Gay Erotic Stories

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Histoire Vraie

by Onkonk


C'était il y a un an, en mai. Cela faisait un certain temps que j'avais passé une annonce sur internet. Par jalousie. Mon ex, de qui j'étais encore amoureux malgré tout, m'avait reconté qu'il avait passé une annonce sur ***.com pour se trouver un mec. L'idée qu'il puisse me remplacer facilement alors que j'étais plus esseulé que jamais m'avait brisé le coeur et m'avait décidé à passer cette annonce. En gros j'y demandais un mec musclé et poilu, pour une bonne baise voire l'amour à vie. Ben oui, tant qu'à faire... Un jour j'ai reçu un email d'un mec qui se disait effectivement correspondre à mon annonce. On se rate pas mal de fois au téléphone... Un peu déçu, le vendredi je pars danser et me rammène un mec pas mal, sympa, relativement sexy, assez en tout cas pour apaiser mes ardeurs, du moins momentanément. Un fois qu'il est parti, le téléphone sonne: "salut, c'est R*****". Aaaah, me dis-je, quel con! Je viens juste de niquer sauvagement et il faut que finalement mon rendez-vous aveugle donne signe de vie. Plus poussé par la curiosité que par une excitation largement éteinte, je lui donne rendez-vous devant une église dans le coin pour le soir même. Le soir venu je m'y rends. Je suis un peu en avance. Je vois un monstre attendre. Je me dis que non, ça ne peut pas être lui, ça serait trop moche. Il est rejoint pas une pouffiasse vulgaire. Ouf! Je me dis "Attention, mon grand, ne rêve pas, en général tu tombes sur des moches..." Mais je rêve un peu quand même... Finalement un mec pas trop grand mais vraiment baraqué s'avance vers moi. "Salut!" Mmm... pas mal. Il perd ses cheveux, qu'il a de rasés (j'adore, ne me demandez pas pourquoi), il est blond foncé, mignon, avec les yeux très bleu, et les poils qui sortent du t-shirt. Le détail yummy! On papote. Il n'a pas l'air vraiment futé. Je me dis "bon, encore un débile pour un coup rapide". On est allé boire un coup. Deux coups... on se raconte des conneries. Il se met en t-shirt. Ouh! Il est vraiment super musclé. Je me sens comme une crevette. Mais il me lance des regards affamés. Ca me rassure, même si je ne me sens pas trop sûr de moi. Finalement il est temps d'aller se coucher, d'autant plus que la nuit d'avant a été agitée pour moi... J'aimerais vraiment l'embrasser. Il est absolument divin. Désirable comme jamais. Sa barbe de deux jours est vraiment sexy, et ce con n'a pas l'air d'avoir envie d'aller plus loin. Finalement il me sort, en plein milieu d'une conversation absolument anodine: "tu habites loin?" Ah! enfin! "Non, dix minutes en vélo". On vole vers ma chambre, je lui dis que je l'aime bien. Il me retourne le compliment. Et maintenant on se met à discuter dans ma chambre. Mon Dieu! Cela va-t-il durer encore longtemps? Je dois le bouffer du regard car soudainement il y a un lourd silence qui s'installe. Prenant mon courage à deux mains "euh, j'ai très envie de t'embrasser!" Lui: "Ok, vas-y" Commence alors un long baiser vraiment très sensuel. Putain ce que j'ai envie de ce mec, c'est incroyable! Maladroitement on se retrouve allongés sur le lit. Il passe sur moi tout en m'embrassant. Je passe la main sous son t-shirt. Mmm! C'est vraiment super-poilu! Un vrai régal. Lui, faussement en doute: "tu aimes?". Je ne réponds même pas... On finit à poil, il n'a pas l'air très expérimenté. J'ai su qu'en fait c'était sa première fois bien après. Il avait 29 ans! On s'est limité à du sexe gentil, genre branlette, sucette et pouf! que c'est bon... Mais il était tellement sexy que ça me suffisait largement. Il avait l'air de découvrir qu'avec de la salive ça glisse mieux, des conneries comme ça. Bref, pas vraiment Mr Spécialiste! Après une bonne heure de calins inoubliable il s'excuse mais doit bosser tôt le lendemain. le coeur brisé, je le racompagne à la porte. Il me lance un coucou de débile que j'adore, preuve que je commence à péter les plombs. Je passe le lendemain à appeler tout le monde pour leur dire que j'ai rencontré l'homme de ma vie, que... bref. Je m'emballe. J'attends diplomatiquement le lendemain pour rappeler. On se voit le soir même. On va voir un film débile. Je n'ose pas trop le tripoter. Il ne tente rien. Je suis déçu à mourir. Je tuerais pour lui tenir la main! On sort, se balade. Il me dit qu'il doit aller se coucher. "Non!" criè-je intérieurement. Je lui dit que peut-être ce soir... tout en subtilités. Mais il ne semble rien vouloir entendre. Mais il est con ou quoi, me demandè-je, excédé, il va m'inviter chez lui ou pas à la fin? Finalement l'idée semble lui traverser l'esprit. Je dois promettre de me lever tôt, de bien dormir sagement, etc... Plus menteur tu meurs... mais je promets. Bon finalement on est en slip et t-shirt, au lit, on se dit bonne nuit. Quelle pucelle je fais, même pas capable de lui sauter dessus. Vers minuit je prends mon courrage à deux mains et me colle à lui. No réaction. Bon. Je lui passe la main sous le t-shirt. Toujours pas de plainte. Je descends vers le slip. Une belle érection bien dure. Sa queue est à peu près comme la mienne (dans les 17-18 centimètres, assez épaisse), et elle bouge d'excitation. Bon, je le déculotte, il se retourne, et c'est reparti pour du sexe simple mais vrai. Je sais, on dirait une pub pour du fromage, mais que c'est bon! Il se décide de lui-même à aller me sucer. Jel'encourage par une "oui, tu fais ça bien" qui le terrorise et il remonte m'embrasser. Je l'ai tripoté toute la nuit. On n'a pas dormi beaucoup. Je n'ai pas eu le droit de partager sa douche ni de l'embrasser en partant "à cause des voisins". Mon cerveau me dit "c'est un con fais gaffe" mais ma queue de dit "rappelle le bientôt". Et j'écoute ma queue, qui gagne bien trop souvent, croyez moi! Finalement il repasse une (longue!) semaine plus tard. On baise. Je lui mets un doigt. Il rougit en me sortant, apparaiment gêné "ouh, c'est bizarre!", mais sa queue parle pour lui et j'en conclue qu'il aime ça. Finalement il veut me prendre. Le préservatif enfilé c'est parti pour une chevauchée sauvage. Simple mais bon. Notre devise, jusqu'à présent. Je me dis "mon p'tit, la prochaine fois c'est son tour de passer à la casserole" et j'en bande déjà. Après un calin encore meilleur que meilleur, il veut rentrer chez lui car il a du boulot. Genre! Il me rappelle le lendemain et me sort qu'il n'a pas dormi de la nuit. Qu'il se sent coupable. Qu'il ne veut pas continuer. Ah! Mon estomac brûle, ma tête tourne. Non! Pas ça! Je pleure, j'appelle tout le monde pour partager mon chagrin. Je me calme. Je pense à lui. Son corps, ses poils, nos calins... c'est officiel, je pête les plombs. Peu après il me rappelle, me dit que bon on est amis, mais qu'on pourrait voir si des fois on a envie, tu vois... En plus s'il fait beau il pourrait m'emmener sur sa moto à la mer. Je me vois déjà en train de le tripoter sur sa moto... Finalement il m'invite un jour chez lui pour installer un truc sur son ordinateur. Sur le canapé il se laisse tripoter. Il a une gaule infernale. Moi aussi. je lui sussure "donc je suis invité pour la nuit...?". Il se raidit: "non, j'ai pas envie, c'est mal, je dois aller me coucher". Je pars. Sur mon vélo je n'arrive pas à mesurer mon désespoir et ma frustration. On ne m,avait jamais fait el coup de l'allumeuse de dimanche soir. On m'avait dit que ces connards d'hétéros c'est des emmerdes, mais alors là je sais que c'est pas du pipeau! Deux mois plus tard il m'invite à venir bouffer chez lui. M'annonce qu'il a rencontré la femme de sa vie. Qu'elle est belle, douce, qu'il l'aime. Je la déteste vraiment sans même la connaître. Toute la soiré je ne pense qu'à ses muscles, son torse velu, à l'embrasser, lui lêcher l'oreille, lui faire des suçons dans le cou. Il s'affale sur le canapé. Je lui annonce que je pars. Il ne bronche pas. Je me penche pour lui faire la bise et un petit "hug". Il gémit un "ne me tue pas" qu'il réserve habituellement à nos parties de sexe et je sens qu'il bande fort. Finalement je sors. Mon estomac brûle encore. Il m'envoie un email tous les deux mois, me promettant d'aller boire une bière bientôt. Et me disant qu'il faut que je voie comment il a pris du muscle depuis. Et puis plus rien, jusqu'au prochain email. >> Moralité? Plus jamais un connard d'hétéro, quand bien même il ressemble étrangement à l'homme de ma vie. __________________________ Voilà une histoire vraie. Et une vraie de vraie. Des remarques? onkonk@bigfoot.com

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Histoire Vraie

C'était il y a un an, en mai. Cela faisait un certain temps que j'avais passé une annonce sur internet. Par jalousie. Mon ex, de qui j'étais encore amoureux malgré tout, m'avait reconté qu'il avait passé une annonce sur ***.com pour se trouver un mec. L'idée qu'il puisse me remplacer facilement alors que j'étais plus esseulé que jamais m'avait brisé le coeur et m'avait décidé à passer

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Web-01: vampire_2.0.3.07
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