Gay Erotic Stories

Salut ! Je m'appelle Jason. J'ai 21 ans et je suis australien. Cette histoire se déroule alors que j'avais 18 ans, et raconte ma première aventure avec un garçon. Ca a changé ma vie. Tout d'abord, je voudrais vous parler un peu de moi. Je mesure 1 m 80, je suis châtain clair, les yeux bleus, et plutôt pas mal foutu. Je vais tous les jours à la plage pour surfer. A l'époque de cette histoire, j'étais en dernière année de lycée, et je faisais un peu de mannequinat pour arrondir mes fins de mois. C'était les vacances de Pâques. La première semaine de vacances n'avait rien apporté de nouveau dans nos habitudes : soirées chez les copains, sorties avec les copains, ciné avec les copains. Pour éviter la routine, j'avais décidé, avec mon copain Ben, d'aller faire du camping la deuxième semaine. Ben et moi, nous nous connaissions depuis deux ans. A peine avait il mis les pieds au lycée l'année précédente que je l'avais remarqué... Un mètre soixante-quinze, cheveux bruns, les yeux bleus, la peau mate et un corps superbe... Bref, le genre de mec qui ne laisse personne indifférent... et surtout pas les filles ! Toutes celles de notre classe lui couraient après. Elles auraient donné n'importe quoi pour le mettre dans leur lit, et il le savait. A nous deux, nous pouvions nous faire toutes les nanas du bahut... Et des filles, je m'en suis fait plus d'une... pour que personne ne sache que j'étais gay. Au départ, nous devions être six à partir camper, mais la veille du départ tout le monde se dégonfla, à l'exception de Ben. Le problème qui se posait était le suivant : nous ne pouvions pas aller camper juste tous les deux, comme çà... En cherchant bien (parce que je peux vous dire que pour chercher, on a cherché...) Ben a trouvé un voisin qui accepta de nous accompagner : Teddy. Je ne l'avais jamais rencontré, mais Ben m'assura qu'il était plutôt cool, ce qui me satisfaisait pleinement. Le vendredi arriva et j'étais prêt. Je passais donc chercher Ben chez lui avant d'aller chez Teddy. Alors que nous arrivions chez lui, Ben me fit remarquer qu'il attendait devant son garage. Je le regardais, debout au bout de l'allée, un sac de couchage et un sac à dos à ses pieds. Au moment précis ou mes yeux se sont posés sur lui, mon coeur a commencé à battre plus vite. Je sentais l'adrénaline se répandre dans mon corps comme une vague sur la plage... Je le regardais d'ailleurs tellement que si Ben n'avait pas donné un coup de volant je me serais payé sa boîte aux lettres. Ce qui eut été une entrée en matière quelque peu désagréable... Il était magnifique ! Des cheveux bruns et des yeux presque noirs, il avait un petit côté italien en lui... Un corps de dieu grec qui luisait au soleil. Il portait un short Nike en toile noire, et un gilet de randonnée sans manches gris pâle. Je ne pus m'empêcher de laisser mon regard descendre le long de ce corps superbe. A voir la courbe que décrivait le tissu de son short à l'endroit propice, il devait être plutôt bien monté. Il avait les jambes légèrement velues, mais pas un poil ne dépassait de l'échancrure de son gilet... qu'il avait, hélas, zippé... Peau mate, pas un seul bouton disgracieux en vue... Des yeux très sombres, des dents très blanches, un sourire parfait... Le genre de mec parfait auquel on pense pendant les longues soirées où, faute de mieux, on ne fréquente que soi-même... Et plus je regardais ce mec, et plus je me disais qu'il était encore bien mieux que tout ce que j'avais pu imaginer jusqu'alors... La semaine s'annonçait intéressante... Je devais être en train de rêver, ou quelque chose du genre, à moins que ce ne soit le choc causé par la découverte de ce superbe male de 18 ans, mais quand je remis les pieds sur terre il était en train de me remercier de lui avoir filé un coup de main pour mettre ses affaires dans le coffre. Je ne le connaissais que depuis à peine cinq minutes, mais j'étais déjà tombé irrémédiablement amoureux de ce type. Sa manière de me regarder de ses grands yeux profonds, sa manière de me sourire en me remerciant... En m'installant dans le siège du conducteur, je me rendis compte que ce gars avait un minimum d'effet sur moi... Mon short commençait à ne plus cacher grand chose de mon émoi... Je m'efforçais de dissimuler ça du mieux possible, afin que Ben, qui était assis du côté passager, ne se rende compte de rien... Teddy était assis à l'arrière. Je refermais ma fenêtre pour laisser son parfum envahir la voiture. C'était un mélange de Polo de Ralph Lauren, de sueur, et de cette fabuleuse odeur de mâle qu'il traînait derrière lui... C'est à ce moment précis que j'ai réalisé que j'étais amoureux, et que j'ai su que ces vacances, je ne les oublierais pas de si tôt... Ne serait-ce que parce que j'allais les passer avec Teddy. Mais je dois reconnaître que, pas une seule minute, je ne m'étais attendu à ce que ces quelques jours de camping ressemblent de près ou de loin à ce qu'ils allaient être... Il fallut deux bonnes heures de trajet sous une chaleur écrasante pour arriver à la petite station balnéaire où nous allions camper. Moins d'un quart d'heure après, nous étions en train de monter notre tente sur la plage, dans un coin isolé. C'était une tente cinq places, ce qui n'arrangeait pas mes affaires : on allait avoir de la place, et aucun prétexte pour se coller les uns aux autres. A deux heures, il faisait près de 38 degrés, et j'en profitais pour me désaper. Je me mis torse nu, en faisant remarquer qu'il faisait "une putain de température". A ma grande surprise - et pour mon plus grand bonheur - Teddy me donna raison et se mit torse nu lui aussi tout en continuant à déballer ses affaires. Son corps était encore plus beau que ce que j'avais pu imaginer sous son gilet de randonnée. Lisse et ferme, luisant de cette transpiration qui glissait sensuellement vers ses reins. Il était mince, mais ses muscles tendaient sa peau mate. J'avais de plus en plus de mal à empêcher ma queue de laisser transparaître les sentiments que Teddy m'inspiraient, penché sur son sac à dos... J'étais debout derrière lui, et je pouvais deviner, à travers son short, les lignes sensuelles de ses fesses. Je commençais à imaginer quel pied nous pourrions prendre tous les deux si seulement ce mec était gay. Mais il ne l'était pas. Point final. C'était le genre de mec bon copain, mignon et sympathique... et qui devait forcément avoir en permanence au moins une fille à portée de main. Nous avions bientôt déballé toutes nos affaires, et nous sommes partis faire le tour des plages environnantes faire un peu de surf, jusqu'au coucher du soleil. Nous étions de retour au camp juste avant la tombée de la nuit. Le barbecue se termina avec les phares de ma voiture en guise d'éclairage, car il faisait complètement noir quand nous sommes passés à table. J'ai fait la distribution de bière, et vers onze heures et demie nous en étions au moins à huit bières par tête. Ben alla se coucher à moitié ivre, alors que Teddy et moi restions discuter un moment autour du feu. Nous avons abordé tous les sujets habituels, puis après un court silence j'ai demandé à Teddy si il avait une copine. "Non, ça coûte trop cher..." me répondit-il en riant. Je me suis mis à rire également, en le regardant droit dans les yeux le plus longtemps possible. Il détourna son regard et dit : "On ferait mieux d'aller se pieuter si on veut aller pêcher tôt demain matin..." Il avait raison. Nous nous sommes glissés dans la tente. Il n'avait pas de copine ! Peut-être avais-je une chance, après tout. L'effet combiné de la bière et de cette information primordiale me rendait euphorique. Je me dis que je devais tenter ma chance. C'était une opportunité que je ne pouvais décemment pas laisser passer... Ben dormait dans un coin de la tente, et mon matelas et mon sac de couchage étaient de l'autre côté. Je remarquais que Teddy n'avait rien ramené pour lui servir de matelas. Et comme le sol était particulièrement dur à l'endroit où nous avions planté la tente, je vis là une opportunité à saisir absolument : " T'as pas ramené de matelas ? Tu vas te foutre le dos en l'air!" J'hésitais quelques secondes et lui dis : " On peut partager le mien, si tu veux..." En temps normal, je n'aurais jamais eu le cran de lui proposer un truc pareil, mais le nombre de bières que nous avions bu me donnait un certain courage. Chose étonnante, il accepta de bon coeur, comme si c'était tout naturel... Il se coucha à mes côtés, sur le dos, et ferma les yeux. Il faisait encore chaud et nous n'utilisions pas nos sacs de couchage. Nous étions tous les deux en caleçon, et je commençais à bander assez sérieusement alors que je regardais Teddy, dont le sommeil était baigné par la lune. Son souffle chaud caressait mon visage alors que je regardais sa poitrine se soulever au rythme de sa respiration. L'odeur enivrante de son corps était comme une drogue. Il était maintenant endormi, et je ne pus résister à la tentation. Je me serrai contre lui, je mis mon bras autour de son corps, mon propre corps tremblant alors que nos torses se touchaient, sa peau contre la mienne. Je rapprochai mon visage du sien, et je m'aperçus que nous respirions au même rythme. Je me serrai davantage, et ma queue raidie à 18 centimètres vint se coller contre lui. J'étais heureux d'être là, comme çà, collé contre lui, de toucher son corps et de respirer le même air que lui, même si je savais que cela ne durerait pas éternellement. J'étais super excité, et tout ce que je m'autorisais à faire était de dormir à côté de lui, en me serrant contre lui. Mes paupières se firent plus lourdes. J'étouffai un bâillement, et je sombrai dans un sommeil bienheureux... Je me réveillai en sursaut, au contact enivrant d'un long baiser passionné qui parcourait mon cou. Je sentis dans ma main le contact d'une queue raide, chaude et humide. Quand Teddy vit que j'étais réveillé, il me murmura dans l'oreille : - J'ai dû oublier de te dire que j'avais le sommeil très léger... Même si j'avais un peu de mal à rassembler mes idées, je me sentis rougir jusqu'à la racine des cheveux. Mais ça n'avait aucune espèce d'importance : mon rêve était devenu réalité... Je ne savais plus quoi faire. J'étais à la fois surpris, apeuré et sacrément excité... Je le regardai dans les yeux, et il me sourit. Cet accord silencieux me rassura. Je me penchai doucement vers lui pour l'embrasser. Alors que nos langues s'enlaçaient langoureusement, j'enlevai mon caleçon. Puis je m'attaquai au sien. En faisant glisser l'étoffe le long de son corps, je caressai doucement la peau lisse de ses fesses. Je savais que cette nuit, tout cela serait pour moi seul... Il était maintenant sur moi. Nous étions tous deux complètement nus. Je le serrai contre moi. Sa peau était comme de la soie au contact de la mienne. Nos queues se touchaient. Nous les frottions lentement l'une contre l'autre. Ma bite était tendue comme jamais elle ne l'avait été. Il tenait ma tête entre ses mains. Notre baiser se prolongeait, devenait de plus en plus passionné. Je caressais son cul d'une main, et ses couilles de l'autre. Nous nous murmurions des mots torrides... - Encule-moi, Teddy... J'ai l'impression d'avoir attendu si longtemps... - Jason, je voudrais que cette semaine ne s'arrête jamais... Après quelques trop courtes minutes de ce pur bonheur, je lui demandai si je pouvais le sucer. Il me fit ce superbe sourire dont il avait le secret. Il se glissa doucement sur le côté, tandis que je l'embrassais dans le cou, puis sur le torse. Mes lèvres effleuraient son corps avec légèreté, de plus en plus bas, jusqu'à sa queue raidie. Elle devait faire pas loin de 20 centimètres, ce qui était plutôt pas mal pour notre âge... Il était circoncis, et avait une pine superbe - lisse, raide et douce. Il se mit à califourchon sur moi, une jambe de chaque côté, sa queue à portée de mes lèvres, son cul sur mon torse. Ses couilles caressaient le haut de mon torse, ses mains emprisonnaient doucement ma tête et il me regardait en souriant tandis que ma langue abordait avec précaution sa bite parfaite. Je la tenais d'une main, en la léchant doucement de haut en bas. Je n'avais encore jamais touché la queue d'un autre mec autrement qu'en rêve, mais j'eus à cet instant l'impression de ne jamais avoir rien fait d'autre. Mon cœur battait lourdement pendant que je laissais sa queue emplir ma bouche. Je léchais délicatement le contour de son gland, puis il se mit à imprimer à sa queue un léger mouvement de va-et-vient. Il se mit sur les genoux, puis le mouvement se fit plus fort, plus régulier. Ses mains caressaient mes cheveux tout en retenant ma tête. Il souriait en me regardant, le souffle court, ses couilles venant cogner mon menton à chacun de ses coups de reins. Il n'allait pas tarder à venir... J'ai maintenant 21 ans, et j'ai sucé de nombreux mecs depuis, mais je n'ai jamais retrouvé cette sensation de plaisir parfait. Le sucer m'excitait tellement que je faillis jouir. Il se recoucha à côté de moi, puis me murmura qu'il voulait que ça dure jusqu'au lever du soleil. Il se glissa tout contre moi, en couvrant mon corps de baisers légers, jusqu'à ce qu'il arrive à ma queue. J'écartais les jambes, et il se mit à me sucer. Il me suça d'abord les couilles, puis, remonta vers ma bite. Il continua à me sucer, encore et toujours, lentement, délicatement, ma guidant doucement vers l'orgasme. Il me suça jusqu'à ce que je sois sur le point de jouir, ce qui ne lui prit pas plus de quelques minutes. Je lui dis alors que je voulais lui faire l'amour. Il s'arrêta net, puis, ma queue toujours entre ses lèvres, il leva son regard sombre vers moi. Il se remit sur les genoux, son regard toujours vissé dans le mien, puis se pencha vers moi. Il m'embrassa avec fougue, et je lui rendis son baiser avec passion... Il roula sur le dos, et je me mis sur lui. Je glissais le long de son corps, en couvrant sa peau de petits baisers rapides, puis, arrivé au niveau de sa queue, je recommençai à le sucer. Sa queue d'abord, puis ses couilles. Je le retournai alors doucement, puis je me mis à lécher son cul. Après deux ou trois minutes de préparation, je me mis à genoux puis je commençai à le pénétrer doucement. Malgré ses efforts pour rester silencieux, il gémit de plaisir quand ma queue commença à entrer en lui. C'était une impression chaude et humide qui entourait maintenant ma bite. Je le pénétrais lentement, mais ma pine entière trouva refuge en lui. Nous avions tous deux les yeux clos, savourant avec délices ce plaisir nouveau, tandis que je commençais doucement à l'enculer. J'avais toujours voulu enculer un mec, mais je n'aurais jamais pensé que cela représente un pareil bonheur. Ma queue, encore humide des baisers de Ted, glissait parfaitement dans son petit cul serré. Je me mis à le branler de la main droite, et nos regards restaient accrochés alors que le mouvement de mes reins se faisait plus ferme et plus rapide. Nous gémissions tous les deux, mais Ben dormait toujours. Il ne se retourna même pas dans son sommeil. Je me penchai vers Ted, et je me mis à l'embrasser avec autant de passion que je l'enculais. Je voulais que ce moment dure toujours. Je ne voulais plus quitter Teddy, jamais. Je ne l'avais rencontré qu'aujourd'hui, mais j'étais si profondément amoureux de lui, et lui de moi, que nous avons tous les deux pleuré de joie alors que nous faisions l'amour. Nous nous sommes promis de nous revoir, quoi qu'il arrive. Une légère odeur de mâle commençait à emplir la tente, nous excitant encore davantage, si c'était possible. Je sentais le plaisir monter à la vitesse d'un cheval au galop, j'étais sur le point d'exploser. Je me retirai au dernier moment, et je jouis sur son torse et sa figure, plusieurs longs jets puissants, alors que le plaisir déferlait en moi. Il commença à se branler, et mélangea rapidement son sperme au mien. Il me prit alors dans ses bras, et me serra contre lui. Nous pouvions tous deux sentir sur notre ventre la chaleur de nos spermes mêlés. Je m'endormis sur lui, littéralement éreinté par ces deux heures de sexe intensif. Cette nuit-là, nous l'avons passée dans les bras l'un de l'autre, en parlant longuement de la vie, des choses, des gens, de nous... Nous avons partagé nos secrets les plus intimes, jusqu'à ce que le soleil se lève. C'était ma première expérience sexuelle avec un garçon. J'ai maintenant 21 ans, et j'ai tenu ma promesse. Nous habitons ensemble, un joli appartement à Sydney, et nous sommes toujours aussi amoureux l'un de l'autre. Nos nuits sont toujours aussi intenses que la première, et nos corps se retrouvent aussi souvent que possible. Depuis, nous avons rencontré pas mal d'autres mecs très cools à la fac. Mais ce qui est important, c'est que nous savons tous les deux que nous sommes l'un pour l'autre ce qu'il y a de plus important au monde. Histoire de Jason (.jase17@hotmail.com) Traduction de Maxence (.maxence@milleniumboyz.com) D'autres histoires sur www.milleniumboyz.com