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Carnet de Notes

by Jérôme Toussaint


Carnet de notes Je me trouvais ce matin assis dans mon vieux fauteuil en buffle au Club des Lords Libéraux pour passer quelques heures en compagnie de mes amis. Je ne résiste pas au plaisir d'écrire l'histoire que je viens de leur raconter. Elle concerne, très joyeusement, quelques aspects privés de la vie en collège et l'ai illustrée de mes propres expériences. Le vieux duc d'Essex est entré au Club accompagné d'un jeune éphèbe dont la beauté semble disputer la primauté avec un air de profonde imbécillité. Son caractère de plébéien ne fait aucun doute, mais cette présence interdite par le règlement ne me choque pourtant pas, nous sommes des libéraux que diable. Le duc d'Essex, canard boiteux de la famille royale n'a t'il pas rejoint notre club pour mieux marquer sa légère différence. Mon ami Lord Snowhite, sans doute le plus conservateur d'entre nous, s'en est offusqué. Il s'enquiert de ce manquement regrettable à des règles aussi strictes qu'immuables. La réponse de Galveston, l'homme de service, l'emplit de fureur. Il quitte sur le champ le club, ne promettant d'y revenir que lorsque la noblesse aurait l'avantage exclusif de ces lieux. En fait le jeune homme est le filleul du duc d'Essex et en tant que membre masculin de la famille, il ne peut être refoulé. Cette aventure, dès le départ de Snowhite, nous fait tous éclater de rire. Lord Wissel s'en étrangle presque. - Ah ce vieux Charles, quel génie, voilà un homme qui sait investir à long terme, tout lui réussit. Ses placements lui valent d'être parmi les plus riches familles du pays. Il a su aussi miser sur les hommes. Il a forcé toutes ses conquêtes passées à se marier et est devenu systématiquement le parrain de tous leurs enfants mâles. Il a toujours su choisir la plastique de ses conquêtes, et a parié subtilement que les enfants ressembleraient à leurs parents, avec une génération en moins. Sur ses dizaines de filleuls, il en a les moyens, il doit bien en avoir plusieurs de mignons comme celui-ci. Snowhite a tort de se fâcher, n'a-t-il pas comme nous tous passé sa jeunesse dans les collèges d'Angleterre ? Tous mes souvenirs reviennent et il m'amuse d'en faire part à mes amis qui sont tous très proches de moi et ne se fâcheront pas d'entendre ces histoires de jeunesse. Tout comme le duc d'Essex, j'ai moi aussi aimé ceux de mon sexe et aujourd'hui, marié et père de famille, je n'en éprouve aucune honte. L'année de mes seize, l'avantage du passage à l'année supérieure m'avait permis de quitter les dortoirs où dormait toute la classe. La promiscuité ainsi que la surveillance étroite de deux professeurs qui partageait la chambre nous rendaient ces lieux odieux. J'avais hérité d'une chambre à six lits où il nous avait été permis de choisir nos compagnons. Je n'ai pas eu à regretter cette sélection mutuelle d'amis de mes premières années. Peu après la rentrée, nous avions l'habitude d'aller dans la salle d'eau attenant à notre chambre pour assouvir silencieusement nos pulsions de jeunes hommes. Un jour d'hiver, quelques mois fut si intense que personne d'entre nous n'eut le courage de sortir de ses couvertures pour soulager son corps. Pas même pour pisser, ou nous attendions l'ultime moment. Nous étions tous à la diète. Bien que l'envie ne nous manquait pas, personne n'osait imprimer à son corps un mouvement de va et vient qui aurait immanquablement fait grincer le lit. Il aurait signalé à la chambrée l'assouvissement de fantasmes réprimés par nos propres interdits. Pourtant Jack donna rapidement le signal du départ. On l'entendait se donner du plaisir dès l'extinction des feux. N'y tenant plus, il avait abandonné toute gène. Son lit grinçait souvent deux fois de suite, et même le matin, un quart d'heure avant de se lever, nous réveillant ainsi tous. Nous n'étions pas très heureux alors, mais personne n'osait en parler. Joyce suivit Jack à une semaine d'intervalle. Puis, tous profitèrent de l'occasion. Il était assez étonnant de penser que personne au départ ne voulait se libérer en même temps, de peur sans doute que le bruit des autres ne gâchent les rêves qui accompagnaient cette salutaire occupation. Un semblant de tour s'installa, d'abord Jack l'initiateur, puis Joyce. Mais les quatre autres ne voulaient plus passer un tour qui les mortifiaient et qui les aurait menés tard dans la nuit. Ce fut alors une cacophonie de lits grinçants et de respirations difficilement retenues. Plus personne ne se cachait, mais personne n'en parlait encore. Une nuit, je surpris Joyce rejoindre le lit de Jack. Peu de temps après, ce dernier se mit à râler si fort que je crus que Joyce venait de le poignarder. Nous fûmes tous réveillés mais personne n'alla à son secours. Aussi lâche que les autres je m'enfouis plus profondément sous les couvertures. Le lendemain, à notre étonnement Jack se leva, aussi frais qu'à l'accoutumée sinon plus heureux. Nous gardions le silence sur cette surprenante affaire. Joyce se mit à "attaquer" Jack de plus en plus souvent ; comme ce dernier était bien plus fort que lui, je me mit bientôt à soupçonner une quelconque nouveauté sexuelle que je ne comprenais pas très bien. Un jour que les deux protagonistes étaient absents, j'ouvris mon coeur à William, Euton et Gordon. Il fut décidé d'aller résoudre le mystère dès la prochaine séance. Nous nous glisserions près du lit de Jack et au même moment nous allumerions tous notre chandelle au quatre coins du lit. L'occasion se présenta le soir même, ces rires barbares devenant de plus en plus fréquents. Jack haletait, mais Joyce restait toujours aussi silencieux et nous avions peur que ce dernier ne nous surprenne. Mais ils étaient tous les deux trop occupés pour nous entendre. Nous allumâmes ensemble notre bougie et nous fûmes tous surpris. Joyce était en train d'avaler le sexe de Jack. William semblait choqué, Euton dépassé, Gordon amusé et moi intéressé. Joyce recrache le sexe de Jack et rougit de honte, il aurait bien fuit si toute retraite n'avait été coupée par notre quatuor. Jack triomphant restait les jambes largement écartées sous notre regard interdit. Son sexe était plus gros que le mien et luisait de bave. Nos regards restaient fixés sur son objet et nous le remerciâmes tous, en silence, de bien laisser son organe à notre vue. Personne n'en détachait les yeux, il en prit un malin plaisir. J'avais toujours eu une grande admiration pour Jack qui était le pus grand, le plus fort, le plus courageux et le plus culotté de nous. Je le prenais pour modèle et m'identifiais souvent à lui. J'étais fier d'être son ami et essayais d'être à sa hauteur dans son équipe de rugby. J'avouais qu'il hantait aussi mon esprit lorsque je me caressais, voir son sexe représentait le plus grand des honneurs. Je n'étais pas jaloux de Joyce, car je ne m'étais jamais réellement vu rejoindre Jack dans son lit. Pourquoi ne feriez-vous pas comme Joyce ? Nous dit-il. William prit un air dégoûté. - Tu veux qu'on mette ton sexe dans notre bouche ? Demanda-t-il. - Pas mon sexe, Joyce s'en occupe tout seul. Ce dernier ne savait plus où se mettre. - Vous devriez faire comme moi, vous sucer les uns les autres, vous verrez, vous ne pourrez plus vous en passer. Venez, rapprochez vos lits et rejoignez-moi. A mon grand étonnement nous nous exécutâmes, même William qui faisait semblant d'être écoeuré par tant de vice. Les lits d'Euton et de Gordon furent rapprochés de celui de Jack. Nous nous mîmes à genoux, tous en cercle. Je fus le premier après Jack à montrer mon sexe à l'assemblée, il était fin, bien droit et il me plaisait. Un à un, les autres s'exécutèrent et nous fûmes six, le sexe à l'air à nous complimenter les uns les autres. Jack plus mûr avait le plus gros. Il l'agitait, le serrait pour le faire mieux ressortir et nous le montrait ainsi sous tous les angles. C'était une fête pour mes sens et n'y tenant plus, je décidais de me branler devant les autres. Tous me suivirent, sauf Jack qui point de mire, achevait de nous exciter en faisant rentrer son gland pour le ressortir encore plus gros. Ces séances recommencèrent tous les vendredis et les samedis soirs. Nous avions peur de nous fatiguer et de nous déclarer aux yeux des autres garçons du collège par des cernes trop marqués. Joyce suçait Jack sous notre regard et nous le stimulions à chaque fois par des caresses sur les fesses. Ces dernières allaient de plus en plus loin et son sexe fut bientôt l'objet de notre intérêt, Jack, ravi d'avoir lancé de telles soirées nous laissait entreprendre son protégé. Ce dernier, la bouche pleine, n'avait pas l'occasion de s'exprimer. Pour plaisanter, et parce que nous étions quatre à nous le partager, nous caressions aussi ses cuisses, son dos et découvrions ainsi le corps de l'autre. Pendant que Joyce s'affairait sur Jack, huit mains parcouraient sa peau. Bientôt, il ne me suffit plus de Joyce. Il me fallait aussi découvrir le plaisir de lécher à coups de langue les sexes qui répandaient dans la chambre une atmosphère suave. Il me restait à choisir entre William le dégoûté, Euton l'étonné et Gordon l'amusé. Chacun conservait, même nu et les jambes écartées, son petit air de la première nuit. Euton fut mon choix après un examen plus que rapide. C'est lui qui ressemblait le plus à une fille, ses traits étaient fins et il avait un joli regard. J'avais depuis longtemps remarqué ses lèvres, très minces, très brillantes, et j'aimais les contempler lorsqu'il était près de moi. Il m'attirait et j'aimais parler avec lui, sa bouche était alors pour moi. C'était ce soir la première fois que je me mis à penser à l'attraction sexuelle et sentimentale que pouvait me porter le corps d'un homme. Du jour de notre première rencontre intime, je portais à Euton une affection très forte et estimais avoir un devoir de protection à son égard. Certains au collège en firent douloureusement les frais. Cette nuit-là. alors que tous s'affairaient sur Joyce avec un entrain que la routine affaiblissait, je me mis à caresser Euton. D'abord les épaules et le cou, puis les hanches. Jack qui me vit , m'encouragea silencieusement. Comme moi il ne souhaitait pas qu'Euton, dérangé par le regard des autres, m'empêche de continuer mon exploration intime. Ma main glissait le long de sa cuisse et son sexe se releva aussitôt, laissant à moitié ressortir un gland rouge comme une cerise. Je lui pris les testicules et les massais avec une puissance retenues. Fou de désir, je portais mon visage près du sien et embrassais ses cheveux fins et ses joues à la douceur de la pêche. Mes lèvres rencontrèrent les siennes et pour la première fois dans notre groupe deux hommes s'embrassèrent. Bientôt , tous s'étaient détournés de Jack et Joyce pour jouir en nous regardant. Personne n'osa nous toucher et ce fut bien car je ne l'aurais pas permis. Euton était devenu mon protégé. J'offrais aux autres le spectacle de nos passions et c'était déjà suffisant. Contrairement à Jack, c'était moi qui suçait Euton. J'aimais le goût de sa chair et il était le seul à ne pas avoir encore éjaculé de sperme. Je l'aurais avalé sans dégoût, mais ce liquide ne me tentait guère. Personne ne s'était jamais moqué de son manque de virilité, chacun ayant le souvenir très proche de sa première éjaculation. Jack, lui déclarait avoir été formé dès treize ans, personne ne contestait ses paroles connaissant son avance sur tous les sujets liés au sexe. Il ne me semblait pas pouvoir trahir Euton et pourtant je l'ai fait quelques mois après. C'était la fin du printemps, un dimanche. Pour trouver un peu de solitude, je m'étais rendu dans la grange à foin qui se trouvait au dessus de l'écurie du collège. C'était un endroit privilégié où les bottes de pailles empilées sous la toiture formaient de multiples cachettes. J'avais décidé d'aller tout au fond, à l'autre bout de la trappe par laquelle j'étais montré. Après avoir escaladé trois ou quatre monticules. Je m'étais trouvé un recoin tranquille et je commençais à déboutonner mon pantalon lorsque j'entendis une voix chuchoter située encore au-delà de moi. Dans un geste brusque, je remontais mon pantalon. On ne m'avait pas remarqué car la voix continuait toujours aussi doucement. Je décidais de me jucher sur une énorme botte pour pouvoir surprendre discrètement cette indésirable présence. Il était nu, allongé sur une couverture. J'ai eu beaucoup de mal dans une semi obscurité à me rendre compte que cet homme n'était pas seul, il recouvrait presqu'entièrement un autre corps, lorsqu'il se mit de côté je les reconnus tous les deux, lui était un palefrenier récemment entré au collège. Le second était un jeune élève que je connaissais bien, il n'avait que quatorze ans. Le spectacle était saisissant, le premier était fort et musclé, la peau mate. Il était relativement vieux, dans les vingt ans. L'autre avait les cheveux blonde clairs, la peau très blanche et le corps maigre des garçons de son âge. Ce dernier suçait avidement le téton du grand comme si c'était celui de sa mère. Il avait aussi dans sa main le sexe brun de son compagnon comme si tenir un manche aussi gros que son propre poignet le sécurisait. Le garçon d'écurie continua à lui parler doucement à l'oreille, il mit son index dans sa bouche puis l'enfonça délicatement dans l'anus du jeune garçon. Ce dernier se trémoussa et geint en de petits cris de plaisir. Je prenais un nouveau cours de sexe, téton et anus étaient des zones propices à l'exaltation des sens. Les quelques mètres qui nous séparaient disparurent dans mon esprit. Je me voyais aussi bien caressé par ce palefrenier dont la forte musculature me faisait envie, que par ce jeune garçon dont j'aurais aimé faire l'initiation. En fait j'aurais aimé me trouver avec les deux à la fois. Mais je n'osais pas faire un geste. La semaine suivante, je rêvais à eux chaque soir, même ceux où je tins Euton dans mes bras. Le dimanche matin suivant alors qu'il pleuvait et que chacun restait dans les salons des élèves, je courus à l'écurie. J'y trouvais le palefrenier seul en train de panser ses chevaux. Il me regarda avec étonnement, mais continua son travail. Je lui posais alors des questions sur ces animaux auxquelles il me répondit volontiers. Il me proposa rapidement pour mon éducation, de me montrer un étalon en train de bander. J'y voyais là avec raison le début d'une séduction. Par quelques caresses bien placées, il érigea le sexe de l'un des chevaux. Ce dernier traînait presque par terre. Ce spectacle était à la fois écoeurant et excitant. Enhardi par l'ascendance naturelle de ma condition sur celle du valet de ferme, je le coinçais dans le coin du box et défis rapidement les boutons de son pantalon. Il se laissa faire, u sourire narquois aux lèvres. Je m'accroupis, et mis son sexe dans ma bouche. Il était chaud, j'avais du mal à entrer entièrement son gland qui était gros, alors je le léchais tout autour Son odeur était plus forte que celle de Euton mais aussi plus envoûtante. Je tremblais d'émotion en caressant ses testicules énormes et douces. A côté d'un homme au corps puissant, je ressentais un sentiment de protection qui vous rend invincible. Je comprenais ce jeune garçon blond qui était totalement détendu, ouvert et offert à son Dieu. Je voulais garder des heures durant mon visage entre ses cuisses pour les chauffer à son feu, et entourer mes bras autour de ses hanches ou de ses fesses dures et musclées. Mais nous fûmes surpris par Lloyd, un élève de mon niveau, mais d'une autre classe, il ne portait pas dans son coeur. Il était le capitaine de l'autre équipe de rugby et détestait franchement Jack. Ce garçon eut un sourire de haine et déclara que cette petite gâterie serait déclarée sur le champ à l'administration du collège. Le garçon d'écurie rentra tranquillement son sexe dans son pantalon et se dirigea sans un mot vers Lloyd qui l'attendait crânement. Je m'enfuis, lui laissant le soin de régler ce petit incident qui pouvait me coûter très cher. L'âge, la taille et la force physique du palefrenier, comparées à ceux de Lloyd, m'inspiraient confiance. Les jours suivants je restais angoissé, mais petits à petit mes craintes s'évanouirent. Si Lloyd n'avait rien dit jusqu'à présent, il ne dirait rien. Plus le temps passerait, moins ses accusations porteraient. Je n'osais plus retourner aux écuries et ne voyait plus ce garçon qui accompagnait tous mes désirs. J'admirais ma force d'âme qui m'empêchait d'aller le rejoindre toute affaire cessante. Combien de dimanche furent horriblement douloureux, seul Euton et sa douceur angélique m'empêchait de pleurer. J'avais fait un bon choix, car un mois et demi après mon aventure avec ce garçon, il fut surpris avec Lloyd dans une posture très fâcheuse par le directeur de l'établissement. Bien que le comité de sanction, aussitôt réuni, pris sa décision à huis clos, le bruit couru dans les classes supérieures que Lloyd était en train de se faire "défoncer" le derrière. La peur rétrospective me fit apprécier avec plus d'acuité les amours tranquilles que m'offraient Euton. Euton s'attacha beaucoup à moi, il n'était pas rare qu'il passe des nuits entières dans mon lit, simplement par plaisir ou pour avoir chaud. Notre complicité n'était connue que par notre groupe, Euton et moi étions de simples bons camarades en dehors de la chambre. Nos rencontres à six se continuaient toutes les semaines, elles cimentaient notre groupe et assuraient à chacun le silence des autres sur nos activités. Jack, Joyce, Euton et moi-même formions des couples très unis, William et Gordon ne participaient qu'à nos rencontres. Il m'arrivait assez fréquemment de les sucer pour les faire participer pleinement à nos plaisirs. Euton remplit jusqu'à la fin du collège mes désirs sexuels et affectifs. L'université me permit de faire la connaissance de filles et j'oubliais rapidement me amours masculines. Mes amis du Club ont suivi avec intérêt cette conversation, car ils y ont retrouvé avec une certaine émotion leur adolescence. Chacun a ensuite raconté sa propre expérience. Je peux assurer que ma vie sentimentale n'était pas la plus libertine, j'aurais aimé avoir pu aller aussi loin qu'eux dans leurs aventures. Je ne peux les reproduire ici car elles appartiennent à leurs auteurs. Sans doute les retrouverons nous dans leurs carnets. FIN If you wish to view more: http://perso.infonie.fr/pprem/pedro

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