Gay Erotic Stories

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L'apollon de la Boutique

by Tout_entier


Dans ma jeunesse, j'aimais Chatter… dans le but de parler sexe. J'adorais ca! J'avais 16 ans et j'habitais à Montréal, une métropole Canadienne. J'étais plutôt du genre timide, et j'étais plutôt réticent envers les rencontres à caractère sexuelles. Je préférais fantasmer… oui, fantasmer. Je m'imaginais dans les bras d'un bel homme, musclé, comme un nageur, blond, yeux bleus… l'homme parfait ! Un soir, en fantasmant, je m'endormais… Dans mon rêve… Je me promenais dans la rue en direction de la bibliothèque municipale. J' étais heureux, quand je vis une femme, bien roulée. Je la trouvai très belle et attirante. Je continuai mon chemin… Je m'approchais de la station service, là où il y a une boutique de vêtements masculins. Par curiosité, je rentrai, pourtant, je n'avais que 15 dollars dans la poche. " Tant pis " je me suis dis. En regardant les chemise à manches courte, j'en vis une bleu, complètement sublime. Excité, je là pris et je partis l'essayer. Je l'enfillai et sortis en vitesse pour me regarder dans le miroir… je marmonnais des mots de satisfaction, quand tout à coup, une main d'homme virile et puissante se pose sur mon vente et me dit qu'effectivement elle me vas à la perfection. Je me retournai, et vis ce bel apollon . Il me dit, " elle te vas super bien. " J'étais complètement bouche bée, aucun mot ne sortait de ma bouche. Je sentais la fièvre monter en moi, l'émoi me posséder ! Il le vit et me demanda si ca allait et me donna une chaise pour m'asseoir. Je ne savais pas où me mettre ! Il avait un effet fous sur moi. Il posa sa main sur ma cuise et me dit : veux-tu un vers d'eau? " Sans attendre la réponse, il se leva, et rentra dans l'arrière boutique. Je n'en revenais pas, il étais comme dans mes rêves… Wow! Il était Blond, yeux bleus, 6'2', musclé, surtout des cuisses, mises en valeur par de pantalons jeans moulants… moulants. Ils ne mettaient pas juste en valeur ses cuisses, son bel engin aussi ! Je me levai et marchai vers l'arrière boutique, en rentrant dans l'encadrement de la porte, Le bel apollon empressé de me rapporter l'eau, se heurta à moi, et nous mouilla complètement.( Enfin, juste assez !!) Il s'excusa, et m'invita à passer à l'arrière, où un appartement était amménagé. Il me dis de me déshabiller, qu'il allait me prêter du linge. Je m'exécutai, il fit de même. Sans le savoir, je le dévisageais d'un air affamé, il était là, en boxers, devant moi, dévoilant son beau corps. Il se retourna, et remarqua mon expression… Il eut un petit rire amusé, et en s'étirant les muscles, il s'approcha de moi, comme si de rien était. Ma respiration se faisait de plus en plus bruyante, et une goutte de sueur coulait sur mon torse. Il étira le bras, et avec l'index, remonta le chemin de la goutte, pour faire le tour de mon cou. Il s'approcha de moi, jusqu' à ce que nos corps se frôlent, se touchent. Je sentais sa respiration dans le creux de mon coup. Sa main parcourait mon dos, remontais vers ma figure pour m'embrasser. Il parcourut mon visage de sa lange douce et sensuelle. Il était à moi, que pour moi. Je le caressai, le mangai, le savourai. Je voyais ses beaux pectoraux, ses belles cuisses. La respiration se faisait difficile. Il me repoussa, pour passer sa langue le long de mon vente pour descendre avec frénésie vers mon manche complètement changé en roc par l'excitation. Il baissa mes boxeurs. Il me regarda d'un air vicieux, et L'engouffra dans sa bouche affamée, il suça comme un damné. La faisant rentrer et sortir comme un délicieux suçon. Il me caressait les noix, passant la main dans ma raie, explorant tout mon corps vierge. Comment un tel bonheur peut-il exister ? Quel délice. Je faisait un mouvement de hanche, pour mieux apprécier sa bouche pervertie par mon corps. Je n'en pouvais plus… je respirais difficilement, la joie étais trop grande ! Haaa ! Je ne pus retenir plus longtemps ma rosées d'homme. Et dans une averse infernale, je le noyais de mon doux nectar. Il avala tout, et continua à me sucer… ma queue n'en pouvait plus, quel bonheur, elle redevint très vite dure et me vidai encore. Cette fois, il garda mon liquide dans sa bouche, et remonta m'embrasser. On partagea ma rosée avec une attitude délinquante… il me licha le visage et me retourna violemment, se coucha sur moi, et me dit à l'oreille : " Sois prêt à me recevoir en toi, mon beaux gars. " Il descendit, m'écarta les cuisses, et me cracha sur la rosette. Il me rentra sa langue dans le cul, je la sentais tourner en moi, puis rentra un doigt et deux, puis trois. Il sauta sur moi, et me rentra d'un seul coup, son énorme manche dans mon profond intérieur. Je sentis la douleur, puis le plaisir, le vrai plaisir… le seul vrai plaisir !Dans ma jeunesse, j'aimais Chatter… dans le but de parler sexe. J'adorais ca! J'avais 16 ans et j'habitais à Montréal, une métropole Canadienne. J'étais plutôt du genre timide, et j'étais plutôt réticent envers les rencontres à caractère sexuelles. Je préférais fantasmer… oui, fantasmer. Je m'imaginais dans les bras d'un bel homme, musclé, comme un nageur, blond, yeux bleus… l'homme parfait ! Un soir, en fantasmant, je m'endormais… Dans mon rêve… Je me promenais dans la rue en direction de la bibliothèque municipale. J' étais heureux, quand je vis une femme, bien roulée. Je la trouvai très belle et attirante. Je continuai mon chemin… Je m'approchais de la station service, là où il y a une boutique de vêtements masculins. Par curiosité, je rentrai, pourtant, je n'avais que 15 dollars dans la poche. " Tant pis " je me suis dis. En regardant les chemise à manches courte, j'en vis une bleu, complètement sublime. Excité, je là pris et je partis l'essayer. Je l'enfillai et sortis en vitesse pour me regarder dans le miroir… je marmonnais des mots de satisfaction, quand tout à coup, une main d'homme virile et puissante se pose sur mon vente et me dit qu'effectivement elle me vas à la perfection. Je me retournai, et vis ce bel apollon . Il me dit, " elle te vas super bien. " J'étais complètement bouche bée, aucun mot ne sortait de ma bouche. Je sentais la fièvre monter en moi, l'émoi me posséder ! Il le vit et me demanda si ca allait et me donna une chaise pour m'asseoir. Je ne savais pas où me mettre ! Il avait un effet fous sur moi. Il posa sa main sur ma cuise et me dit : veux-tu un vers d'eau? " Sans attendre la réponse, il se leva, et rentra dans l'arrière boutique. Je n'en revenais pas, il étais comme dans mes rêves… Wow! Il était Blond, yeux bleus, 6'2', musclé, surtout des cuisses, mises en valeur par de pantalons jeans moulants… moulants. Ils ne mettaient pas juste en valeur ses cuisses, son bel engin aussi ! Je me levai et marchai vers l'arrière boutique, en rentrant dans l'encadrement de la porte, Le bel apollon empressé de me rapporter l'eau, se heurta à moi, et nous mouilla complètement.( Enfin, juste assez !!) Il s'excusa, et m'invita à passer à l'arrière, où un appartement était amménagé. Il me dis de me déshabiller, qu'il allait me prêter du linge. Je m'exécutai, il fit de même. Sans le savoir, je le dévisageais d'un air affamé, il était là, en boxers, devant moi, dévoilant son beau corps. Il se retourna, et remarqua mon expression… Il eut un petit rire amusé, et en s'étirant les muscles, il s'approcha de moi, comme si de rien était. Ma respiration se faisait de plus en plus bruyante, et une goutte de sueur coulait sur mon torse. Il étira le bras, et avec l'index, remonta le chemin de la goutte, pour faire le tour de mon cou. Il s'approcha de moi, jusqu' à ce que nos corps se frôlent, se touchent. Je sentais sa respiration dans le creux de mon coup. Sa main parcourait mon dos, remontais vers ma figure pour m'embrasser. Il parcourut mon visage de sa lange douce et sensuelle. Il était à moi, que pour moi. Je le caressai, le mangai, le savourai. Je voyais ses beaux pectoraux, ses belles cuisses. La respiration se faisait difficile. Il me repoussa, pour passer sa langue le long de mon vente pour descendre avec frénésie vers mon manche complètement changé en roc par l'excitation. Il baissa mes boxeurs. Il me regarda d'un air vicieux, et L'engouffra dans sa bouche affamée, il suça comme un damné. La faisant rentrer et sortir comme un délicieux suçon. Il me caressait les noix, passant la main dans ma raie, explorant tout mon corps vierge. Comment un tel bonheur peut-il exister ? Quel délice. Je faisait un mouvement de hanche, pour mieux apprécier sa bouche pervertie par mon corps. Je n'en pouvais plus… je respirais difficilement, la joie étais trop grande ! Haaa ! Je ne pus retenir plus longtemps ma rosées d'homme. Et dans une averse infernale, je le noyais de mon doux nectar. Il avala tout, et continua à me sucer… ma queue n'en pouvait plus, quel bonheur, elle redevint très vite dure et me vidai encore. Cette fois, il garda mon liquide dans sa bouche, et remonta m'embrasser. On partagea ma rosée avec une attitude délinquante… il me licha le visage et me retourna violemment, se coucha sur moi, et me dit à l'oreille : " Sois prêt à me recevoir en toi, mon beaux gars. " Il descendit, m'écarta les cuisses, et me cracha sur la rosette. Il me rentra sa langue dans le cul, je la sentais tourner en moi, puis rentra un doigt et deux, puis trois. Il sauta sur moi, et me rentra d'un seul coup, son énorme manche dans mon profond intérieur. Je sentis la douleur, puis le plaisir, le vrai plaisir… le seul vrai plaisir !! Tout_entier Dans ma jeunesse, j'aimais Chatter… dans le but de parler sexe. J'adorais ca! J'avais 16 ans et j'habitais à Montréal, une métropole Canadienne. J'étais plutôt du genre timide, et j'étais plutôt réticent envers les rencontres à caractère sexuelles. Je préférais fantasmer… oui, fantasmer. Je m'imaginais dans les bras d'un bel homme, musclé, comme un nageur, blond, yeux bleus… l'homme parfait ! Un soir, en fantasmant, je m'endormais… Dans mon rêve… Je me promenais dans la rue en direction de la bibliothèque municipale. J' étais heureux, quand je vis une femme, bien roulée. Je la trouvai très belle et attirante. Je continuai mon chemin… Je m'approchais de la station service, là où il y a une boutique de vêtements masculins. Par curiosité, je rentrai, pourtant, je n'avais que 15 dollars dans la poche. " Tant pis " je me suis dis. En regardant les chemise à manches courte, j'en vis une bleu, complètement sublime. Excité, je là pris et je partis l'essayer. Je l'enfillai et sortis en vitesse pour me regarder dans le miroir… je marmonnais des mots de satisfaction, quand tout à coup, une main d'homme virile et puissante se pose sur mon vente et me dit qu'effectivement elle me vas à la perfection. Je me retournai, et vis ce bel apollon . Il me dit, " elle te vas super bien. " J'étais complètement bouche bée, aucun mot ne sortait de ma bouche. Je sentais la fièvre monter en moi, l'émoi me posséder ! Il le vit et me demanda si ca allait et me donna une chaise pour m'asseoir. Je ne savais pas où me mettre ! Il avait un effet fous sur moi. Il posa sa main sur ma cuise et me dit : veux-tu un vers d'eau? " Sans attendre la réponse, il se leva, et rentra dans l'arrière boutique. Je n'en revenais pas, il étais comme dans mes rêves… Wow! Il était Blond, yeux bleus, 6'2', musclé, surtout des cuisses, mises en valeur par de pantalons jeans moulants… moulants. Ils ne mettaient pas juste en valeur ses cuisses, son bel engin aussi ! Je me levai et marchai vers l'arrière boutique, en rentrant dans l'encadrement de la porte, Le bel apollon empressé de me rapporter l'eau, se heurta à moi, et nous mouilla complètement.( Enfin, juste assez !!) Il s'excusa, et m'invita à passer à l'arrière, où un appartement était amménagé. Il me dis de me déshabiller, qu'il allait me prêter du linge. Je m'exécutai, il fit de même. Sans le savoir, je le dévisageais d'un air affamé, il était là, en boxers, devant moi, dévoilant son beau corps. Il se retourna, et remarqua mon expression… Il eut un petit rire amusé, et en s'étirant les muscles, il s'approcha de moi, comme si de rien était. Ma respiration se faisait de plus en plus bruyante, et une goutte de sueur coulait sur mon torse. Il étira le bras, et avec l'index, remonta le chemin de la goutte, pour faire le tour de mon cou. Il s'approcha de moi, jusqu' à ce que nos corps se frôlent, se touchent. Je sentais sa respiration dans le creux de mon coup. Sa main parcourait mon dos, remontais vers ma figure pour m'embrasser. Il parcourut mon visage de sa lange douce et sensuelle. Il était à moi, que pour moi. Je le caressai, le mangai, le savourai. Je voyais ses beaux pectoraux, ses belles cuisses. La respiration se faisait difficile. Il me repoussa, pour passer sa langue le long de mon vente pour descendre avec frénésie vers mon manche complètement changé en roc par l'excitation. Il baissa mes boxeurs. Il me regarda d'un air vicieux, et L'engouffra dans sa bouche affamée, il suça comme un damné. La faisant rentrer et sortir comme un délicieux suçon. Il me caressait les noix, passant la main dans ma raie, explorant tout mon corps vierge. Comment un tel bonheur peut-il exister ? Quel délice. Je faisait un mouvement de hanche, pour mieux apprécier sa bouche pervertie par mon corps. Je n'en pouvais plus… je respirais difficilement, la joie étais trop grande ! Haaa ! Je ne pus retenir plus longtemps ma rosées d'homme. Et dans une averse infernale, je le noyais de mon doux nectar. Il avala tout, et continua à me sucer… ma queue n'en pouvait plus, quel bonheur, elle redevint très vite dure et me vidai encore. Cette fois, il garda mon liquide dans sa bouche, et remonta m'embrasser. On partagea ma rosée avec une attitude délinquante… il me licha le visage et me retourna violemment, se coucha sur moi, et me dit à l'oreille : " Sois prêt à me recevoir en toi, mon beaux gars. " Il descendit, m'écarta les cuisses, et me cracha sur la rosette. Il me rentra sa langue dans le cul, je la sentais tourner en moi, puis rentra un doigt et deux, puis trois. Il sauta sur moi, et me rentra d'un seul coup, son énorme manche dans mon profond intérieur. Je sentis la douleur, puis le plaisir, le vrai plaisir… le seul vrai plaisir !! Tout_entier Dans ma jeunesse, j'aimais Chatter… dans le but de parler sexe. J'adorais ca! J'avais 16 ans et j'habitais à Montréal, une métropole Canadienne. J'étais plutôt du genre timide, et j'étais plutôt réticent envers les rencontres à caractère sexuelles. Je préférais fantasmer… oui, fantasmer. Je m'imaginais dans les bras d'un bel homme, musclé, comme un nageur, blond, yeux bleus… l'homme parfait ! Un soir, en fantasmant, je m'endormais… Dans mon rêve… Je me promenais dans la rue en direction de la bibliothèque municipale. J' étais heureux, quand je vis une femme, bien roulée. Je la trouvai très belle et attirante. Je continuai mon chemin… Je m'approchais de la station service, là où il y a une boutique de vêtements masculins. Par curiosité, je rentrai, pourtant, je n'avais que 15 dollars dans la poche. " Tant pis " je me suis dis. En regardant les chemise à manches courte, j'en vis une bleu, complètement sublime. Excité, je là pris et je partis l'essayer. Je l'enfillai et sortis en vitesse pour me regarder dans le miroir… je marmonnais des mots de satisfaction, quand tout à coup, une main d'homme virile et puissante se pose sur mon vente et me dit qu'effectivement elle me vas à la perfection. Je me retournai, et vis ce bel apollon . Il me dit, " elle te vas super bien. " J'étais complètement bouche bée, aucun mot ne sortait de ma bouche. Je sentais la fièvre monter en moi, l'émoi me posséder ! Il le vit et me demanda si ca allait et me donna une chaise pour m'asseoir. Je ne savais pas où me mettre ! Il avait un effet fous sur moi. Il posa sa main sur ma cuise et me dit : veux-tu un vers d'eau? " Sans attendre la réponse, il se leva, et rentra dans l'arrière boutique. Je n'en revenais pas, il étais comme dans mes rêves… Wow! Il était Blond, yeux bleus, 6'2', musclé, surtout des cuisses, mises en valeur par de pantalons jeans moulants… moulants. Ils ne mettaient pas juste en valeur ses cuisses, son bel engin aussi ! Je me levai et marchai vers l'arrière boutique, en rentrant dans l'encadrement de la porte, Le bel apollon empressé de me rapporter l'eau, se heurta à moi, et nous mouilla complètement.( Enfin, juste assez !!) Il s'excusa, et m'invita à passer à l'arrière, où un appartement était amménagé. Il me dis de me déshabiller, qu'il allait me prêter du linge. Je m'exécutai, il fit de même. Sans le savoir, je le dévisageais d'un air affamé, il était là, en boxers, devant moi, dévoilant son beau corps. Il se retourna, et remarqua mon expression… Il eut un petit rire amusé, et en s'étirant les muscles, il s'approcha de moi, comme si de rien était. Ma respiration se faisait de plus en plus bruyante, et une goutte de sueur coulait sur mon torse. Il étira le bras, et avec l'index, remonta le chemin de la goutte, pour faire le tour de mon cou. Il s'approcha de moi, jusqu' à ce que nos corps se frôlent, se touchent. Je sentais sa respiration dans le creux de mon coup. Sa main parcourait mon dos, remontais vers ma figure pour m'embrasser. Il parcourut mon visage de sa lange douce et sensuelle. Il était à moi, que pour moi. Je le caressai, le mangai, le savourai. Je voyais ses beaux pectoraux, ses belles cuisses. La respiration se faisait difficile. Il me repoussa, pour passer sa langue le long de mon vente pour descendre avec frénésie vers mon manche complètement changé en roc par l'excitation. Il baissa mes boxeurs. Il me regarda d'un air vicieux, et L'engouffra dans sa bouche affamée, il suça comme un damné. La faisant rentrer et sortir comme un délicieux suçon. Il me caressait les noix, passant la main dans ma raie, explorant tout mon corps vierge. Comment un tel bonheur peut-il exister ? Quel délice. Je faisait un mouvement de hanche, pour mieux apprécier sa bouche pervertie par mon corps. Je n'en pouvais plus… je respirais difficilement, la joie étais trop grande ! Haaa ! Je ne pus retenir plus longtemps ma rosées d'homme. Et dans une averse infernale, je le noyais de mon doux nectar. Il avala tout, et continua à me sucer… ma queue n'en pouvait plus, quel bonheur, elle redevint très vite dure et me vidai encore. Cette fois, il garda mon liquide dans sa bouche, et remonta m'embrasser. On partagea ma rosée avec une attitude délinquante… il me licha le visage et me retourna violemment, se coucha sur moi, et me dit à l'oreille : " Sois prêt à me recevoir en toi, mon beaux gars. " Il descendit, m'écarta les cuisses, et me cracha sur la rosette. Il me rentra sa langue dans le cul, je la sentais tourner en moi, puis rentra un doigt et deux, puis trois. Il sauta sur moi, et me rentra d'un seul coup, son énorme manche dans mon profond intérieur. Je sentis la douleur, puis le plaisir, le vrai plaisir… le Malheureusement... je me suis réveillé. Due to international translation technology this story may contain spelling or grammatical errors. To the best of our knowledge it meets our guidelines. 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Dans ma jeunesse, j'aimais Chatter… dans le but de parler sexe. J'adorais ca! J'avais 16 ans et j'habitais à Montréal, une métropole Canadienne. J'étais plutôt du genre timide, et j'étais plutôt réticent envers les rencontres à caractère sexuelles. Je préférais fantasmer… oui, fantasmer. Je m'imaginais dans les bras d'un bel homme, musclé, comme un nageur, blond, yeux bleus… l'homme

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Web-04: vampire_2.0.3.07
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