Gay Erotic Stories

Durant l’été, j’aime bien me balader en moto sur des routes sinueuses et peu achalander. Je pilote un moto sport, une CBR900RR. Merveilleuse machine à piloter, je ne prend aucun risque et j’enfile, à tout occasion d’une balade, mon habit de cuir. D’un noir reluisant, je couvre mon corps, souvent presque nu, de ce bouclier bien ajuster.

J’enfile ma moto, fixe mon casque et glisse mes mains dans mes gants au protecteur en fibre de carbone. Dês le moment oû je tourne la poignée des gaz, la vibration du moteur me donne une érection. La queue collée contre le réservoir d’essence, je ressens directement cette sensation exaltante.

Je parcours plusieurs kilomêtres afin de me rendre sur ma route préférée. Cette piste, en montagne, à plusieurs courbes et longs droits. J’en profite pour pousser ma bécane à fond et développer un moi des sensations forte. Aprês quelques kilomêtres de parcours, j’aperçois au loin un mec, avec un moto, arrêté au bord de la route. J’arrête prês de lui.

À mon arrivée, je lui demande s’il a un problême. Il m’indique qu’il n’ a plus d’essence et me demande si je pouvais le dépanner. Nécessairement, entre mec motard, on doit se rendre service. Je l’invite à monter sur ma moto.

En montant, il me dit son nom : David. Le mec devait mesurer 1m90, mince et solide. Il revêtait aussi un cuir complet de motard au couleur de sa moto, une GSXR1000 bleue, blanche et rouge. Assis derniêre moi, je pouvais ressentir la forme de son sexe contre mon dos. Il était bien collé, cuir à cuir.

Au départ, il avait posé ses mains contre mon réservoir d’essence pour se tenir. Plus on roulait et plus ses mains glissaient et se rapprochaient de ma taille. Dês que j’ai accéléré un peu plus, il posa directement ses mains gantés de cuir sur moi. Je me mis à bander, mon sexe devenait de plus en plus dure à sentir le corps solide de ce mec que je ne connaissait pas se serrer contre moi.

Je me suis vite rendu compte qu’il était tout autant excité que moi. Dans mon dos, sa queue durcissait. Ses mains se sont séparés pour en garder une sur mes abdominaux et l’autre pour se positionner sur la queue couverte par mon cuir. La sensation était intense. Un mec que je ne connaissait pas me tripotait la queue en pilotant ma moto : c’était dangereux. Quelques kilomêtres et j’en pouvait plus, j’ai dú m’arrêté.

Sur le bord de la route, je me retourne vers David. Il leva sa visiêre fumée pour me permettre de voir ses yeux d’un bleu cristal.

Je lui lance :ª David, ne fais pas ça! C’est dangereux, on pourrait se tuer! »

ª Je sais, excuse moi. Tu m’excite au maximum. Un mec en cuir ça me rend fou. »

Il détache la courroie de son casque et le retire. Il libêre une chevelure blonde, longue et légêrement bouclé. Il a un visage carré au trait três masculin, un teint basané et une barbe de deux jours. Il a un look viril.

Je lui demande ª Que fais-tu? Tu ne veux pas que l’on se rendre à une station service pour de l’essence? »

ª Ça peut attendre. On pourrait profiter de quelques instants ensemble. Viens, stationnes ta moto dans le petit sentier, on ira jaser dans le sous-bois ».

Il descend de la ma moto et marche quelques pas vers le boisé. Je comprends rapidement qu’il est sérieux. Son corps de cuir est tellement excitant que je ne peux pas résister. Je démarre le moteur et je dirige ma bécane dans le sentier isolé menant vers le sous-bois. Je m’immobilise et pose la béquille sur une roche plate. Je descends à mon tour de ma selle pour me diriger vers David qui lui est déjà assis derriêre un bute bordé d’arbre limitant la vue sur la route principale. J’en profite pour me replacer la queue serré dans mon cuir.

Dês le moment oû je m’approche de lui, je retire mon casque. Assis, David me regarde vers le haut et me demande de m’approcher. Il s’avance légêrement la tête pour caresser son visage contre mon cuir et mordiller ma queue. J’entends sa respiration plus profonde. Aprês quelques instants, il se relêve et pose ses lêvres contre les miennes. Je sens qu’il force sa langue entre mes lêvres. Je sens que notre rencontre sera torride.

Je descends la fermeture éclair de son blouson, je glisse ma main à l’intérieur pour découvrir qu’il a le torse nu. Sa peau est douce et sans poil, je touche ses mamelons. Je glisse ma main sur ses abdominaux durs et bien formés : il semble avoir un corps découpé au couteau. J’ouvre son blouson et pose ma bouche sur ses mamelons, je les liche, les mordille : il respire de plus en plus fort. Tout au long, j’ouvre la fermoir de sa culotte en cuir, je glisse ma main et surprise à nouveau, il est nu, sa queue dur se balade dans son pantalon. Je l’a faufile au-travers l’ouverture pour y faire sortir son gland. À vue d’œil, elle doit faire plus de 20cm, d’un bon diamêtre et circoncis. Son gland est luisant par la coulée de ª précum ».

Tout en massant sa queue d’une main, ma langue parcourrait son torse dur et musclé. De l’autre main, je tâtais ses fesses durs. L’odeur du cuir m’envahissait, la sensation du cuir m’excitait, la vue de se corps parfait me rendait fibrille. Je me mis éventuellement à genou devant lui pour finalement goúter à cette verge de plaisir. Je lichais le gland de cette belle queue pour en apprécier le goút. Tranquillement, j’enfonce sa bite dans ma bouche. Je pompe ce dard profondément, le faisant gémir de plaisir. De mes deux mains, je caresse ses fesses, je flatte son corps. Bientót, je sens sa queue se gonfler, des spasmes survenir. Il décharge son sperme dans ma bouche, sur mon visage. Il se penche prês de mon visage et liche l’excês de sperme sur les joues tout en me passant la main sur ma bite encore cacher dans mon pantalon.

Sans défaire mon blouson, il sort ma queue de mon cuir pour la saisir de ses mains. Ma bite s’enfonce dans sa bouche chaude et juteuse : la sensation est exaltante. Mon dard entre et sort de sa bouche. Il sert constamment ses lêvres pour ressentir les formes de mon engin. Il me suce durant de longues minutes, je suis dur au maximum. Je lui flatte la raie pour lui indiquer mes intentions de parcours. Il détache son pantalon pour me permettre de glisser ma main à l’intérieur. J’en profite, alors qu’il laisse ma queue, pur remettre ma bouche sur sa bite. Je me colle le visage, lui liche des couilles. Je faufile mes doigts entre ses fesses pour caresser sa rosette. Il descend ses pantalons au cheville en recouvrant des bottes de moto, il se retrouve, s’appuie contre une grosse roche et se penche afin de me présenter son entrée arriêre.

J’approche ma langue pour lui chatouiller la rosette. Dês que je pose le bout de ma langue, je sens son anus s’ouvrir. Je lui mouille d’ouverture tout en lui manipulant la queue d’une main et me branlant de l’autre. David fouille dans la poche de son blouson et me sort un condom. Il ouvre l’emballage avec ses dents et me tend le latex. Je le pose sur ma queue dure, alors qu’il sort un tube de lubrifiant. Définitivement, il était prêt à tout éventualité. J’ose même croire qu’il n’était pas vraiment en panne d’essence, mais plutót en panne de sexe.

Je badigeonne son cul de lube et je glisse un doigt, puis deux, question d’ouvrir la porte. J’appuie mon gland contre sa rosette, l’anneau s’ouvre et j’enfonce ma queue doucement dans son tunnel chaud. Son anus se sert contre ma verge, j’entre profondément. Je me laisse aller d’une mouvement successif d’entrée et sortie, il gémit de plus en plus fort, assez que j’ai peur que l’on se fasse remarqué. Mon corps tout entier est tendu tellement l’excitation est à son apogée. Des vibrations intenses traversent mon corps, je sens un vague de sperme circuler dans ma queue. Je suis à peine capable de me retenir, il me demande de lui venir en plein visage.

Rapidement je sors ma queue, retire le condom et éjacule tout mon sperme dans la bouche. Il avale tout, me liche la bite, me lave la queue : un vrai cochon. Quel extase! Jamais je n’ai ressenti un tel plaisir, une telle excitation. Une fois nos queues bien laver, on revêtit nos cuirs et on retourne à ma moto. Avant de démarrer ma bécane, David m’indique qu’il n’était pas en panne d’essence mais qu’il se cherchait une bonne botte, une baise chaude et torride. Il a été servi à souhait, tout comme moi.

Je démarre la moto, il s’assoit derriêre moi, me serre la queue et on se dirige vers sa moto laissée plus tót sur le bord du chemin. Rendu, on retire nos casques et on s’embrasse une derniêre fois en frottant une main sur la queue de l’autre, question de laisser de façon mémorable. Il enfourche sa bécane et quitte sans que puisse jamais le revoir.