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Sex Bomb ou Sex Machine ?

by CoolFucker


After hours L'ambiance est bonne, dans ce bar de la Rive Droite, et personne n'a envie de partir. Il n'est que deux heures du matin, le DJ commence sa soirée avec quelques morceaux funky, quelques personnes dansent. Tout le monde est un peu euphorique, les musiciens qui ont joué tout à l'heure sont restés là, sirotent une bière bien méritée en discutant avec des clients, au bar. Les sourires sur tous les visages facilitent les contacts. C'est la troisième fois que j'en échange un avec ce mec. Genre minet propre sur lui, petite vingtaine d'années, très blond, cheveux mi-longs dont les mèches n'arrêtent pas de lui revenir dans le visage, et qu'il balance en arrière d'un mouvement de tête. - Ils sont vraiment bons ! - Ouais, je me suis régalé ! J'ai acheté leur album par curiosité mais je ne l'ai pas regretté !" Nous avons engagé la conversation comme ça. Lui aussi a acheté l'album du trio. Tout de suite, ses connaissances en matière de jazz m'impressionnent. C'est un véritable amateur. Un fils à papa aussi, mais bon, avec une discothèque jazz qui frise les 500 albums, quelqu'un de respectable ! Remarquez qu'il en a autant de musique classique, mais sur ce terrain là je n'ai pas envie de poursuivre la conversation. Une fois sorti des Quatre Saisons de Vivaldi et de la Petite Musique de Nuit de Mozart, je ne connais pas grand chose à cet univers. - Je suis sûr que tu te trompe. si je te fais écouter des morceaux classiques, je suis sûr que tu les reconnaîtras. C'est juste que tu n'as pas en tête le nom du compositeur !" C'est bien sympa de discuter gentiment, mais le DJ vient de mettre "Sex Machine", de James Brown, et je ne résiste jamais à ce morceau. Surprise, nous nous levons d'un même geste pour aller nous déhancher sur la piste. Pas évident de danser en même temps que lui sans trop avoir l'air de danser avec lui. Et pourtant, c'est ce dont j'ai envie. Il danse vraiment bien, sans se la jouer playboy. Et il est de plus en plus évident qu'il me cherche du regard. Quand "Sex Bomb" de Tom Jones éclate dans les hauts parleurs, nous levons un même sourcil mi-inquiet mi-amusé (quoi, des tubes dans un lieu aussi branché !), sans pour autant arrêter de danser, avec des coups de bassins bien appuyés pendant le refrain, qui nous font éclater de rire. A bout de souffle, nous nous éloignons de la piste. Il me met la main sur l'épaule et approche sa bouche de mon oreille : - Moi, je me suis toujours méfié des bombes sexuelles ! - Ah bon ? Pourquoi ? - Parce qu'elles n'explosent qu'une seule fois !" Nous éclatons de rire. Son regard brille, il est légèrement rouge, la sueur perle sur son front et j'ai soudain envie de lui rouler une pelle, là tout de suite, devant tout le monde. Sans doute l'effet de l'alcool. - S'cuse-moi, je vais aux toilettes !" Je me faufile jusqu'aux urinoirs et, un peu groggy, je sors ma bite en attendant que l'envie de pisser me reprenne. Quand j'ai bu, j'ai la vessie un peu paresseuse, je n'y peux rien. Soudain, le voilà à côté de moi, défaisant laborieusement sa braguette. Curieux, je jette un regard qu'il surprend. Il me sourit malicieusement et se branlote doucement, bandant à moitié. Soudain sa pisse jaillit et il reprend son équilibre pour ne pas éclabousser les alentours. Dès qu'il a fini, il remballe son équipement et sort. Je me sens un peu con. Et toujours pas envie de pisser. En sortant des toilettes, je le cherche du regard. il est debout dans un coin, appuyé au mur et regarde vers moi, comme s'il m'attendait. Je vais vers lui, mais le voilà qu'il se dirige vers la sortie en me faisant signe de le suivre. Dehors, l'air frais de la nuit nous dégrise. Mis à part quelques bars, la ville est calme. Nous marchons en silence, et nous dirigeons vers un quartier résidentiel? Nous nous arrêtons devant un bel immeuble en pierre de taille. - J'habite là, dit-il. Tu veux monter ? - Pour écouter de la musique ? - Non, pour baiser." Dans l'ascenseur, je lui roule une pelle voluptueuse et sauvage, explorant sa bouche de ma langue tandis que ses lèvres s'ouvrent sur un gémissement de plaisir. Il caresse mon crâne rasé puis s'attaque à ma ceinture et à ma braguette. Arrivés sur son pallier, il me fait sortir de l'ascenseur, le pantalon sur les chevilles, s'agenouille devant moi et prend ma bite dans sa bouche jusqu'à la gorge. Sa langue virevolte autour de mon gland qu'il baigne de salive brûlante. Ses mains courent sur mes cuisses, mes fesses, soupèsent mes couilles, les font rouler tandis que mon gland cogne au fond de sa bouche, l'étouffant sans doute. Submergé par le plaisir, je passe ma main dans ses cheveux blonds, lui caresse les oreilles, le cou, les épaules. Aussi soudainement qu'il a commencé, il s'arrête, se relève avec un sourire pervers au coin des lèvres, fouillant dans sa poche pour en extraire sa clé. Pendant qu'il ouvre la porte, je commence à me déshabiller, sur le pallier, et je balance mes fringues à l'intérieur. En un instant, je suis complètement nu. Il referme la porte et retombe à genoux, comme en adoration, devant mon chibre qu'il agace de longs coups de langue et parsème de baisers. Il a l'air presque essoufflé par son excitation. De ses mains libres, il se déshabille, révélant une peau douce, un corps harmonieux d'éphèbe grec. Je le prends par les épaules, le relève, et le pousse vers le canapé-lit qui occupe un mur de son studio. Une fois qu'il y est assis, je l'attrape derrière les genoux et le tire vers moi avant de lui écarter les jambes et de plonger sur sa bite que j'avale d'un coup. Elle est courte, massive et droite, avec un gros gland en forme de prune qui laisse suinter des gouttes de liquide salé dont je me régale avant de le prendre entièrement, mes narines ouvertes pour humer le musc de ses poils pubiens. Au bout d'un moment, je le tire encore plus vers moi et je bascule ses genoux vers ses épaules, exposant ses couilles et sa raie culière. Dans l'obscurité presque totale, c'est du bout de la langue que je détecte quelques poils fins que j'englue de salive avant de commencer à lui mordiller le pourtour de l'anus et de virevolter autour de son orifice. Je remonte une main jusqu'à son visage et je viole sa bouche avec deux doigts qu'il couvre de salive, avant que je les introduise précautionneusement dans son cul. Manifestement, il a déjà servi, puisqu'il s'ouvre sans résistance, offrant un manchon brûlant et doux à mes doigts. Je les fais pivoter doucement pour l'élargir, écrasant sa prostate que je caresse en lui léchant les couilles. Il me tape doucement sur la tête et quand je lève mon regard, c'est pour le voir me tendre avec un sourire une capote sortie de son étui. Le temps que je la déroule sur ma bite, il a récupéré un tube de gel derrière un coussin et s'en badigeonne le cul de deux doigts qu'il enfonce en se mordant les lèvres. C'est le moment de vérité. - Baise-moi." C'est dit d'une voix égale, troublante parce qu'elle exprime à la fois le désir qui le fait défaillir et la détermination de ce minet qui sait prendre son plaisir où il le trouve. Je me redresse, mon bassin est juste à la hauteur du canapé et, tandis que mon gland s'écrase dans la raie de son cul, je passe un bras derrière sa nuque pour amener son visage au mien et l'embrasser pendant que je m'enfonce en lui. Nos lèvres se séparent parce que nous crions tous les deux. Moi de plaisir, lui de douleur sans doute. Enfoncé à moitié, ma bite étranglée par son anneau chaud musclé, je fais une pause. Je l'embrasse, lui caresse la poitrine, les cheveux, je lui suce les seins en attendant qu'il s'ajuste progressivement. Puis ce sont ses mains sur mes hanches qui me demandent de commencer à aller et venir en lui, coulissant de plus en plus profondément jusqu'à ce que mes cuisses claquent contre ses fesses brûlantes. Nous nous penchons en même temps pour voir ma bite qui disparaît en lui et réapparaît dans un va-et-vient voluptueux, qui s'accélère progressivement avec nos gémissements. - Yes man, give it to me ! Fuck me goddammit ! Yeah !" La baise le rend lyrique et le rebord de mon gland qui racle sa prostate envoie à son cerveau des ondes de plaisir qui le font défaillir dans la langue de Shakespeare, pardon, de Miles Davis. Les mains crispées sur ses épaules, je coulisse en lui de plus en plus vite, savourant les frissons qui courent dans ma colonne vertébrale et font remonter mes couilles dans leur sac. Nous sommes couverts de sueur, il enfonce ses doigts dans ma bouche pour que je les lubrifie et se branle vigoureusement. Son corps magnifique est pris de tremblements, sa rondelle se contracte violemment contre mon piston et il se cambre en criant d'une voix étranglée. Le choc humide et tiède de son sperme qui gicle sur ma poitrine me dit qu'il a joui. De sa main rendue visqueuse par le foutre, il me pince le téton tandis que son autre bras m'attire vers lui. Il m'embrasse puis me murmure à l'oreille, comme une litanie "Come on baby, give it to me, come on, come on. Give it to me". Il me prend l'oreille dans sa bouche, la lèche, la machônne, y souffle. Cette sensation me rend fou de plaisir et j'explose en gémissant dans son cul, déversant mon trop plein de plaisir dans la capote. Après les derniers jets, je coulisse encore doucement en lui pour savourer les dernières étincelles de jouissance dans son cul qu'il contracte au moment où je me retire en tenant la base de la capote. J'ai envie de m'effondre sur la moquette, mais je me rappelle qu'il n'aime pas les bombes sexuelles. Je me dirige à tâtons vers la salle de bain et je savonne puis rince ma bite à l'eau froide. C'est ma technique pour revenir plus vite à l'attaque. D'ailleurs, quand il vient derrière moi pour voir ce que je fais, en me caressant les fesses et en m'embrassant dans le cou, je sens déjà une douce chaleur qui monte dans mon bas ventre. Je prends sa main chaude et douce que j'enroule autour de ma bite qui rebande déjà. - It ain't over till it's over baby !" Eh oui, la nuit ne fait que commencer ! -------------------------------------------------- J'espère que cette histoire vous a plu. J'apprécierais beaucoup vos commentaires et opinions sur les histoires que j'écris et sur vos fantasmes. Mon E-Mail : CoolOthello@hotmail.com ve Due to international translation technology this story may contain spelling or grammatical errors. To the best of our knowledge it meets our guidelines. If there are any concerns please e-mail us at: CustomerService@MenontheNet

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Sex Bomb ou Sex Machine ?

After hours L'ambiance est bonne, dans ce bar de la Rive Droite, et personne n'a envie de partir. Il n'est que deux heures du matin, le DJ commence sa soirée avec quelques morceaux funky, quelques personnes dansent. Tout le monde est un peu euphorique, les musiciens qui ont joué tout à l'heure sont restés là, sirotent une bière bien méritée en discutant avec des clients, au bar. Les

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Web-04: vampire_2.0.3.07
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