Gay Erotic Stories

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Du Calvaire au Plaisir

by Thierry


Les mains fermement accrochées au bord de la table, le torse humide sur cette surface froide, les jambes imberbes légèrement écartées, je sentais sa grosse queue se mouvoir dans mon anus lubrifié par sa première éjaculation. Ces va-et-vient, je les savourais avec délectation. Son assiduité à enfoncer son bâton de joie au plus profond de mes entrailles me faisait frémir tant sa vigueur était grande. Subitement et brutalement, il se retira de mon anus lequel resta dilaté, comme avide de récupérer ce corps chaud. Je regardai Sébastien par-dessus mes épaules et je le vis crispé; l'entièreté de ses muscles étaient contractés et des perles de sueur dégoulinaient sur son corps d'athlète accompli. Un instant plus tard, il se détendit. Il contourna la table et grimpa dessus d'un simple bon. Il prit le pull-over négligemment délaissé sur le coté de la table et s'accroupit dessus. Je tendis mes jambes pour me rapprocher de son entre-jambes et commençai à lui lécher l'intérieur de ses robustes cuisses. Je l'entendai gémir. Il me coinça le visage de telle sorte que la base de son sexe, partiellement enrobé d'excrément et suintant de sperme, se plaça devant mon visage. Sa langue passant rapidement entre ses lèvres charnues, il me mima ce qu'il attendait de moi. Il mit ses mains derrière ma tête et la rapprocha doucement de son gland gonflé. J'ouvris légèrement la bouche. D'abord de la pointe de la langue ensuite goulûment, je lui nettoyai son esquimau palpitant. La saveur musquée de ce mélange me faisait bander de plus bel, et frénétiquement j'englobais l'entièreté de son sexe. Avec la même ferveur que lorsqu'il me défonçait le cul, il enfonçait son sexe dans le fond de ma bouche. Je sentis les doux poils de son scrotum me caresser le bas du visage. Soudain, il se bloqua, l'entièreté de son pénis dans ma bouche. Son gros gland touchait ma luette, et petit à petit, je sentis un léger déplacement de son organe vers ma gorge. D'abord mon nez, ensuite tout mon visage fut comprimé sur l'abdomen de mon amant. Sébastien arrêta son mouvement, c'est alors que je sus. Je perçu l'intense contraction de son abdomen un bref instant avant que, dans un long gémissement, il lâcha pour la seconde fois son sperme qui coula lentement le long de ma gorge. Mon plaisir était bien mince comparais au sien, coincé sur son ventre à la limite de la suffocation, mais qu'elle satisfaction de le voir si heureux. Mon enthousiasme fut de courte durée lorsqu'une paire de mains m'agrippèrent les poignets et qu'une autre paire maintinrent mes jambes tendues, des lanières de cuire furent disposées à chacun de mes membres. La bouche empalée sur le pénis de Sébastien et ma tête fermement maintenue par ses mains, je ne voyait rien de mes assaillants. Je n'avais rien remarqué de leur approche tant ma goinfrerie à l'égard de la verge de mon ami avait été grande. Sébastien me rassurait par des paroles douces : "calme me toi mon amour, tout va bien se passer. Ils veulent jouir en toi, sentir ta peau sous la leur, éprouver de l'extase sous les caresses de ta langue, exploser dans ta bouche, sur ton visage et dans tes entrailles." Ma tête fut brusquement relevée en arrière. Le pénis de Sébastien glissa hors de ma bouche laissant comme seul lien entre nous, un filin éphémère de sperme. Je perçu une piqûre froide dans le cou et une voix suave me souhaita une bonne sieste. Je me demandai "pourquoi moi"... Je me réveilla en croix de Saint André: les mains et les pieds attachés à l'aide de menottes en tissus à un portique en acier. J'étais torse nu et je portais un fin caleçon en toile muni d'une simple ouverture à l'avant fermée par de petits boutons. Aucune lumière naturelle ne semblait éclairer la pièce où je me trouvais. Le sol et les murs jusqu'à une hauteur de 2,5 mètres étaient recouverts d'une sorte de couche matelassée. Au-delà de cette hauteur, les murs étaient incrustés de grands écrans de téléviseur. Ils diffusaient des images de scènes homoérotiques durant lesquelles des corps s'entrelaçaient, glissaient les uns sur les autres à la recherche des zones du plaisir. Des hommes huilés se caressaient mutuellement, se léchaient l'entièreté du corps, leur bouche happant les glands déjà dégoulinant de sperme. Je voyais, en gros plan, des pénis fouiner dans l'anus de partenaire, des coulées de sperme descendre le long de belles fesses lisses, des langues lécher ces orifices et y pénétrer, des pipes goulues, ... La vue de ces séquences me faisait bander, je sentais mon pénis coincé dans ce short trop étroit essayant de fuir, de gagner plus d'espace. Soudain, le son vint aux images, un tumulte de gémissements m'emplirent la tête, des râles de plaisir émanaient de ce patchwork de corps grouillants. Toute la genèse de mes pensées était désormais basée sur ces sons, ces images, et les sensations qu'ils me procuraient. L'intensité de mon excitation était telle que je m'imaginai l'odeur suintante de cette orgie. Ce mélange exquis des fragrances de sperme, de sueur, d'urine, de mâles jouissants, m'enivrait. Malgré ces bruits incessants, les yeux fermés, j'essayai de contrôler cette poussée d'envies qui me prenait les entrailles, la queue et mes couilles. Cette rage de sexe n'attendait qu'un signe pour exploser. Mon avidité de prendre un homme par son cul et de lui déverser toute cette énergie sexuelle était trop forte que pour pouvoir être annihilée par l'esprit. Malgré mes yeux clos, mon cerveau reproduisait et amplifiait les scènes vues, je sentais mon sexe relarguer un flot de liquide séminal qui s'accumulait sur ce caleçon de lin. Je fus surpris de sentir une main déboutonner le caleçon et en sortir mon phallus qui profita de l'occasion pour continuer sa métamorphose. Instinctivement, j'ouvris les yeux de satisfaction et soupirai. Je vis à quelques centimètres de mon visage deux grands yeux rieurs incrustés dans une peau couleur chocolat fondant. Le grain de cette peau était d'une grande finesse et donnait envie de la toucher des lèvres pour en savourer la texture. Il approcha son visage et posa ses lèvres sur les miennes. J'ouvris ma bouche et nous nous embrassâmes tendrement, mêlant nos langues chaudes. Ensuite, nous commençâmes à nous embrasser d'une façon plus soutenue et plus sauvage. Il m'étreignit avec son bras gauche et tout en m'engorgeant de sa langue, il se mit à me frictionner le pénis de sa main droite. A chaque pénétration soutenue de sa langue, il pressait mon corps rigide et retroussait la peau aussi loin qu'il le pouvait. A chacune des ces actions, je sentais venir de plus en plus forte mon envie d'éjaculer. L'instant de cet épanouissement approchait, il était imminent. Pour savourer ce moment de libération, je me mis à gémir doucement et respirer lentement. C'est alors qu'il arrêta tout mouvement et toute stimulation, il se recula et me regarda me débattre, le supplier. Tout mon corps était en tension, prêt à exploser. Tout mon corps, chaque parcelle de peau de mon pénis, de ma bourse, chaque poils de mon pubis, chacune de mes testicules n'attendait qu'un geste pour ce libérer de cette tension. Ne pouvoir vider mes couilles était un supplice. Il eu un grand sourire de contentement car il pouvait décider du moment de ma libération. c'est alors qu'il s'agenouilla, ouvrit sa bouche et, sans toucher mon pénis, positionna mon gland dans sa bouche. Je percevait son haleine chaude frôler mon gland humide, et hyper-gonflé. Quelle délectation! Il caressa de toute sa langue les bords du gland et instantanément un orgasme se profila et mon pénis eu un soubresaut et lui lança, en plusieurs saccades, mon liquide visqueux et nacré. D'abord, il avala goulûment ce dont je lui offrais. Ensuite, comme pour soustraire la précieuse moelle d'un os, il aspira avidement toute substance pouvant être extraite de mon corps de joie. Mon pénis était happé dans la bouche de mon bel afro-américain. Je ne pouvais empêcher mon sperme de se déverser dans son réceptacle. Epuisé, mes yeux mi-clos, mon regard perdu dans la volupté du bien-être, je n'étais plus qu'un simple pantin désormais à sa merci... Il me regardait les yeux rieurs, et furieusement, il déchira le caleçon que je portais. Je sentais les lambeaux de tissus frotter sur mes belles fesses rondes. qu'avait il donc l'intention de me faire... Il étala sur mon pubis un gel moussant, me massant avec délectation le tour de mon sexe, il poursuivi l'étalement de cette crème onctueuse sur ma bourse et entre mes fesses, insistant aux zones érogènes, pressant avec son pouce à la base du pénis juste en-dessous de mes couilles pendant que son majeur caressait mon anus. Les yeux fermés, je savourais cette fraîcheur qui me prenait le cul. Dès l'instant où il me pénétra du doigt, un léger son sortit de ma bouche. C'est alors que je sentis la froideur d'une lame sur le pubis, effrayé j'ouvris les yeux et il me dit : "tout doux mon agneau, je ne te veux aucun mal, je ne souhaite que sentir la douceur de ta peau, de ta peau de bébé" Il commença sa besogne, je sentais le tranchant de la lame parcourir mon bas ventre. Mais mon excitation était telle que mon sexe semblait plus dur que jamais et ma bourse était entièrement contractée. Il la prit entre ses mains et commença à me masser. Une fois le scrotum détendu, il le tira si fortement pour le rendre complètement lisse que je me demandai si son but était de me les arracher. C'est alors qu'il m'épongea avec de l'eau tiède révélant ainsi son travail : l'entièreté de mon pubis et mon entre-jambe étaient exempte de poils. Maintenant sa main sur mon abdomen, il me contourna et se positionna derrière moi. Je vis passer sa main entre mes jambes et prendre le rabot qu'il avait laissé à mes pieds. La main qu'il avait laissée sur mon ventre descendit doucement jusqu'à atteindre mes testicules. Il prit mon paquet désormais lisse et le souleva. Je sentis alors le mouvement du rabot sur ma peau, se déplaçant de la base du pénis jusqu'à l'entrée de ma raie de cul. Il lâcha ensuite ma bourse, et utilisa sa main libre pour écarter mes fesses. Tous mes poils furent coupés, il ne restait rien au niveau du cul, des fesses et du pubis. Il revint en face de moi, et s'appliqua à me raser le torse. Ensuite, il prit un petit flacon muni d'un embout effilé. Je le regardais d'un air interrogateur mais il ne me dit rien. Il se colla à moi, descendit son bras et m'enfonça l'embout dans l'anus et y vida le contenu du flacon. Il me susurra dans l'oreille de maintenir le liquide le plus longtemps possible et puis m'embrassa. Une tierce personne rentra dans la pièce et alla se placer derrière moi. Je commençai à sentir l'effet du liquide glacé sur mes intestins, mon envie de relâcher mon anus pour me débarrasser de ce fluide était grande. Je serrais fortement mes fesses puis je ne pu me retenir, je sentis s'écouler le long de mes fesses et de mes cuisses un liquide épais. L'étranger me nettoya et me réinjecta un second lavement dont l'effet fut tout aussi rapide que le premier. Finalement, après un nettoyage en profondeur, on m'appliqua une crème onctueuse et parfumée. Je devinais ce qui allait se passer par la suite, mais je ne me doutais pas à quelle point j'allais jouir. Ensuite, ils allongèrent le lien qui me retenait au portique. Tout naturellement, mes jambes s'affaissèrent sous mon poids. Une fois que celles-ci furent suffisamment pliées, ils placèrent une barre en travers du portique et fixèrent mes mains à l'aide de larges bandes de cuir. Ils maintinrent légèrement mes jambes écartées à l'aide de courroies, mettant ainsi en exergue mon sexe doux et imberbe. Finalement, ils installèrent sur le portique une barre à section carrée en forme de U qui fit office de siège. Promptement, ils sortirent tous deux de la pièce. Les écrans muraux se remirent à déverser leur cavalcade d'images et de sons. Je laissai tous ces stimulus m'emplir l'esprit et les sens, certains de mieux me préparer à la suite. J'étais hypnotisé par les gros plans de pénétration: cette verge vue du dessous entrain de rentrer et sortir de ce méat, cette substance nacrée s'écoulant de cet orifice violé et avidement léchée, cette langue qui profite de l'occasion pour nettoyer ce pénis encore en pleine action ou cette autre décrivant des circonvolution autour de cet anus dégoulinant. Toutes ces scènes me donnaient une grosse mais une très grosse envie de sexe! Après plusieurs de ces séquences, j'étais prêt à tout... la porte s'ouvrit et, bras-dessus bras-dessous, deux grands black pénétrèrent dans la pièce. Entièrement nus, leur sexe partiellement gonflé, ils s'embrassaient profondément. A chaque pas, je voyais leur hampe passer successivement d'une cuisse à l'autre, leur gland légèrement apparent contrastait sur leur cuir anthracite. Arrivés à 2 mètres de moi, ils se séparèrent et se placèrent à ma gauche et à ma droite. Ils se collèrent à mes flancs et m'étreignirent de leurs bras robustes. Successivement, leur bouche me sucèrent le cou, les lobes des oreilles, les hanches, les tétons, le torse... Ils me violèrent tour à tour la bouche de leur langue avide. Je sentais leur sexe plaqué contre mes hanches se durcir sous l'action de leur ondulation. Ils glissèrent tous deux le long de mon corps. Le premier se positionna entre mes jambes, la tête sous ma bourse, ses mains posées à plat sur mes cuisses. Il était étendu en-dessous de son compagnon qui était accroupi à hauteur de son pubis. Le visage de ce dernier était face à mon pénis droit comme un "i". Et ils commencèrent à s'appliquer sur moi, sur ma peau. Je sentis les lèvres du premier me pincer le scrotum. Sa langue voyagea de mes testicules à mon anus. L'effet de bien être ne se fit pas attendre, je commençai à gémir, à savourer ces prémices. Le second empoigna mon pénis de sa grande main chaude. Tout en pressant mon phallus, il suça mon gland rouge foncé et uniquement mon gland. Il ne ménagea pas sa succion, il tirait avec forces, je sentais chaque cellule de mon bout de queue prête à éclater. La sensation était à la limite de la douleur et du plaisir. Tout cela ne faisait que commencer et, déjà, j'avais la soudaine envie d'éjaculer. Je sentais monter l'effluve de sperme de mes couilles à l'extrémité de ma verge. Je serrai les fesses pour maintenir mon liquide séminal tandis que mon suceur s'évertuait au contraire à le faire sortir. Mes muscles tendus, je me cambrai, lui facilitant sans m'en rendre compte la besogne. Il pressa de plus belle ma verge et tira en arrière le prépuce qui devint tendu et lisse. L'autre, tout en continuant le massage buccale de mes couilles, fit voyager son index d'abord dans mon anus, le relaxant, et ensuite caressa la zone de la prostate. Je tenais bon, j'étais pétrifié presque à la limite de la rupture. Lorsque tout à coup, celui qui travaillait mon cul retira son doigt et fit pénétrer un dildo. Je le senti monter dans mes entrailles, gluant de graisse, longeant mes parois internes. Il n'eut pas le temps de faire un seul mouvement de recul avec son objet de viol que, dans un long gémissement libérateur, je lâcha involontairement tout le sperme dans la bouche du suceur qui de surprise l'ouvrit. Le liquide nacré s'écoula et de fins filets se rompirent pour atterrir sur l'abdomen de son compagnon. Ereinté par la position inconfortable que je devais maintenir, par la douleur de mes fesses posées sur ce siège et par l'afflux d'endorphine dans mes veines, je me laissai aller tel un pantin désarticulé. Ils me décrochèrent. Sans liens pour me soutenir, je glissai et me répandis sur le sol doux de la salle. Etendu sur le dos, les jambes légèrement pliées et écartées, mettant en exergue mon sexe moite et gluant, la joue sur le sol matelassé, je m'assoupis. Je pressentis l'arrivée des deux blacks sur ma grosse chenille blanche et me recroquevilla pour la mettre hors d'atteinte. Ils me lovèrent et, sous l'action de leurs caresses, je sombrai dans le sommeil... Je me réveillais la tête lourde et le ventre creux, un peu hébété. De la salive s'était écoulée de ma bouche de telle sorte que ma joue en était humide. J'étais allongé sur le ventre, mon sexe écrasé sous mon abdomen. Les jambes écartées, j'exhibai mes testicules sans en avoir vraiment conscience. Lorsque je levai légèrement la tête, je vis les deux compères assis sur le sol, s'enlaçant, s'embrassant profondément. L'un, les jambes autour du bassin de l'autre. Je compris vite par ses mouvements, qu'il était enculé et qu'il avait plaisir à accentuer la pénétration. Je ne pu rester longtemps éveillé et m'assoupis, ces dernières images en tête. A mon second réveil, à moins de deux mètres en face de moi, je vis un des éphèbes, les jambes largement écartées, se masturber. Entre ses jambes, au niveau de ses genoux, se trouvait un bol. Il me fit signe d'approcher et me fit comprendre par mimes que le contenu m'était réservé pour me redonner des forces. Je ne me fis pas prier et commença une reptation digne d'un jeune enfant ne sachant pas encore marcher. Arrivé au bol, je pris appui sur les coudes, me cambrai et bus ce délice. Tout en me rassasiant, je fixais mon regard sur le gland foncé. Je me sentis rapidement mieux, me rallongeai et observai, le menton déposé sur le dos des mains, la suite de la scène. Subitement, je sentis un frôlement sur ma fesse droite. Par réflexe, je regardai au-dessus de l'épaule et aperçus l'autre grand nègre qui me souriait. Apaisé, je le laissai faire et me remis à observer le premier se masturber. Je m'enivrai de ces caresses à la base de mes fesses, je perçus la moiteur de ses lèvres sur mes testicules, ses légers mordillements. De légers frissons me parcoururent l'échine. Ensuite, il me lécha le trouffion, je sentais sa langue pointue tourner autour de mon anus. Soudain, j'eus l'impression qu'une chose imposante essayait de me pénétrer. Lorsque je réalisai que ce grand salaud voulait me baiser, je serrai le plus possible le sphincter et essayai de me redresser. Mais, son compère se jeta sur moi, me plaqua au sol et je ne pus me soustraire à leurs tentatives. Tant bien que mal, je ruais du cul afin de ne pas lui faciliter la tâche. L'un d'eux mit tout son poids sur mes épaules, souleva ma tête par le menton et m'embrassa. Au même moment, je sentis une piqûre de moustique à travers le cuir de ma fesse qui ne fit qu'accentuer mes ruades. Après quelques instants, je me sentis euphorique et ouvert à tout. J'embrassai fiévreusement et goulûment mon partenaire qui s'était assis jambes croisées face à moi. Tout en embrassant, je me mis à quatre pattes et mis en exergue mes fesses. Je présentai mon cul, mon trou à l'autre. j'avais hâte qu'il me prenne. Il ne se fit pas prier, et je perçus une grosse masse fouiner entre les fesses. Puis, lorsqu'il eut bien positionné son phallus, un liquide visqueux coula tout le long de ma rai de cul, c'était un lubrifiant aqueux. C'est alors qu'il pressa sur mon anus avec son gros, très gros gland. Dans un premier temps, pour m'amuser, je contractais le sphincter, j'avais envie qu'il force l'entrée comme s'il souhaitait me violer. Le gel était tellement abondant que son sexe glissait et suivait la voie tracée par mes fesses. Puis exaspéré, il m'agrippa les hanches, se cambra légèrement pour mieux se positionner et d'un trait, il s'enfonça en moi. En un fraction de seconde, son abdomen était aplatissait mon cul galbé. Là, ce fut l'étonnement! La dilatation de l'anus fut inhabituelle, sa hampe était énorme. Je craignais la déchirure de mon élastique. Il attendit un instant que la légère douleur s'apaise et que l'anus se relâche. Ensuite, de façon régulière et lente, il s'éloigna de mon cul de sorte que la tête de sa hampe resta à l'intérieur. Puis, de nouveau, il me pénétra. Son mouvement se fit de plus en plus rapide et brutal, à chacun de ses mouvements je subissais une oscillation vers l'avant. Finalement, un coup de butoir eut raison de mon équilibre, et je tombai sur son compère qui entre temps s'était placé sous moi, tête-bêche pour mieux contempler le spectacle. J'étais totalement hilare. Il me défonçait littéralement le cul. Pour compenser, je me mis à embrasser le sexe, la bourse de l'autre. Et au même moment, une langue râpeuse commença à me laper le gland. Pour faciliter l'accès au second nègre, l'enculeur me bascula et nous furent tous les trois sur le flanc enlaçaient. Quelle orgie! L'un m'échauffait à mort le trouffion, l'autre me suçait la bite à ne plus la sentir et moi, je savourais deux belles grosses pines aux veines noueuses: la première dans le cul, le sperme me remplissant les entrailles et s'écoulant de mon trou largement dilaté et la seconde dans la bouche, le gland titillant la luette, son sperme chaud s'épanchant dans toute ma cavité buccale... Quel plaisir! Donnez moi votre avis! Qu'avez vous fait ensuite? Avez-vous baisés? Masturbé seul ou à plusieurs? Etiez vous écoeuré ou exalté? Donnez-moi des détails? J'ai soif de savoir! coumaronique@hotmail.com

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