Gay Erotic Stories

Le jeune metis qui dansait sur la piste avait un sacre beau cul, et les regards que j'accrochais me prouvaient que, lui aussi, m'avait remarque. La nuit etait chaude dans cette boite d'Avignon, et ma pine gonflait a chaque beau cul que je frolais. J'avais besoin de tirer. Je m'approchais de ce mec, et lui glissais a l'oreille "Moi c'est ******, et toi ?". Il me repondit "Jean" et ajouta aussitot "Je ne voudrais pas te decevoir, mec, mais ce soir c'est d'une bonne queue dont j'ai envie, et j'ai deja un mec en vue". Pour l'autre mec, pas de probleme, je sais attendre, et cote bite, j'ai ce qu'il faut et je sais m'en servir, lui expliquai-je en caressant la courbe de son cul. Un peu plus tard dans la soiree, son coup ayant l'air de tomber a l'eau, Jean m'expliqua qu'il etait bi et qu'il venait chercher ici les sensations que sa copine ne pouvait lui apporter. Malheureusement la plupart des mecs qui repondaient a ses regards se revelaient soit passifs soit pietres baiseurs. Lorsqu'il me proposa d'aller prendre l'air je sus que son cul etait a moi. J'etais a l'hotel avec des amis, lui en vacances chez ses parents. Pas d'autre solution que de sortir de la ville et de trouver un endroit tranquille dans la nature. Rien de bien romantique sur le chemin, et cul de sac dans une carriere abandonnee ou il fallut faire demi tour. Jean voulut neanmoins s'arreter pour pisser et je le vis s'eloigner un peu et liberer un jet puissant. A son retour, j'etais sorti de la voiture, et lui roulais une gamelle d'enfer avant de le forcer a s'agenouiller. Jean n'opposa aucune resistance et se jeta voracement sur la forme du jeans, impatient de mesurer le calibre qui lui etait promis. Je dus le calmer pour qu'il n'arrache pas la braguette, et lui ordonnais de prendre son temps. J'enlevai mon debardeur et ordonnais a Jean de se deshabiller entierement. Il s'executa, ne gardant que ses Cater et un slip qui moulait un paquet genereux. A genoux a nouveau, mon metis reprit son travail et avec douceur degagea la queue et les couilles de mon slip pour les lecher a tour de role. Je l'encourageais en lui limant tranquillement la gueule avec mon braquemart gonfle a bloc. Ce mec etait un excellent pompeur, discipline et attentif a mes desirs. J'allais pouvoir le recompenser. Je le remis debout et lui tendis un sachet de lubrifiant. Il enleva son slip et se prepara le trou de balle pendant que je deroulais une capote sortie de ma reserve "king size". Appuye contre la voiture, Jean se mit en position et poussa un soupir d'impatience lorsque ma pine vint se glisser entre ses fesses. Je dus forcer un peu car il etait encore serre et je sentis ma queue aspiree par son cul. "Doucement" me dit-il "je n'ai pas l'habitude d'un tel morceau". Le cul de ce mec vibrait de plaisir et je commencais un lent va et vient qui s'accelera au fur et a mesure de ses gemissements. Chauffe a blanc, je pus enfin le bourrer comme il le reclamait. Putain, que c'est bon ! Au bout d'un long moment, j'eus envie de mater son materiel et je lui proposai de s'allonger le dos sur le capot encore chaud.Il cala ses jambes sur mes epaules et s'ouvrit a nouveau a ma bite. C'etait un sacre morceau qu'il branlait maintenant, plus court que le mien mais plus epais et circoncis. A l'ecouter sa copine en etait folle et lui offrait regulierement des pipes hors du commun. Je repris mon travail de forage, stimule par les grimaces de plaisir qui ponctuaient chaque coup un peu fort. Literalement defonce, Jean se laissait maintenant completement aller et n'hesitait plus a crier le plaisir que lui apportait ma grosse queue. Ses cuisses musclees enserraient mes fesses et rythmaient la penetration. Sentant la montee inexorable de ma jouissance, j'accelerai mes coups de bourre et finis par exploser au fond de son cul, remplissant la capote d'un torrent de foutre. Je sentis alors mon metis jouir a son tour et liberer de longues salves blanches sur ses abdos couleur cuivre. Si tu te reconnais dans ce recit, contacte moi bomale@hotmail.com !