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Initiation d'Exception

by Jérôme Toussaint


Le premier choc culturel que j'ai eu en arrivant à l'université de Moscou, je ne le dois ni à l'architecture stalinienne des bâtiments, ni au confort plus que spartiate des chambres. Cela fait partie des stéréotypes que l'on traîne sur ce pays avant de le découvrir. Mon choc à moi, ce sont les toilettes, et j'ai beaucoup de mal à m'y faire. Le robinet d'eau chaude des douches donne de l'eau froide, le robinet d'eau froide donne de l'eau glacée. Le confort bourgeois auquel je suis habitué s'accommode de ce détail. Le véritable problème est qu'il n'existe aucune séparation protégeant l'intimité de ceux qui veulent satisfaire leurs besoins naturels. Aussi bien dans les dortoirs que dans les bâtiments des salles de cours, les toilettes sont de grandes pièces dallées où sont rangées en ligne droite les douches, les lavabos et les toilettes. Les premières occupent l'un des murs de la porte à la fenêtre. Les lavabos véritables baignoires en fonte dans lesquelles coule ad vitam aeternam une eau que des robinets n'ont plus la force de retenir, sont toujours placés au milieu. Enfin, dix à quinze toilettes selon les pièces sont alignées et attendent l'utilisateur. Ce ne sont pas des urinoirs, mais bien des sièges sur lesquels tout un chacun dans notre pays souhaite se recueillir silencieusement pendant quelques minutes par jour. Les russes n'ont pas de ces pudeurs, et lorsque sonne l'intercours, tous arrivent dans ces lieux pour fumer, bavarder et utiliser ces toilettes. Les conversations ne cessent pas pour autant, ces conditions ne les gênent pas, moi si. La restauration universitaire russe n'est pas si saine et elle entraîne des désagréments intestinaux dont tous se moquent. Sans doute la vie communautaire exercée depuis le premier âge les place au-dessus de ces détails culturels. Seule échappatoire pour moi, éduquer mon corps pour lui apprendre les heures de faible affluence. C'est pourquoi, je décide de me lancer dans les activités sportives dès l'aurore, à l'heure où tout dort encore. Le stade, bien qu'ouvert est désert, les toilettes y sont éloignées des dortoirs. La seule discipline réellement praticable est la course à pied qui ne nécessite que très peu d'infrastructure. La piste existe et je l'utilise pour courir durant une petite heure. Ensuite, je me prépare à affronter la douche froide. Celle-ci terminée, je me sèche et passe directement aux toilettes avant de retrouver les lavabos. Cette mise en scène préparée dans ses moindre détails marche parfaitement jusqu'au jour, car il fallait qu'il advienne, où je vois quelqu'un de complètement nu assis sur mon siège. La frustration est d'autant plus grande que pour de strictes raisons d'habitude, je n'utilise que celui-ci. Le garçon qui l'occupe me regarde avec un large sourire. - Tu n'es pas Russe toi, me dit-il en anglais avec un fort accent américain. - Non Français. Je lui répond dans sa langue. - Ici, on ne trouve pas ces chaussures de sport. Il a l'air particulièrement heureux d'avoir pu exercer ses dons de déduction. Je lui parais sympathique car il me pose de nombreuses questions. - Je suis Français. Je suis des études sur les échanges commerciaux Est-Ouest. La Russie me plaît. J'ai 24 ans. Non je n'ai pas de voiture à moi à Paris. Oui j'aurais pu en avoir, etc. Pendant cette conversation, nos positions se sont inversées, le garçon est passé sous la douche et moi, je me suis assis sur les toilettes en face de lui. Il m'apprend qu'il est de Boulder au Colorado. Il répond assez bien aux questions que je lui pose sur son pays. Les connaissances que j'ai des USA correspondent bien à ce qu'il m'en dit. Pourtant ce garçon n'est pas Américain, j'en suis sûr. Son visage large à hautes pommettes peut tout aussi bien venir d'un ancêtre indien des Rocheuses que d'un autre vivant dans les toundras de Sibérie. Son corps aussi est large, mais sa haute taille et sa musculature développée le rendent harmonieux. Ce corps peut très bien avoir été bâti dans une salle de gymnastique de Boulder. Quelques détails me laissent songeur, pourquoi me demander si j'ai une voiture alors qu'à seize ans un jeune américain s'en fait offrir une à l'occasion de son anniversaire ? Ce jeune homme qui se nomme si finement John Smith n'est pas circoncis et ça, à ma connaissance, ce n'est pas Américain. Je vais venir ici tous les matins, décide-t-il en me serrant la main. Il a assez fortement appuyé sur les trois derniers mots de sa phrase. - Hé bien tu me verras, je suis là tous les matins. Je lui réponds sur le même ton. Cela m'amuse de le revoir et d'essayer de l'interroger un peu plus profondément. Rétrospectivement je me suis aperçu que ce spectateur à l'air naturel ne m'a pas dérangé pendant mon bref passage aux toilettes, le bruit de l'eau de sa douche m'a aidé. Pendant toute la semaine je lui pose des questions sur Boulder, le Colorado, les Etats-Unis. J'écoute attentivement son accent et rien ne peut me permettre de douter de ses dires. Pourtant il continue à me poser des questions que seul un Russe peut poser. Elles concernent les richesses de la France et le niveau de vie des Français, il s'étonne des possibilités qui nous sont offertes. Ce garçon me plaît malgré tout, il est sympathique, souriant et toujours naturel sous la douche. John a décidé de courir avec moi, mais il se force à m'attendre et malgré mes efforts pour me surpasser, je dois à chaque fois lui demander soit de continuer seul, soit de s'arrêter. Mais il l'entend rarement comme cela et se place derrière moi et avec ses deux poings placés sur mes reins, il me pousse, me laissant sans souffle. - Samedi tu viens chez moi, me dit-il sur un ton si directif que j'aurais eu du mal à refuser même si je l'avais souhaité. John Smith habite un studio de cinquante mètres carrés à moins d'un kilomètre de la place rouge. Dans ce quartier réservé à l'élite, les appartements sont confortables. Les cuisines et les salles d'eau sont personnelles. John n'a pas à partager avec deux ou trois de ses voisins ces salles réputées dans ce pays pour être communes. A ma connaissance aucun étudiant Américain que ce soit, aussi influent que puisse être sa famille, ne peut bénéficier d'un appartement de cette qualité. John doit bénéficier d'une protection très haute placée dans le sein du gouvernement soviétique. Sur le tableau des habitants de l'immeuble situé sur la vitre de la loge de la concierge, il n'y a pas de John Smith au 3e étage droite, mais un certain Micha Korvaloff. Arrivé à l'étage une étiquette d'un blanc immaculé collée à la porte indique pourtant John Smith. Je sonne, l'étiquette tombe, je la ramasse et la recolle avant que la porte ne s'ouvre. - Comment vas-tu Micha ? Je lui demande lorsqu'il a ouvert. Il me regarde d'un air subitement soupçonneux, puis il éclate de rire en me frappant l'épaule. - Toi, tu es intelligent, viens, entre. Son appartement est rempli d'objets venant des Etats-Unis. Il doit avoir une affection pour le base ball car on trouve plusieurs battes, des balles dédicacées au nom de John Smith et des posters de joueurs en action. - Tu as raison, je ne suis pas américain, mais tu vois je connais bien quand même. La séance d'explication dure plus d'une heure. Micha est capitaine dans l'armée rouge. Il travaille dans une section spéciale où sont entraînés de nombreuses femmes et hommes. Leur métier : la séduction au profit des intérêts de la Russie. Micha est chargé avec une cinquantaine de ses camarades masculins de charmer des hommes, dans le but de les remercier de services rendus au pays, de les séduire pour les faire parler ou à défaut pour les faire chanter. Les femmes sont plus nombreuses, mais il y a toujours des hommes qui préfèrent les hommes. L'armée russe, très pragmatique, forme chaque année une dizaine de jeunes triés sur le volet pour satisfaire ses besoins. Les avantages apportés par cette section sont très importants, et de nombreux jeunes tentent leur chance dans ce concours. Les critères de sélection exigent de leur part un physique impeccable et de nombreuses qualités intellectuelles. Micha, Major de sa promotion, a reçu un enseignement de qualité exceptionnelle. Ses dons pour les langues lui ont permis d'apprendre à parler un américain aussi parfait qu'un jeune de son âge habitant réellement Boulder dans le Colorado. Il a pu bénéficier d'un appartement que de nombreux officiels lui envieraient. Vers les trente ans, alors que sa première carrière prendra fin, il reprendra une formation réservée à l'élite du pays. Pour mieux me convaincre, Micha enfile son uniforme d'apparat. Il pose sur sa tête une large casquette brune bordée d'un ruban rouge et d'une visière en cuir noir. Son manteau est long et comporte de gros boutons dorés décorés. Micha fait son effet, l'uniforme lui va bien. En se déshabillant, il omet de remettre le jean avec lequel il m'a reçu et reste en sous-vêtement. L'appartement est bien chauffé et il se sent plus à l'aise comme cela. Ces habits sont un peu juste, lorsqu'on voit sa musculature, on comprend qu'il doit avoir quelques soucis pour trouver sa taille. Micha décide de me raconter quelques unes de ses missions. Il parle de sexe de manière très crue. En bon soldat il obéit et se retrouve dans toutes sortes de situations qui ne le complexent pas. Mêlant le geste à la parole, il me saisit comme si j'étais un pantin et mime sur moi quelques unes de ses aventures. Il me raconte aussi l'épisode où il ne voulait pas s'offrir complètement à un industriel allemand saoul qui avait signé un gros marché. Ce dernier essayait de lui ouvrir les fesses alors que Micha résistait. Enlevant son dernier vêtement, Micha s'allonge par terre sur le ventre et me demande de lui écarter ses fesses. J'essaye sans succès, elles sont aussi dures que du béton. - Tu vois, personne ne peut m'obliger à faire ce que je ne veux pas faire. Puis sur un ton plus calme, il me dit : - Mais avec toi ce n'est pas la même chose, tu n'es pas ce cochon d'allemand. Me saisissant par la cheville, il me renverse et se jette sur moi. Ses cents kilos m'écrasent littéralement et je peux à peine respirer. Il me déshabille rapidement et s'assoit sur mon ventre. Les bras bloqués par ses mains, je suis nu cloué au sol, mon sort me semble réglé. En se redressant, il porte son sexe près de mon visage et me demande si je veux bien faire l'amour avec lui. Coincé, j'apprécie la liberté de choix qu'il m'offre, je lui réponds oui immédiatement. Alors, me libérant, il s'allonge sur le dos et me demande de le caresser. Sa poitrine est un très large terrain à examiner, ma main dévale la pente de son plexus et remonte sur ses pectoraux. Tout est ferme comme ses abdominaux dont on dirait de la tôle ondulée. Sous sa peau, son gland s'est déjà humidifié, je le fais patienter en explorant son pubis et ses testicules. Elles aussi sont fermes. Micha, les mains repliées sous sa tête, se laisse faire en ronronnant, accentuant les meilleurs moments. Son sexe dressé droit vers le ciel est maintenant aussi dur que le reste de son corps. Je suce avec volupté ce gland qui s'est bien lubrifié. Micha halète et en quelques mouvements de reins, il éjacule dans un cri sauvage, une quantité étonnante de sperme. A peine quelques plus tard, il prend du bout des doigts quelques gouttes de sperme tombées sur son ventre et se retourne. Après avoir plaqué son sexe contre son ventre, il lubrifie son trou rose et me dit d'y aller. Cette fois ses fesses s'écartent facilement, elles laissent voir un anus bien circulaire. Je plonge mon sexe dedans et il s'écarte sans problème. Mon corps épousant son dos, je découvre avec un plaisir extrême les charmes du matelas anatomique ferme. Micha n'est pas plus silencieux, ses râles montrent une extase non retenues. Au moment où mon sexe ne peut plus résister à ses douces muqueuses, il pousse un cri que je parviens tout juste à étouffer en plaquant mes mains contre sa bouche. Une fois dans la salle de bains, je lui demande s'il reste toujours aussi passif, il me regarde et d'un clin d'oeil me dit d'attendre le samedi suivant. Tous les jours de la semaine, Micha joue avec moi. Alors que j'essaye consciencieusement de courir, lui tourne autour de moi, court à reculons devant moi, me donne des petits coups de poing de boxeur. Il ne se fatigue jamais. Il me parle sur un ton mystérieux de la fin de la semaine et semble me réserver une fameuse surprise. - Je te présente Sacha, il vient de Novossibirsk. Le garçon que me présente Micha est beaucoup plus jeune que lui, il a le visage d'un enfant encore imberbe. Avec des yeux légèrement en amande, il a le regard troublant d'une biche. Ses cheveux très brillants et très fins accentuent l'extrême douceur de ses traits. - Il a dix neuf ans, il rejoint notre groupe, c'est moi qui m'occupe de lui, il est beau hein ! Voilà ma surprise, Micha est fier de me la présenter. C'est vrai que Sacha possède toutes les qualités requises du séducteur dont on aimerait bien faire l'éducation. - Il ne parle pas encore l'américain, alors nous devrons parler russe. Je n'avais encore jamais parlé la langue de Micha avec lui, bien que je la connaisse aussi parfaitement que l'anglais. Sacha qui nous regardait d'un air perdu, reprend espoir lorsque notre conversation se fait dans sa langue. - Sacha, je te présente un ami français, nous allons lui et moi te donner tes premières leçons. As-tu souvent fait l'amour avec des garçons de ton âge ? – J'ai un ami à Irkoutsk que je rencontre chaque année pendant mes vacances depuis 3 ans, mais c'est difficile de se trouver seuls là-bas. Lors des sélections militaires, j'ai couché avec 5 personnes dont toi. - Bon ça ira, déshabille toi. Sacha enlève des vêtements qui ne mettent pas vraiment en valeur sa silhouette. - Il en aura bientôt de bien plus beaux. Me glisse Micha à l'oreille. - Ils viennent de ton pays, d'Allemagne et d'Italie. Sacha a un corps superbe, il n'a pas encore les formes saillantes de celui de Micha. Pourtant il est musclé et sa poitrine est large. Il n'a aucun poil, toute sa peau semble se dérouler en ligne harmonieuse de la pointe de ses cheveux aux ongles de ses pieds. – Allonge-toi, écarte un peu les cuisses. Sacha s'exécute et Micha me fait signe de commencer. Je m'allonge perpendiculaire à lui de façon à être le plus près de son sexe. Je commence à caresser avec une extrême douceur celui-ci. Il n'a aucun défaut, il est doux. Sacha n'a pas de poil sur la peau de ses testicules, elle se détend et ces derniers roulent lentement dans le creux de mes doigts. Avec extrême lenteur je tire sur son sexe pour en faire sortir le gland. Ce spectacle m'achève, surtout lorsque je jette un coup d'oeil à Micha qui me regarde le sourire aux lèvres, heureux d'avoir tenu sa promesse. Le sexe de Sacha dans la bouche, j'oublie tout jusqu'à ce que Micha commence à me masser à travers mon jean. C'est avec soulagement que je le vois ouvrir ma braguette, je commençais à avoir mal. Micha n'a pas ma douceur et c'est goulûment qu'il me rend la politesse que j'accorde à Sacha. Malgré les soubresauts énergiques qui assaillent mon bassin, je reste calme et continue à donner à Sacha toute la finesse de comportement que mérite sa tendre chair. Micha est très doué et obtient rapidement de moi ce qu'il souhaite. Quelques secondes après moi, Sacha éjacule. J'avale son sperme en le laissant couler dans ma gorge. Exténué je pose mon visage sur son ventre, les lèvres contre sa peau, pour mieux la sentir. Micha va bien. Il n'en a pas terminé et me le fait savoir, en plongeant son visage dans mes fesses et sa langue dans mon anus. Après avoir tourné plusieurs fois celle-ci dans mon intimité, il se redresse, se hisse en un mouvement à ma hauteur et s'effondre sur moi. Micha est très lourd et me fait suffoquer, ça lui est égal. Il me pénètre comme on plante un pieu et ses reins s'actionnent sur moi. Ses lèvres embrassent fougueusement ma nuque et ma joue tandis que sa main droite se referme sur le sexe de Sacha qui allongé, les yeux fermés, s'abandonne à nos passions. La vigueur de Micha m'oblige à me crisper et sans trop serrer je plaque mes mains sur le flanc de Sacha, celui-ci est ferme et m'offre un appui solide. Micha passe toute son énergie à me prouver qu'il n'est passif que lorsqu'il le souhaite, j'en garderai très certainement un souvenir physique pendant quelques jours. Dès qu'il a éjaculé, Micha m'abandonne à mon piteux état pour prendre en charge Sacha. Il l'allonge sur lui, passe ses mains sur ses cheveux, lui dit des mots tendres, lui caresse le corps. L'image est touchante, Micha est un professeur qui sait se faire aimer de ses élèves. Aujourd'hui il se contentera de lui flatter l'anus sans le pénétrer. Devant tant de douceur Sacha s'abandonne et s'endort presque sur le corps de son ami. Micha continue à le caresser. L'après-midi se passe ainsi, le temps suspendu, je les regarde faire et admire ce couple formidable. Micha a choisi Sacha et doit lui apporter tout un enseignement pratique difficile à enseigner de façon classique. Leurs sorts seront liés quelques années, et Sacha retransmettra un jour son savoir à un jeune dont il aura assuré la sélection finale. Micha nous prépare un thé dans un samovar qu'il a placé près de lui. Tous les trois, nous restons nus, en cercle à discuter. Pendant que nous parlons, je regarde avec attention l'anatomie des deux garçons, ils sont beaux et je ne sais lequel je préférerais. Ce qui me plaît avant tout, c'est l'esprit sain qu'ils gardent, il n'y a chez eux que des actes très naturels, qu'ils font avec bonheur. J'ai de nouveau très envie d'eux et pose mes mains sur leur sexe. Micha me prend celle qui le caresse, la porte à sa bouche, l'embrasse et me dit. - Réserve toi pour ce soir, toute la promotion de l'année vient à la maison avec leur professeur personnel pour tester la qualité des uns et des autres. Il y aura une grande fête du corps, chacun prendra, chacun se donnera. Dès la fin de sa phrase, Micha se redresse, relève Sacha, place sa main droite sous les fesses de celui-ci, place sa paume sous son sexe et le soulève de quelques dizaines de centimètres. Micha porte Sacha et vont se regarder ainsi tous les deux dans un miroir de plein pied qui occupe toute la hauteur du mur. Micha regarde attentivement le spectacle de leurs corps et dit à son jeune ami : - On va bien ensemble, tu verras dans quelques moi tu sera un homme. FIN If you wish more, please view: http://perso.infonie.fr/pprem/pedro

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