Gay Erotic Stories

Due to international translation technology this story may contain spelling or grammatical errors. To the best of our knowledge it meets our guidelines. If there are any concerns please e-mail us at: CustomerService@MenontheNet. Deux jours plus tard, soit le lundi, alors que mon chum travaillait, je décidai de me rendre au gym de Steve. C'est le prénom du mec. Lorsque j'arrivai, je demandai à la réceptionniste si je pouvais le voir et elle l'appela aussitôt. Lorsqu'il me vit, son sourire s'éclaira et il m'accueillit avec un large sourire en me donnant une bonne poignée de main. - Je voulais voir à quoi ça avait de l'air ton gym. - Tu as bien fait. Viens, je vais te faire faire le tour. Nous fîmes donc le tour et à la fin, lorsque nous arrivâmes dans son bureau, un mec raccrochait le téléphone. Il se leva et vint vers nous. - Je te présente Ricardo, me dit Steve. C'est mon assistant. Tout de suite, je me demandai s'ils baisaient ensemble. La seule pensée de les imaginer nus, tous les deux, provoqua une érection. J'étais un peu mal à l'aise car je ne portais rien son mon jeans. - Allo, dis-je. Moi, c'est Alex. - Enchanté, me dit-il. Steve, je dois vérifier quelque chose dans la remise. - Bien, dit-il. Tu pourrais peut-être y amener Alex, c,est tout ce qui lui reste à visiter. - Aucun problème, rajouta Ricardo en me signalant de le suivre. - Tu reviendras ici après Alex, me dit Steve en prenant place derrière son bureau. Je suivis donc Ricardo, lui regardant, bien entendu, le cul. Il était vêtu d'un short marine de nylon entrouvert aux cuisses et d'un t-shirt de couleur assortie. - C'est ici, dit-il en déverouillant une porte. C'est ici que nous entreposons les machines défectueuses. Il ouvrit la porte et me laissa passer devant lui. La pièce était plutôt petite et quelques machines de conditionnement physique attendaient sûrement d'être réparées. Ricardo referma la porte et aussitôt, il se débarassa de son t-shirt, me laissant voir ses abdominaux musclés. - Je dois réparer cette machine et je ne voudrais pas me salir, dit-il en empoignant un tournevis. C'était ce genre de machine avec un banc de cuir sur lequel on se couchait pour pouvoir abaisser une barre accrochée à des poids. Il s'y allongea sur le ventre pour se permettre de mieux travailler, les jambes de chaque côté du banc, m'offrant comme vue un cul bombé et des cuisses musclées. Tournevis en main, il commença son travail pendant que moi, mes yeux restaient rivés sur son corps qui bougeait à chaque mouvement. Soudain, je m'aperçus qu'il balançait du bassin, tranquillement, sensuellement, comme s'il fourrait un mec. De sa main, il plaça sa queue de telle sorte qu'elle sortait de son short. Je voyais son gland entre ses cuisses pendant que ses fesses s'élevaient. Lentement, sans trop savoir si je devais, je m'approchai de lui et sans attendre, je me mis à lui caresser les entrecuisses, glissant ma main sous son short. Il ne dit mot, poursuivant son travail comme si de rien n'était, balançant toujours du bassin. Je décidai de le déshabiller, lui enlevant son short. Ouf... Quelles fesses. - Mange-moi le cul, me dit-il. Ne me faisant pas prier, je m'agenouillai et me mis à lui lécher l'anus pendant que lui continuait à travailler. - Mouille en masse,dit-il Ma salive coulait le long des fesses. - Fourre-moi. Montre-moi que tu es viril. Je me dévêtis complètement et avec force, je lui rentrai ma queue dans le cul. Il poussa un cri de douleur en m'ordonnant de continuer. Il avait le troufignon serré et c'était bon. Je me faisais aller à grands coups dans ce trou chaud et humide. Je sentais sa prostate contre mon gland et lui laissait entendre des gémissements. Soudain, j'aperçus Steve qui nous regardait. Il s'approcha et vint m'embrasser. Il entra son index dans ma bouche que je mouillai et il me l'introduit dans le cul, recommençant à m'embrasser. Ricardo, lui, travaillait toujours avec son tournevis pendant que je le labourais à fond. Steve sorti sa queue bandée de son short, la mouilla de salive et se planta derrière moi, la bite bien en main. Il m'écarta les fesses pour y laisser couler de la salive et je sentis sa queue me pénétrer, avec autant de plaisir que la fois d'avant. Dieu que sa queue était bonne dans mon cul. Il avait cette façon de se déhancher pour faire glisser sa bite pour qu'elle me donne le plus de plaisir possible. J'aimais être pris en sandwich entre deux mecs musclés et Steve et Ricardo étaient vraiment taillés au couteau. Ca dépassait mes fantasmes de mec. D'un côté, ma queue labourait un cul superbement bombé et de l'autre, je me faisais mettre par une bonne queue qui savait travailler. - Je vais venir, laissai-je entendre. Et soudain, je me mis à couler, ma queue donnant des coups brusques dans le cul de Ricardo qui bougeait les fesses de haut en bas. Je m''aperçus que pendant que je venais, Steve aussi me crachait son jus dans le cul, augmentant la cadence de ses coups. Je jouissais comme jamais je n'avais encore jouit. C'était le summum. Steve se retira et moi aussi pendant que Ricardo continuait toujours à réparer la machine, comme si de rien n'était. On pouvait voir mon sperme qui coulait entre les fesses de Ricardo et Steve s'agenouilla pour licher mon jus à grands coups de langue. Après, Ricardo se tourna sur le dos, sa queue bien droite dans les airs. Steve enleva son short et empoigna la queue qu'il dirigea vers son cul. Sans trop de douleur, il s'assoya dessus et la couvrit d'un seul coup. Par de vifs mouvements de haut en bas, il contrôlait le labourage pendant que moi, je l'embrassais à pleine bouche. Après quelques minutes, on entendit Ricardo qui remplissait le cul de Steve de sa semence bien chaude. Je savais que c'était terminé et j'aurais tant aimé recommencer tout de suite mais je me doutais bien que Steve et Ricardo avait du travail à faire. à suivre pour tout commentaire: sodgomjr@hotmail.com