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En ce temps-là

by Hedonistik


En ce temps-là…

Il était entré au service du seigneur de la contrée. A la fois serviteur et écuyer, il avait juré obéissance à cet homme. Le seigneur en question était le fils d’un grand homme aimé de tous qui perdit la vie sur un lointain champ de bataille.

Un jour, il fut convoqué par son maítre. Ce n’était pas la premiêre fois mais il ressentit une sorte d’appréhension. Il craignait de lui avoir déplu car il avait à plusieurs reprises senti son regard pesant et inquisiteur le scruter. Quand il entra dans les appartements seigneuriaux, il trébucha une premiêre fois. Il se rattrapa et fit deux pas avant de trébucher à nouveau. Il atterrit aux pieds de son seigneur. Il demeura face contre terre, s’attendant à recevoir les foudres de ce dernier.

-Relêve-toi !, lui ordonna-t-il.

Il s’exécuta tout en gardant la tête baissée.

-Et bien, que t’arrive-t-il ? Quand ton seigneur te parle, tu dois répondre !

Le ton impérieux et impatient le fit sursauter mais il ne répondit toujours pas.

-Serais-tu muet ? Ou bien sourd ? Dois-je hurler pour me faire entendre ? En voilà un dróle d’écuyer ! Te ferais-je peur ? Lêve la tête et regarde-moi… ton seigneur te le demande.

Il était paralysé. Il entendit son seigneur se lever et s’approcher de lui. Il sentit alors un doigt passer sous son menton et exercer une pression vers le haut. En relevant la tête, il croisa son regard, un regard bleu à l’éclat métallique qui le dévisageait. Son cœur s’emballa. Il détourna les yeux et balaya du regard l’immense salle et tomba sur une grande bassine en bois placée à distance raisonnable de la monumentale cheminée. Le maítre des lieux suivit le regard du jeune homme et comprit la raison de son étonnement. Il parut amusé.

-N’as-tu jamais vu de baignoire ?

Il savait que son seigneur se lavait souvent –chose exceptionnelle à cette époque !- mais il n’avait jamais vu une baignoire de cette taille. En outre, il avait l’impression que cet objet n’avait rien à faire dans cette piêce.

-Il se trouve que ce soir je reçois le seigneur voisin et sa fille. Je veux que tout soit parfait y compris mes serviteurs. C’est pourquoi, toi mon écuyer tu vas prendre un bain.

Il ne sut pas quoi répondre.

-Alors, qu’attends-tu ? Je veux être súr que tu vas te laver.

Quelle étrange idée ! Un seigneur qui insiste pour ses serviteurs prennent un bain. C’était ridicule mais il devait obéir sous peine d’un châtiment.

-J’obéis à votre grandeur mais puis-je lui demander d’avoir la bonté de détourner le regard tandis que je me déshabille.

-qu’à cela ne tienne…

Le châtelain se retourna. Mais il s’agissait d’une habile feinte. Il ne perdit rien de ce qui se passait. Il vit le jeune homme óter un à un ses vêtements jusqu’à ce qu’il soit entiêrement nu. Il scruta sous touts les coutures ce corps mince et nerveux, sans virilité aucune, efflanqué, et ses fesses rondes.

Le serviteur entra progressivement dans l’eau. Sa température était idéale.

-As-tu terminé ? La question sonnait faux. Le suzerain avait tout vu. Il n’attendit pas la réponse et se retourna.

-Alors, qu’en penses-tu ? N’est-ce pas agréable de sentir la caresse tiêde de l’eau ?

Il se contenta d’acquiescer. Il appréciait.

Le suzerain s’approcha d’une petite table contre un mur et prit une fiole colorée. Il l’ouvrit, huma le contenu, s’approcha du baquet et versa quelques gouttes d’un liquide visqueux dans l’eau du bain. Bientót un étrange parfum se dégagea, une odeur sensuelle suave et capiteuse.

-C’est une huile venue d’Orient, lui dit le châtelain. Elle parfume l’eau du bain mais ce n’est pas sa seule vertu. Elle apaise les corps.

Il se rendit compte que son seigneur était à présent tout prês du baquet. Du bout de ses doigts, il agitait la surface de l’eau. Le serviteur se sentait bien. Il ferma les yeux. Il sentit bien vite quelque chose lui fróler la jambe. Il sursauta et ouvrit les yeux. Son seigneur le dévisageait. Il vit qu’il avait immergé son bras dans l’eau. Il n’osait bouger tandis que cette main lui caressait la jambe. La main commença à remonter. Paralysé de peur, incrédule, il sentit la main du châtelain fróler son sexe. Il se dressa d’un bond. Il voulut sortir du baquet mais il ne put faire un pas de plus : son seigneur était à présent derriêre lui et avait passé son bras autour de ses épaules. Il se raidit et bientót il sentit une main enserrer sa verge. Son seigneur commença alors à le masturber en un mouvement lent mais sensuel.

Il voulut protester mais une vague de plaisir le submergea. Il se détendit presque complêtement tandis que la caresse insistait davantage. Il se surprit même à pousser des soupirs de plaisir. Le souffle chaud du châtelain dans son cou l’excitait. Il sentait qu’il allait jouir, ce qui ne tarda pas. Plusieurs jets de semence jaillirent tandis qu’il poussait des râles de satisfaction.

Il se laissa retomber dans le baquet. Il essayait de comprendre ce qui venait de se passer. Il avait pris du plaisir à se faire masturber par un homme –pas n’importe lequel, puisqu’il s’agit de celui à qui il doit obéissance et respect- et cela le troublait. Cette prostration pensive dura un long moment. Lorsqu’il ouvrit les yeux, la piêce était vide.

Il sortit de la baignoire car, malgré la proximité du feu, l’eau commençait à refroidir. Il se sécha grossiêrement et commença à se rhabiller. Il se demandait combien de temps s’était écoulé. Il était entrain d’enfiler sa chemise de jour quand il entendit des pas. Son seigneur entra dans la piêce et referma derriêre lui. Il óta son lourd pourpoint.

-Je n’ai pas été trop long, j’espêre.

Il s’approcha et lui caressa le visage. C’était une main puissante mais douce malgré le maniement des armes. Leurs regards se croisêrent un long moment. C’est alors que son seigneur l’attira à lui et l’embrassa furieusement, baiser auquel il répondit presque malgré lui. Tout en l’embrassant, le châtelain arracha la mince chemise de son serviteur et retira ses propres vêtements, révélant un corps d’athlête, une verge d’une taille et d’un diamêtre impressionnants, à demi en érection, et des testicules bien pleins. Le serviteur recula et admira un long moment cet apollon en tentant de masquer de sa main sa verge qui commençait elle aussi à se tendre.

Ils se rapprochêrent à nouveau. Les baisers et les caresses reprirent. Leurs deux corps étaient collés l’un à l’autre, poitrine contre poitrine, sexe contre sexe, et rien ne semblait pouvoir briser cette étreinte. Bientót le seigneur souleva l’écuyer de terre et l’allongea sur une table, tout en continuant à l’embrasser. Il lui écarta les jambes et s’accroupit à moitié. L’écuyer sentit alors la langue de son seigneur titiller avec insistance son orifice. Il commença à gémir de plaisir ce qui encouragea son seigneur à continuer. Bientót, il ajouta une caresse digitale à ses caresses buccales : un doigt vint tâter l’entrée de son cul avant de s’y engouffrer. Il gémit de plus belle.

Son seigneur se redressa et bientót l’immense verge vint forcer l’entrée de son cul. Elle s’y engouffra, arrachant au serviteur un cri de douleur et de plaisir à la fois. Il commença un lent mouvement de va et vient dans ce cul qui ne demandait qu’à être pris, selon lui. La lenteur du mouvement était des plus jouissives pour les deux partenaires qui gémissaient et ahanaient en chœur. Il ne pensait à rien ; les allées et venues de la ª seigneuriale » queue le mettaient en transe. Ses yeux roulaient dans leurs orbites. Quant au seigneur, il avait l’air de ª prendre son pied ». Chaque coup de rein était précis, et le plaisir n’en était que plus apprécié.

Cela dura un long moment. Son seigneur était un athlête du sexe. La douleur des premiers va et vient était oubliée. Le temps passa et les allées et venues commencêrent à s’accélérer. Il eut le pressentiment que son seigneur allait jouir et ce fut le cas : dans un râle profond, un torrent furieux de sperme, chaud et visqueux, l’inonda complêtement tandis que son seigneur ahanait de plus belle.

Tandis qu’il ahanait encore, son seigneur se pencha sur lui et l’embrassa, puis il posa sa tête sur le torse de son serviteur. Jamais seigneur et serviteur ne furent plus liés.

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