Gay Erotic Stories

Vive la grève des routiers ! Ca c’est des mecs et je sais de quoi je parle. Voilà ce qui m’est arrivé pendant une grève des routiers. J’habite une ville de la banlieue parisienne et pas loin de chez moi il y a un endroit ou les routiers se retrouvent. J’y vais parfois le soir. Mais ce matin-là, vers neuf heures, alors que je descendais pour aller à la poste, j’aperçois quatre camions, et, appuyé contre la portière, un homme d’une trentaine d’années, les cheveux très courts, bruns. Je le regarde, il n’est pas mal du tout. Il est là, désoeuvré, le regard dans le vide à attendre. Sûrement gréviste me dis-je. Et comme il semble sympa et qu’il a l’air de s’ennuyer ferme, je m’approche de lui. Histoire d’engager la conversation, je lui lance : « bonjour, il fait pas chaud hein ? ! » Il me regarde à son tour en souriant et me dit : « Non et en plus ça fait déjà deux jours que je suis bloqué ici et ça pourrait bien durer une semaine ». La glace est rompue et nous voilà bientôt à discuter de tout et de rien. Au bout d’un moment, je lui propose de venir boire un café à la maison. Il accepte volontiers. Il me raconte sa vie : 32 ans, divorcé et un peu seul, c’est dure la vie de routier, toujours sur la route à bouffer du bitume.... « Et toi ? » me demande-t-il. « Moi, je suis célibataire, j’habite tout seul et en vacances en ce moment pour 15 jours. » Et comme je vois qu’il a l’air fatigué, j’ajoute : « si vous avez besoin de quelque chose et que je peux vous rendre service, ce sera avec plaisir ». Il sourit. « Conseil d'administration c’est sympa, je prendrais bien une douche mais mes affaires sont dans le camion, je reviendrai plus tard ». La journée passe et il n’est toujours pas revenu. Le soir, vers 22 heures, on sonne à la porte. J’ouvre, il est là, l’air gêné, un petit sac à la main. « J’espère que je te dérange pas à cette heure ? - Bien sur que non je t’attendais, entre donc ! - Ca tient toujours pour la douche ? tu sais, ça fait trois jours que je me suis pas lavé, alors, franchement, si c’est possible... » Je lui montre la salle de bains. Il commence à de déshabiller. Moi je regarde car il a laissé la porte légèrement entrouverte. Quand je l’ai vu à poils, j’ai eu peur ! une bite énorme qui pendait sur deux couilles grosses comme deux prunes ! Il sort de la douche, une serviette autour de la taille : « je suis un peu gêné, mon slip est sale et j’ai oublié d’en prendre un propre ! Je lui réponds : « pas de problème, je vais te le laver et le mettre sur la radiateur, il va être très vite sec ! - T’es vraiment sympa comme mec ! et nous discutons de choses et d’autres mais mon regard revient sans cesse sur sa serviette ou je peux deviner la bosse que fait sa pine. Je lui demande, intéressé : « ou vas-tu dormir ? - Dans mon camion ! - Oh mais tu serais beaucoup mieux à la maison ! ». Et comme ça a l’air de lui convenir, je me jette à l’eau : « je n’ai qu’un lit... » Il sourit : « ca n’a pas d’importance si tu n’as pas peur de coucher avec un homme... » Je lui propose un pantalon de pyjama mais il me dit que ce n’est pas la peine car il n’en porte pas pour dormir, il dort en général tout nu. Nous nous couchons. A peine me suis-je glissé dans les draps près de lui qu’il me dit : « tu as l’air très salope tu dois aimer la bite, toi ! Tu vas en prendre car ça fait huit jours que j’ai les couilles pleines et tu vas m’aider à les vider. Tu vas la sentir ma queue ! ». Et il me la met dans la bouche en m’ordonnant de sucer à fonds. Je ne me fais pas prier, j’embouche sa grosse pine et je le pompe puis je lui suce les couilles... Après il me fait mettre à 4 pattes et me défonce comme une bête. Il m’a fait hurler de plaisir toute la nuit, il a joui 5 fois dans la nuit. Le lendemain, j’avais le cul défoncé. pendant que je lui prépare le café, il me dit : « A ce soir ma petite salope, je vais t’en remettre plein le cul et ça pendant toute la grève. » Effectivement, il est resté chez moi et m’a baisé toute la semaine. Depuis à chaque fois qu’il passe par ma région, il me téléphone et vient coucher bien au chaud chez moi. Il repart les couilles bien vidées. Due to international translation technology this story may contain spelling or grammatical errors. To the best of our knowledge it meets our guidelines. If there are any concerns please e-mail us at: CustomerService@MenontheNet