Gay Erotic Stories

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by Pédro


San Diego est le premier port militaire des États-Unis, le second du monde après Vladivostok qui lui fait face à des milliers de kilomètres plus loin sur le pacifique. San Diego, c’est le port d’attache de plus de cinquante bâtiments de guerre de la marine américaine. Malgré tout, San Diego reste une ville calme. Née à proximité de la frontière mexicaine, elle en a hérité la langueur hispanique. Durant tout le jour, écrasée par la chaleur, San Diego est une ville morte. Les seuls lieux de vie sont les routes et les autoroutes où les trucks rutilants et chromés roulent non stop pour livrer leurs cargaisons de fruits et de bois exotiques dans toute l’Amérique. Ce sont aussi les rues que les belles voitures américaines parcourent sans fin pour alimenter en énergie leur climatiseur. Le jour à San Diego tous les marins sont à la base et d’immenses grilles les séparent de la ville. La nuit San Diego revit. Certains quartiers s’animent pour des milliers de jeunes garçons à peine majeurs. Il passent l’entrée de leur base militaire pour rompre l’inexorable ennui d’une journée passée sur leur bateau. Ces gamins vont pour la plupart au Liberty Mall, le temple des passions. Boire, s’amuser et tirer son coup, voici l’ordre de mission qu’ils se sont tous confiés. Sur leur chemin à l’aller comme au retour des milliers de boites d’aluminium de Budweiser balisent la route jusqu’à l’entrée du paradis des marins. La bière est légère mais les quantités ingurgitées sont phénoménales. Une bière ne fait pas plus de cent mètres et le Liberty Mall, situé au centre ville, est encore loin. En suivant cette route jonchée de boites on arrive sans se perdre au Liberty Mall. Ce centre commercial vit des marins, il est fait pour eux. Les bars, les pubs, les restaurants, les boutiques, les salles de jeux, les salles de sport, les boîtes de nuit et les sex-shops offrent un espace de détente et de défoulement indispensable au moral des troupes. La prostitution féminine y est même, dit-on, surveillée par les autorités militaires. L’armée préfère veiller elle-même à la prophylaxie de ses recrues. L’homosexualité, totalement bannie dans l’armée américaine a pourtant son centre exutoire au Liberty Mall : le “Gay Ride On”. L’entrée du “Gay Ride On” est discrètement située dans les toilettes publiques du Mall, toilettes elles-mêmes placées fort à propos au milieu du centre commercial. Elles sont le point de rencontre obligé des buveurs de bière. Pourtant une partie de ceux qui sont supposés être pressés de soulager une envie irrépressible laissent les urinoirs. Ces hommes là tournent furtivement à droite pour descendre un escalier noir. En bas sur la porte brille un néon de couleur rouge au nom de l’établissement. Le “Gay Ride On” voit affluer tout ceux qui veulent exprimer très librement les amitiés viriles que la Marine à fait naître en eux. Il offre tout ce qu’un homosexuel peut souhaiter. Autour d’une superbe salle de disco se trouvent : un cinéma qui diffuse des films pornographiques, un sex-shop, un sauna spacieux à la forme labyrinthique et aux multiples salles pour rencontres tendres à deux ou plus, et enfin un hammam qui contient des gradins circulaires de plusieurs dizaines de places. Ce dernier est réservé aux accouplements orgiaques et au voyeurisme. Les spectacles qu’offrent le “Gay Ride On” à ceux qui dansent sur la piste sont la fierté de l’établissement. Au milieu de celle-ci un immense aquarium dans lequel des nageurs nus s’exhibent. Placé sur un piédestal de velours noir d’un mètre de hauteur, le bassin, enfermé dans une gigantesque colonne de verre, monte jusqu’au plafond. Les artistes y accèdent par une large trappe placée au niveau supérieur et cachée aux yeux de la clientèle. Dans la salle un panneau lumineux annonce les spectacles et leurs horaires afin de favoriser l’excitation des consommateurs. Actuellement un couple de danseurs nautiques fait une roue dans l’eau en tournant en boucle. Les deux garçons accrochent leurs mains aux chevilles de leur partenaire. Cambrés, ils ressortent leur sexe qu’ils ont pris soin de faire bander avant de plonger. Jim a vingt-trois ans, c’est sa cinquième année dans la Marine. Il affectionne particulièrement le “Gay Ride On” dont il est l’un des piliers. Il y vient tous les soirs de week-end, lorsqu’il n’est pas de service. Il retrouve là ses connaissances de longue date, toute la faune des homosexuels de San Diego. Mais il apprécie surtout de retrouver, avec un bonheur qu’il sait inespéré, les jeunes marins fraîchement incorporés. La plupart sont de toute beauté. Ceux qui ont eu le temps de se changer sont en jeans, les autres sont encore en tenues militaires blanche, la casquette vissée sur la tête. Ils sont là, à la fois timides et voulant jouer les durs. Ils montrent la jeunesse de leur corps et la puissance de leurs muscles récemment entraînés. Jim est comme eux, une longue pratique des arts martiaux lui assure un corps à la musculature respectable. Torse nu, il arbore fièrement des pectoraux et des abdominaux qui lui valent de nombreuses et faciles conquêtes. Les plus beaux garçons de San Diego, qu’ils soient de la base ou de la ville, se sont un jour réfugiés dans ses bras protecteurs. Et quand on a goûté à Jim, on y revient très volontiers. Il n’a aucun mal à lever les mecs qu’il veut. S’il essuie un refus, c’est de la part d’un garçon qui pense se montrer intéressant. Jim, alors n’insiste pas et c’est l’autre qui, dépité de son manque d’insistance, revient à la charge. Mais ce soir Jim vient d’arriver et il a tout son temps. Tout en dansant, il remarque la particularité anatomique de l’un des deux danseurs aquatiques de l’aquarium. Celui-ci est nouveau venu et Jim ne le connaît pas encore. Ses couilles, légèrement resserrées sous l’effet de l’eau tiède, sont situées non pas sous la hampe, mais de chaque côté de celle-ci. Ce garçon l’attire car ses muscles sont finement dessinés, et ses cheveux blonds et fins forment des vagues dans l’eau. Il veut le voir de plus près mais la courbure de l’aquarium lui brouille la vue, pourtant il tient absolument à voir de très près le sexe étrange de ce jeune garçon. Heureusement celui-ci tourne souvent à la hauteur de ses yeux. Maintenant, séparé de son compagnon de bain, le nageur blond remonte à la surface prendre un bol d’air et replonge aussitôt voir ses admirateurs. Pour être à la hauteur des yeux des spectateurs il se met à genoux. Souriant, il fait mine de se branler en draguant les hommes qui le regardent. Jim s’amuse beaucoup car il s’est tourné vers lui, le regarde et s’excite à le regarder. Mais tout le monde doit profiter du spectacle et lorsque le nageur se déplace de l’autre côté de l’aquarium pour se montrer à d’autres mecs, Jim le laisse pour regarder l’autre garçon. Lui aussi est un nouvel employé, mais Jim le reconnaît. Ses cheveux sont bruns et courts, c’est un marin. Jim l’a vu un jour à la manœuvre sur un canon de cent cinquante sur le pont d’un destroyer. Il le connaît surtout comme client régulier du “Gay Ride On”. Il se souvient avec délice combien le glissement des va et vient de son sexe dans l’anus de ce dernier se faisait avec souplesse et douceur. Sa bitte frémit encore en se rappelant le moelleux passage qui s’ouvrait si bien pour une pénétration profonde. Ce marin justement écarte maintenant ses fesses et laisse voir son fondement à un large public. L’anus est épilé et la peau plissée autour du muscle anal forme une roue parfaite. Le garçon joue de ce muscle. Il ouvre et ferme son trou à volonté. Son ami, le nageur blond aux couilles latérales, décide de jouer avec cet instrument. Il place tout d’abord son index sur le muscle détendu et en fait le tour pour le mettre en valeur. Il montre à tous la circonférence respectable du trou béant. Le danseur brun s’efforce de le maintenir ouvert. Le blond engouffre son doigt, puis un second et un troisième y passe aisément, bientôt c’est toute la main qui pénètre. Le beau brun semble souffrir un peu et se contracte. Ça y est, le passage est fait et le bras du blond n’a plus qu’à glisser lentement dans les entrailles de son ami. Au milieu de l’avant-bras, il s’arrête car celui-ci n’en peut plus. Son visage est rouge et l’asphyxie menace. Prestement le blond se retire et tous les deux regagnent le bord de la piscine pour y respirer à nouveau. En remontant le brun laisse ses cuisses ouvertes et montre à tous son énorme trou qui peu à peu se resserre. Après quelques minutes de repos, ils replongent tous les deux. Le blond pose sa bouche sur l’anus de son copain. On suppose qu’il reçoit un analingus de première classe. Pourtant l’abouchement dure peu car le blond remonte très vite à la surface et disparaît totalement du bassin laissant seul son acolyte. Le brun se met alors à tournoyer sur lui-même et dans son ballet lâche un chapelet de bulles que son anus distribue avec une extrême régularité. La foule éclate de rire, elle admire ce numéro où l’air a été fourni par le blond qui s’est mis bouche à cul. Elle applaudit aussi l’exceptionnelle maîtrise de l’anus du brun qui sait fabriquer des bulles au format parfaitement standardisé. Le brun continue à lâcher ses pets en remontant à la surface pour se ressourcer. Après une bonne respiration il replonge, sa tête réapparaît, mais il maintient un instant encore son cul hors de l’eau. Puis, il redescend et recommence son spectacle animé de pétillantes bulles d’air. Parmi les danseurs de la salle, hilares, on se demande à haute voix si l’anus fait aussi office de pompe et aspire l’air ou si c’est le blond qui en dehors du bassin à réitéré son baiser au souffle aérien. Due to international translation technology this story may contain spelling or grammatical errors. To the best of our knowledge it meets our guidelines. If there are any concerns please e-mail us at: CustomerService@MenontheNet

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San Diego est le premier port militaire des États-Unis, le second du monde après Vladivostok qui lui fait face à des milliers de kilomètres plus loin sur le pacifique. San Diego, c’est le port d’attache de plus de cinquante bâtiments de guerre de la marine américaine. Malgré tout, San Diego reste une ville calme. Née à proximité de la frontière mexicaine, elle en a hérité la langueur

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Web-02: vampire_2.0.3.07
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