Gay Erotic Stories

Antonin a plein de sperme sur le torse. "Lèche moi tout ça" dit-il. Je me penche pour nettoyer mon Maître quand je sens une bite qui cherche à penetrer mon cul en l'air. Antonin saute sur ses pieds et frappe le mec jusqu'à ce qu'il chiale. Le Maître le félicite, et on voit qu'Antonin est très fier du compliment. Je retourne à mon travail sous le regard des autres mecs, puis une fois fini, le Maître nous dit que c'est fini pour aujourd'hui. On monte dans ma voiture. Au bout de 5 minutes, mon Maître m'ordonne de m'arrêter. Il veut que je le suce, je ne l'ai jamais fait mais je m'applique du mieux que je peux, ça doit marcher vu ses soupirs et la main qu'il appuie sur ma tête. J'ai à moitié des hauts le coeur, mais je ne veux pas le décevoir... Tout à coup il m'arrête, repousse ma tête et dit "Passe moi une de tes pompes". Il la prend, la fout sur sa bite et se branle dedans... Quelques mouvements de bras plus tard il me la rend. "Mets là". Mon pied rentre dans la chaussure, et en un instant ma chaussette est toute humide et collante. "Maintenant, esclave, on va chez moi, mes parents sont pas là". On arrive chez Antonin. Il y a une belle collection de skets dans l'entrée : Puma, Nike, Vans, toutes plus kiffantes les unes que les autres. Il retire ses pompes, et m'ordonne de me la lacer autour de la tête, pour avoir le nez tout le temps dedans. "Tu aimes cette odeur, hein ?" "Oui Maître" "C'est normal, c'est mon odeur, c'est l'odeur d'un vrai mec, c'est l'odeur d'un vrai combattant" "Oui Maître" Il pose ses pieds sur la table basse. "Vas me chercher une Despé dans le frigo" "Bien Maître" Je reviens avec une canette, je lui tends et il me dit "Lèche moi les panards". Je suis trop content de pouvoir m'exécute, ma langue va et vient le long de sa plante, entre ses orteils, et il se remet à se pogner. Soudain, il arrête tout et me dit de me lever. "Tourne toi et penche toi en avant". Aïe ça fait mal... Je gémis un grand coup, je m'demande si je vais pas m'évanouir, mais ça décevrai mon Maître, donc je lutte pour ne pas m'effondrer. La douleur devient plaisir, et toujours avec sa sket sur le nez, je lui demande d'aller plus vite, plus loin. Enfin, je le sens se coller à moi et il me remplit. Il se retire et m'ordonne de serrer les fesses pour garder son sperme le plus longtemps possible en moi. Il s'allonge sur le canapé, et m'ordonne d'aller faire à manger pour lui, pas pour moi. Moi, il va me donner autre chose à manger. Une fois le repas terminé (moi je l'ai regardé manger), on monte dans sa chambre. Là, il m'ordonne de retirer sa pompe de ma tête... C'est à la fois un soulagement et une déception, mais il ne faut pas abuser des bonnes choses j'imagine. Il remet son kimono, encore trempé de sueur, et m'ordonne de faire de même... Après s'être allongé, il abaisse son pantalon et m'ordonne de sucer. Je pompe, je pompe, et je sens sa bite grossir jusqu'à ce qu'il m'explose dans la gorge. Un liquide chaud envahi ma bouche, je n'arrive pas à tout retenir, mais j'avale tout ce qui a glissé en lui léchant le mat... C'est bon... Miam, j'en veux encore. Il retire completement son pantalon cette fois, et sur de lui, place sa queue au dessus de sa tête, puis dans sa bouche. Je le contourne pour pouvoir retourner lécher ses panards, ses beaux pieds de Maître. Une fois qu'il s'est juté dans la bouche, il remet ses jambes en position normale... Je dois me coucher à ses pieds, en posant ma tête sur nos paires de chaussettes, et avec sa pompe que j'ai passé toute la soirée à renifler devant la gueule... Ca me fout une gaule pas croyable, rien qu'a imaginer ses pieds de Maître dedans. Le sommeil ne vient pas vite, car je contemple ses pieds et ses pompes. Je ne tient plus et commence à lecher ses panards. J'entends un grognement de satisfaction, et je continue jusqu'à m'endormir, ses panards sur la gueule. Le lendemain matin, il m'ordonne de partir tôt... Je me rhabille au plus vite, et lorsque je mets mes pompes, je sens à nouveau mon pied devenir chaud et humide, mais cette fois çi c'est l'autre. Je souris en pensant à mon Maître qui m'a fait ce cadeau, et je quitte sa baraque, prêt à revenir dès qu'il m'appellera. J'espère que ça vous a plu tkd_mec@hotmail.com