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Le Lendemain de Veille

by Patrice Boucher


(c) 1995 Patrice Boucher Publié sur l'archive Gai-Éros et sur MOTN. Toute reproduction est interdite sans l'authorisation de l'auteur. http://nqtgbbs.dynip.com/trinet/gai-eros/ On était au jour de l'an de 1990. J'étais au sous-sol avec toute lla parenté, mes parents ayant invité plus de 125 personnes pour le réveillon. Parmi ceux-ci, la mère de mon petit Adonis et lui-même. J'avais bien remarqué le grand smile qu'il m'avait fait en arrivant, mais je ne voyais que le petit sourire amusé d'un adolescent qui garde un secret. Il avait eu ses 17 ans en octobre. Il était bien habillé pour l'occasion, de beaux pantalons serrés qui mettaient en évidence ses fesses rondes et qui laissaient rêver quiconque laissait son regard aller vers l'entre-jambe. 30 minutes après son arrivée, après qu'il eût fait le tour, souhaité la bonne année à la multitude d'invités, il s'approche de moi tout doucement, les yeux vifs d'un vert si brillant, le sourire fendu jusqu'aux oreilles. Il m'offre une bière et me souhaite la bonne année. Il m'apprend qu'il a une nouvelle blonde et qu'il est avec elle ce soir. Les désirs en prennent un coup, j'vous le dit! Elle vient le rejoindre. Miss Barbie est là, toute pomponnée, ll bumper en évidence dans une robe si décolletée qu'elle aurait fait pâlir de honte un mannequin de Playboy! Vous voyez l'genre. Je lui souhaite une bonne année et je m'eclipse... Le BBS! Y'a rien de mieux pour faire passer les déceptions. À ce moment, mon frère était parti de la maison, il avait déménagé avec sa femme en appartement. Donc son ancienne chambre au bout du sous-sol me servait maintenant de bureau. Je m'y rends et referme la porte, préférant être seul avec mes messages. Quelques minutes plus tard, la porte s'entrouve, et je le vois arriver, deux cognacs à la main. Il m'en donne un et nous trinquons à la nouvelle année. Cul-sec. J'ai juste le temps de déposer mon verre qu'il attrappe mon poignet et dirige ma main sur le devant de son pantalon. Il se masse avec ma main et sort sa queue de l'autre main pour que je lui aggrippe. Ce beau sexe, long et large, que je ne croyais plus revoir était là, pointant vers mon visage. Je l'engoutis d'un seul coup, mais il ne me laissa pas continuer plus loin. Il se retira, retourna cet engin de plaisir d'où il était venu et partit. J'imagine que c'était un cadeau d'adieu. La soirée suivait son cours, à toutes les demi-heures, il venait me revoir dans le petit bureau pour m'apporter un drink. Quand il est parti à 2h30 du matin, il était temps. J'étais rond comme une bille et j'ai eu de la misère à me rendre dans ma chambre pour m'y coucher. À 7h du mat, alors que toute la maison était endormie, ça cogne à la fenêtre... Ça se peut pas! Y'a une blonde! Je me lève, flambant nu, et je vais voir qui se cache derrière le rideau. C'était lui, et il me faisait signe qu'il voulait entrer. Je lui ouvre la fenêtre, et il entre. Je me recouche, encore éprouvé de la veille pendant qu'il enlève son manteau et ses bottes. Il se déshabille ensuite et vient me rejoindre au lit. On dort comme ça pour quelques heures et je me réveille, étouffé par sa queue qui entrait et sortait de ma bouche... J'en profite pour lui masser les couilles et les fesses. Son corps reluisait de sueur, ses cheveux noirs tous ébourrifés, je l'avais encore pour moi. Seulement à moi! Il s'arrête brusquement, entrouve la porte de chambre pour s'assurer que personne n'était au sous-sol, et comme il n'y avait pas de bruits à l'étage, on pouvait rapidement en conclure que tout le monde était encore couché. Il se rend au bar et nous prépare 2 Irish Mist double sur glace, une liqueur qui se laisse boire tout seul. Le matin, c'est pas mon fort, alors il fait cul-sec avec les deux verres et vient me rejoindre pour que je le suce de nouveau. Il était tellement bruyant que j'en avais peur qu'il réveille ma soeur juste au-dessus de ma chambre. Il était tellement excité qu'en quelques minutes, il m'offrait ce bon nectar masculin chaud qui m'emplit la bouche par jets saccadés, pleins de vigueurs. J'engloutis le tout sans rien dire. Le voici donc en train de me masser la queue pendant que je lui léchais le derrière et lui faisais un massage interne avec un doigt. Ma queue toute reluisante de salive, il décide de s'asseoir sur moi pour connaître l'extase qu'il m'avait montré suite à la partie de pêche. Il était nerveux, tout tremblant, tellement, qu'il n'avait pas réussi à relaxer assez pour que je l'encule à mon tour. Tant pis! Il me relève les jambes et pénètre d'un coup sec sa batte et vient me chatouiller les amygdales par l'intérieur. C'était tout simplement jouissif... Ce flot sans expérience me rendait au 7è ciel. Tout ça semblait inné chez lui, le bon rythme, les pauses semblaient calculées sur mesure pour me faire monter un peu plus à chaque fois. Pendant qu'il allait et revenait à l'intérieur de moi, il me massait la queue et les couilles et continua ainsi jusqu'à ce que je vienne. Ensuite, son regard se crispa et il me lança son jet à l'intérieur. Une fois le tout terminé, il sortit de moi, se rhabilla, et ressortit d'où il était venu. 30 secondes plus tard, il sonnait à la porte d'entrée pour venir voir mon frère qui était resté à coucher avec sa blonde. Je montai, et me fit à déjeuner comme si rien n'était, échangeant de petits regards complices et secrets avec le meilleur ami de mon frère. *** FIN *** Pour d'autres de mes histoires, visitez l'archive Gai-Éros à http://nqtgbbs.dynip.com/trinet/gai-eros/ N'hésitez pas à m'écrire!!! patrice@nettaxi.com

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(c) 1995 Patrice Boucher Publié sur l'archive Gai-Éros et sur MOTN. Toute reproduction est interdite sans l'authorisation de l'auteur. http://nqtgbbs.dynip.com/trinet/gai-eros/ On était au jour de l'an de 1990. J'étais au sous-sol avec toute lla parenté, mes parents ayant invité plus de 125 personnes pour le réveillon. Parmi ceux-ci, la mère de mon petit Adonis et

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