Un bizuthage qui n'est pas pour mes mômes ! (Avertissement au lecteur: ne te fous pas à poil devant ton ordi, s'il te plaît, attends un peu avant de commencer à te palucher, et puis, enfile donc une capote, sinon tu vas juter dans ton slip, t'es dégueulasse comme mec ! Quoi , T'as pas changé de slip depuis quinze jours, et il est raide de sperme séché? Eh bien ! Avec la tête que t'as, tu trompes bien ton monde , mon salaud !) Kevin a 24ans; c'est un beau mec de 1m86, brun et velu il se rase complètement les cheveux mais tu le vois toujours avec des joues bleuies de barbe naissante. Il aime les femmes, mais la vue d'un beau gars le fait bander comme un autre. Il a une belle queue, mais il ne baise pas tant que ça, les meufs l'énervent un peu; elles manquent de simplicité et elles sont tellement jalouses ! Il préfère souvent se pogner à s'engager dans les complications d'une liaison. C'est Kevin qui parle : " Tu vois, j'avais envie de reprendre le sport; ça faisait trop longtemps que j'étais inactif; je me suis décidé à m'inscrire à un club de triathlon dont un de mes copains m'avait donné l'adresse en rigolant. Quand je lui avais demandé pourquoi il riait, il n'avait rien voulu dire, mais avait ri de plus belle en insistant pour que je les contacte, sous prétexte que le club était très sympa et qu'on y travaillait super bien. O.K. J'y suis allé , il y a deux mois environ, ce club est situé en lointaine banlieue, disons même à la campagne, et il possède des installations magnifiques : piscine, sauna, hamman, salle de muscu, etc... on me fait visiter, je ne vois que des mecs, superbes, occupés soit à suer, soit à soulever de la fonte, soit à nager à donf ! On m'explique que pour entrer au club, il faut se soumettre à un examen (!), et ensuite accepter un "week end d'intégration", tous les deux ans, un tel week end est organisé, et j'ai de la chance c'est pour cette année, dans 5 jours. Il y aura 6 nouveaux et on me demande si je veux passer le premier examen aujourd'hui. J'accepte. On me fait rentrer dans une petite pièce sans aucun meuble. J'attends, il fait chaud, trop chaud, le temps passe, j'essaye de sortir pour voir ce qui se passe, mais je m'aperçois qu'on ne peut pas ouvrir la porte de l'intérieur. Croyez-moi si vous voulez, mais j'ai attendu 2 heures avant de voir entrer un mec d'une trentaine d'année, véritable armoire à glace, en moule-bite, ruisselant d'eau. Il me dit : "Qu'est-ce que t'attends, t'es toujours pas à poil ? J'suis toubib, j'vais t'examiner." Il me regarde sur toutes les coutures, y compris le zob, qu'il décalotte à plusieurs reprises, il me soupèse les couilles, me tate les muscles; il me commande d'incliner le buste et d'écarter les jambes, il enfile un doigtier et m'enfonce un doigt dans le cul. Ces petits jeux me donnent la trique, et je n'essaye pas de débander, s'il veut savoir si je suis en bonne santé, il verra que je le suis particulièrement de ce côté-là ! Il a l'air en forme lui aussi, son moule-bite montre un cylindre impressionnant. Il me fait une prise de sang. "Bon, passons maintenant aux performances physiques, va nager pendant une demi-heure, après j'arrive et tu me fais 4 fois cent mètres." " J'ai pas de slip" "Tiens, en voilà un !" Je fais ce qu'on me dit. Une demi-heure plus tard, je lui montre ce que je sais faire. Il n'a pas l'air enthousiasmé "Il va falloir travailler !" On passe à la salle de muscu, me fait soulever des masses, je suis en développé-couché, la barre est très chargée, trop pour moi, et soi-disant pour m'aider, il est jambes écartées au dessus de ma tête, si bien que j'ai sa bite et ses couilles au dessus du nez ! là non plus il n'est pas content. "Va courir maintenant: 1 heure !" J'ai mis de vieilles baskets qu'il me balance et je me lance; il m'observe, et m'engueule tout de suite, il faut que j'aille plus vite! et encore plus vite ! Au bout d'une heure , j'en peux plus et je me demande si je ne vais pas retirer ma candidature. Mais, non. Il m'annonce que je suis admis au week-end d'intégration. Je vais y aller. Le jour-dit, je me rends au club, on me fait rentrer dans une petite salle contenant les 4 autres candidats. On se présente: Jacques, Georges, Paul, Xavier, Wolfgang, et moi c'est Kevin. Moi, je suis venu seul, les 5 autres se sont fait accompagner par leurs copines. Mais les meufs n'ont pas le droit d'entrer ici. Les installations sont réservées aux mâles, pas seulement aux membres du club, les étudiants de l'université voisine sont volontiers accueillis, mais les filles sont dû rentrer chez elles. Mes 5 collègues sont de beaux spécimens de mâles, grands; deux bruns, deux blonds. Puissants tous les 5. On se demande un peu ce qui va se passer : si on s'était douté, sans doute qu'on serait parti à grandes enjambées, mais on aurait eu bien tort!" (Qu'est-ce tu murmures ? Que c'est pas une pauvre histoire comme ça qui pourrait te donner la gaule ?, Que ta queue est toute molle entre tes jambes au point que tu la cherches et que tu la trouves pas ? Pauvre tare ! Attends un peu et masse-toi le bout pendant ce temps-là) " Le gonze que j'avais vu la première fois entre dans la pièce, toujours en moule-bite; d'ailleurs il ne se gène pas et se tripote le paquet tout en nous parlant. Il nous annonce que nous allons faire d'abord un concours de baise: il va nous attribuer à chacun un partenaire et nous allons faire l'amour deux par deux devant tous les membres du club réunis. Ceux qui refusent peuvent s'en aller. On se regarde, on hésite, aucun d'entre nous n'est PD, que faire ? Oh et puis merde ! Allons-y ! Tous les six on accepte, mais on est un peu gené, on ne sait pas tellement comment s'y prendre. Il nous fait rentrer dans une salle plus grande où se trouvent rassemblés le 24 membres actuels du club. Tous à se masser tranquillement la queue. Au milieu: un grand lit. "Premiers candidats, Kevin et Jacques." Il fallait que ça tombe sur moi ! Mon partenaire désigné a l'air embarrassé? Il est maladroit et moi aussi., on n'a pas l'habitude; pourtant ce mec, il est beau grand, poilu comme moi. "Embrassez-vous, roulez-vous une pelle en vous tripotant le cul" Si on nous donne le mode d'emploi, ça devrait marcher, je m'approche de Jacques, on est debout, je mets mes mains sur son petit cul, et il fait de même, et hop! je l'embrasse, d'abord timidement, puis j'enfonce ma langue dans sa bouche, on roule, on bave, on se mange la langue, comme avec une femme, sauf que c'est mieux, c'est plus musclé, ça répond mieux; Jacques s'enhardit, il me malaxe les fesses; nos queues sont au" touche-touche "à travers les futes, et la sienne grossit, la mienne aussi. "Déloquez-vous ! Steve, tu deshabilles Jacques en commençant par la chemise, arrivé au fute, tu mets les mains derrière le dos comme Jacques, et tu le fais avec les dents!" Je m'exécute! je dégage les superbes pecs, bien dessinés et luisant de sueur de mon partenaire et je m'attaque au pantalon, il n'a pas de ceinture, il suffit de faire sauter des pressions, c'est assez facile, je fais durer le plaisir, la braguette est ouverte et son paquet, enfermé dans un slip jadis blanc, mais jaune et raide de jute séchée, son paquet donc déborde de son futal qui n'est pas tombé. J'ai le nez qui lui excite la queue, ça pue le mâle en rut, Jacques a les jambes écartées et je dois attraper son pantalon avec les dents pour le faire tomber; ça y est! Je prends l'élastique du slip avec les dents pau dessus de la raie des fesses, il s'est pas torché ou quoi? ça schlingue ! Le paquet est toujours enfermé dans le slip, mais il a les fesses à l'air, et moi je bande! Je l'attaque le devant, j'écarte l'élastique, la queue avec son odeur puissante me saute à la figure, quelle tringle ! Remarque j'ai sa sœur !je passe tout au long de sa tige, me perd un peu dan les plis de ses burnes et Je lui met le slip sur les pieds; sifflements dans la salle devant l'ampleur de l'engin dressé. Jacques a toujours les bras dans le dos; ça a l'air de lui plaire. "Jacques, tu es à poil et maintenant tu déshabilles Steve avec tes mains." Jacques lâche un gros pet, il pue ce mec ! Tiens, je lui en lâche un pendant qu'il me tripote les fesses. Jacques me malaxe le nœud à travers mon slip Hom, la banane va donner du jus si tu y vas trop fort, mais j'me calme, on sait se tenir en société ! Ah! Il insiste ce con ! Bon il tire le slibar, je suis à poil moi aussi et je bande comme un cerf! "Sur le lit ! Steve à genoux, la tête dans le paquet fumant de Gérard (un membre) et Jacques encule Steve, à sec!" Merde! Je sens que je vais morfler. (A suivre...) Vos impressions à wax_jc@hotmail.com
