Gay Erotic Stories

Paul Lombard remontait de Marseille. Son semi-remorque était remplit de tomates en provenance du Maroc livrable à Rungis. Son patron devant économiser sur les budgets, il était obligé de se taper la Nationale 7 plutôt qu'une confortable autoroute. Il rêvait des High-ways ricaines. Son attention fixée sur l'horizon, il ne prêtait que peu d'attention au paysage aussi sublime soit il. La quarantaine bien acquise, c'était un solide gaillard brun et velu. Dans le métier depuis une dizaine d'année, il voyait avec beaucoup d'amertume son corps musclé commencé à prendre des formes inavaouables. Cependant, il était pour le commun des mortels pas gros, un peu enveloppé tout juste. Si son physique avait pris du poids, il conservait de naissance dans le pantalon, un patrimoine génétique suffisamment de tailleà faire frémir les quelques minets que très discrétement il rencontrait lors de ses chargements au Maroc. Malheureusement, depuis 2 mois, il était au régime manuel, pas que cela le gène. Il aimait se faire durcir et se faire jouir, mais cela avait un temps. En cet été sec, la chaleur rendait difficile le port du moindre vêtement. Celà collait, on avait du mal à bouger. Voilà pourquoi Paul n'était vêtu que d'un Boxer noir. Pour sa pause de 12 H, il s'arrêta dans uner cafétéria de station service. Il mangeait tranquillement quand son sang se gela en voyant un superbe garçon brun faire son entrée. Il était vêtu d'un ensemble de jean bleu, veste et pantalon. Paul admira au passage les fesses du nouveau venu et se délecta de voir le torse nu bronzé à peine dissimuler par la veste de jeans. Le garçon portait un sac à dos au dessus duquel se trouvait une couverture. Très intéressé par ce garçon qui devait avoir à peine plus de vingt ans, il tendit l'oreille. Le nouveau venu discutait avec l'employé de la station service qui lui n'avait aucune mine. Son coeur se mit à battre en l'entendant parler de vouloir aller à Paris. Il cherchait quelqun pour l'emmener et se demandait si la gars de la station s ervice ne pourrait demander à l'assistance présente. Ce dernier auquel Paul avait donné sa destinationpour faire la causette, conseilla au jeune d'aller le voir. Prestement, par timidité, ou pudeur, Paul baissa la tête sur sona ssiette et attendit. Un temps qui lui sembla éternel passa jusqu'au moment ou le garçon s etrouva en face de lui. - Excusez moi Monsieur fit le jeune , je crois que vous montez sur Paris...... Paul releva le regard et constata avec joie que le côté pile était aussi savoureux que le face. - Oui fit il, tu veux que je t'emméne.... Le garçon approuva avec un sourire. - Je te pose à Rungis après tu te débrouilles ok. Il laissa le temps au garçon de déjeuner et ils partirent vers le camion. Le garçon était étudiant, s'appellait Jérome et regagnait la capitale après ses vacances. C'était une belle histoire qui n'intéressait que moyennement le routier. Le voyage avait repris et le garçon tenait le crachoir une vrai pie. De grosses gouttes de sueurs coulait de son front, et s'étalait sur son jean. - Tu veux pas enlever ta veste fit Paul très straight. - Vous n'avez pas la clim fit jérome. - Non le patron n'a pas les moyens. Jérome retira sa veste en jeans et laissa Paul admirer involontairement son torse, ses pecs, et sa tablette d'abdos bronzés. C'était trops pour le routier qui commençait à s'imaginer des choses. PLus les kilométres passaient, plus la chaleur montait plus Paul désirait l'étudiant torse nu et en Jeans moulant. Deux ou trois fois par mégarde, il avait effleuré la cuisse de son compagnon de voyage déclenchant une érection aussi soudaine qu'effrayante pour qui avait ou n'avait pas l'Oeil. Les couleurs semblait avoir été levé dans le boxer. Etrangement calme, soudainement, Jérome était émerveillé par le paysage. Il commentait les collines et les prairies sans jeter le moindre regard à Paul. N'y tenant plus, Le routier sortit de la voie principale et emprunta une route secondaire avec moins de passage. IL se gara dans un endroit calme