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Baiser Avec un Vampire... et ses Conséquences...

by Hedonistik


Baiser avec un vampire… et ses conséquences…

<< Je m’éveillai en sursaut. Un cauchemar en forme de vision apocalyptique en était la cause. Je me redressai aussitót. Je me trouvais dans une piêce plongée dans l’obscurité la plus totale. J’essayais de rassembler mes idées et mes souvenirs mais cela restait três confus. Bientót les ténêbres de la piêce s’éclaircirent. Je vis plus ou moins nettement qu’il y avait une sorte de drap pourpre sur moi ; je l’enlevai bien vite et j’étudiais la piêce. A part le meuble sur le quel je me trouvais, il n’y avait rien.

J’essayais à nouveau de faire appel à mes souvenirs. Tout était encore trop confus. J’avais l’impression –confuse- elle aussi que quelque chose d’inhabituel m’était arrivé et que cela m’avait rendu différent. Les ténêbres de la piêce s’étaient à présent dissipées. J’avais une vision três nette des choses. Trop nettes peut-être : en effet, il n’y avait aucune fenêtre dans la piêce ni ouvertures d’aucune sorte susceptibles de laisser passer la lumiêre ; ensuite, je n’avais plus mes lentilles de contact.

Bientót, les souvenirs refluêrent, d’abord les plus anciens, puis les plus récents. J’oubliais pour un temps cette histoire de lumiêre pour essayer de comprendre comment j’en étais arrivé là…

J’étais allé en boíte pour m’éclater. Mon mec du moment –eh oui, je suis gay- était parti sans laisser d’adresse. Je voulais oublier ce salaud en me déchaínant sur la piste de danse. J’avais dansé et flirté avec quelques uns des mecs présents ce soir-là mais aucun ne m’avait vraiment séduit. Je décidai d’aller boire un verre au bar. En m’apportant mon verre, le barman me dit : -cadeau du mec là-bas, me dit-il en pointant l’autre bout du comptoir. Je vis un type plutót mignon qui se leva et se dirigea vers moi. Il s’approcha de moi. Je le remerciais pour le verre. Le mec en question était plutót du genre lourd et gluant. Sa technique de drague ne cassait rien et je commençais à m’ennuyer ferme en sirotant mon verre de façon distraite.

Tandis que j’enlevais machinalement sa main de ma cuisse, je survolai du regard l’ensemble des clients de la boíte. C’est alors que je le vis : grand, des épaules carrées, les cheveux noirs, vêtu de cuir de la tête aux pieds. Nos regards se croisêrent : j’étais captivé par ses yeux d’un bleu de glace.

L’autre pot de colle n’avait pas lâché prise. Quel crampon ! Avait-il vu l’embarras dans lequel je me trouvais ? Il s’approcha et s’interposa entre le casse-pied et moi. -tire-toi, lui dit-il, tu vois bien que tu l’intéresse pas ! -de quoi tu te mêles ?, lui répondit la sangsue. Comme il me tournait le dos, je ne vis ni ne compris vraiment ce qu’il fit, mais l’autre emmerdeur se tira sans demander son reste en marmonnant dieu sait quoi. -merci, lui dis-je. -ne me remercie pas, me répondit-il. J’ai fait ça pour éloigner la concurrence. Son cóté direct me plut. Il s’assit à cóté de moi. Le barman le vit et s’approcha : -salut, Viktor, je te sers la même chose que d’habitude. -oui, merci, Franck… Au fait, tu connais mon nom mais moi, je connais pas le tien. -Alex. On est restés un moment au bar à discuter et à délirer. Il avait une maniêre de parler sensuelle, presque hypnotique. Il me fascinait littéralement.

Il me laissa seul un moment. Je me rendis compte qu’il était déjà demain. Je ne voulais pas partir comme un voleur, mais ne le voyant pas revenir, je demandais au barman de l’avertir de mon départ. Je sortais à peine de la boíte quand j’entendis quelqu’un m’appeler. Je me retournais : c’était lui, Viktor. -tu pars sans rien dire… ce n’est pas três correct… -désolé… j’ai à faire demain. -laisse-moi au moins te dire au revoir… Il s’approcha, posa sa main sur ma joue –elle était froide, mais ce contact m’électrisa. Il approcha son visage du mien et m’embrassa. Ce fut un baiser long humide et langoureux. J’eus l’impression de flotter…

Je me réveillais le lendemain avec une impression bizarre et l’envie irrésistible de revoir Viktor. La journée passa comme un rêve et le soir venu, je faisais de nouveau le pied de grue devant la boíte de nuit. En entrant, je le cherchai du regard mais ne le vis point. Déçu, je m’installai au bar pour noyer mon dépit.

C’était le même barman que la veille. Quand il me vit, il s’approcha : -la même chose qu’hier ? -non, quelque chose de plus fort, s’il vous plaít ? -t’en est súr ? OK, je t’apporte çà…

Quand il m’apporta mon verre, il mit un morceau de papier sur le comptoir. Je le pris et le lus. C’était un mot de Viktor. Mon cœur s’emballa. Sur le mot, il avait simplement écrit : ª Retourne-toi ». Je me retournai : il était là, souriant. Je le rejoignis, poussé par je ne sais quel élan. Il me proposa de sortir pour nous aérer. Les fumigênes avaient laissé une odeur âcre dans l’atmosphêre surchauffée du night-club.

A l’extérieur, j’inspirais à pleins poumons. Viktor me rejoignit et m’invita à le suivre derriêre le club. Là, il me roula une pelle magistrale : je sentais sa langue explorer goulúment ma bouche. Il me plaqua contre le mur : nous étions l’un contre l’autre et je pouvais sentir sa queue durcir dans son pantalon moulant. La mienne était dans le même état : ce type m’excitait littéralement. Il me plaqua contre le mur voisin et appuya davantage son baiser : j’eus alors à nouveau la sensation de flotter, de me retrouver dans un état second –ce n’était pas si désagréable que çà, aprês tout…

Je ne me souviens pas du tout comment je suis arrivé chez lui. L’endroit était três peu éclairé et la couleur dominante était crépusculaire. -bienvenue chez moi, me dit-il en me décochant un sourire ravageur. Il s’approcha de moi et me caressa le visage. Le contact de sa main glacée contre ma joue me fit frissonner de froid… et de désir. Ce fut à mon tour de lui rouler une pelle. Le contact de ma langue contre la sienne m’électrisa.

Nous étions collés l’un contre l’autre, chacun frottant son paquet sur celui de l’autre. Viktor enleva son blouson de cuir ; il ne portait rien en dessous, révélant ainsi un torse glabre et athlétique. Il fit tomber ma veste puis enleva mon tee-shirt sans ménagement. Je me mis à genoux et je commençai à dégrafer son pantalon. Il ne portait rien en dessous et son sexe se dressa triomphalement devant moi. Il était exceptionnellement long. Je commençais à le sucer. Il était bizarrement froid et j’entrepris de le réchauffer…

Je le pompais, alternant succions, coups de langue sur le gland, et stimulation manuelle. Tout en le suçant, je jetai un coup d’œil vers le haut pour observer ses réactions : il me regardait lui astiquer le manche ; de temps en temps, il fermait les yeux ou émettait un petit grognement de plaisir, ce qui m’encourageait à approfondir la chose. Bientót, je sentis son sexe se contracter violemment. Il allait gicler… il m’aspergea le torse de sa purée. J’eus une étrange sensation : en effet son sperme était froid. Je n’eus pas le temps de m’attarder sur ce détail, car il prit dês lors les choses en main. Il fit tomber mon falzar et mon calecif. Il attrapa ma bitte : le contraste de température entre ma queue brúlante et sa main glacée m’électrisa. Il me branla un moment avant de me pomper. J’étais en extase : me faire sucer par le mec qui m’avait fait triquer dês le premier regard, c’était le panard assuré ! Ah que c’est bon…

Je me retrouvais bientót dans sa chambre. J’étais allongé à poil sur son pieu. Il me replia les jambes pour libérer mon orifice qui ne demandait qu’à se faire défoncer. C’est là que les choses prirent une étrange tournure. Il ne prit aucune capote et se lubrifia longuement la bitte. Puis il me lubrifia le trou. Je voulais protester, exiger qu’il mette un préservatif mais il ne m’en laissa pas le temps. Il me pénétra. Je poussai un hurlement : le contact de sa bitte glaciale était extrêmement douloureux. Il commença à aller et venir et à chaque coup de rein la douleur s’intensifiait. Je sentais le froid de cette bitte s’insinuer en moi tel un serpent. J’étais paralysé de douleur et de froid. Mais en même temps, je ressentais une vague sensation de plaisir, procurée par le fait que je baisais avec ce mec bandant… puis três vite la douleur s’estompa…

J’étais dans un état second… tandis qu’il me pilonnait, je me branlais en rythme, répondant à ses grognements par des soupirs. Ses allées et venues durêrent un moment puis il s’arrêta et demanda de me retourner. J’obéis docilement, presque malgré moi. Je me retrouvai à quatre pattes sur son lit. Il me claqua les fesses puis il me pénétra à nouveau. Cette fois, pas de douleur, mais toujours le froid de cette queue qui s’insinuait et autre chose : la sensation que cette bitte, déjà de bonne taille, continuait de grandir à l’intérieur de moi ! J’étais à sa merci.

Il me pilonnait le fondement avec intensité et précision. Chaque coup de rein m’arrachait un soupir ou un grognement. Je me demandais comment il faisait. Il avait joui sur moi il y a peu. Cependant, il bandait ferme et ne semblait pas être fatigué. Au contraire ! Quant à moi, je ne sais plus trop : je devais être dans un état second.

Je sentais qu’il allait jouir à son tour. J’étais incapable de faire ou dire quoi que ce soit. Il m’a balancé son foutre dans le cul ! J’eus alors l’impression que des milliers de pointes glacées et acérées se déversaient à l’intérieur de moi. La douleur fut intense. Mais ce ne fut rien à cóté de ce qui allait suivre.

Il approcha sa bouche de mon oreille et me dit : -je vais te donner la jouissance extrême… Je sentis qu’il appliquait sa bouche contre mon cou, puis une violente sensation de piqúre, pire de morsure. Mes idées se brouillêrent mais je me souviens avoir joui à ce moment. Et puis plus rien jusqu’à ce cauchemar et à mon réveil…

Je me levai puis fis quelques pas dans la piêce. Je me sentais différent. Mes sensations, mes perceptions étaient différentes. J’entendis du bruit derriêre moi. Je me retournais et à ce moment la porte s’ouvrit. C’était Viktor. Je le regardais et certains détails attirêrent mon attention : la pâleur extrême de son teint, ses yeux bestiaux, ses griffes et surtout son sourire diabolique qui laissaient apparaítre une éclatante paire de canines pointues. -je suppose que tu as compris maintenant… je suis un vampire et comme tu me plaisais, plutót que de faire de toi mon diner, j’ai décidé de faire de toi mon compagnon pour l’éternité. Je t’ai fais le don obscur, et maintenant, tu es comme moi…

J’encaissais : la nouvelle me coupa temporairement les jambes. Temporairement car três vite un nouvel instinct me poussa à me relever. Je sentis que la transformation était terminée. Je souris et m’approchai de Viktor. -tu fais un magnifique vampire, me dit-il… Je lui roulais une pelle. Et três vite, on s’est retrouvés à baiser par terre. Cela a duré des heures car un vampire est bien plus endurant qu’un humain ordinaire…

Aujourd’hui Viktor et moi sommes devenus deux terribles prédateurs nocturnes, errant de ville en ville et de night-club en night-club à la recherche de proies, et pourquoi de nouveaux compagnons de jeu…>>

Par Hedonistik, aoút 2005-08

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Web-02: vampire_2.0.3.07
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