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Il Faut ce Qu'il Faut

by Nabuco666


Il m'avait dit qu'il passerait après son jogging. Quand j'ai ouvert la porte, je n'ai vu qu'une grande masse sombre et haletante qui obstruait la lumière du couloir. En y regardant de plus près j'ai vu sa gueule de black bien virile, les gouttes de sueur qui roulaient sur sa peau sombre, sa veste de survet ouverte presque jusqu'en bas qui laissait voir le sillon profond de ses pecs, la marque de ses abdos et son nombril calé au milieux d'un ventre dur comme de la pierre. La ceinture de son slip dépassait de son jogg. On sentait presque son coeur battre tant son souffle était puissant et un lèger mouvement nerveux des jambes trahissait une course effrénée. Comme je me tenais là, bouche ouverte, les yeux baladeurs, la main sur la porte il finit par dire "T'es OK ?", "ouais bien sur" je dis en le laissant entrer. Comme je le suivais dans le couloir je reagrdais sa nuque. Il faisait vraiment les 192 centimètres annoncés, donc un peu plus grand que moi. Les 85 kilos étaient bien répartis, le dessin de son buste, les fesses rondes et fermes qu'on devinait sous le jogg et le ventre plat dèjà aperçu laissaient deviner un beau corps de mec. Il se retourna dans le couloir et planta ses yeux dans les miens. J'avais évité son regard jusqu'à maintenant. Plus possible d'esquiver ces yeux noirs, volontaires, sans ambiguités, a peine plus haut que les miens. "j'préfére ta langue à une douche" c'était même pas une question. Il a enlevé sa veste et l'a jetée au milieux de la pièce, a glissé ses deux pouces sous ces ceintures de slibard et de jogg, a baissé le tout de 10 bons centimètres et a attendu. On voyait juste la naissance de sa teub en dessous de sa toison pubienne frisée et humide, son buste était splendide. Il respirait fort encore, sa poitrine se soulevait régulièrement, ses petits seins noirs étaient dressés. J'ai enlevé ma veste aussi, me suis approché de lui en le regardant dans les yeux. Je sentais la chaleur de son corps sans le toucher. J'ai lévé les bras, et flatté ses seins du revers de mes doigts, sans appuyer. Ses yeux n'ont rien trahi mais il a tremblé. Toujours mes yeux rivés aux siens, je me suis lentement agenouillé. Voir sa gueule me regardant de haut par delà son buste splendide me faisait bander à mort. Je me suis arrèté quand l'odeur était la plus forte. Une forte odeur de transpiration, de musc, chaude. J'ai mis ma gueule contre son pubis, j'ai été mouillé tout de suite. Ma langue est passé juste en haut de sa queue, que je sentais durcir contre mon menton. Le goût était salé et fort. J'ai lévé les mains en caressant son ventre et les mince filet de poils qui rejoignait le nombril, puis les ai écartée pour caresser ses seins. Il s'est raidit, a mis une main derrière ma tête, a appuyé fortement et balançant son bassin dans ma tronche. "sort ta langue" , toujours cette voix grave. J'ai sortit ma langue et là il a commencé à balader ma tète sur son bas ventre. Le nombril plein de gouttes de sueur, le ventre plat, lisse, dur, le pubis un peu réche, tout mouillé. Puis il 'a fait bouffer sa teub à travers son jogg. Il balançait ma tête avec force vers son membre de plus en plus dur, de plus en plus long... 23 centimètres il avait dit. Je commencais à croire que c'était faux, que sa teub était encore plus grande. Je sentais qu'elle était contenue par le slip qui devait être tendu à craquer. Il tenait ma tête à deux mains. Avec force il la faisait aller de haut en bas entre son nombril et le haut de sa queue. A la longue, mon menton faisait baisser sa ceinture et dévoilait encore plus de son chibre. J'ai attrapé la ceinture du slip entre les dents, et tiré un grand coup. Il a dégagé une main de mon oreille et a tout baissé d'un coup sec. Sa teub libérée a frappé ma joue avec force. Je l'ai gobée par le coté et il m'a fait remonter jusqu'à son énorme gland en laissant un filet de bave tout du long. J'ai pu voir ses grosses couilles rasées d'un coup d'oeil et d'anticiper le plaisir de les bouffer. Mais il menait le jeu. Malgré mon réflexe de vouloir gober sa teub tout de suite, il a retenu ma tête. D'un coup d'oeil j'ai compris et ouvert la bouche toute grande en sortant ma langue, il a posé son gland dessus. j'ai senti sur la langue le goût de sa mouille. Il a attendu un peu comme ça, pour marquer son territoire, et puis il a commencé à me limer la gueule. De plus en plus profond, de plus en plus vite, de plus en plus fort il me tenait par les deux oreilles et empalait ma bouche sur son membre. J'avais mal au fond de la gorge, de temps en temps je m'étouffais, mais j'avais baissé mon propre jogg et sorti ma pine dure comme du bois et je me pognait comme un fou. Il commencait a grogner de plaisir, enfin. Finalement, et c'était un soulagement, il a sorti sa teub. Elle était pleine de ma bave, luisante et dure. Il s'est dessappé entièrement, rapidement pendant que je faisais la même chose. C'était une bête magnifique qui bougeait bien. On est allés dans la chambre. Il m'a allongé sur le dos, s'est mis a genoux au dessus de moi, a pris ma tête et l'a collée sur ses couilles. Quand j'ai commencé à gober son paquet, il a tremblé de haut en bas. Sa teub lourde appuyait sur ma gueule, me tartinant de ma propre bave. Il aimait ça putain. On le sentait se frotter avidement le paquet contre ma gueule. Progressivement il a accentué son mouvement pour que ma langue lui leche le cul aussi. Il avait les fesses très rondes, très fermes et peu poilues. Un beau cul de black. A ce moment, une de ses mains est pasée derièrre son dos et s'est glissée entre mes jambes. Il m'a travaillé le paquet, pas longtemps mais avec force. Sa main s'est rapidement dirigée plus bas. D'un mouvement sec il m'a fait comprendre qu'il voulait que j'écarte les jambes ce que j'ai fait tout de suite, les remontant pour mieux offrir mon cul. J'ai attrapé le poppers et en ai sniffé une longue rasade. Il a mis un doigt et presque tout de suite deux dans mon cul. Je lui avais dis que s'il voulais m'enculer faudrait me travailler le cul. La teub qui continuait de taper sur ma gueule faisait au mois 16 de tour. Il le faisait sans ménagement. J'ai attrapé le lube et lui ai mis sous la main. Il a consenti à s'en servir. J'étais chaud comme jamais. Il avait de belles mains épaisses, ses deux doigts allaient et venaient facilement maintenant. Je senti qu'il forcait pour mettre le troisième qui est rentré sans trop de problème. De plus en plus souvent, j'arrivais à lui faire arréter mon va et vient de langue pour sniffer un grand coup. Tout en haut, son regard dur était ambigü; s'il n'avait pas grogné de temps en temps et s'il ne s'était pas servi de moi pour se faire plaisir j'aurais juré qu'il n'était pas satisfait. Ensuite, après un temps indéfinissable, il m'a mis en levrette, m'a fait sucer sa teub pendant qu'il continuait à me travailler le cul avec un gode que j'avais sorti. Sa teub était trop belle, trop grosse, j'en voulais encore et encore. J'avais le visage tout mouillé de sa sueur de raie, de son odeur et de ma salive. Il m'avait utilisé comme un gant de toilette. Quand il m'a pénétré j'ai eu très mal au départ, mais ma motivation était trop forte. Je sentais son grand corps qui se raidissait en voulant me pénétrer... j'avais le cul tout ouvert et pourtant sa teub semblait encore trop grosse. D'un coup de rein brusque il est rentré. J'ai crié. Il m'a claqué les fesses et les flancs, ça faisait un bruit d'enfer et moi je criais à chaque fois. "ta gueule salope" est tombé comme un couperet, et j'ai pris les claques sans rien dire à part gémir. Il a commencé à limer mon cul. Je savais plus ou j'avais mal. Pour mieux m'enculer a fond il avait mis une main sur mon épaule, il serait fort et me tirait en arrière a chaque coup de boutoir. Je sentais a chaque mouvement son long engin remonter dans mon ventre, et comme j'en pouvais plus d'excitation je souhaitait pouvoir le sucer en même temps. Sa main a quitté mon épaule et il a mis son pouce dans ma bouche, je l'ai sucé et mordu, il a joué à me faire lecher prise tout en continuant de me claquer les fesses et en me traitant de trainée. Finalement, il a libéré mon cul. J'ai cru qu'on me vidait. J'étais épuisé, il m'a retourné d'une claque, je me suis retrouvé sur le dos les jambes écartées, la queue en feu. Il s'est approché entre mes jambes. Voir son chibre faisait peur, j'ai eu un mouvement de recul. Il s'est mis en position, son gland juste positionné sur ma rondelle éclatée. Je haletais, le regard collé au sien. Il tenait mes jambes par les molets, il les a écartées un peu plus, poussé vers l'avant, j'ai senti son gland ouvrir son chemin. Il était penché au dessus de moi, je voyais ses cuisses puissantes, son engin au milieu, droit, pointé vers mon trou qui s'ouvrait malgé moi. J'ai repris du poppers sans vraiment en avoir besoin pour autre chose que de m'envoyer la tête en l'air. Il a profité de ce moment pour me reprendre en avançant doucement, lentement, longuement toute la longueur de sa teub dans mon ventre. Tout en un seul mouvement il a collé ses couilles sur ma raie de cul suitante de gel et de sueur. Mes jambes calées sur ses épaules, il a libéré ses mains. De l'une il s'est mis à travailler mon paquet, le serrant, faisant claquer ma teub contre mon ventre, j'ai cru que rien que ça me ferait jouir. De l'autre main il me donnait de petites claques en me disant "t'aimes ça salope. Tu bandes, mais tu jouis du cul comme une salope" . J'essayais d'attraper sa main avec ma bouche, mais il se dégageait à chaque fois. Tout d'un coup, son regard est devenu plus intense. Il s'est penché en avant, appuyé sur ses deux bras musclés auxquels je me suis accroché et il a accéléré son mouvement. Mon cul était en feu, mon ventre m'envoyait des ondes de plaisir, ma queue coincée entre nos ventres était sur le point d'exploser. Ses bras, son corps, son haleine, son souffle, ses yeux, son bas ventre dans le mien, tout allait trop vite. Il était devenu tout mon horizon, je lui appartenais. J'ai laché ses bras et me suis accroché à ses épaules, je me sentais petit. L'accélération n'avait pas de fin. Il est venu en premier, dans un grand râle. J'ai senti son foutre jaillir dans mon cul et lubrifier sa teub, tous ses muscles se sont contractés d'un coup. J'ai senti ses giclées une à une, 5, 6 ... et encore des spasmes. Enfin mon propre jus est sortit, je ne sentais plus ma teub qui crachait son sperme blanc entre nos ventre, tellement fort que j'en ai recu sur la gueule. A chaque spasme je sentais sa teub encore dans mon ventre. Il s'est retiré. Pas débandée, pleine de foutre, sa queue était encore plus belle. Il s'est frotté la poitrine d'un air content, genre Tarzan avant de pousser un cri et puis il s'est affalé sur le dos sur le lit cassé et je me suis blotti sur son épaule. Les sensations passaient doucement. Si vous avez des commentaires ou tout autre message : nabuco666@hotmail.com Due to international translation technology this story may contain spelling or grammatical errors. To the best of our knowledge it meets our guidelines. If there are any concerns please e-mail us at: CustomerService@MenontheNet

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Web-02: vampire_2.0.3.07
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