Gay Erotic Stories

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Une Dure Initiation (suite)

by Steve Quentin


Suite du premier épisode "T’aimes les gonzesses ? Quand tu te pognes, tu penses à des chattes bien gluantes ? " " Ouais, j’aime ça, et je me touche en mettant mes mains dans mes poches " . Yves lui pince et lui tord méchamment les têtons " on va te reprogrammer, mon gars, tu dois bander et te masturber en pensant uniquement à des mecs, allez, touche-toi et dis des sales trucs genre PD " Stan a compris qu’il valait mieux obéir, il se touche doucement la queue à travers son slip, se masse le noeud à deux mains tout en prononçant des trucs qui lui écorchent pas mal la gueule, genre " ah ! le beau mec, je voudrais bien qu’íl me mette sa bite dans le cul ", ça ne fait pas très naturel, mais avec le temps il finira par s’y faire. Son slip se gonfle, ça pue le mec qui se néglige et qui se tripote trop souvent, Stan bande super mais on l’oblige à continuer sa masturbation à travers son slibar, Gérard le renifle et Yves fait de même de l’autre côté, ça fume ! ! Ca bouge sous le coton jauni et Hop ! Un, deux trois, quatre bonnes giclées de sperme dans le slip. Yves prend le tissu humide dans sa bouche : " C’est de la bonne et t’as mis la dose, mon salaud ! " Gérard : " Allez, continue à te masturber, t’as encore des réserves, j’vais t’aider un peu " Gérard lui lèche les couilles, sort sa bite un peu flasque du slip et la lui suce goulûment, il y met la gomme, pendant ce temps-là Yves lui fait sucer la sienne. Après quelques minutes de ce traitement, les deux engins sont au garde-à-vous, et prêts à servir. Gérard remballe la paquet qu’il a sucé dans son emballage, le slip déguelasse qui les excite, et commande à Stan de reprendre sa masturbation. Stan secoue son pacson, et exécute l’ordre qu’on lui a donné pendant qu’Yves qui n’est pas très sympa recommence à le baffer généreusement et à lui faire humer et sucker son noeud à lui, il lui titure les oreilles et Stan souffre au point qu’il arrête de se toucher, ça ne plaît pas à Gérard qui met un gant de crin et qui poursuit la masturbation de façon plus sévère, la queue de Stan devient toute rouge et quelques gouttes de sang perlent ici et là, Gérard intensifie sa friction, Stan gueule et jute à nouveau dans le gant de crin que Gérard lui fout ensuite sur la tronche en frictionnant vigoureusement, Yves encule à nouveau Stan et le lime sur toute la longueur de ses 28cm, sortant à chaque fois la tête de son noeud pour forcer à chaque fois le sphincter et lui arracher des cris qui l’excite, ça n’en finit pas, Stan implore ses bourreaux qui sont sans pitié. Yves gicle au fond en hurlant des horreurs. Changement de décor, on est au cœur d’un forêt paumée dans un pays dirigé par un dictateur, et dans cette forêt est installé un camp disciplinaire de l’armée. On y redresse les fortes têtes et on essaye de viriliser les mauviettes, le but, c’est d’avoir à la sortie, des hommes sans scrupules ni trouilles d’aucune sorte. On amène aujourd’hui une dizaine de nouveaux qui viennent de descendre d’un camion qui fait tous les mois la navette entre la ville et le camp. Les bizuts ont eu les yeux bandés et les chevilles entravées pendant tout le voyage, ils sont maintenant alignés dans la cour numéro 1, avec ordre de ne pas bouger, en attendant le caporal qui va s’occuper d’eux pour leur intégration. Sur les dix nouvelles recrues, il y en a 3 qui ont été condamnées au CD pour désobéissance répétée, un pour avoir molesté et enculé un gradé, sûr qu’on va lui réserver un traitement spécial à celui-là ! et les 6 autres sont là parce qu’ils sont puceaux dans tous les domaines et qu’il faut en faire des hommes. Les hommes sont dépouillées de leur nom et numérotés suivant la catégorie à laquelle ils appartiennent, les fortes têtes ont un numéro entre 1 et 100, les indisciplinés entre 100 et 200 et les mauviettes au delà de 200. " 104, A poil ! 205, 206, 207 à poil !...... à poil complètement, on enlève le slibar, on montre sa petite queue ! Pas si petite que ça, mes salauds ! Le 104, tu lèches le cul des trois autres, c’est sûr que ça doit sentir et avoir le goût de la merde, normal, allez, au trot ! Ecartez les jambes, les trois puceaux." Les trois gars écartent leurs jambes couvertes de poils noirs, ça fait un moment qu’ils sont trimbalés, et la dernière douche qu’ils ont prise n’est plus qu’un lointain souvenir, bref, ça pue, ça schlingue, ça daube, tous ces mecs, montés comme des ânes, qui viennent de se déloquer, les slips sales ont été mis de côté. Le 104 commence son travail, il est à genoux, il a les mains attachées derrière le dos, il lèche la bite du 205, un morceau fumant qui tressaute sous l’effet des coups de langue. Il fait ça par derrière, il a la gueule exactement sous les couilles de l’autre, il les lui lèche , les poils sont collés entre eux par la merde séchée, le 205 n’est pas trop habitué à une pareille gâterie et il a du mal à se retenir, il a honte de bander devant tout le monde, mais c’est un fait qu’il bande, et c’est impressionnant ! Le 104 continue d’astiquer la hampe de cette queue qui n’a jamais été si bien traitée et qui jute, que c’est une vraie giclée de taureau ! 5, même 6 giclées, tu veux dire ! L’instructeur gueule : " Salopard ! tu vas morfler ! C’était interdit de jouir " Il s’approche du jouisseur précoce, lui attrape le paquet et lui tire méchamment sur les burnes. Il les lui malaxe avec énergie et le 205 implore pitié, c’est un mec doté d’un gros sexe mais qui ne s’en est jamais servi, un fils à maman quoi ! catho , puceau, bourré de complexes. L’instructeur qui s’appelle Marc lui lâche enfin les noix, mais c’est pour empoigner une vieille cravache dont il frappe les fesses du 205, une dizaine de coups pas trop appuyés, c’est du gentil, n’empêche que ça laisse quelques traces et que le 205 pleure et crie comme un putois, marc prend un des slips et le lui enfourne dans la gueule, un slip jaune de pisse et de sperme séché, le slip qui daube à 100 mètres ! Il a envie de gerber, le jeune puceau de 205 à sa maman ! Mais j’crois pas qu’il ait intérêt, on lui ferait bouffer sa gerbe. Marc : " on va s’occuper du 104, pendant ce temps-là emmenez-moi tous les puceaux en préparation d’usinage ! Alors, mon gars, toi t’es pas puceau, même que t’as enculé un gradé avec ta grosse teub ! Tu vas le regretter, crois-moi, car c’est moi qui vais organiser ta punition, et je suis un spécialiste des punitions méchantes ! On va commencer par un peu d’exercice physique, accroche ce sac sur ton dos ! Ouais, il est lourd, il est bourré de cailloux, mets ces vieilles reebok, et tu vas me faire, à poil et en courant, vingt tours de piste, et au trot ! " Le 104 s’exécute sans rien dire, le voilà parti avec ses godasses trop grandes qui ne vont pas tarder à lui foutre des ampoules, le soleil tape, il est déjà en sueur avant de démarrer, son gros sexe ballotte à chaque foulée qu’il fait. " Jean ! Surveille ce salopard pendant que je m’occupe des bizuts ! Quand il a fini ses 20 tours, tu lui donnes quelques coups, tu lui charges un peu plus le sac, et tu le refais partir pour 20 tours de mieux ! Fais-le courir vite, il n’est pas là pour traîner et se la couler douce ! " Marc se dirige en petites foulées jusqu’au bâtiment d’intégration, ; à son arrivée il voit les bizuts toujours à poil, et leurs " tuteurs " ; chaque nouveau est attribué à un duo d’anciens parmi les plus coriaces, ceux qui ont été punis à des peines d’enfermement. après un mois de cohabitation avec leurs tuteurs, ou bien les bizuts ont appris à vivre,, ou bien plus personne n’entend plus parler d’eux ! " Bizuts ! Bites en pogne ! Décalottez quand vous m’écoutez ! Vous devez une obéissance absolue aux anciens, il peuvent vous baiser, vous torturer, je n’interviendrai jamais, démerdez-vous, si vous faites des conneries ou si vous venez vous plaindre, attendez-vous au pire ! Qu’on enferme les anciens et les bizuts dans leurs carrés ! " L’ordre est immédiatement exécuté, les bizuts, toujours la queue à la main, sont tirés, poussés, baffés par leurs tuteurs. Marc repart vers la piste où il a condamné le 104 à en chier, avec son tas de cailloux dans le dos. Le 104 a fait ses 20 premiers tours, son sac a été alourdi et il en est au cinquième tour de sa deuxième série, il est couvert de sueur et il paraît fatigué ; complètement à poil, son sexe ballote à chaque foulée, ses pieds sont en feu. Le fait est qu’il en chie, mais il ne se plaint pas et il continue à courir sous les hurlements de Jean. Marc le regarde effectuer ses 5 derniers tours avec un air souriant et mauvais. Le 104 s’arrête enfin devant Marc, essoufflé, car Jean l’a obligé à aller vite, son cœur bat à toute allure, et des filets de sueur tombent par terre. Méchant Marc ! Il lui marche sur les pieds avec ses grosses godasses, Oh ! ça fait mal, surpris, le 104 gueule et il se prend en plus deux superbes mandales qui le jettent au sol " Debout ! Raclure ! " Le 104 se lève et Marc lui prend le sexe et serre, serre et serre encore ! " Bon ! Monsieur est prêt pour le " Présentation " " On lui enlève son sac : " Allez ! Avance ! On va te présenter à tes maîtres , cours ! plus haut les jambes ! " Il arrivent dans une salle où se trouvent deux " officiers " en train de jouer aux cartes, ils sont un peu débraillés, deux gars superbes, bruns, velus et musclés " Qu’est-ce que tu nous amène, Marc ? un beau mec à larver, tu l’as bien préparé à ce que je vois ! Ouais ! Il a une belle queue et de superbes burnes, on va s’occuper de lui , ça va nous faire une distraction, ces cartes commençaient à nous emmerder, avec un enjeu c’est quand même plus marrant " " Je vous l’ai un peu échauffé, disons qu’il est prêt à servir, bon , salut ! Mes bizuts ont besoin que je m’occupe d’eux, je les ai confiés à leur tuteur, je vais voir comment ça se passe ! " " Allez, mec ! approche-toi et écarte les jambes, plus que ça, Didier, passe-moi un gros gode de nègre et un machin pour lui suspendre des poids au zob et au couilles, ouais ! ça marche Allez ! Ouvre ton cul ! mieux que ça, ouais ! J’y vais mon gars, tiens-toi bien ça va pas être tellement marrant pour toi vu la taille du gode, et il va falloir que tu te le mange tout entier ! " Paul enduit le gode de graisse, le104 se laisse faire, il sait que s’il se révoltait, ça serait largement pire. Paul présente la tête du gode devant la rondelle du 104 : disproportionnée ! Il va falloir que ça rentre ! Paul appuie, t’entends le 104 qui commence à geindre, on appuie plus fort , hum, c’est dur ! La rondelle se dilate, mais ça n’est pas encore assez, Paul force sèchement l’entrée, ça arrache un cri au 104 mais ça ne passe toujours pas, Paul enlève le gode, produit une grosse quantité de salive et se met à lécher le cul du 104, ça pue la merde, mais Paul il aime ça ! Nouvel essai : on appuie la tête du gode, et hop ! on enfonce ! ça y est c’est rentré. 104 a hurlé comme un âne quand son cul a été forcé , et il faut voir la gueule qu’il fait maintenant ! Paul enfonce lentement le gode sur toute sa longueur dans le cul de 104, ses grimaces sont assez marrantes à voir, il n’est pas de cet avis. L’opération gode étant terminée, on passe à la suite, un cockring de cuir autour de la queue, avec deux lanières pour séparer et serrer les couilles , bien ajusté ! Paul ne lui fait pas de cadeau ! Deux anneaux sur ces lanières permettent de suspendre des charges, Jean attache les bras du 104 à une barre horizontale assez haute pour que les pieds de 104 touchent à peine terre, d’où un étirement rapidement pénible, la séance va être longue et dure ! Jean attache des poids de 1kg aux anneaux des couilles, Marc joue avec le gros gode qui dépasse du cul, et que j’te le sors et que j’te le rentre, Jean s’empare d’une petite badine et se met à frapper gentiment d’abord et de plus en plus sévèrement le zob de 104, un zob énorme qui bande dès les premiers coups de badine. Marc donne un coup dans les poids qui se mettent à osciller et qui tirent d’autant plus sur les couilles du malheureux. " Le jeu est le suivant, mon gars, je vais essayer de te faire jouir avec ma badine et toi t’as intérêt à te retenir, car si tu jouis avant 5minutes t’as perdu, et si tu perds on tire au sort une punition, et il y en a qui ne sont pas vraiment des parties de plaisir, tu peux nous croire ! " Marc continue son jeu de piston avec le gode, et Jean tape sur la bite qu’il veut faire juter avant les 5mn, des petits coups rapides sous le frein : efficace, la queue se cambre, s’arque dangereusement pour son propriétaire mais pour le moment rien ne sort, Marc intensifie son branlage de cul, il fait sortir la tête et la fait rentrer à nouveau arrachant à chaque fois des cris atroces à 104, mais ce massage de prostate doit quand même lui faire du bien quelque part, car son zob se dresse furieux vers le ciel et est secoué de soubresauts qui pourraient bien lui faire cracher du foutre assez vite, deux minutes ont passé, Jean multiplie les coups de badine sur le frein tout en malaxant vigoureusement les burnes de 104, première giclée de foutre , jolie quantité ! puis deux, puis trois puis quatre, ça n’en finit pas, et encore une cinquième ! bon terminé. " On t’a eu, mon gars, à 4 mn, c’est à nous de rigoler maintenant, voyons quelle punition tu vas écoper ". Marc et Jean écrivent quelques punitions sur des bout de papier et mettent ces tickets gagnants dans un slip bien crad, raide de pisse et de jute:  1) bouffer une merde chaude, sans les mains et recevoir 20 coups de fouet  2) se faire enculer par 40 mecs bien membrés et les sucer avant et après  3) 3 jours non-stop d’entraînement et d’usinage  4) 3 jours sous l’autorité d’Olivier, ça vaut toutes les autres punitions réunies, car Olivier est un vrai méchant, de la merde c’est à tous les repas qu’il t’en fait manger, le fouet est un prolongement de son bras, il ne le quitte jamais, et il frappe sans prévenir, lui même a une bite de cheval, toujours en érection, et il prête ses esclaves à tout le monde, mais il les baise lui même au moins dix fois par jour.  5) 3 jours sous l’autorité de Gérard ; Gérard c’est le sadique à l’état pur, trois jours avec lui et tu sens plus tes burnes tellement il te les aura électrifiées, écrasées; t’auras le corps zébrés de coup de fouet et t’auras tellement bu de pisse, que tu pisseras toi-même à jet continu.  6) 8 jours de trou, à poil, régime alimentaire minimal, entravé, godé, après un passage à tabac costaud, le puni ne sait pas combien de temps le supplice va durer " Tirage au sort, mon salaud ! Tiens, prends ça en attendant ! " et Jean lui envoie un bon coup de poing dans les couilles, 104 est plié en deux sous la douleur, il a braillé comme un âne quand le poing de Jean lui a écrasé les noix, d’abord parce que ces petites choses là c’est sensible, mais aussi parce qu’il a été surpris. Il ne s’attendait pas à cette petite gâterie. Mais 104 sait encaisser, c’est un dur. Ses couilles sont en béton, elles en ont vu d’autres ! 104 se relève et prend un papier dans le slip avec ses dents : " ça pue, hein ? ça schlingue le mâle qu’a copieusement pissé et juté dans son slibar, hum ! sent comme ça sent bon ! " 104 a son papier entre les dents, Jean le lui prend et ne peut pas se retenir de lui donner une grande claque sur la gueule au passage, Jean regarde le papier : " t’as du pot ! punition numéro 1, la plus soft ! Bon c’est un début, tu ne perds rien pour attendre ", on sent que Jean est déçu, mais c’est lui qui va s’occuper de faire applique cette punition qu’il trouve trop tendre, à mon avis il trouvera un moyen de la rendre la plus sévère possible. " Marc, tu vas aux gogues chercher un mec qu’a une vraiment grosse envie de chier, prends en deux même, ça va lui servir de déjeuner et de dîner à not’ copain, hein ? " Jean lui tord méchamment une oreille, et lui attache les poignets à son collier de cuir, collier qu’il lui resserre d’un cran, histoire de l’étrangler un peu plus. Marc revient avec deux gars à poil, il les fait s’accroupir au dessus d’une tablette en bois , et tous les deux chient immédiatement deux longues crottes bien moulées et fumantes : " torche-les avec ta langue ! " 104 s’exécute avec difficulté, il s’est mis à genoux derrière les deux gonzes et il essaye de les nettoyer avec application , mais la merde colle aux poils et ça lui envahit la gueule. " plus profond la langue ! enfonce ta sale tronche dans leur cul ! " 5 minutes de léchages qui font bander les deux chieurs, ces deux salauds en profitent pour s’astiquer vigoureusement la queue, ils jouissent ensemble sur la gueule de 104. On les dégage, " Maintenant tu bouffes tes deux merdes sans faire d’histoire, et sans gerber surtout, car tu serais obligé de rebouffer ta gerbe ". 104 s’exécute, il fouille avec son nez, ses lèvres, dans la merde fumante et commence à la mastiquer et à l’avaler, il n’a pas l’air de trouver ça très bon, mais il continue : plus vite ça sera bouffé, plus vite il sera débarrassé de ce supplice humiliant ; privé de ses mains, il mange comme un chien et sa gueule est couverte de merde, la première assiette terminée, il s’attaque à la seconde avec la même énergie . Il a la gueule couverte de merde, 104 a tout bouffé comme on le lui avait ordonné; la deuxième partie de la punition risque de faire plus mal: 20 coups de fouet. "Pour recevoir ta punition, tu vas écarter les jambes et garder les bras en l'air, tu dois rester immobile malgré la douleur, si tu baisses les bras ou si tu bouges des pieds en dehors des cercles tracés sur le sol, tu es condamné à une punition supplémentaire" 104 se met en position sans dire un mot, sa grosse queue pend entre ses cuisses, Marc arrive avec une bouteille d'alcool, il la renverse sur bite et sur les burnes de 104 tout en les frictionnant vigoureusement; ça brûle! Et 104 reste impassible, les bras en l'air, et la queue bien dressée cette fois-ci. Il fait une sale gueule: ça chauffe rudement et ça désinfecte! La séance sérieuse va commencer, 104 a les bras en l'air, les jambes écartées, le sexe congestionné par la vigoureuse friction à l'alcool qu'il vient de subir, et le premier coup de fouet vient de lui tomber sur le dos. Marc a choisi un instrument au manche assez court, tout en cuir, terminé par un lanière large et lourde d'environ 50cm de long. Splash, splash, splash.. on en est au quatrième coup: le dos se zèbre de marques rouges, 104 a du mal à maintenir ses bras en l'air, mais il tient, il ruisselle de sueur, sa queue, énorme, est animée de pulsations autonomes. Splash, splash, splash, splash, splash.. deux coups sur le dos à nouveau, et trois coups sur les fesses. 104 tient bon, il ne jute pas non plus, et pourtant, Jean, qui est une vraie salope, lui tapote la base du gland avec une petite badine. Splash, splash, splash, splash, splash, le dos à nouveau; 104 émet un râle sourd et continu, mais il maîtrise sa queue, ses jambes et ses bras. Il reçoit les derniers coups sans broncher davantage, son dos saigne. Marc s'approche de lui, se colle contre son torse ruisselant, lui roule une pelle d'enfer tout en emmêlant ses jambes aux sienne, ils roulent tous les deux sur le sol, Marc empoigne le sexe tumescent de 104 et l'achève en quelques coups de poignet: 5 giclées de jute épaisse sortent de ce zob monstrueux. Marc est excité par le foutre et par le sang, par les cris, par la sueur, il encule 104 comme un furieux, lui pistonne le cul violemment et après 5 bonnes minutes d'un limage terrifiant, jouit en hurlant: "bordel! Bordel, Salaud, putain, sale enculé, la prochaine fois j'te jouis dans la gueule. Retournons voir ce qui arrive à 205, le jeune puceau monté comme un âne. Il a été soumis, comme les autres bizuts à la préparation d'usinage, c'est à dire que depuis qu'on l'a quitté pour s'occuper de 104, il a dû courir, à poil sous le soleil, un lourd sac de cailloux dans le dos, il a fait des quantités de pompes, couru à nouveau dans une sorte de tranchée en forme d'anneau, pleine de boue et de merde, et pendant qu'il courait et se cassait la gueule avec les autres bizuts, les anciens leur pissaient sur la gueule ; bref, il est crevé, couvert de sueur, de crasse, de pisse et de merde. "François et Tony: je vous donne le 205; à vous de faire son éducation, toutes les méthodes sont permises!" "est-ce que t'aimes les queues? Tu sais les gros pistons comme le tien ou comme le mien, tiens touche, ça va le faire bander" "Non, j'veux pas ce que vous faites est mal" "écarte les jambes, j'vais te sucer, tu vas voir si c'est mal" "Faites pas ça, j'suis pas pd" Tony se met gentiment à lui léchotter les burnes, et le gland, il fait doucement aller et venir le prépuce; ça daube, mais Tony n'est pas un mec dégouté Evidemment, Tony a de l'expérience et même avec les mecs coincés, sa technique de suçage branlage ne connaît pas d'échecs; le 205 bande comme une brute. Changement d'attitude brutal de François et de Tony: ils prennent un air dur et sévère. Tony: "t'as pas honte de bander comme ça, t'as une super grosse bite, mon gars, une queue aussi grosse que la mienne, et tu sais que je n’aime pas trop ça; tu vas être puni, parceque je suis sûr que tu as des pensées dégueulasses, pas vrai? Allez, réponds quand on t’cause! " Tony lui envoie une super mandale dans la gueule pendant que François lui passe la langue dans la raie du cul, 205 n’y comprend rien, il ne sait pas s’il doit jouir ou pleurer. " Allez ! Dis nous à quoi tu penses quand mon copain te lèche la raie, cette raie pleine de merde puante, hein ! raconte un peu ! " Tony lui décalotte le gland, le lui pince, le lui crible de pichenettes et puis il met un gant de crin et le lui frictionne virilement : faut voir l’engin ! Enorme, violacé, au bord de l'apoplexie, mais rien qu'au bord, il ne faudrait pas qu'il jouisse trop tôt Le 205 se met à chialer, un grand garçon comme ça! Il ne sait plus où il en est. François: " Alors comme ça on pleure, on va appeler sa maman? En attendant, mon gars, tu vas te branler devant nous en même temps qu'on va te dérouiller, tu vas nous dire des trucs dégueulasses en te branlant, et si ça n'est pas assez crade, on tapera plus fort. Allez, vas-y!" Le 205 commence timidement à se masser le paquet à travers son slip crad. Il ose un "J'vais me masturber" Splash! Ce pauv' 205 vient de se prendre une superbe mandale dans la gueule. "Masturber, mon cul; tu dois dire branler, pogner. Exercice: tu vas hurler, j'ai dit hurler, alternativement ces deux mots dix fois chacun, et t'as pas intérêt à te tromper, à chaque mot tu reçois un coup et tu dis merci maître, et tu t'arrêtes pas de t'astiquer le noeud! J'espère pour toi qu't'as compris le jeu." "BRANLER" jute après, 205 reçoit un coup de cravache bien cinglé sur les fesses, il s'astique le noeud , mais sans énergie, et ça ne plaît pas à François qui lui attrape le paquet et qui lui montre comment il faut s'y prendre. "POGNER" cette fois-ci François lui balance un coup de poing dans le foie, plié en deux, le 205, il en oublie sa petite branlette. Allez! Remets-toi, mauviette, et branle-toi! Tu dois juter à la fin du jeu, pas avant, pas après! T'entends? Connard? "BRANLER" Tony a choisi une matraque en caoutchouc, il en envoie un bon coup sur la hanche du 205, ça a l'air de faire mal, très mal! Mais il faut s'astiquer, sans relâche, il a une trique du tonnerre ce 205, sa bite est énorme, gluante, violacée, superbe. François, le vicieux lui malaxe gentiment les burnes. "POGNER" Quel salaud, ce François, il lui fout un terrible coup de genou dans ces mêmes couilles qu'il tripotait si gentiment tout à l'heure! 205 s'effondre parterre, et se roule en geignant comme un gosse. "allez! Debout larve! Et reprend vite ta branlette sinon tu vas le regretter, allez! 205 se lève difficilement, sa queue est redevenue flasque, elle pend lourdement sur ses burnes en feu. Il s'astique courageusement et son engin reprend vite des forces. "BRANLER" Tony a repris sa matraque et l'a fait de nouveau tomber sur la hanche de 205 qui crie sous la douleur. Allez, branle toi, branle toi raclure de chiottes, on va te l'arracher, ton sperme! Donne tes impressions à Steve Quentin schwanz19@hotmail.com Due to international translation technology this story may contain spelling or grammatical errors. To the best of our knowledge it meets our guidelines. If there are any concerns please e-mail us at: CustomerService@MenontheNet

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