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La Sanction

by Pb


Piqué la moto J'avais juste 18 ans, je lui avais "emprunté" sa moto. Première connerie, Deuxième connerie, elle était trop lourde pour moi, et j'ai heurté la bécane d'un de ses copains. Il est arrivé aussitôt. Flagrant délit, témoin, preuves. J'étais fichu ! - "Je te donne le choix : on règle ça entre nous ou on va au commissariat". Je le suis. Dans la chambre "Ote ton jeans". Je refuse "C'est ça ou les flics". Je suis debout en slip et teeshirt devant lui. Il me tate le paquet. Je me mets à bander "Ben tiens, tu vois que ça commence à te plaire !" - "Baisse ton slip". Il me prend le gland et le décalotte. Je frémis. Il rit et me branle "Tu as une belle queue". - "Enlève ton slip". Je m'exécute. Il ote son pantalon et baisse son slip sous les couilles. Il a une pine longue très raide. - "Tourne toi". Je proteste. "Tu crois qu'en tôle, les gars vont te demander ton avis ? T'y passeras de force !" Il me prend par l'épaule et me pouse face au lit, ancien, très haut, Il me fait pencher le buste appuyé sur le drap, les fesses tendues. Il sort un tube d'un tiroir. Je sens le doigt qui se glisse entre mes fesses et me vaseline l'anus, Le doigt s'enfonce profondément et me masse l'anneau. Il se retire et je sens le membre chaud qui pousse et force son passage. "Détend toi, ca va passer ..." C'est très gros, chaud. Je sens le mouvement puissant des cuisses derrière moi. Il me force et pénètre lentement. - "Voila, t'es enculé jusqu'aux couilles !" - Je n'ai plus mal, il a commencé le va et vient dans mon cul. Je bande à nouveau. A chaque poussée, mon sexe frotte sur le drap, et mon gland décalotte. L'homme halète derrière moi. Ses mains me massent les hanches, puis montent sur mon torse et repoussent le tee shirt sous les bras. Il me caresse le corps et la poitrine. "Tu es bonne, ma petite femme..." Une vague de honte et de désir me submerge et soudain je jouis et décharge sous moi. Il accélère le mouvement dans mes fesses et se soulage en moi dans un grand soupir. Il se retire d'un coup. Ca brule un peu, je reste anéanti, le cul béant. Il rit et me flanque une claque sur les fesses. "Allez, tu m'as bien vidé les couilles". Je me relève, il voit la tache de jus sur le lit. "Eh ben, t'as pris ton pied aussi ! Reviens quand tu veux !" Et j'ai du revenir une semaine après... Je devais récupérer mes papiers conservés pour le constat. Je restais debout, pressé d'en finir, mais lui a fermé la porte et m'a dit "On n'est pas si pressés. On peut causer un peu." Il m'a coincé contre la porte. Il me regardait en face puis il a avancé la main et a baissé ma fermeture éclair. Sans cesser de me regarder, sa main s'est faufilé dans mon slip et a saisi ma bite. Quelques agaceries du prépuce auxquelles mon corps a aussitôt répondu. - "Tu vas me faire une petite gaterie. Avec ta bouche, cette fois ci." J'étais sidéré. Sans cesser ses attouchements érotiques, il m'avait sorti le sexe. J'étais en pleine érection. - "Mets toi à genoux." J'ai obtempéré, tandis qu'il défaisait sa ceinture, ouvrait largement son pantalon et sortait pine et couilles par dessus son slip. - "Suce !" et il m'a tiré la tête vers son membre. J'ai ouvert la bouche et reçu le gland entre les lèvres. "Ouvre bien, mets pas les dents !" J'ai du ouvrir largement la machoire pour recevoir ce gros pieu chaud et tout lisse. J'en avais plein la bouche, mais j'étais presque surpris qu'il n'ait pas plus de gout... "Allez suce bien." J'ai spontanément trouvé le mouvement, ma langue léchant le filet tandis que mes lèvres pompaient son sexe. - "C'est mieux, là, encore." et il me maneuvrait la tête et lui même allait des hanches comme pour me baiser dans la bouche. - "Là, vas y, ça vient ..." et soudain, il a poussé un grand "Ah" et j'ai senti un jet de liquide chaud dans ma bouche, le second jet a atteint le fond de ma gorge et j'ai failli m'étrangler. J'ai du avaler précipitament, puis j'ai continué et avalé peu à peu tout le jus qui me remplissait la bouche. Il ne s'est pas retiré ... et je ne me suis pas reculé, j'ai tout bu, un peu âcre, une forte odeur qui a persisté dans ma bouche. - - "C'est bien, tu es une bonne pompeuse." Je me suis relevé, tandis qu'il se rajustait. J'avais toujours le sexe dehors, en demi érection. Il me l'a pris et massé, plusieurs fois. Je bandais dans sa main chaude. Quand j'ai commencé à haleter, il s'est un peu reculé et m'a juste pris le bout du sexe du bout des doigts. Il me décalottait et me recalottait le gland très lentement et me regardait vibrer. Il cherchait la position, le geste, l'instant qui me menait au comble du désir. Son regard allait de mon visage en sueur à mon sexe gonflé. Soudain j'ai poussé un cri, c'était trop ! Il me tenait juste le bout du sexe et regardait attentivement. Il a vu tout mon jus gicler entre ses doigts, en gros jets qui retombaient sur le parquet en taches blanches. Un dernier filet pendait au bout de ma bite, il l'a ramassée d'un doigt et léchée. "Eh bien, t'as du jus pour un moufflet ! Allez reprends tes papiers et file, c'est terminé pour aujourd'hui." Et là je ne l'ai plus jamais revu !

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La Sanction

Piqué la moto J'avais juste 18 ans, je lui avais "emprunté" sa moto. Première connerie, Deuxième connerie, elle était trop lourde pour moi, et j'ai heurté la bécane d'un de ses copains. Il est arrivé aussitôt. Flagrant délit, témoin, preuves. J'étais fichu ! - "Je te donne le choix : on règle ça entre nous ou on va au commissariat". Je le suis.

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Web-01: vampire_2.0.3.07
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