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Dans Le Train

by Christophe


Dans le train Dans le train Fantasmes dans le train L’autre soir tard, en revenant de Paris par TGV, je me plonge dans la lecture de mon bouquin. le mec à côté de moi s’est endormi. Dans son sommeil, il écarte les jambes, sa cuisse touche la mienne. Un peu gêné, je lui jette un regard. Décidément, quel sans gêne ! Mais aussi, quel mec ! Jeune, pas plus de 19 ans, bien foutu, les traits fins et virils en même temps. Une petite boucle en or à son oreille droite accentue sa sensualité. Son jean paraît bien rempli… Je commence à trouver la situation intéressante. Dans son sommeil, il doit sûrement imaginer de tas de choses excitantes car je m’aperçois que son paquet prend une forme plus imposante. Pas de doute, il bande ! Fasciné par cette vision, je me sens à mon tour envahi d’une douce chaleur. Mon pantalon, assez lâche, ne cache pas mon excitation… Ma main posée sur mon genou, est à moitié coincée par sa jambe. Tout à mes fantasmes, je ne me rend pas compte que mon voisin s’est réveillé. Soudain, je le vois poser sa main sur son sexe et commencer à se caresser, écartant les jambes afin d’être plus à l’aise dans ses mouvements. La pression sur ma cuisse se fait plus insistante. J’ai une trique d’enfer… Il se lève alors, passe devant moi en frôlant mon visage de son bas-ventre et se dirige vers le bout du wagon. Une minute plus tard, je me lève pour le rejoindre. Il n’a pas verrouillé la porte. J’entre. Il est assis sur le lavabo, sa chemise entièrement déboutonnée. Son torse musclé est imberbe, une chaîne en or autour de son cou fait ressortir son bronzage. Gaël A peine la porte refermée, il prend ma main et la pose sur son jean à moitié usé. J’arrive pas à y croire : sa queue lui arrive à mi-cuisse et son diamètre est en proportion ! Tout en le caressant au travers de la toile fine, je défais un à un les boutons de son jean. Il se soulève légèrement pour me permettre de baisser son pantalon. Subjugué, je vois sa queue libérée qui se dresse, impressionnante. A peine ai-je besoin de me pencher pour l’honorer de mes caresses. Ma main enserre la colonne de chair turgescente et entame un lent va-et-vient, découvrant un gland bien décalotté et appétissant. En même temps, je lèche son bout avec ma langue. « Ouiii ! C’est bon ! Tu es doué, j’en étais sûr ! Hum… Suce ma bitte… comme ça… Avale ma queue ! Avec mes lèvres, je caresse sa queue tout du long, très excité par l’odeur de mâle qui s’en dégage. Je descend jusqu’à ses couilles poilues, grosses et durcies par l’envie. Une à une, je les gobe en les massant avec ma langue, ma main toujours occupée à masser sa pine. Je remonte lentement et d’un coup avale le gland et commence à sucer ce bel engin. J’en ai plein la bouche. Je n’arrive pas à l’avaler en entier. En même temps, je défais mon pantalon. Je suis en string et la vue de mon petit cul ferme et lisse arrache un sifflement admiratif à mon partenaire. « Putain, quel beau cul ! Hyper-bandant… Viens là que je t’encule… Sans même répondre, je me relève et avec son aide, je monte sur le lavabo, un pied de chaque côté de son corps. Soutenu par ses mains larges et puissantes, je m’accroupis sur sa queue. Son gland bien lubrifié se trouve au niveau de mon anus. D’un mouvement lent et continu, je m’empale sur sa queue en érection, jusqu’à sentir sa bitte me remplir complètement. Tout en remuant mes fesses autour de la base de son sexe, je lui lèche le torse en caressant ses épaules. Le contact de son torse musclé et lisse sur mon corps m’électrise. Lorsque mon cul s’anime d’un lent mouvement le long de sa bitte, ma queue et mes couilles frottent contre son ventre. Je vois son regard se troubler, son corps se crispe, il m’enlace fermement et me donne de grands coups de reins. L’échauffement de sa queue dans mon cul s’accentue, je sens une onde de plaisir m’envahir… Soudain, dans un râle, il lâche sa purée dans moi. Les spasmes de sa queue et la chaleur de son sperme déclenche en moi une réaction en chaîne. Je jouis à longs traits sur son ventre plat. Épuisés, nous restons un long moment enlacés, sa bitte ferme encore dans moi. « Putain ! Ca fait du bien ! J’étais en perm chez mes parents depuis 8 jours et depuis 8 jours, j’ai pas baisé ! « Tu fais ton service ? « Oui. Je suis dans une caserne du côté de Dinan. J’ai hâte de retrouver mes copains. On est trois dans ma piaule et c’est pas triste… Y’en a un qu’a 18 ans, vachement mignon et très salope. Ca fait deux mois qu’on passe des nuits plutôt agitées… « Tous les trois ? « Ouais. La dernière fois, on s’est enfilé le p’tit mec deux fois chacun. J’te dis pas l’état de son cul après ça… Ca glissait super bien. Et il en redemandait. Déchaîné, qu’il était. Ça giclait de tous les côtés. Au fur et à mesure qu’il parlait, excité par son histoire, je remuais doucement mon cul. Sa bitte se raidissait dans mon corps, telle une colonne de chair lourde, chaude et vivante. « Hum ! Comme salope, t’es pas mal non plus. « Ton gourdin m’excite beaucoup. Tu sais t’en servir. « Ouais. J’ai encore la trique. « J’la sens bien ta queue chaude. Putain, qu’c’est bon d’se faire enculer… « T’aime ça, hein, te faire piner par un jeune mec ? « J’adore ça. A ce moment retentit le message annonçant l’arrivée du train en gare de Rennes. Rapidement, je me détache de mon amant, me rhabille et sort discrètement du réduit. Peu après que j’ai regagné ma place, il me rejoint et, avec un clin d’oeil, me dit : « Je me sens mieux, pas toi ? « Si, c’était super. Au fait, c’est quoi ton prénom ? Moi c’est Christophe. « Gaël. T’as pas envie de prendre un pot ? « Si, bien sûr. « Je t’emmène dans un bar sympa dans le centre. Le bar Vers 11h, on se retrouve autour d’une petite table dans un coin du troquet. Que des mecs ! L’ambiance est plutôt chaude… A côté de nous, deux jeunes étudiants enlacés se caressent sans pudeur. A côté de moi, Gaël les lorgne sans vergogne… « Ils s’embêtent pas, ces deux là… « Ouais. Ca n’a l’air de gêner personne. « Bof, tu sais, c’est rien à côté de ce que j’ai déjà vu dans ce bar une fois vers 1h du mat. Carrément une partouze… Excité par les deux mecs, je me colle contre lui et commence à le caresser avec discrétion. La lumière tamisée et le bruit ambiant font que mon manège passe pratiquement inaperçu… Au bout de quelques minutes, Gaël est dans un tel état d’excitation qu’il me chuchote à l’oreille : « J’ai envie de baiser à nouveau, pas toi ? « Si ! Tu m’fais bander. J’ai envie de ta queue. Gaël se lève, sa queue raide particulièrement visible témoigne de son envie. Je le suis dans une pièce à peine éclairée au fond du bar. Malgré la pénombre, on aperçoit des corps plus ou moins dévêtus enchevêtrés sur le sol ainsi que sur les bancs installés le long des murs. Gaël s’assoit sur une banquette et m’entraîne à son côté. Bien qu’absorbé par notre étreinte, j’entends des soupirs et des râles particulièrement évocateurs de l’activité qui règne autour de nous. Fébrilement, nous ôtons nos vêtements et nous nous frottons l’un contre l’autre. Je sens sa queue cogner contre mon ventre, ses couilles sur les miennes. Dans le feu de l’action, je ne m’étonne pas quand plusieurs corps viennent se mêler à nos ébats. Des mains chaudes viennent me caresser les jambes, les fesses, le sexe. Une langue humide et agile vient me lécher la raie des fesses. Je sens soudain un corps qui se colle contre mon dos, un objet dur s’introduit entre mes fesses et commence à me travailler la rondelle. Une queue raide, tenue par les mains de Gaël se présente devant ma bouche. Je l’avale. Gaël se met à son tour à la hauteur de ce sexe et, tous les deux, nous le suçons. Le mec derrière moi me lime le cul, jouit et se retire. Aussitôt, je sens un autre sexe s’introduire dans mon anus. Sa taille est impressionnante. Il me pénètre d’un coup et entame un va-et-vient lent et régulier. De ses mains puissantes, il tient mon bassin fermement, me soumettant ainsi à son contrôle. Régulièrement, je sens qu’il se retire complètement pour me forcer à nouveau et me pénétrer entièrement, son ventre venant se plaquer sur mes fesses. Son manège interminable fait monter mon excitation. Mes mains caressent la verge gonflée que Gaël et moi suçons avec ardeur. Le type se met soudain à gicler sur nos deux visages. Gaël se met à me lécher, puis il se relève. Je le vois s’approcher d’un jeune mec entièrement rasé, à quatre pattes en train d’avaler une bitte. Il pose sa queue contre son anus offert et, d’un coup, l’encule à fond. La vue de cette sodomie brutale libère en moi une frénésie orgiaque. Je me colle contre le bas-ventre du mec qui me lime toujours avec le même rythme lent et régulier. Sa queue semble avoir pris des proportions gigantesques et chaque aller-retour provoque dans mon cul une onde de chaleur plus intense. Je l’entend pousser à chaque coup un râle de plaisir. Soudain, ses coups de boutoir se font plus rapides. Il se met à gémir de plus en plus fort lorsque, dans un ultime coup de reins, il éjacule son foutre chaud. Une onde de plaisir m’envahit alors, me faisant jouir à mon tour.  

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Web-04: vampire_2.0.3.07
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