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Dans les Entrailles de L'université (1êre partie)

by Mcwriter


Je ne suis pas quelqu’un du genre à toujours mettre la parole des autres en doute, mais je ne suis pas naìf non plus. C’est pourquoi, lorsque j’entendais des gens me dire que dans certaines toilettes des universités de Montréal il y avait beaucoup d’action, je voulais bien le croire mais encore faudrait-il que je le constate. N’étant pas du genre à me déplacer pour peut-être tomber sur un pervers à vide de sexe, j’ai emmagasiné ces récits croustillants dans un coin de mon cerveau et je n’y ai plus repensé.

Pourtant, un bon soir, je me promenais avec un ami dans le Centre-Ville de Montréal et ayant été surpris par la pluie, nous avons décidé de passer par l’université afin de nous rendre à la station de métro Berri-UQAM sans trop se faire mouiller. C’est une fois à l’intérieur que l’idée m’est venu :

- Tu sais qu’apparemment, il y a des choses qui se passent dans certaines toilettes ici? dis-je à mon amie.

- Mais voyons, ça se peut pas ça! me répondit-il.

Notre curiosité étant piquée, on s’est dirigé, tout à fait au hasard, dans une toilette. Nous n’y avons pas vu rien d’extraordinaire ou du moins, nous n’avons pas voulu y voir quelque chose d’extraordinaire mais chose est súre : la salle de bain était particuliêrement achalandée pour l’heure qu’il était et surtout, beaucoup trop longtemps achalandée par les mêmes personnes. C’est probablement la présence de mon ami qui a fait en sorte que je n’ai pas voulu étudier plus longtemps le comportement des mecs qui se trouvaient là, aux urinoirs, immobiles, sans bouger, sans pisser! Ma curiosité était doublement piquée mais je n’étais toujours pas prêt à croire les gens qui m’avaient raconté leurs aventures.

Quelques semaines plus tard, j’ai décidé de poursuivre mon investigation et je peux vous dire, aprês une ou deux rencontres dans ces lieux, que j’ai impressionné de nombreux mecs avec ma queue et que j’en ai aussi vu des impressionnantes. Qu’il s’agissait s’ouate d’un excellent endroit pour les voyeurs / exhibitionnistes mais sans plus…

L’histoire que je vais vous raconter va peut-être vous sembler banale et elle l’est, je l’avoue. Cependant, en se replaçant dans le contexte, elle demeure une des plus excitantes que j’ai vécu et je vous répête que ce n’est que question de contexte et de circonstance car à cette époque, j’avais déjà considérablement goúté aux plaisirs de la chair mais bon, commençons par le début car il y aura d’autres aventures à raconter sur le même sujet, d’autres expériences qui s’apparentes beaucoup plus à celles entendues par les personnes m’ayant involontairement incité à explorer à cette endroit…

C’était un soir de semaine, bien normal, un beau soir de printemps. La période de l’année oû l’on peut se promener à l’extérieure sans manteau mais pas encore en short et T-shirt. C’était la 2e ou 3e fois que me prenait l’envie d’aller me montrer la queue à l’université et aussi, bien súr, d’aller en regarder. Cóté sexe, l’un de mes plus grands plaisirs, depuis que je sais que je suis gai, c’est de spoter un mec qui me plait, de l’examiner des pieds à la tête en m’attardant évidemment sur son entre-jambe et d’essayer de m’imaginer ce qu’il peut bien avoir dans les culottes. Avant de découvrir les toilettes de l’université, j’avais seulement pu assister au dévoilement du fruit de mon imagination dans des vestiaires sportifs mais encore là, autant il y a des mecs qui ont un plaisir évident à s’exhiber, autant il y en a qui vont se changer dans les toilettes ou encore qui mettent et enlêvent leur maillot de bain en dessous de leur serviette pour être bien súr que l’on ne voit rien. Cela me choquait tellement que même si j’avais pu en voir 3 ou 4 de la tête aux pieds, je focussais inlassablement sur ceux que je n’avais pas pu voir complêtement. Je quittais le vestiaire plus souvent qu’autrement frustré plutót qu’excité. Aux toilettes, on s’entend pour dire que tous les mecs n’allaient pas là pour se branler mais disons que la proportion était excellente.

Dans la salle de bain que j’avais découvert, il y avait 5 urinoirs et la porte d’entrée était suffisamment éloignée pour avoir le temps de se réajuster lorsque l’on entendait quelqu’un rentrer. Je choisissais toujours la 4e urinoir de sorte qu’il en restait 3 de libre à ma gauche. Les mecs qui ne venaient pas pour se montrer, souvent intimidés par la présence d’un autre, se plaçaient presque invariablement à la 1êre, - le plus loin possible de moi. En contrepartie, le mec à qui je plaisais et qui avait des idées en tête se plaçait à la 2e – pas trop loin mais pas trop prês non plus. Les plus téméraires – souvent les vieux cochons – se placent juste à cóté et les pire à la 5e car c’est là qu’on est le plus cachés des regards indiscrets, étant protégé par les cabinets de toilette.

J’étais confortablement installé à mon urinoir préféré lorsqu’un mec arriva. J’ai toujours pour réflexe de m’enfoncer le plus profondément afin d’observer la vraie raison pour laquelle le mec vient. Constatant qu’il venait bien pour un trip voyeur / exhibe, je me recule un peu et offre à sa vue une superbe érection. Le gars est cute, jeune et a une queue normale, três belle, droite, três agréable à regarder. Cependant, je comprends vite qu’il préfêre de beaucoup me regarder que de se faire regarder et cela est loin de me déplaire. Là oû un élément nouveau apparaít, c’est lorsque subitement, le mec remballe sa queue et me demande de le suivre. Il n’attend pas ma réponse et quitte les lieux. Moi, stupéfait, je ne sais absolument pas quoi faire et suivant mon instinct, je ne fais rien. Je me mets vite à le regretter mais j’essaie de me convaincre en me disant qu’il voulait súrement m’amener chez-lui ou à un autre endroit qui ne m’aurait pas plu.

Voyant que je ne l’avais pas suivi, le mec entre à nouveau, reprend sa place à l’urinoir, sort sa queue toujours bien dur et se remet à se branler et à me dévorer des yeux. Quelques minutes plus tard, même chose, il la remet dans son pantalon et me demande à nouveau de le suivre et sort de la salle de bain. Cette fois, je remets mon lunch dans sa boíte, non sans difficultés, et décide de jouer le jeu; il serait toujours possible de rebrousser chemin si l’endroit oû il veux m’amener est inadéquat.

Nous avons monté 3 étages, avons marché un peu mais le temps me paru interminable et mon cœur battait à tout rompre. Dans mes culottes par contre, s’était toujours bien dur car plus je suivait le mec, plus je me doutais que je ne le regretterais pas. D’un pas décidé, il me conduisit vers une autre salle de bain, beaucoup plus petite, - il n’y avait que 2 cabinets au lieux de 5 et une seule urinoir. Je me dis pour me convaincre qu’un rassemblement était beaucoup moins probable ici et qu’en plus, si ce beau mec m’amenait là, il devait connaítre les lieux. Il me fit signe d’entrer dans une des deux cabines. Les quelques pas que j’avais à faire pour m’y rendre furent pénibles car mes jambes tremblaient anormalement – elles tremblaient depuis que nous avions quitté les toilettes du sous-sol. Je suis entré et il est entré derriêre moi, a verrouillé la porte. Je ne savais pas quoi faire, un vrai p’tit cul qu’on aurait pu qualifier de sans expérience. J’ai donc décidé de le laisser faire et au diable les apparences. De gestes lents et précis, comme si on était seul au monde, il a défait ma ceinture, descendu ma fermeture éclair et a fait tranquillement glisser mes jeans et mes sous-vêtements en bas de mes genoux. Je n’ai pas eu le temps de réaliser ce qu’il m’arrivait : j’ai senti mes 7’’ s’introduire dans une bouche chaude, profonde et expérimentée. C’était bon! J’ai vite été envahit par le dilemme auquel je dois faire face quand je me fais faire une fellation par un expert : venir ou le laisser continuer? C’était le moment de prouver que je n’étais pas précoce. Hey, mais nous étions dans des toilettes publiques! Que ferions-nous si quelqu’un entrait? On pouvait quand-même pas rester là pendant des heures. J’ai décidé de fermer les yeux, de me laisser faire et de me concentrer sur ce qui m’arrivait : une bouche gourmande qui s’afférait sur ma queue… Une bonne langue chaude et curieuse qui faisait le tour de mon cap, qui allait vigoureusement de haut en bas de mon engin… Sans oublier ses mains qui passaient sur mes cuisses et s’attardaient sur mes fesses.

Aprês plusieurs minutes, j’ai commencé à sentir mon jus monter mes il n’était pas question que ça se termine là; surtout qu’il avait les pantalons encore monté. Je lui ai donc fait signe de se lever et c’est à regret qu’il l’a f fait; faut croire qu’il était bien avec ma queue dans la bouche!

C’est avec des gestes beaucoup plus nerveux que les siens que j’ai réussis à lui mettre les pantalons aux chevilles et que je me suis emparé de sa bite. Je ne me rappelle même pas si je l’ai sucé mais je ne crois pas. Assez rapidement, il s’est remis en position et ma queue à retrouver sans aucune difficulté sa place au chaud. Je le regardais sa bouche faire des mouvements de vas-et-viens sur ma pine qui était maintenant luisante de salive, je lui caressais les cheveux en le laissant tout à fait libre de ses mouvements et ça me faisait bander encore plus.

Chaque fois que je sentais ma décharge monter, je le faisais mettre debout et je m’amusais un peu avec sa queue qui était aussi dure que la mienne. On a répété le manêge 4 ou 5 fois et la derniêre fois que je l’ai vu se pencher vers ma bite, je savais que ça allait être la bonne. Par respect, lorsque j’ai senti que j’allais venir – pas question de le faire se mettre debout cette fois – je lui ai dit tout bas :

- Je vais venir!

C’est alors que j’ai senti sa bouche toujours aussi chaude se resserrer incroyablement tout le tour de mon bat et pour moi le message était clair : il était assoiffé de sperme et comme c’est ce qu’il voulait, je me suis laissé aller et lui ai tout donné, en au moins 4 ou 5 gros jets. Je le sentais et l’entendais tout avaler et puis tout doucement, de façon três experte, commencer à passer sa bonne langue douce et chaud tout le tour de mon gland, de haut en bas sur ma queue de sorte que j’ai pu tout replacer dans mes culottes sachant qu’il ne restait plus une goutte de mon sperme. Quand j’ai enfin ouvert les yeux, j’ai constaté avec soulagement qu’il était venu lui aussi, sur le plancher et cette image, jumelée à ce que je venais de vire restera à jamais gravée dans ma mémoire.

On s’est laissé et je suis sorti à l’extérieur; j’avais vraiment besoin de prendre l’air. Je marchais sur la rue Ste-Catherine et j’avais du mal à réaliser ce qui venait de m’arriver. En temps normal, je me serais fait sucer chez-moi, dans l’appartement d’un mec ou dans un sauna et cette pipe, bien qu’excellente, m’aurait paru bien banale. Mais là, je venais de me faire faire une des meilleures pipes de ma vie dans une toilette publique! J’étais stupéfait! Je sentais ma queue bien molle dans mes pantalons mais bien prête à recommencer… Mes couilles bien vides mais três prêtes à se remplir à nouveau… Et moi, léger, três enivré et prêt à de nouvelles expériences…

Vous devinez bien que d’autres aventures me sont arrivées dans ces murs et qu’il ne s’agira pas toujours de fellation… C’est à suivre…

13 aoút 2005

N’ésitez pas à communiquer avec moi à l’adresse électronique mentionnée ci-haut pour plus de détails sur cette aventure, pour qu’on en parle, etc.

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Concentement de viol

Aprês 10 années bien comptée de vie sexuelle active dans le monde gai, je me suis retrouvé dans une période pendant laquelle une seule chose comptait : trouver des moyens de triper sexe qui sortaient de l’ordinaire. À la base, cela paraít facile surtout quand on parle avec plein de gens qui se font un plaisir de vous raconter leurs exploits et leurs prouesses. Donc, pendant plusieurs mois,

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Web-01: vampire_2.0.3.07
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