Gay Erotic Stories

Fin octobre 1994, je suis allé en stage à Créhange. C'est un patelin paumé entre Metz et Sarreguemines. Avant d'aller à ce stage, j'ai lancé une annonce sur les BAL du Minitel du genre "JH prochainement en stage cherche mec entre Metz et Sarreguemines". Un mec y avait répondu et une fois sur place, je l'ai contacté pour une rencontre. Il était clerc au tribunal de Sarreguemines, pas très grand, une petite moustache, il boitait suite à un vieil accident et avait un accent lorrain à couper au couteau. Il faisait de rares rencontres. Il disait aimer faire des câlins, ça tombait bien. Pendant qu'il était dans la cuisine à préparer un café, je me suis mis nu pour le surprendre. Ca a fait son effet. Il s'est empressé de se déshabiller et s'est couché à côté de moi. Il bandait bien, et moi aussi. On s'est lancé dans un 69 torride. C'est lui qui a éjaculé en premier. "Tu m'as tellement excité que j'ai failli te gicler dans la bouche. T'as déjà eu du sperme dans la bouche ? - Oui, le mien". Puis, je lui raconte mon aventure avec le camionneur. "Fais voir". Je me mets la tête en bas sur le lit et les pieds au mur, puis je bascule mes jambes en arrière de façon à avoir mon sexe contre ma bouche tout en me masturbant. Il me regarde entrer mon gland dans la bouche. Ca m'excite qu'il me regarde. Je me gicle dans la bouche, il est stupéfait... On se donne rendez-vous pour le lendemain soir. Je me remets nu pendant qu'il prépare le café. "J'ai préparé des vidéos, ça te dit ?" Pendant qu'on se caressait, il m'a montré des films X avec des mecs qui se faisaient toutes sortes de choses sur un très vieux magnétoscope fonctionnant encore avec des cassettes V2000. Quand j'ai vu un mec entrain de se faire sodomiser, j'ai dit "J'aimerai bien être à sa place" comme ça l'air de rien... :-))) "T'as envie d'enculer un mec ? - Non, l'inverse. - Ca peut se faire." Il sort un flacon, genre gel douche. Et m'en mis entre les fesses. Il s'en mit sur les doigts et les enfuis dans mon anus. Ce faisant, il s'en mit sur la verge. Moi, j'étais à quatre pattes. Il se mit derrière moi et je sentis son pieux violant mon trou. Ca me fit mal. Si mal que je dû lui ai demander d'arrêter. "Je ne comprends pas, t'as le trou bien droit et prêt à être pris. - Ca m'a fait trop mal... - T'étais peut-être trop crispé ? - Peut être..." On a continué à regarder sa cassette, un jeune blondinet suçait un noir au sexe gigantesque avant de se faire sodomisé. Le contraste de cette queue noir dans cette bouche et ce cul blanc m'est toujours resté en mémoire. Le lendemain soir, je suis retourné chez lui. Il savait que c'était la dernière fois que l'on se verrait puisque mon stage se terminait. Il se fit bien plus tendre et câlin. Je ne l'ai même pas vu sortir son "gel douche" de l'armoire, mais je sentais quelque chose de froid sur mon anus. Un doigt me rendit visite, tournant en moi-même. Un deuxième le rejoignit quelque temps après. C'était bon. Je gémis. Puis un va et vient doucement rythmé dansait entre mes fesses. C'est quand je sentis chacune de ses mains sur mes fesses que je compris que cette fois c'était sa verge qui allait et venait en moi. J'étais euphorique. J'ondulais du train pour accompagner son mouvement. Dieu que c'était bon. Je le sentais si bien. Il était en moi. Je mis ma main entre mes fesses pour voir à l'aveugle cette verge qui me violait, mais trop tard. Il la sorti pour m'éjaculer sur le dos... J'étais si heureux. Heureux d'avoir enfin été enculé.