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Histoire d'un flic...

by Hedonistik


C’était un bon flic mais son style de vie le desservait face à ses supérieurs et mettait ses collêgues mal à l’aise. Il devait porter le masque de la ª normalité ». Un jour, le principal suspect dans une étrange affaire allait modifier sa vision des choses pour son plus grand plaisir. Voici ce qu’il écrit à ce propos dans ses notes personnelles.

<< Ce type était vraiment étrange. Il n’avait pas protesté quand on l’avait emmené au commissariat pour l’interroger. Il semblait même amusé. Pendant son interrogatoire, il n’avait pas sourcillé, mais surtout il avait gardé un sourire insolent sur son visage. L’inspecteur chargé de l’interroger s’arrachait le peu de cheveux qui lui restait. Il sortit furax de la salle d’interrogatoire en hurlant : -putain, y’a rien à tirer de ce mec ! -peut-être que tu t’y prends mal avec lui. Oups, je crois qu’en disant çà, j’avais touché la corde sensible. -ah parce que toi, monsieur J., tu ferais mieux, peut-être - en tous cas, je ne ferais pas pire que toi. -et bien, fais donc !… quel con celui-là, toujours à prétendre pouvoir faire mieux que les autres.

J’entrai dans la piêce. Le type se retourna : -tiens, votre collêgue a jeté l’éponge ? Je m’amusais bien pourtant. -Maintenant, on va causer tous les deux. -pourquoi pas, vous êtes plus agréable à l’œil que l’autre flic. Je fis le tour de la table. Je sentais son regard me scruter de haut en bas. Je pris place en face de lui. Il me dit alors franco : -à quoi bon vous acharner, vous n’avez rien contre moi et vous le savez. Il avait en partie raison ; on n’avait pas grand-chose contre lui si ce n’est un trou dans son emploi du temps à l’heure du crime. Je commençai mon interrogatoire : -oû étiez-vous lundi entre 22 heures et minuit ? -bonne question… j’étais chez moi. Je dormais… -y’avait quelqu’un avec vous pour confirmer ? -bien súr… vous voulez savoir ce qu’on a fait ? D’abord on s’est roulés des patins tout en se frottant l’un contre l’autre pour faire monter la température… - épargnez-moi les détails… -ensuite on s’est sucés la bitte parce qu’on en avait três, mais alors três envie… -je veux juste le nom de la personne qui était avec vous ! -ensuite je l’ai enc… sodomisé bien à fond jusqu’à ce que je gicle dans son cul. -je vous demande son NOM !… putain ! Il le fait exprês, pensai-je au même moment -ok du calme…je vais vous le dire : c’est Ben Cash, un gogo-danseur du club 175. Et oui, j’ai baisé avec un mec. Ca vous défrise ? -vous faites ce que vous voulez avec qui vous voulez (je dois dire que cette révélation m’excitait un peu). -de ce point de vue, je suis généraliste, actif-passif et autoreverse… poursuivit-il sans se soucier de ce que je disais. Vous voulez d’autres détails ? -inutile. Il me dévisageait avec un sourire en coin. -pourquoi vous me matez comme çà ?, lui demandais-je. Il me répondit dans un soupir : -vous êtes plutót bien foutu pour un flic…je vous ferais bien ce que j’ai fait à Ben l’autre soir… L’aplomb de ce type me sidérait. En même temps, je triquais à mort : j’avais déjà bandé devant un mec, mais jamais comme çà. Je devais en savoir plus sur lui. -c’est quoi votre petit nom, ajouta-t-il, toujours dans un soupir ? -J., inspecteur J. -et bien inspecteur J. je crois qu’on se reverra três vite.

Le dénommé Ben Cash confirma –à demi-mots car il n’avait pas le droit de coucher avec les clients du club- qu’ils avaient passé une partie de la soirée et de la nuit ensemble. Ainsi notre principal suspect fut libéré. Quelle poisse !

La même semaine, j’étais allé traíner mes guêtres dans un club hot et select du centre ville : bonne musique, gogo-danseurs, pistes de danse géantes, boissons en tous genres, bref de quoi s’éclater. Je voulais oublier pour quelques heures cette sale affaire en sirotant un cocktail, assis seul à une table et en matant les danseurs qui se trémoussaient sur leurs plots lumineux.

-et bien, inspecteur J., je vous avais dit qu’on se reverrait. C’était le suspect qui n’en était plus un -Monsieur ***, je… -Monsieur ***, c’était mon pêre, appelez-moi Max. J’étais mal à l’aise. Cette boíte de nuit était plutót ª gay » et un flic dans ce genre d’endroit, ça fait tache. -inspecteur J., vous permettez que je vous pose une question perso ? -quelle question ?, lui demandais-je de façon distraite. -inspecteur J., êtes-vous gay ? demanda-t-il avec franchise. -qui sait…

Il était debout en face de moi et je pus l’observer à loisir. Grand, longiligne, mince, sans muscle saillant, coiffé façon manga avec une mêche tombant sur un œil, il portait un jean râpé, une chemise blanche et un blouson de cuir noir. -je peux m’asseoir ? demanda-t-il -oui, de toute façon j’allais partir. -oh, inspecteur J., je suis déçu, je voulais juste boire un verre en votre compagnie… -Et Ben ?, lui demandais-je. -il est libre, on n’a rien signé. Il peut baiser avec qui il veut. Oh et puis merde, ça me déprime de parler de lui, je préfêre m’éclater sur la piste de danse. Vous venez ? Ne vous faites pas prier…

Je triquais à mort une nouvelle fois devant lui. Et ça ne s’arrangea pas sur la piste de danse : Max avait un déhanché particuliêrement sensuel. J’avais du mal à bouger, gêne par mon érection. Ce salaud s’en était surement rendu compte car il s’amusait à me fróler le paquet avec son petit cul. Rester maítre de moi pour ne pas juter dans mon futal, c’était là ma seule idée. Il se colla une nouvelle fois à moi et me souffla à l’oreille : -tu bandes comme un âne, mon petit poulet…

Poussé par je ne sais quel instinct, je ne sais quelle envie, je suis resté avec Max. Ce type me subjuguait littéralement. Je l’aurais suivi n’importe oû. Il me ramena chez lui. -bienvenu chez moi, inspecteur J. J’espêre que tu bandes toujours parce que ça ne fait que commencer… Ça pour bander, je bandais ! J’avais l’impression que ma queue allait déchirer mon falzar ! Afin de faire retomber un peu la pression, je demandais à passer aux toilettes pour satisfaire une envie pressante. Ce n’était pas vraiment un mensonge car j’avais vraiment envie de pisser.

Dans la salle de bain, lumineuse et dallée de blanc, aprês avoir changé l’eau du poisson rouge, je me rafraíchis le visage et, pris d’une impulsion soudaine, je me dessapais et prit une douche froide. L’effet fut immédiat : la tension retomba et je débandais à moitié. Ouf ! -si t’as besoin de serviettes, il y en a des propres dans l’armoire, me dit-il derriêre la porte.

Je me rhabillais en hâte et sortit de la salle de bain. Il m’attendait dans le salon : il avait tombé le blouson et se tenait debout, appuyé contre une colonne. -alors, cette douche, agréable ? -mouais… ça remet les idées en place… -arrête de te la jouer, inspecteur J. ! Je te veux et je sais que tu me veux, alors laisse tomber tes principes qu’on grimpe tous les deux au septiême ciel.

Cette audace m’électrisa et je m’approchai de lui mais il fut le plus rapide et me roula un patin dans les rêgles : nos deux langues s’entremêlaient comme si elles voulaient ne faire qu’une. Tandis qu’on se roulait des pelles, j’arrachai sa chemise blanche puis commençait à descendre le long de son cou -oh oui, c’est bon… Je léchai ensuite ses tétons l’un aprês l’autre, puis son nombril ; c’était un torse et un ventre parfaitement glabres qui frémissaient sous la caresse de ma langue. J’arrivai à sa ceinture que je dégrafai puis je déboutonnai son jean et baissai le tout : il portait un caleçon d’un blanc immaculé. Je fis passer ma main par la braguette et attrapai sa bitte que je commençai à sucer. -ah oui, c’est çà ! Ma bitte dans ta bouche… oui ! Je la sentais frémir et commencer à durcir dans ma bouche. Elle devait bien mesurer 20 cm; ce salaud cachait bien son jeu. Quand sa bitte eut atteint sa taille maxi en érection, j’arrêtai de la sucer pour me consacrer à ses burnes d’un ovale presque parfait. J’en pris une en bouche, puis l’autre : -mm… j’aime quand on me mange les boules comme çà, c’est bon. Max prenait son pied, c’était évident, et moi aussi.

Je me relevai et l’embrassai violemment. Il m’enleva mon teeshirt, dégrafa ma ceinture et déboutonna mon pantalon puis le baissa. -un boxer… ta bitte a l’air à l’étroit là dedans… soulageons-là un peu… Il baissa mon boxer ; il y eut une petite résistance et mon sexe se dressa devant lui… -regarde comme elle est contente d’être libre… bel engin… tu caches bien ton jeu… Il commença à me pomper. Une véritable décharge électrique me secoua tout le corps. Il dut la sentir lui aussi car il ralentit le mouvement. Chaque aller et venue de cette bouche –accompagné ou non d’un coup de langue sur mon gland- me faisait gémir, presque feuler comme un tigre…

Il se releva ; nous bandions tous les deux à mort. Il me fit signe de le suivre. Je ne me fis pas prier. Dans le couloir, nous nous arrêtâmes deux fois pour nous rouler furieusement des pelles en collant nos corps l’un contre l’autre…

La chambre était gigantesque (comparée à la mienne). Il se mit à quatre pattes sur le lit et fit un geste d’incitation de la tête. Je me mis à genou derriêre lui et commençai à lui lécher le cul. Chaque fois que ma langue frólait sa rosette, il se cambrait légêrement en émettant un soupir : -mm… ah… c’est bon… j’en peux plus… je veux sentir ta bitte s’enfoncer dans mon cul… Je ne me fis pas prier. Lorsque ma queue frappa son orifice, il s’ouvrit en grand : ª sésame, ouvre-toi ! »

Je le pénétrai. Putain ! Son trou était aussi bouillant que lui ! Il gémit et dit : -ah oui !… je la sens !… ta bitte !… si grosse… si musclée… dans mon cul… oh ! Vas-y, inspecteur J., fais-moi une fouille au corps… oui… oui !!! Chacun de mes va-et-vient le faisait gémir de plaisir tandis qu’il s’astiquait le manche au même rythme…

-attends deux secondes, je voudrais changer de position… Je me retirai le temps pour lui de se mettre sur le dos ; je mis sa jambe droite sur mon épaule droite, sa jambe gauche sur mon épaule gauche et je l’enculai de plus belle tandis qu’il se branlait…

Il fut le premier de nous deux à jouir : dans un râle profond et rauque, un jet de sperme gicla sur son ventre et sur le lit. Bientót ce fut mon tour : -je vais juter…mm Ce fut un torrent de sperme chaud qui déferla dans ses entrailles. Fourbu et moite, je me suis laissé tomber à cóté de lui…

Plus tard, cette nuit-là, Max se laissa aller à des confidences. Il me dit qu’il soupçonnait quelqu’un d’en vouloir à sa vie et de s’être trompé de cible cette nuit-là. La piste porta ses fruits car le coupable présumé fut arrêté et passa aux aveux dans les heures qui suivirent. Quant à Max, entre lui et moi, c’est une histoire qui marche…>>

Par Hedonistik, juin 2005.

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