Arrêt Dans Un Aire De Service
Il mouillait... et il y avait longtemps que j'étais sur la route. Il faisait nuit depuis longtemps et j'avais une envie d'uriner quand je vis, à ma droite, un aire de service où je pourrais me libérer de cette envie. Je me stationné donc près des toilettes publiques et me dépèchai d'y entrer pour ne pas me faire mouiller. Ouf... que ça faisait du bien. Soudain, la porte s'ouvrit et cinq hommes entrèrent; sûrement des camionneurs. Je remis ma queue dans mon jeans et m'en allai au lavabo. Pendant queje me lavais les mains, je sentis une main sur mes fesses. Je me retournai et l'un des hommes me regardait en souriant. Wuelle ne fut pas ma surprise en constatant qu'il tenait sa grosse queue bandée dans sa main gauche et qu'il se caressait. - Excusez, dis-je en tentant de quitter les lieux. - Où crois-tu aller comme cela? me demanda-t-il en me barrant le chemin. Je m'aperçus vite que les quatre autres hommes se masturbaient aussi en me regarfant. - Allez les mecs, cria l'un d'eux avant de se jeter sur moi. Je me débattais mais je ne pouvais rien contre eux. Ils m'ont soulevé et sans vraiment pouvoir rien faire, je me suis retrouvé dehors, derrière la bâtisse, à l'orée d'un boisée. Ils me couchèrent sur une table de pic-nic et me déshabillèrent complètement. J'avais peur, très peur. Je savais bien qu'ils voulaient me baiser mais à quel point? Soudain, l'un d'eux me poussa et je tombai par terre, sur l'herbe trempée. Il mouillait à boire debout et je commençais à avoir froid. Les cinq hommes étaient là, debout, m'entourant avec leurs queues bien dures. Soudain, l'un d'eux se mit à uriner sur moi. Je tentai de me cacher le visage mais un autre me colla les bras au sol. _ Je suis sûr que tu as soif, dit l'un d'eux en se penchant sur moi. On me tenait de force et m'obligea à ouvrir la bouche. L'homme y entra sa queue et se mit à uriner. Pour la première fois de ma vie, je goûtais à de l'urine et je me surpris à aimer cela. J'étais super excité et ma queue prenait de l'expension. Sans doute était-ce cette façon de se faire prendre de force qui m'excitait à ce point. J'avalais l'urine avec plaisir, tentant de ne pas en perdre une seule goutte. Soudain, deux hommes me soulevèrent pendant qu'un autre s'apprêtait à m'enculer. Assis dans les airs, je sentis la belle grosse queue du mec s'enfouir en moi avec force, frappant ma prostate de toute ses forces. Un autre était debout, sur la table de pic-nic, et urinait sur moi. En quelques minutes, le mec me remplit le cul de son jus et un autre le remplaça. J'étais content car j'en voulais encore. Je voulais que les cinq mecs me viennent dedans. Ca m'excitait de faire la poubelle et j'aimais me faire traîter comme une chienne de la part de ces cinq supers mecs qui se servaient sans rien demander. Ils me fourraient, venaient et c'était tout. Je leur appartenais. J'étais leur possession et j'aimais cela. Je sentais qu'ils ne me feraient pas de mal. Ils s'amusaient, tout simplement. Et toute cette urine qui me coulait sur le corps. Cette chaleur qui se mélangeait à la pluie froide. Le deuxième mec me remplit aussi de son jus. Lorsque je vis la queue du troisième, mes yeux s'arrondirent aussitôt. Je n'avais jamais vu une queue comme cela. Elle devait mesurer 25 centimètres et elle était aussi large qu'un boyau de balayeuse. Sans ménagement, il me fourra, remplissant mon pauvre cul de sa grosse graine qui effectuait un mouvement de va-et-vient. Je la sentais de partout et son gros gland prenait plaisir à entrer et sortir . Je n'avais jamais été aussi excité de toute ma vie. J'en prenais pour mon compte. On continuait de me pisser dessus pendant que le mec me labourait à fond tout en me crachant sur le torse. Je sentais que j'allais exploser dans peu de temps mais je devais me retenir pour prendre les deux derniers qui attendaient leur tour. Celui qui m'enculait prenait plaisir à me faire mal, sachant que sa grosse graine me remplissait à fond. - T'aimes ça maudite chienne, criait-il en balançant merveilleusement bien son bassin. Ils me couchèrent sur la table et l'un d'eux engloutit sa queue dans ma bouche qui goûtait à chaque parcelle de peau. C'était bon... - Tiens salope, prends ça, cria le mec en me bourrant de son sperme tandis que l'autre remplissait ma bouche de son chaud liquide, m'obligeant à tout avaler. Il en restait un et il ne se fit pas prier pour me labourer à son tour. Celui qui venait de m'enculer m'obligea à lécher sa belle grosse queue, la nettoyant complètement. Le goût du sperme et de mon cul se mélangeaient pour m'offrir une volupté dans la bouche. Je lichais et lichais, ne voulant plus arrêter tandis que le dernier mec venait en moi en poussant un grand cri de jouissance. - Tiens, remplis ça, me dit l'un d'eux en me présentant un verre. Pousse et bois. Je savais ce qu'il voulait et je le fis sans rien dire. Je poussai et rempli le verre de sperme que je bus en une gorgée, me délichantles babines. - Maudite salope, dit-il. Plus poubelle que toi, ça ne se fait plus. Ils me tapèrent tous, l'un après l'autre, pas trop fort, juste pour me dire que j'étais leur ami. Pour des commentaires: toxedo1@sympatico.ca
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