Gay Erotic Stories

Ceci est la suite d'une nouvelle publiée précédemment Ils m'ont laissé seul. Maintenant, je pouvais faire le point. J'ai été enlevé dans le but de devenir une sorte d'esclave sexuel. Cette idée m'inquiétait, et je cherchais des issues. Mais pris dans cette maison transformée en prison, et qui semble être située à des kilomètres du village principal, je n'avais guère de chance. Mes ravisseurs m'avaient bien fait comprendre cela. J'était donc dans ce une pièce fermé, où se trouvaient une télévision relié à un magnétoscope, un large divan, une bibliothèque remplie de littérature érotique gai, des vibrateurs de diverses tailles. Je ne suis pas du genre à me décourager. Je voulais partir d'ici très vite. Je me doutais que mon apprentissage ne me ferait pas de bien, et puis je dois dire que j'étais assez paniqué. Un gars arriva. Celui que je devais appeler " entraîneur ". Dans mes instructions, je devais remercier mes ravisseurs de tout. Merci de m'avoir choisi, merci de leurs instructions, merci de leur sperme... Non, mais je n'allais pas me laisser faire ainsi. Il me tendit un verre d'eau, et une pilule bleue. J'ai décidé de le défier. Je le regardais, sans rien faire. - prends cette pilule - non - Tu vas faire ce que je te dis. - Tu as 5 secondes. - Et alors? - Tu l'auras voulu. Il appela. Deux gars entrèrent. Merde, trois contre un. Le premier leur explique la situation. J'aurais l'ingratitude de refuser leur médication. Les deux costauds foncent sur moi. Je me débats, mais ils sont plus forts et plus nombreux que moi. Je me retrouve rapidement immobilisé contre le mur. Ils m'entraînent au sous-sol. Je hurle et me débats. Ces types sont dingues. Le sous-sol est un vrai donjon. Ils m'enchaînent contre le mur, me pincent le nez, m'ouvrent la bouche de force et me font prendre la pilule. - Tu vas bander comme un cheval, mais tu cris comme une femme. Tu es une salope, et je vais te montrer comment on s'occupe des petites comme toi. Appelant ses amis : " LE FOUET ". J'ai eu droit à 5 coups de fouet. Je savais que je ne pouvais pas tenir contre ces fous. Les coups n'étaient pas très durs, mais je souffrais. Ils ont commencé à me caresser l'entrejambes. Au début, je ne croyais pas bander. Mais à ma grande surprise, mon pénis entra en érection. Je me suis fait expliquer que je venais de prendre du Viagra, et que toute résistance était futile. Ils me ramenèrent dans une chambre, et m'attachèrent sur le lit. Un gars commença à me sucer. C'était bon, je dois l'avouer. Les autres partirent un film porno. Puis pendant que le " entraîneur " me suçait, un gars installa une caméra vidéo pour nous filmer. J'étais mort de honte. Ils me caressaient tout le corps. Puis je sentais la pression monter. J'allais venir. Mais ils connaissent bien la torture. Le coach cessa de me sucer, et me pinça la queue pour m'empêcher de venir. C'est très frustrant être au bords de l'orgasme, et en être privé. Ce manège dura des heures, et ils se relayaient. Ils utilisaient des pompes parfois. J'étais en érection depuis plus longtemps que je croyais possible, et j'étais couvert de sueurs. Ils m'avaient dit le prix. Je devais sucer le coach. J'ai obtenu qu'il n'éjacule pas dans ma bouche. J'avais cédé. Je l'ai sucé. Il a tenu parole. Il n'est même pas venu sur mon visage. Pendant ce temps, un autre gars m'a masturbé, et je suis venu en même temps que le coach se retirait de ma bouche, pour venir dans la bouche du gars qui m'avait masturbé. - Tu as cédé, tu vas être notre jouet.