savourais le contact doux et chaud de sa langue dans mon cul car malheureusement, ce n’est pas à chaque rencontre que j’ai droit à se plaisir. Mais lorsque je l’ai entendit tripoter une enveloppe de condom , j’ai vite repris mon róle de petite agace qui ne voulait pas :

- Hey, pas question que tu me fourres mec!

D’une main, il a enfilé son condom, s’est lubrifié ainsi que mon trou, de son autre main, il me tenait fermement le bas du dos mais sentant que j’allais me débattre, ce ne fut pas long pour que je sente ces 170lbs s’écraser sur ma petite personne.

- Tu es venu ici pour te faire fourrer, je vais te fourrer. qu’il m’a dit d’un ton amusé.

Je fut surpris, je ne peux pas dire si c’était agréablement ou désagréablement mais sa queue a commencé son intrusion mais je n’ai ressenti aucune douleur. De son cóté, je sentais que ça l’excitait car il a accéléré ses mouvements.

- Tu aimes ça en plus, ton cul s’ouvre tout seul! Tu n’es qu’une petite salope qui dit qu’elle ne veut pas alors qu’elle ne demande que ça!

Je l’ai laissé dire et surtout faire. En guise de protestation, j’ai exercé sur sa queue une contraction de mon cul qui a fait en sorte que sa queue est aisément sorti. Celle-là, je pense qu’il ne l’avait pas vu venir. S’il avait s’agit d’un vrai viol, j’aurais sans doute pu profiter de ce moment pour tenter de m’échapper mais là, je voulais voir ce qu’il ferait. Habilement, il a réenligné sa matraque en direction de mon trou et est rentré d’un coup. C’était bon!

- Maintenant, tu ne bouges plus!

J’ai alors senti ses mains me saisir de mes hanches et le poids de son corps s’abattre à nouveau sur moi. De cette façon, je n’avais plus d’autre choix que de demeurer allonger à plat-ventre sur le lit, ma queue extrêmement bandée frottant dangereusement les draps du lit aux rythmes des coups de bassin de mon agresseur. Je savais ce qui allait se passer et je redoutais ce moment.

Aprês quelques minutes de vas-et-viens intenses, ce qui devait arriver arriva. Sans même me toucher, j’ai tout décharger ma crême sur le couvre-lit; moi qui ai l’habitude de décharger abondamment en plus. Tant pis pour lui, ce serait le prix à payer pour avoir pris mon cul avec autant de force. Il est venu aussi peu de temps aprês ayant pour effet que j’en avais encore envie – cela n’avait pas duré plus de 15 minutes et honnêtement, il m’en faut plus que ça. De plus, j’avais l’intuition que j’allais être mis à la porte dans les minutes qui allaient venir.

Le temps de reprendre nos esprit et de se dégommer un peu, nous sommes sorti de nos personnages et c’est à cet instant que j’ai découvert – quand-même avec soulagement – que mon hóte n’avait pas du tout les attitudes d’un violeur. On s’est mis à parler de tout et de rien mais surtout de nos baises passées, de nos fréquentations et même de nos amis. Le téléphone a sonné plusieurs fois pendant cette discussion et j’étais de plus en plus súr qu’il allait se servir de ce prétexte pour mettre fin à cette rencontre. Au lieu de ça, il s’est remis un condom, s’est relubrifié et m’a ordonné de me mettre à 4 pattes, qu’il n’en avait pas fini avec moi. La distraction qu’avait provoqué la conversation dans laquelle nous étions plongés m’avait empêché de voir sa queue reprendre du volume. Tout s’est donc passé três vite; il a réellement pris le contróle de moi, encore plus que la premiêre fois même.

Cette fois-ci, la séance a durée beaucoup plus longtemps : il m’a fourré dans toutes les positions, sortant sa queue complêtement de mon cul chaque fois qu’il m’ordonnait un changement, me traitant de nom mais tout s’est déroulé dans un respect ce qui a fait en sorte qu’il n’y a eu aucun malaise, que du plaisir, beaucoup de plaisir! Quant à nos décharges respectives, elles ne furent pas moins abondantes que les premiêres. J’ai même pu faire une demande à mon violeur – ce qui est assez inusité, - celle de me venir partout sur le ventre et le torse ce qu’il fit avec joie et excitation car je mangeais des yeux son énorme engin pendant qu’il l’agitait à quelques centimêtres de mon visage.

On a eu droit à un autre bout de discussion aprês cela tellement que c’est moi qui ai voulu le surprendre en lui demandant de me baiser une troisiême fois; ce qu’il refusa. Les violeurs n’ont quand-même pas l’habitude ni la réputation d’acquiescer aux demandes de leurs victimes… Nous nous sommes tout de même quittés en se promettant de se revoir soit pour répéter ce scénario ou encore mieux : pour en expérimenter un autre ayant déjà lancés plusieurs idées s’annonçant toutes aussi excitantes.

Malheureusement, nous ne nous sommes jamais revus. Je me console en me disant que dans l’optique ou on connaít nos agresseurs, il doit être plutót rare de se faire violer deux fois par la même personne!

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Web-02: vampire_2.0.3.07
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