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Niagara Falls

by Branlebas


Texte soumis par Branlebas

Titre: Niagara Falls

On était au début des années '90. J'avais rencontré, dans un bar de Montréal, peu avant la fermeture, un jeune homme magnifiquement beau et sexy qui s'appelait Stéphane. Il était grand et mince avec des cheveux plutót longs et légêrement bouclés. Aprês les quelques échanges habituels et conventionnels: nos noms, notre travail, notre origine....on a commencé à parler de ce qu'on aimait sexuellement et de qui nous faisait fantasmer et bander três fort. On s'est alors aperçu qu'on était tous les deux de grands amateurs, voire des professionnels de la branlette et qu'on était tous les deux voyeurs et exhibitionnistes. En fait, on adorait voir un gars se branler devant nous comme s'il était tout seul à la maison....un gars qui trouvait excitant de montrer et de révéler ses petites manies et ses petits trucs intimes tout en scrutant ceux des autres.

Comme on s'excitait de plus en plus en parlant de tout ça, il devint clair qu'on avait envie de terminer le tout dans un lieu propice à nos fantasmes.

J'appris alors qu'il habitait Toronto et qu'il était de passage à Montréal bien qu'il fut francophone. Il était descendu chez des amis et il ne pouvait amener personne là. Moi, j'avais une grande maison, mais j'hébergeais des amis de France qui n'étaient pas vraiment au courant de mon orientation sexuelle. Difficile de satisfaire nos désirs cette nuit-là. Il eut alors une idée merveilleuse qui allait gonfler nos désirs et nos queues durant toute une semaine: il m'invitait à passer le prochain week-end à Toronto. Mais, comme c'était le long week-end de l'Action de Grâce (début d' octobre), et comme à ce moment de l'année les feuilles des arbres sont toutes en couleurs ( été indien), il me proposa qu'on aille satisfaire notre curiosité et nos fantasmes dans le superbe décor des chutes du Niagara. Wow! Fantastique! Je dis oui tout de suite.

La semaine fut longue et je n'ai pu résister à la tentation de me branler quelques fois. Luis aussi sans doute.....

Le vendredi, je quittai le bureau un peu plus tót et pris la route de Toronto. Je me suis arrêté en route pour dormir dans un motel parce la fatigue de la semaine était trop grande et qu'on avait convenu que j'arriverais le lendemain matin seulement parce qu'il travaillait le vendredi soir. Je me retins de me masturber durant ma nuit au motel, histoire de me "garder " plus en forme pour le lendemain. Je suis arrivé chez lui vers 11 heures et nous avons presque tout de suite pris la route de Niagara .

On a passé un aprês-midi merveilleux. On s'est promené prês des chutes, on a fait le tour de bateau, on s'est assis longuement dans un parc et on s'est dit des mots pour s'exciter. Il me regardait la queue qui gonflait par moment dans mon pantalon et il me disait comment il avait hâte de me voir baisser mon zip. Il me disait qu'il était accroché aussi "odeurs" comme moi ( quelle belle découverte) et qu'il mourait d'envie de sentir ma queue et mon cul qui étaient restés écraser dans mon pantalon toute la journée. J'avais une envie folle de faire la même chose. Je n’arrivais pas à croire que j'avais enfin rencontrer quelqu'un qui aimait la même chose que moi et qui me plaisait à en crever.

Vers 16 h, on a décidé de prendre une chambre d'hótel. On a trouvé une chambre au 10ê et dernier étage d'une tour dont les chambres avaient toutes une vue sur les chutes....donc pas de curieux en face, pas de risque d'être vus.

Il y avait de grandes fenêtres panoramiques dans la chambre qui offraient une vue imprenable sur les chutes et, devant ces fenêtres, il y avait une petite table basse de chaque cóté de laquelle se tenaient deux fauteuils. On s'est assis. On a ouvert une biêre et il a allumé un petit joint de marihuana. L'herbe me fait toujours bander três fort....le manque d'habitude sans doute.

Puis, il s'est mis à me regarder avec insistance, à regarder sans gêne ma queue qui gonflait dans mon pantalon, à caresser la bosse qui était maintenant três visible dans les siens. On s'est caressé et on a regardé nos queues vouloir se montrer l'une à l'autre. Il a enlevé ses bottes et ses chaussettes. Il a dit: "fais comme moi". Puis il a pris mes chaussettes et mes bottes et les a senti longuement tout en se caressant et en me regardant faire la même chose du coin de l’œil. C'était l'odeur de la journée et de nos promenades. C'était super! et super excitant.

Puis, lentement, il a baissé son zip et ouvert son pantalon.....et j'ai vu la forme de sa belle, longue et grosse queue à-travers son slip. Puis, il m'a dit: "Déshabille-toi lentement, mais garde ton slip". J'ai enlevé mon pull et mon pantalon, puis je me caressais avec la paume de la main à-travers mon slip. Je me suis rassis et lentement on s'est regardé bander de plus en plus fort tout en se caressant. Il s'est mis à genoux sur le fauteuil et il m'a invité à venir sentir son cul à-travers son slip. Wow! C'était une odeur subtile et terriblement excitante. Son cul avait frotté sur le tissu toute la journée et dans cette odeur il y avait son intimité profonde, celle qu'il ne montrait jamais à personne parce qu'elle recelait sa sueur intime mais aussi quelques traces de frottement de son cul contre le tissu blanc....un peu taché. Il y avait aussi dans cette odeur, toute l'excitation de notre promenade de l'aprês-midi, la sueur provoquée par nos conversations cochonnes, les traces de notre attente de ce moment de partage, la fragrance de la décoction de nos désirs dans la raie de nos fesses. J'ai dú cesser de me branler car j'aurais joui. Lui aussi d'ailleurs.

Puis, aprês avoir rempli mon réservoir de fantasmes, j'ai fait la même chose pour lui. J'ai pris la même position à genoux sur mon fauteuil et je l'ai invité à venir sentir mon cul sur mon slip. C'était maintenant mon "petit secret" que je révélais , mon excitation des derniêres heures de route jusqu'à Toronto, la sueur de mon désir qui avait glissé de mon dos à mon cul par le plis des fesses et avait été retenue, comme par un barrage, par les anneaux de mon anus dont les effluves, pareilles aux embruns des chutes, avaient imbibé le tissu de mon slip. Je l'entendais "sniffer" et respirer et je savais qu'il léchait aussi à petits coups de langue pour dégager l'odeur.

Enfin, on a enlevé nos slips et on s'est assis sur nos fauteuils. Il a récupéré ses chaussettes et son slip et moi les miens. On a contemplé nos queues gonflées par l'attente et nos jeux. On a fixé chaque détail. La sienne était longue et large. Elle était plutót foncée avec des veines bien marquées. Il avait une poche et des balles super belles et grosses. Son sac pendait bas sur ses cuisses. Moi, j'avais aussi une longue et belle bite, amis elle était moins large que la sienne. Le gland était toutefois gonflé et presque mauve. Mes couilles étaient plus collées à mon sac tout serré et plein de jus. Ma poche était plus relevée. Il se branlait lentement avec de long mouvements de haut en bas et parfois, il pointait sa bite vers moi. Il ramassait le jus (pre-cum) qui coulait de son méat et le léchait comme des larves de caramel. Je faisais la même chose. Mes mouvements étaient cependant plus rapides et plus saccadés. Mais je me levais, je prenais des poses à gauche, à droite, je lui faisais voir chaque angle de mon sexe. Il faisait de même. Puis, aprês une bonne demi-heure de contemplation réciproque, on s'est assis dans nos fauteuils, on a récupéré nos slips et nos chaussettes et, tout en se branlant, on sentait nos propres slips et chaussettes. On n'oubliait pas qu'un de nos grands désirs était de révéler à l'autre, devant l'autre, nos petits secrets intimes et personnels. Il se branlait en sentant ses chaussettes et son slip qui retenait ses propres désirs de moi et ses attentes pleines de sueur dans notre promenade. Je me caressais le cul, j'y entrais un doigt et je le sentais en le sortant. À chaque fois, je pensais m'évanouir de plaisir sachant qu'il me regardait faire, au bord lui aussi de jouir, d'ouvrir les écluses en pénétrant ainsi dans mon intimité. Et les chutes étaient toujours témoins de notre passion. Elles s'étaient illuminées avec le soir et elles éclaboussaient notre découverte de leur éternelle splendeur.

Puis, il se leva, se pencha et m'invita à lui sentir et lécher le cul directement sans le slip. On s'est donc couché par terre, en position un peu de 69, mais au lieu de se sucer, on a commencé à se sentir et à se lécher l'arriêre du scrotum, l'espace entre le scrotum et l'anus, puis l'anus lui-même. C'était le paradis! Le don de toute son intimité et mon propre don. C'était l'odeur et le goút du désir et du rêve cachés secrêtement et intimement dans le saint des saints, jamais montré, jamais révélé, de nos corps. Je reniflais non seulement toute la semaine qui s'était écoulée depuis notre rencontre avec ce qu'elle contenait d'attente et de désir, mais tout son passé depuis son enfance, le flot continu de ses rêves et de ses fantasmes, ses premiers émois d'adolescent, ses premiêres branlettes, l'excitation produite par l'odeur de ses chaussettes et de ses slips à cóté de son lit quand il était encore gamin et plus tard quand il fut en mesure de le comprendre, tout le charme mystérieux que cachait cette odeur.

Puis, on s’est appuyé sur nos coudes et on s’est masturbé lentement en se regardant avec envie comme si l’on ne savait plus s’il eut été préférable d’être l’autre devant soi ou soi devant l’autre. Ce fut fantastique!

Lentement, on se leva tous les deux, on avança vers les fenêtres en saillie et on regarda les chutes. Tout leur mystêre pénétrait dans la chambre. L’un en face de l’autre, on se fit signe qu’on approchait du bord. Puis tout éclata! On sauta dans le vide. Le sperme gicla contre les vitres et des bavures de foutre venaient se confondre avec les coulées blanches de l’eau des chutes qui craquait contre les rochers. On perdit presque connaissance. On s’embrassa longuement dans les bras l’un de l’autre. On alla s’étendre un peu. Je crois bien qu’on dormit. On se réveilla vers 21heures et on s’habilla pour aller díner. Mais il restait encore toute une nuit et un autre jour pour user et abuser de nos corps. On comptait bien en profiter.

À suivre……

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Niagara Falls

Texte soumis par Branlebas Titre: Niagara Falls On était au début des années '90. J'avais rencontré, dans un bar de Montréal, peu avant la fermeture, un jeune homme magnifiquement beau et sexy qui s'appelait Stéphane. Il était grand et mince avec des cheveux plutót longs et légêrement bouclés. Aprês les quelques échanges habituels et conventionnels: nos noms, notre travail, notre

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Web-04: vampire_2.0.3.07
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