Gay Erotic Stories

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Ecrire une Nouvelle S/M

by Steve Quentin


J'ai pris la décision d'écrire quelque chose de confidentiel. Ma prose sera protégée par un code secret qui traduit bien mes obsessions. L'idée est de construire un roman, de préférence " explicite " comme on dit dans les romans de gare...histoire de ne pas trop m'ennuyer ! La première chose, ça serait de créer une trame générale, une intrigue, un découpage. A chaque jour suffirait sa peine. Au travail ! J'hésite, écrirai-je un roman pornographique, grassement pornographique, ou bien un roman normal, complet, comportant des scènes réalistes ? Des scènes qui font bander le lecteur ou la lectrice. Il faudrait trouver le ton juste L'ordinateur est réparé, j'ai quelqu'inspiration et une libido frustrée : je me dis à demain. douche : bien sûr je me suis branlé les personnages principaux du roman personnages: une bande de 4 copains, Marc, Arthur, Gérard, et André. Il faut aussi des esclaves, objets sexuels non consentants, qu'il faut forcer, dresser, contraindre et punir. Eux aussi auront été capturés et retenus en fonction de la taille de leur sexe. Ce qui veut dire qu'on les veut avec un gros zob et de grosses burnes. Il faut des personnages annexes : une dizaine de soldats ou de mercenaires vigoureux, très bien membrés, des mecs chauds et durs, obéissants à leurs patrons. Mais parfois désobéissants, tout en acceptant de se faire punir Les 4 copains ont pris avec eux 4 mercenaires pour une soirée de dépucelage particulièrement chaude. Un esclave de 28 ans, Vincent, a été capturé récemment, jeune mec très musclé, pas immense, 1m78, une grosse queue lourde de 22 qui pend sur des burnes bien conséquentes, des poils bruns très abondants sur les jambes, sur les cuisses, tout autour de son superbe sexe non circoncis, ces poils montent sur son ventre, genre tablette de chocolat, et s'épanouissent sur ses pectoraux bien dessinés. Les 8 violeurs sont à poil, ou à moitié à poil, dans une petite pièce remplie d'une odeur assez costaud, de mâles peu portés sur la savonnette. Marc se tripote doucement la queue avec un regard assez mauvais en direction de Vincent qui vient d'entrer dans la pièce, amené par 2 autres mercenaires. Le gars est donc totalement à poil, taciturne, on sent qu'il n'en mène pas large ; la porte a été fermée derrière lui, et il reste là sans bouger. Eh ! Vise-moi un peu le mec ! Il en a un beau piston, tu vas voir on va faire joujou avec, on va t'enseigner des trucs dont t'as même pas idée ! Marc, qui est tout proche de la malheureuse victime, lui attrape les couilles et les lui tord méchamment. Vincent, surpris, gueule sous la douleur. Marc lâche le paquet et ordonne à l'esclave de s'approcher davantage Arrive ici, et mets-toi à genoux · Il le force à s'exécuter, en lui faisant une clé au bras gauche. La douleur oblige Vincent à se mettre à genoux, Marc insiste, lui colle la gueule contre le sol en lui mettant son pied chaussé de lourdes godasses sur le cou. Il lui tord un peu plus le bras, à plusieurs reprises il insiste sur cette douloureuse torsion et Vincent ne semble plus disposé à se révolter. Il se rend bien compte que, bien sûr, il pourrait opposer une résistance, faire feu des 4 fers quand on essayerait de l'approcher, utiliser les techniques de combat qu'il connaît, mais quelle chance aurait-il contre 8 mâles aussi costauds et déterminés ? · Allez ! Lève ton cul et écarte-le avec tes deux mains si tu veux que ma bite te rentre dedans sans faire trop de dégâts. · Non ! Je ne suis pas PD, il n'est pas question que tu me touches ! · Ce sursaut de révolte est immédiatement ponctué de deux solides gifles, l'une à droite, l'autre à gauche, envoyées sans ménagement par Arthur qui s'était levé et placé devant Vincent, pendant que Marc le mettait au pas, avant de le mettre tout court D'abord, t'as pas droit à la parole, ensuite tu ne nous tutoies pas, au contraire : tu nous appelles Maître, et t'es peut'être pas PD, mais dans pas longtemps tu vas être enculé, et pas qu'un peu ! · Marc : une punition est nécessaire, qu'est-ce que vous en pensez les gars ? · Deux nouvelles baffes ponctuent cette information · Approbation générale, ponctuée de rires gras et d'encouragements à la victime : · Salauds ! Salauds ! Lâches ! Vous n'êtes qu'une bande..... Il n'a pas le temps de finir sa phrase, Marc, Arthur et un des mercenaires l'ont empoigné, allongé à plat ventre sur le lit de Marc en lui refaisant le coup très efficace de la clé au bras, Marc hurle sous la douleur. Marc a compris que sa victime était déjà soumise, il a lâché le bras de Vincent, non sans l'avoir durement tordu une nouvelle fois, tout en lui balançant trois grandes baffes dans les flancs. · Marc allume une cigarette, tire à plusieurs reprises dessus, de façon que l'extrémité en soit bien chaude, nos trois gaillards, le mercenaire de son prénom Jules, Marc et Arthur, sont plus ou moins assis sur leur victime qui ne peut pas bouger, et dont la gueule a été garnie de la paire de chaussettes qu'Arthur porte depuis au moins quinze jours, il a consenti à s'en défaire pour cette noble cause ! Marc tire à nouveau sur sa cigarette, et l'éteint immédiatement sur l'épaule de Vincent qui essaye de crier malgré son bâillon. C'est que ça doit faire mal, ce petit traitement ! Une odeur de grillé chatouille les narines de tout le monde, d'autant que Marc renouvelle l'opération trois fois. · Et la prochaine fois, c'est pas ton épaule qui nous servira de cendrier, c'est tes p'tits tétons ou bien tes couilles ou le bout de ta queue ! Le corps de Vincent est maintenant couvert de sueur, et je ne pense pas que les menaces y soient pour grand-chose. Il ne les a pas même entendues, c'est la soudaineté de la douleur, et son intensité qui l'ont surpris. C'est qu'un gars comme ça, ça n'a pas trop l'habitude de souffrir ! · Marc : il est temps de passer aux choses sérieuses, mets-toi en position, comme je te l'ai ordonné tout à l'heure. Tout le monde est excité, la température monte dans la petite pièce. · Vincent, dégagé de ses trois tortionnaires, sent bien qu'il serait dangereux de résister davantage; il se met à genoux comme on le lui a demandé, et il écarte ses fesses avec ses deux mains. Sa grosse queue, qui vient d'être comprimée entre son ventre et le matelas quand les trois gaillards étaient assis sur lui, sa grosse queue donc est gonflée de sang, on ne peut pas dire qu'il bande vraiment, mais cette quéquette, on sent qu'elle mène sa vie à part et qu'elle est vaillante, même quand son patron a les foies, comme c'est évidemment le cas maintenant, et il y a de quoi ! Marc est derrière lui, et depuis un moment il s'occupe de son propre instrument, et c'est 22cm de béton qu'il a entre les mains. Quand je dis propre, ça ne veut évidemment pas dire qu'il vient de se laver la bite, non, pas vraiment ! Ca pue le fromage tout autour, mais personne ne semble s'en préoccuper, Marc moins qu'un autre qui a le regard mauvais. Il n'y va pas par quatre chemins, et il essaye d'enfoncer d'un seul coup son dard dans le cul de Vincent. Hurlement de Vincent, qui ne peut pas s'empêcher de se fermer à une pénétration aussi brutale. Ca rigole gras dans la chambrée. Tu l'as raté, Marc, t'es impuissant ou quoi ? · T'inquiète, il va me le payer, c'te putain d'enculé ! En position, connard ! Et il lui fout trois méchants coups de poing dans les fesses, que ça va nous faire de beaux bleus tout à l'heure ! Arthur lui a remis sa paire de chaussettes puantes dans la bouche. Marc demande à Yves, un autre mercenaire, de lui sucer la queue avant le nouvel essai, et de bien l'enduire de salive ; ça n'est pas par bonté d'âme à l'égard de sa victime, c'est qu'il a pris conscience qu'il ne pourra rentrer dans ce cul de puceau qu'avec un minimum de précautions. · Yves ne se le fait pas dire deux fois, et il enfourne la hampe de Marc avec beaucoup d'application. La queue du bourreau est maintenant toute luisante de salive, grâce aux bons soins d'Yves, Marc appuie son gland sur le trou du cul de Vincent, fermement maintenu par Yves et par Arthur, il force l'entrée, ça y est , grognement de Vincent à travers son bâillon, de nouveau il se couvre de sueur, Marc le lime lentement, mais à fond, il entrerait les couilles si c'était possible ! Vincent souffre, ça se voit, ses yeux sont remplis de larmes, mais il n'excite pas la pitié, au contraire ! Marc augmente le rythme sans épargner un seul centimètre à ce pauvre Vincent, qui, en plus, reçoit des baffes de la part d'Arthur qui trouve ce jeu amusant Vicieux de Marc ! Maintenant que ce cul est un peu habitué, il en ressort complètement son énorme engin pour avoir le plaisir d'en forcer à nouveau l'entrée. Aïe, ça fait mal , on dirait, à voir la gueule de Vincent, et Aïe encore ! Il a du mal à s'habituer le bougre ! Marc recommence l'opération six ou sept fois et à chaque fois plus violemment, il lui ramone maintenant profondément les entrailles, pendant ce temps-là, Arthur présente sa monstrueuse bitte devant la bouche de Vincent dont il a enlevé le bâillon · Allez, suce-moi ! Fais moi bander, et t'as pas intérêt à mordre, j'te fais pas un dessin ! . Vincent s'exécute avec dégoût, il prend la tête du gros membre encore flasque dans sa bouche en même temps qu'il continue de recevoir de violents coups de butoir dans le cul, Arthur, qui n'a aucune reconnaissance, lui attrape les oreilles et leur fait subir un sale traitement, il les lui tord, les lui tire, les plie dans tous les sens, tout en imprimant à la tête de Vincent le mouvement de va-et-vient qui a tôt fait de produire les effets attendus : le zob d'Arthur est complètement monstrueux, 28cm de chair tumescente, avec de grosses veines menaçantes, le gland violacé semble prêt à exploser ; Marc ralentit son rythme, il fait un signe à Arthur, ils vont jouir en même temps ; ça y est, Marc est à fond dans le cul de Vincent et il décharge son foutre, Si Vincent en a pris autant dans le cul qu'Arthur vient de lui en remplir la gueule, alors il a les intestins bien nettoyés ! Vincent essaye de rejeter le sperme qui lui remplit la bouche, ça ne plaît pas à Arthur qui lui étale cette jute, sans ménagement sur la figure, il lui en fait rentrer partout, dans les trous de nez, dans les yeux. Marc décule, sa bite encore à moitié raide, est couverte de sperme et de merde, Marc se met à côté d'Arthur, et avant de lui rouler un patin, donne sèchement un ordre à Vincent : · nettoie-moi la queue avec ta langue, rien qu'avec ta langue, tu mets pas ma queue dans ta sa gueule, du moins pas pour le moment ! Vincent obéit malgré son dégoût, il n'a pas trop le choix. Il n'a le droit qu'à de petits coups de langue, le nettoyage sera plus long ; dès les premiers essais, le membre de Marc réagit et effectue quelques soubresauts. La bitte de Marc est maintenant impeccable et aussi raide qu'avant d'avoir spermé, Vincent parait épuisé ; Marc et Arthur se roulent des pelles et de désintéressent de Vincent ; c'est alors que André et son acolyte décident de prendre la relève. A suivre..... Donne tes impressions à schwanz19@hotmail.com Due to international translation technology this story may contain spelling or grammatical errors. To the best of our knowledge it meets our guidelines. If there are any concerns please e-mail us at: CustomerService@MenontheNet

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Un bizuthage qui n'est pas pour mes mômes ! (Avertissement au lecteur: ne te fous pas à poil devant ton ordi, s'il te plaît, attends un peu avant de commencer à te palucher, et puis, enfile donc une capote, sinon tu vas juter dans ton slip, t'es dégueulasse comme mec ! Quoi , T'as pas changé de slip depuis quinze jours, et il est raide de sperme séché? Eh bien ! Avec la tête

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hapitre 1 L'arrivée au camp. STEVE : C'est un bon copain, Ted, que je voyais régulièrement à la salle de muscu. qui m'avait conseillé de signer un engagement de 6 mois au camp d'entraînement et de sélection des marines. Il m'avait dit qu'au moins là, j'oublierais les emmerdes occasionnés par mon ex-copine que j'avais surprise en train de se faire baiser par deux

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Larve Dans Les Vestiaires

Larvé dans les vestiaires du terrain de foot. Eh bien ! Je m'en rappellerai de cette chaude après-midi de juillet 93; j'avais 19 ans à l'époque et je vivais encore chez mes parents; j'étais toujours puceau, sans doute que je consacrais trop de temps au sport et, rentrant vanné à la maison, il ne me restait peu de forces pour le plaisir. Oh bien sûr, je me réveillais assez

POW

Prisonniers de guerre. Terrain de jeux.Une quinzaine de prisonniers ont été choisis pour servir d’attraction dans un « terrain de jeux » pas tout à fait ordinaire. La nuit dans le dortoir . Le prisonnier 205 a été amené dans la salle de punition , utilisée aussi pour les interrogatoires musclés. C’est un gars grand et robuste, brun de poil ; sa barbe bleuit ses joues. Poussé

Rude Initiation

J’ai pris la décision d’écrire quelque chose de confidentiel. Ma prose sera protégée par un code secret qui traduit bien mes obsessions. L’idée est de construire un roman, de préférence " explicite " comme on dit dans les romans de gare...histoire de ne pas trop m’ennuyer ! La première chose, ça serait de créer une trame générale, une intrigue, un découpage. A chaque jour suffirait sa

Une Dure Initiation (suite)

Suite du premier épisode "T’aimes les gonzesses ? Quand tu te pognes, tu penses à des chattes bien gluantes ? " " Ouais, j’aime ça, et je me touche en mettant mes mains dans mes poches " . Yves lui pince et lui tord méchamment les têtons " on va te reprogrammer, mon gars, tu dois bander et te masturber en pensant uniquement à des mecs, allez, touche-toi et dis des sales trucs

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Web-01: vampire_2.0.3.07
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