Gay Erotic Stories

Viagra, Depuis mon arrivée à Montréal, j'ai vu beaucoup de choses. Parti de la banlieue nord pour aller à l'Université du Québec à Montréal (UQUAM), j'ai vu pour la première fois des gais qui s'affichent. Il faut dire que l'UQUAM est tout près du village gai. Un soir je suis allé fêté la fin de session dans un bars du coins, où se tiennent quelques gais, mais où la clientèle est majoritairement hétéro et à l'esprit ouvert. Moi même je suis straigth. J'ai donc regardé les filles, flirté à gauche et à droite, et puis une superbe fille est venue me voir. Elle semblait un peu plus âgée que moi (j'ai 19 ans), et je me sentais flatté de me faire séduire par une si belle fille. Il était évident qu'elle voulait finir la nuit avec moi. Elle m'a payé quelques verres. Puis nous sommes partis. Nous avons marchés jusqu'à ce nous arrivions à son appartement, ou du moins c'est ce que je croyais. Je commençais à me sentir tout drôle, comme si j'avais pris autres choses que de la bière. Rendu chez elles, nous nous sommes assis, nous avons parlé. Je commençais à me sentir de plus en plus mal. Elle m'a donné une pilule pour faire passer mon mal de cœur. Après avoir pris le médicament, j'ai su que je venais de me faire droguer. Deux gars entrèrent dans la chambre. - J'espère qu'il est à votre goût, dit la fille. - Il est parfait, dit le plus grand. Pas de trouble? - Non, mais je ne suis pas sûr de ce que je viens de faire. - Tu peux toujours reculer, lui dit le plus petit. Mais tu n'auras pas ton argent, et la fin de moi approche... - J'ai besoin de cet argent pour mon fils, implorais la fille, c'est seulement que je me sens mal pour lui. - N'ai pas peur, on vas s'occuper de lui. Sur ce, elle a prit quelque chose et est partie. Moi je sombrais dans un sommeil nauséeux. Le lendemain, je me suis réveillé avec une gueule de bois terrible. Pendant que j'essayais de recoller les morceaux de ce qui s'était passé la veille, un gars rentra dans la pièce. C'était le petit de la vieille. - Doucement, ta soirée a été dure. - Où suis-je? Qui êtes-vous? Qu'est-ce qui s'est passé? - Des questions? Tu es loin de chez toi, je suis ton entraîneur et tu es notre marchandise - Hein? J'avais peur, mais la drogue m'empêchait encore de réagir avec vigueur - Tu vas comprendre. Va te laver et viens déjeuner. En me levant je vis que tous les poils de mon corps avaient été rasés. J'ai pris une douche dans la salle de bains attenante à la chambre. L'eau froide me fit le plus grand bien. Je fit le point : j'ai été séduit, drogué puis amené je ne sais où chez des dingues. Il fallait être prudent et jouer leur jeu jusqu'à ce que je puisse partir ou contacter ma colocataire. En sortant de la douche, j'ai voulu m'habiller. Il y avait des pantalons de cuir, un corset et un collier à chien. J'ai crié par la porte : - Vous n'auriez pas des vêtements plus ordinaires? - Mets ce qui il y a là. J'ai obéi à ce commandement. Je me sentais tout drôle dans cette situation. En déjeunant, on me posa des questions sur mes goûts sexuels, on voulait savoir ce que je pensais des gais. Je leur ai dit que j'aime les femmes, que je n'ai rien contre les gais mais que je n'ai aucune envie d'avoir des relations sexuelles avec des hommes. Cette remarque fit sourire mes trois interrogateurs.