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Histoire d'un flic 2

by Hedonistik


Un nouveau coéquipier

Flic marginalisé par ses collêgues et ses supérieurs à cause de son style de vie, l’inspecteur J. n’en reste pas moins un bon flic qui laisse sa vie privée à l’entrée du commissariat. C’est son nouveau coéquipier qui va peu à peu le faire rentrer dans le rang tout en jouant un róle grandissant dans sa vie privée. Voici ce qu’il écrit dans ses notes personnelles.

<< Hier encore je baisais avec Max : il jouissait quand ma bitte entrait dans son petit cul ferme et brúlant. Aujourd’hui, Max est parti pour ª faire le point ». Tu parles : disons plutót qu’il est allé voir ailleurs. Bof : de toutes façons, je savais que ça pouvait pas durer : ses tendances de petite frappe auraient fini par lui jouer des tours.

Ce jour-là, j’arrivais au commissariat avec un cafard taille XXL. Je ruminais et je ne pouvais pas en parler à mes collêgues. Mon style de vie les dérangeait déjà trop. Un flic doit laisser ses problêmes perso dehors : tu parles ! Aprês avoir rembarré le planton de l’accueil qui me posait des questions connes, je m’enfermais dans mon bureau pour continuer à ressasser les évênements récents.

-J. je dois te parler. -j’arrive, patron. Le commissaire A. Bourru, paternel avec ses hommes, une des rares personnes, peut-être la seule qui me respecte. -J., le divisionnaire nous envoie des bleus. Tous les inspecteurs doivent en prendre un sous leur aile, y compris toi. -mais, patron, vous savez que j’aime bosser seul… -ne discute pas, J., c’est le seul moyen pour toi de rentrer un peu dans le rang. Viens je vais te le présenter… Putain ! Un bleu dont il faut parfaire la formation… il ne manquait plus que çà. -J., voici Alex K. -salut…

Je l’observais du coin de l’œil : grand, mince, le regard vert, les cheveux clairs coupés et coiffés à la derniêre mode, tiré à quatre épingles, il voulait faire bonne impression. -J., tu m’écoutes ? -oui, patron… continuez… Les présentations s’éternisêrent… je me demandais ce que ça allait donner sur le terrain.

Le destin avait dú m’entendre car une sale affaire nous tomba dessus à K et à moi. Un meurtre commis dans des circonstances pas três nettes. K. faillit rendre son petit déjeuner ainsi que les 3 repas de la veille en découvrant le corps. C’était mal parti. Mais il se reprit bien vite. Il m’aida à trier les premiers témoignages, les conclusions du légiste, etc. Diablement efficace, le bleu ! En deux semaines, grâce à lui, je parvins à boucler l’affaire et à mettre le coupable sous les verrous.

Ce soir-là, j’avais envie de zoner chez moi. Bref de passer une soirée pépêre à mater des DVD en manger des choses pas três saines. Mes projets furent contrecarrés par la sonnerie de l’interphone : -ouais, y’a intérêt à ce que ce soit urgent… -J., c’est Alex K… excusez-moi de vous déranger… -K. ?! Qu’est-ce qui t’arrive ? -je me suis fait virer de chez moi et je ne savais pas trop oû aller… -je t’ouvre… Il débarqua peu aprês avec une valise. -qu’est-ce qui se passe ? J’ai cru qu’il allait chialer mais il a pris sur lui. -j’habitais en colocation mais mes colocataires ont découvert que j’étais flic et ils m’ont viré… -simplement parce que tu es flic ? C’est un peu gros… -disons que j’ai fouillé leurs affaires et que j’ai trouvé des choses pas três nettes… -ouais, je vois… mais ne reste pas dans l’entrée, installe-toi… -merci… ne vous inquiétez pas pour la valise… dês demain je mets les voiles… -OK… pour cette nuit on va s’organiser… je te laisse mon pieu -rassure-toi, les draps sont propres- je dormirai dans le convertible. Entre collêgues, il faut s’entraider…

La soirée s’annonçait bien… on a discuté un moment K et moi. -tu permets que je te pose une question, J ? -vas-y mais j’ai le droit de ne pas y répondre… -pourquoi on t’appelle ª inspecteur J. » ou ª J. » ? -bonne question… en fait tu veux savoir à quoi correspond le J… c’est l’initial de mon nom de famille… comme personne n’arrive à le dire, ils disent J., c’est plus court… -t’as un prénom, au moins ? -oui… Christophe… -j’aime ce prénom…

Je disparus un instant aux toilettes… quand je revins, K. –pardon- Alex s’était mis à l’aise : je vis son falzar sur le dossier d’une chaise. Il se leva : il avait gardé sa chemise et portait un caleçon clair un peu large. Ça ne me gênait pas, j’avais fait pareil : j’avais passé mon vieux sweat-shirt fétiche, viré mon futal et mis un short sans rien en dessous –j’aime être à l’aise-. J’allais m’asseoir à cóté de lui pour continuer à discuter quand je vis qu’il avait dans les mains une photo de Max (peut-être la seule qui avait échappé au nettoyage par le vide que j’avais effectué aprês son départ). -qui est-ce ? , me demanda-t-il Je lui arrachai la photo des mains. -c’est pas tes oignons ! Qui t’a permis de fouiller ? -excuse-moi… je l’ai trouvée sous la table… c’est un parent à toi ? - non… et puis merde ça te regarde pas… -OK… pardon…

J’allais dans la chambre afin de vérifier deux ou trois bricoles. Tandis que j’arrangeais le couvre-lit, je le vis dans l’encadrement de la porte. -je crois que t’as besoin d’en parler… -je crois pas, non… -je sais écouter… -j’ai pas besoin d’un psy… le lit est prêt… Je sortis de la chambre et commençais à déplier le convertible… il m’avait suivi. -je me mêle de ce qui me regarde pas… -en effet… -mais ce type a compté dans ta vie… -OK… voilà le topo… ce type s’appelle Max et pendant quelques temps, lui et moi on a été plus que deux potes… -oh… pourquoi il est parti ? -différences d’opinions, peut-être…

Je coupais court à discussion, je voulais dormir. Je terminais la mise en place du convertible et me glissai dans des draps tout propres et frais. Súr d’être seul, je me débarrassais de mon sweater et de mon short. -toi aussi, t’aimes dormir à poil ? -putain Alex, tu m’as fait sursauter… si j’étais armé, tu serais mort… qu’est-ce qu’il y a ? Le lit est trop dur ? Trop mou ? Tu veux d’autres oreillers ? -non, simplement j’aime pas dormir seul… En y regardant de plus prês, je me rendis compte qu’il était nu sous sa chemise. Il bandait à moitié. Il me matait avec envie et je compris ce qu’il voulait. -écoute, je sors d’une histoire compliquée… je pense pas être encore prêt pour passer à autre chose… -je te propose juste un plan Q. Une nuit de baise torride et demain, on fera comme si rien ne s’était passé… -je fonctionne pas comme çà… désolé… -t’as peur de t’attacher ? T’inquiête, ça n’arrivera pas… Tout en parlant, il s’approchait du convertible. Son sexe était à présent entiêrement dressé : il devait dépasser les 30 cm de long. Il se mit à genou à cóté de moi. -ça t’engage à rien… -t’as pas l’air de piger vite… je ne suis pas prêt…

En fait je mentais… je sentais ma bitte commencer à durcir et je savais que ça ne mettrait pas longtemps à se voir malgré les couvertures. Il voulait un plan Q ? Pourquoi je ne lui donnerais pas ce qu’il veut ? Pris d’une impulsion subite j’attrapais sa queue et commençais à la sucer avec lenteur… -oh oui Chris, caresse la moi avec ta langue… oui… c’est bon…

On enchaína avec un 69 dans les rêgles, chacun suçant la queue de l’autre avec lenteur et plaisir. J’en profitais pour lui mettre un doigt ou deux au cul –il était brúlant- ; il n’hésitait pas à faire de même –je suppose que le mien devait l’être aussi-... c’était bon…

J’avais sorti des capotes et du lubrifiant. Il me dit dans un souffle qu’il voulait me mettre sa grosse queue dans le cul. J’hésitais : non que je n’avais jamais été pénétré –sur ce point, je suis (devenu) actif-passif et auto-reverse- mais c’était la premiêre fois que j’allais prendre un engin de cette taille dans le fondement. Finalement –mais toujours avec un peu de réticence-, j’acceptai.

Il déroula une capote sur la queue. Il l’enduisit de lubrifiant. Il me souleva les jambes pour libérer mon orifice. Il saisit sa bitte d’une main et commença à appuyer son gland contre mon trou. Il s’y enfonça lentement en m’arrachant un cri de douleur. Il le ressortit puis l’enfonça à nouveau. A chaque nouveau coup de boutoir, sa bitte s’enfonçait un peu plus –merci au lubrifiant-. Il parvint –avec lenteur- à me la mettre au 2/3 de sa longueur. A chaque nouveau coup de boutoir, il m’arrachait un gémissement de douloureux plaisir. -putain, Alex… ta bitte dans mon cul… c’est énorme… c’est… ah… oui… mets la moi bien au fond… oui…

Il allait et venait lentement, savourant chaque coup de rein, chaque contraction de mon corps ou du sien. La lenteur de ses mouvements accentuait le plaisir que nous ressentions. Il me pilonnait avec précision, sachant à chaque fois doser son effort. Au fur et à mesure, il accélérait. A chaque coup de boutoir, il ahanait ou soufflait un mot ou une phrase : -ah… oui… ton cul… si doux… tu me sens ?... Çà pour le sentir, je le sentais… j’avais l’impression que sa queue remontait jusque dans ma gorge…

-je vais jouir… Il se retira de mon cul, óta rapidement le préservatif et commença à s’astiquer le manche. Il me gicla três vite dessus. Quant à moi, je me branlais lentement. Je jouis juste aprês lui et aspergeais son torse de mon sperme. Il s’allongea à cóté de moi. Il approcha son visage du mien et m’embrassa. Ce qui ne devait être au départ qu’un plan Q s’était changé en autre chose…

Ce qui se passa par la suite est une autre histoire…

Hédonistik, juin 2005

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