Gay Erotic Stories

MenOnTheNet.com

Ils étaient Sept, et Moi, Seul (suite)

by Tolstoi


Ils étaient Sept, et Moi, Seul (suite) Au bout d'une partie de la nuit, l'ankylose aidant, nous nous démèlons. Les trois autres commençaient à en avoir assez de devoir se crosser en regardant. Santiags me fourre dans le cul sa pointe métallique de botte et enfonce gentiment. Pure formalité car avec l'occupation qui se termie, je suis mûr pour un gros machin sans problème. Mais j'aime bien cette mise en contact. Il retire sa botte de mon cul et m'encule sauvagement. Il est monté comme un vrai cheval. Malgré le début de la nuit, j'ai enccore du mal à l'accepter. Il force à grands coups et finalement je sens ses couilles contre mon cul. Sa pine est très vivante: elle est tellement turgescente que je sens chaque pulsation de sang dans mon anus distendu. Il commence à me limer comme un étalon, rien ne peut l'arrêter. Je ne suis qu'un trou d'accueil. Je sens que sa pine grossit encore, chaque veine sur sa pine démesurée devient douloureuse et soudain il m'inonde. Je sens une marée chaude m'envahir et tout devient super lubrifié. C'est une extase, je ne sens que de la douceur est me sens en même temps complètement devenir son jouet sexuel. Chaque contraction de son corps en orgasme se voit à travers ses cuirs, je vois des muscles impressionnants jouer sous la peau, je le sens se vider en moi. Nous ne faisons plus qu'un. Pendant ce temps, je n'ai le temps que de voir une combarde qui fut blanche et rouge et sans doute deux tailles trop sérrée, s'ouvrir devant mon visage et libérer la plus grosse paire de couilles que je n'ai jamais vu. De vraies balles de tennis. Branchées sur un chibre de 24 cm environ, ce qui semble être le minimum chez ces mecs. Il s'assied doucement sur ma figure, se frotte les couilles sur mon nez et ma bouche. J'essaye de goûter au passage, j'ouvre la bouche. Il met ses couilles dedans! comme elles sont trop grosses, je bouge la tête. Le dernier qui était entrain de se crosser sur ma poitrine se met à genous à califourchon sur mon torse et m'enserre la tête fermement avec deux cuisses en cuir, je ne peux plus bouger d'un poil. Mis comme cela, il ne reste plus qu'à la combarde blanche et rouge de m'enfourner sa pine. Je n'ai que le temps de basculer la tête et de happer ce qui vient. Sa pine est très dure, comme un gode. il commence un va et vient rapide et commence une éjaculation multiple que je n'ai que le temps d'avaler au fur et à mesure. Celui qui me maintient la tête éjacule et j'ai l'impression qu'il me dépose une méduse chaude sur le visage: je suis de nouveau complètement englué. J'adore. Pour occuper mes mains, je caresse les deux premiers du début de la nuit à l'aveuglette. Je soupèse leurs couilles et ais le temps de me demander comment ils font pour récupérer si vite. Ma nuit va être longue. Tant mieux. Le matin semble se pointer, le jour se lève, pas mes 7 mecs. Je n'ai pas faim, je suis amplement nourri de leur sperme abondant. Je suis un peu endolori mais c'est pour la bonne cause. On se démèle enfin, je me relève. On rigole tous. Mes sept loubards ont l'air tout frais, leur cheveux longs simplement collés de spermes mélangés. On mange un petit morceau et on avale un café. Les motos sont au garage et ils ont une idée: on descend tous et ils me mettent à plat ventre sur une des 1100 GSXR, le cul encore amolli à l'air. Avec sa selle mono très haute, la moto me lève les fesses, je suis appuyé sur le réservoir, la tête dans les compteurs. La bête entre les jambes. Ils la démarrent, et font rugir le moteur. En échappement course, c'est assourdissant et les vibrations sont géniales. Ils commencent une série de chevauchées en m'enculant ce coup-ci sauvagement. Mon cul est tellement distendu et gavé de sperme que je ne trouve que de l'agrément. Je regrette de ne rien n'avoir en bouche. Comme si ils avaient eu la même idée, l'un se place sous ma bouche, ce qui me relève la tête et lui permet de m'enfourner. C'est les grosses couilles de tout à l'heure. Elles semblent vibrer plus encore et bientôt il recommence à éjaculer. Je pense que je n'en peux plus. J'ai l'estomac comme dilaté de tout ce sperme. L'intestin lui aussi est rempli à déborder, quand ils se retirent, pas mal de sperme ressort et se perd. Quelques injections de foutre plus tard, je suis tellement gluant qu'ils commencent à glisser en m'enculant. Le plaisir n'est plus le même. On s'arrête et on remonte à l'appartement. Mon cul est tellement élargi que l'un d'entre eux y passe le bras sans effort pour lui et sans trop de mal pour moi. Dans mon anus, il serre le poing et le tourne. C'est extraordinaire, je ne me sens plus. Je ne suis pas abimé, bonne nouvelle. Il ressort, on essaye de s'essuyer. L'odeur de sperme est omniprésente. Les pines rentrent peu à peu dans leurs cuirs. On discute encore un peu pour laisser le temps de sécher. Ils me félicitent, disent que je suis le bienvenu quand je veux. On prend rendez-vous pour le week end suivant, cela va être long d'attendre jusque là. Comme si de rien n'était, ils se mettent sur les appareils de muscu pour y finir le week end. J'emporte un pot de confiture rempli de sperme pour passer la semaine. J'en voudrais plus la prochaine fois!

###

1 Gay Erotic Stories from Tolstoi

Ils étaient Sept, et Moi, Seul (suite)

Ils étaient Sept, et Moi, Seul (suite) Au bout d'une partie de la nuit, l'ankylose aidant, nous nous démèlons. Les trois autres commençaient à en avoir assez de devoir se crosser en regardant. Santiags me fourre dans le cul sa pointe métallique de botte et enfonce gentiment. Pure formalité car avec l'occupation qui se termie, je suis mûr pour un gros machin sans

###

Web-01: vampire_2.0.3.07
_stories_story