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Entrainements au Foot

by Romain


Par quoi commencer ? Peut-être par me présenter… Je m’appelle Romain, j’ai 25 ans. Physiquement je suis plutôt grand, un mètre quatre vingt sept et je suis mince, bien foutu comme on dit. Je ne le dois pas à mère nature, c’est des heures d’entraînement, je suis footballeur. Je suis inscrit à la ligue de mon université et tous les mercredis je me rends à l’entraînement quand il ne s’agit pas d’un match. J’ai commencé le foot quand j’étais ado, j’ai continué quand je me suis aperçu que je trippais sur les mecs qui se désapaient avec moi dans les vestiaires. C’est qu’on n’y entre pas comme ça dans les vestiaires, je veux dire, même footeux dans une équipe, il faut du temps pour qu’il se passe des trucs sous les douches ou au beau milieu des rangées de casiers. Il a fallu du temps aussi pour qu’arrive un mec qui me plaise. « Il faut laisser le temps au temps » dit la chanson. Ainsi cette année il m’a été donné de faire la connaissance de Benjamin, qu’on a très vite surnommé Ben. L’entraîneur nous l’avait présenté comme venant d’une autre université, quelqu’un de bien, un bon p’tit gars. Ben avait des qualités de jeux indéniables et c’est comme ça qu’il a réussi en un tournemain à se faire accepter. Deux semaines passées et Ben nous semblait avoir toujours fait partie de l’équipe. Il ne tarda pas à faire ses preuves sur le terrain face aux équipes adverses et paracheva son intégration en avalant une dizaine de bières en un temps record le soir de son bizutage. Après le premier entraînement, je suis rentré chez moi et je me suis surpris à penser à lui. Ce mec était une bombe. Il était plus petit que moi (il faut dire que j’ai souvent été le plus grand depuis l’âge de quinze ans), il avait le teint mate qui lui venait de ses lointaines origines italiennes, le regard aussi noir que ses cheveux qu’il portait courts et en broussailles. Son torse était sec et musclé, ses pectoraux tondus. C’est le détail qui l’a trahi en quelque sorte. Et c’est de ce détail dont je me suis souvenu, allongé sur mon pieu épuisé après l’effort et la douche. Depuis gamin, j’ai appris à me comporter de manière viril, mon grand frère y est pour quelque chose ; plus encore, la remarque que l’on m’avait faite lors d’une de mes premières boumes : « Tu s’rais pas un peu pédé ? ! » avait eu l’effet d’un électrochoc. Ben aussi était de ce genre : il riait fort, ne faisait jamais de manières, n’hésitait pas à se jeter dans la boue ou a bouffer du gazon pour une belle action. Rien ne pouvait me laisser penser que ce mec pouvait se branler en fantasmant sur une paire de couilles. Rien, sinon les poils tondus sur son torse. Evidemment des hétéros qui se rasent on en connaît. Mais c’était au moins le signe que Ben était assez à l’aise avec son corps et avec sa sexualité. Il assumait a tel point qu’un jour il retira son sweat et découvrit au lieu des poils tondus habituels, un torse totalement imberbe. Personne ne lui posa jamais de questions. Personne sauf moi. On en discuta un soir d’hiver où il faisait vraiment froid. Il attendait son bus dans la nuit qui était déjà tombée depuis sept heures du soir et je suis passé devant l’arrêt à grands pas, le sac de sport sur l’épaule ; mes cheveux encore humides après la douche commençaient à geler. J’étais en 501 et en blouson, lui, il était vêtu d’un survet adidas noir et d’un gros blouson sombre. C’est lui qui m’a arrêté en m’appelant. On discuta du froid, il rit en voyant ma chevelure se raidir et comme il n’y avait personne d’autre que nous je lui ai demandé si il se rasait souvent les poils du torse. Il n’y a pas eu l’ombre d’une gêne dans son regard et sans même savoir pourquoi je me suis excusé. Il a souri et a répondu que c’était un truc que tous les mecs faisaient dans l’équipe qu’il avait quittée. D’un air innocent j’ai dit : _ C’est plutôt érotique comme truc… _ Tu trouves ? _ Mmh mmh. Le regard droit il a répondu : _ C’est ce que je pense aussi, voilà pourquoi je continue. Toi tu t’en fous t’es imberbe. J’ai ri : _ Euh ouais, enfin, presque… Il a souri. _ Qu’est-ce que ça pèle dans votre région ! Et voilà comment il a changé de sujet, je suis reparti frigorifier après avoir discuté un quart d’heure de la froidure de l’hiver et autre digressions climatiques. Je sais que tout cela peut paraître long, mais je l’ai dit : il en faut du temps. Trois mercredis de suite nous nous sommes retrouvés à l’arrêt de bus. Le plus étrange c’est que l’on venait de sortir du même vestiaire et qu’il semblait que notre rencontre dans la nuit glacée était la première de la journée. Pendant l’une de nos discussions, il m’invita à manger avec lui au restaurant universitaire, puis au RU il me proposa de prendre un verre en ville et de fil en aiguille nous fîmes de plus en plus connaissance. Il y eut autre chose. Je ne sais pas ce que l’hiver peut avoir comme effet sur la production de testostérones, mais il se trouve qu’à chaque entraînement, ou plutôt, à chaque passage dans les vestiaires, les mecs se promettaient des pipes fabuleuses, des enculades sous la douche et se claquaient les fesses à coup de serviettes. C’était un jeu qui les amusait beaucoup, leur façon à eux d’affirmer leur virilité. Toujours est-il qu’a la fin d’un de ces repas insipides pris au RU lors duquel nous avions justement parlé de nos coéquipiers et de leur jeu crétin, Ben me dit sur un air de défi : _ C’est moi qui vais te sucer sous la douche la prochaine fois ! J’étais en train de débarrasser mon plateau et ma surprise m’obligea à le reposer. _ Quoi ? ! J’ai insisté pendant une bonne quinzaine de minutes pour qu’il me répète ce qu’il avait dit, doutant d’avoir bien entendu. Son unique réponse fut « Je ne vois pas de quoi tu parles… ». A l’entraînement suivant, Ben avait changé du tout au tout. Il refusait de se plier aux ordres du coach, contestait les arbitrages, faisait des roulades au sol pendant que les autres trimaient a faire leur compte de pompes… je n’y comprenais rien. Et puis ayant presque poussé le coach (aussi perdu que nous tous) à bout, il se rua sur moi et me plaqua au sol. _ Benjamin bordel qu’est-ce que tu fous ? ! meugla le coach. Ben me souffla à l’oreille « Bas-toi p’tite bite ! il va nous éjecter aux vestiaires… » Son regard était furieux de malice. Nous nous sommes donc battu, il m’a flanqué un bon coup dans les côtes et j’ai répondu en le retournant et en lui collant la tête dans le gazon. Les autres sont venus nous arrêter et quand le cercle s’est écarté, l’entraîneur n’a prononcé que trois mots : « Dégagez au vestiaire ». Quand nous nous sommes relevés, Ben m’a souri et je me demande encore si certains joueurs n’auraient pas compris. Sur le chemin du vestiaire on resta silencieux, j’avais compris où on allait en venir. La porte refermée derrière nous, dans l’odeur des fringues qui pendaient sur les patères et celle sucrée des douches et du carrelage sale, il retira son tee-shirt et l’envoya promener contre les casiers. Son torse était maculé de boue, il se frotta un pec de la main droite. J’ai demandé : _ T’es homo ? Il a répondu qu’il n’aimait pas les étiquettes et il a ajouté : _ Vire ton maillot. J’avais du mal à y croire ; sans bronché j’ai retiré mon t-shirt. Dans son short, la bosse de sa queue gonflait doucement, moi je bandais depuis que nous étions entré, ma bite était déjà trempée. Il s’est approché et a tendu la main pour me palper la queue. On se regardait droit dans les yeux et ni l’un ni l’autre ne baissa le regard. Il m’a emmené sous la douche et a ouvert les jets, nos shorts, nos slibard, nos chaussettes et nos pompes à crampons furent trempés. J’ai posé une main sur son torse chaud, tous ses muscles étaient bandés. J’ai descendu ma main jusqu’à son froc et il est resté les yeux fermés, la bouche entre ouverte. L’eau qui avait un goût très fort de chlore entrait entre ses lèvres et en ressortait d’elle-même. En même temps que j’ai palpé sa queue bien raide, j’ai posé mes lèvres contre les siennes et il ne mit pas longtemps à m’embrasser férocement. Nos souffles étaient courts et rapides, je l’ai plaqué contre le mur carrelé de blanc et je lui ai presque arraché son short en le baissant. Sa queue était brûlante, contrairement à ses fesses fermes et pâles qui étaient froides. J’ai glissé une main entre ses cuisses solides et je l’ai senti frissonner. Depuis, Ben et moi vivons ensemble. Il ne veut pas que l’équipe le sache et les soirs d’entraînements se transforment souvent en casse-tête chinois. Surtout les soirs où nous sortons tous ensemble. Je voudrais leur dire, mais Ben craint qu’on ne se fasse sortir de l’équipe. Il nous arrive encore d’attendre que les autres partent avant nous du vestiaire pour « profiter un peu des installations »… ben_romain@caramail.com

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Entrainements au Foot

Par quoi commencer ? Peut-être par me présenter… Je m’appelle Romain, j’ai 25 ans. Physiquement je suis plutôt grand, un mètre quatre vingt sept et je suis mince, bien foutu comme on dit. Je ne le dois pas à mère nature, c’est des heures d’entraînement, je suis footballeur. Je suis inscrit à la ligue de mon université et tous les mercredis je me rends à l’entraînement quand il ne

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Web-02: vampire_2.0.3.07
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