Le Bateau
Ils étaient quatre. Etudiants dans la même faculté, les longues vacances universitaires débutaient enfin et laissaient déjà loin derrière elles les angoisses des examens et des concours. Depuis quelques mois, ils avaient projeté de louer un voilier et de traverser la méditerranée à son bord. Le moment était enfin venu. Le hasard avait voulu que tous les occupants de ce bateau fussent des hommes. Aucune fille n'avait voulu se joindre à eux. le début de la traversée fut un enfer. Le mistral, anormalement fort pour ce mois de juin, balayait la mer, malmenait le bateau, et inondait la cale en y envoyant de gros paquets de mer...Les quatre équipiers étaient occupés en permanence aux manoeuvres et aux réparations que le vent ne manquait pas de causer sur le bateau et les rares instants de temps libre étaient consacrés à la récupération d'un sommeil devenu trop rare. le quatrième jour, tout se calma enfin.La mer devint d'huile et les voiles battaient paresseusement dans l'air immobile. On dut avancer au moteur, et le pilotage automatique permit aux quatre hommes de se délasser enfin. La chaleur était devenue accablante et tout le monde se mit en maillot de bain.Les corps étaient devenus luisants de sueur et de crème solaire. Parmi l'équipage, il y avait un Noir qui s 'appelait Joel, et dont le corps, endurci par de nombreuses heures quotidiennes de boddy-building, arborait une musculature impressionante; Il ressemblait à une statue d'ébène mais vivante. La seule différence était que la nature n'avait pas -comme c'est malheureusement le cas pour les statues grecques- réduit le sexe à une taille symbolique. On devinait parfaitement à travers le Lycra que ce sexe était sur-dimensionné et il attirait malgrès eux le regard mi-envieux mi-fasciné des autres garçons. Eux non plus d'ailleurs n'étaient pas mal du tout; Ils appartenaient tous à l'équipe de football de leur université et s'entrainaient régulièrement, ce qui leur donnait une carrure athlétique. L'après midi, deux des équipiers allèrent se baigner dans la mer pour se raffraichir un peu. Joel et Jean ,le plus jeune ,restèrent sur le bateau. Dès que les deux baigneurs se furent éloignés un peu du bateau, jean se rapprocha de Joel et lui demanda de lui passer sur le dos un peu de crème solaire. Celui-ci accepta et Jean présenta son dos à Joel . Les mains puissantes de Joel commencèrent à appliquer l'onguent sur le dos large et musclé de Jean. Elles massaient les épaules, descendaient le long des dorsaux, puis remontaient sur la nuque, faisant rouler tous les muscles. Jean semblait prendre un plaisir manifeste à ce massage. Il se recula un peu et vint se caler contre Joel. Il compris que ce dernier n'était pas non plus insensible au plaisir de caresser un corps d'homme bien musclé. En effet en reculant contre Joel, il senti palpiter contre ses reins l'énorme gourdin de Joel .Les mains de celui -ci étaient passées devant et caressaient maintenant le torse de Jean, puis elles descendirent le long de son abdomen puis de ses cuisses. Enfin pendant qu'il caressait d'une main sa cuisse gauche, Joel se mit à pétrir le sexe de Jean à travers son slip de bain qui était devenu plein à craquer. Il s'en saisit et le fit jaillir hors de sa prison de tissu . Jean sentait toujours le sexe démesuré de Joel palpiter contre ses reins. Il voulu en profiter d'avantage et se frotta contre lui. Sans un mot, Joel comprit ce qui ferait tant plaisir à son amant. Il s'enduisit le sexe avec ce qui restait de crème solaire puis saisit Jean par la taille. Celui-ci sentit l'énorme brugnon contre son anus, puis d'une lente et régulière poussée, il s'empala jusqu'à la garde sur l'énorme chibre. Il crut qu'il allait être déchiré, mais déjà il sentit que son ventre se décontractait pour acceuillir cet imposant visiteur. A ce moment, leur deux coéquipiers de retour de leur bain remontèrent sur le bateau. Ils entendirent une sorte de halètement auquel se mélait un souffle rauque. Ils se rapprochèrent. Les deux hommes faisaient l'amour en plein soleil. On aurait dit deux lutteurs entièrement nus . Le contraste que faisaient ses deux corps emboités l'un dans l'autre, l'un d'un noir d'ébène, l'autre blanc, était saisissant. La sueur ruisselait maintenant sur les deux hommes et faisait une petite rigole sur le pont du bateau. Ce spectacle excita les deux nouveaux-venu.Une érection phénoménale se dessina à travers leur maillot de bain. Ils le retirèrent aussitôt et se joignirent au couple. L'un d'entre eux s'accroupit entre les cuisses de Jean ,puis commença à pomper son sexe qui était devenu énorme.L'autre présenta devant la bouche de Jean sa gigantesque bite que celui-ci se mit à lècher et à sucer goulûment. Le rythme s'accéléra imperceptiblement . Jean sentit que le sexe de Joel gonflait encore en lui et qu'il allait bientôt exploser.Ses muscles se contractèrent brusquement, Il saisit entre ses mains la tête de celui qui était en train de le sucer et s'enfonça le plus loin possible, au risque de l'étouffer. Il se vida littéralement en longs jets sirupeux que l'autre avala jusqu'à la dernière goutte.Dans le même temps, il reçu simultanément dans le ventre et dans la bouche le flot de sperme de ses deux autres partenaires. Le reste de la traversée fut ainsi occupé par de nombreuses orgies, sur le pont du bateau , sous le chaud soleil de la méditérranée.
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