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Les Aventures du Sergent Stephane

by Sergent.stephane


Salut. Je m'appelle Stéphane, 26 ans, 1,76, 78k d'os et de muscles. Je suis instructeur de sport à l'armée. Bopecs, cuisses épaisses, un bon cul de mec : un jour, un pote m'a dit que mes fesses, on dirait deux ballons de rugby collés l'un contre l'autre. J'ai deux tatouages : des poignards entrelacés surl'épaule gauche et un aigle sur la hanche, qui se déploie en partie sur le cul. Ca fait trois ans que je suis pote de baise avec Jean-Marc, qu'est lieutenant-colonel. Quand je l'ai connu je revenais d'un an à Mururoa où je n'avais pas perdu mon temps. A sept ou huit, on se défonçait à l'herbe locale et on partouzait avec des marins. J'avais un pote, 28 ans, 1,87m, 79k, para dans les commandos de marine, qui encaissait bien. Y avait aussi un pompier de Paris en détachement. J'ai été muté à Saint-Maixent-L'Ecole il y a trois ans et je me suis dit que côé baise, cela allait être morne plaine. Un jour, pourtant, je suis allé sur la côte. Sur la plage, près de Royan, je repère un mec, la quarantaine, tifs grisonnants hyper ras, presque la boule à zéro, musclé sec. Une bonne gueule de mec. Il me semblait l'avoir déjà vu. C'est son slip de bain bleu qui a attiré mon attention : un slip de l'armée. Lui aussi a dû me repérer à mon slip bleu, et à mes cheveux en brosse. Au bout d'un moment, il s'est levé, est venu me voir. - Saint-Maix' ? il a demandé. - Oui. Il m'a dit qu'il s'appelait Jean-Marc. Il était lieutenant-colonel. Il s'est assis à côté de moi. On a bavardé de tout et de rien. Il était bien foutu, avec de belles épaules rondes. Il m'a demandé si je m'ennuyais le week-end, si ça me disait de l'accompagner pour du footing ou du crapahut. - C'est bientôt le tournoi de foot de l'ENSOA. Ca te dirait de faire partie de mon équipe? Un mec avec une paire de cuisses pareilles, ça doit avoir du peps... Je lui ai dit que ça me disait. Il s'est penché pour me dire un truc et l'un de ses tétons a frotté mon bras. Ca m'a électrisé. Il s'en est aperçu. On rigolé. Il a passé la main dans mes cheveux et on s'est marré. Le week-end suivant, il m'a invité à passer chez lui. Je suis arrivé, j'étais en survêt et tshirt. Lui, il était en débardeur et en short en nylon noir. On s'est assis. Il a fini par dire : " Ca t'embête si tu me montres ton tatouage. J'ai pas osé te le demander sur la plage l'autre jour" J'ai dit : "Ah oui ?" Il a rigolé : "Ca t'embête ?" Je me suis juste levé et j'ai baissé mon survêt et mon slip, mon cul à quelques centimètres de sa gueule. Il a passé sa main sur le tatouage. J'ai senti sa paume calleuse sur mon cul. Je me suis dit : "Faudrait pas qu'il croit que c'est le genre de la maison de donner son cul. Lieutenant-colonel ou pas." Il a dit : - Tu portes des slips Dim ? C'est bien pour les mecs... -Oui et des jock straps pour le sport aussi. - J'aime bien ce que dait Hom aussi. J'ai pas eu le temps de répondre parce qu'il a plongé la tête la première entre mes fesses. J'ai senti son crâne ras frotter ma fente. Après un long moment à me bouffer le fion, il s'est arrêté pour se relever, collé à moi, et me murmurer à l'oreille :"Fais-moi l'amour, Stephane. J'en ai envie".Ca m'a fait marrer. J'avais rien à craindre pour mon cul. On s'est vautré au pied du canapé du salon. Je lui ai relevé les guiboles. Je lui ai écarté le pli du cul pour dévoiler son trou secret, tout lisse et violacé. Merde, j'en avais jamais vu une fente de lieutenant-colonel. J'allais pas le louper, le gonze. Il avait sorti un tube de gel d'un tiroir. J'en ai déposé sur son trou. Je l'avais à peine touché, il s'est mis à respirer très fort.J'ai présenté mon zobard. Le trou était pas plus gros qu'une fente pour les pièces dans une cabine téléphonique. Le gland est passé en un sursaut. Jean-Marc s'est pris la tête à deux mains. J'ai vu qu'alors qu'il était imberbe partout, il avait deux grosses touffes sur les aisselles, très épaisses. Je sais pas pourquoi ça m'a fait flasher. Je me suis mis à lui bouffer le dessous des bras, qu'ila vait très profond à cause de l'épaisseur des pecs. J'ai fini par me relever pour regarder son cul avaler mon zobard. Ca rentrait comme dans du beurre. Il avait les fesses hyper dures, lisses, striées par les muscles. Au fur et à mesure que le zob plongeait, des vagues contractaient son pack d'abdos. Il avait des muscles très creusés sur le ventre. Ca me fascinait, ces ondulations. - Regarde, tu vois mon zobard qui avance là dessous, j'ai dit en lui claquant le bide. - Attends, attends...D'habitude, les bites des petits jeunes, ça me fait plus grand chose, mais là... Il en pouvait plus. Tout à l'heure, au moment où je lui ai bourré la fente, sa queue s'était mise à bander très dur mais maintenant, elle se ramollissait à cause de la douleur. J'en avais rien à foutre. Il a crispé ses mains sur ses abdos comme s'il avait carrément peur que je lui transperce le bide. Je l'ai limé,à le faire couiner pire qu'une femelle. Ce jour là, j'ai largué cinq fois de suite entre ses fesses, et je l'ai laissé me prendre une fois. A la fin, on baignait dans la jute, à l'extérieur et l'intérieur. A la fin je lui ai dit : - Après-demain, y a une cérémonie militaire. Sous ton uniforme, tu porteras un jock strap rouge et noir que je vais t'acheter. Ca me chauffera de te voir défiler en pensant à ce qu'il y a sous ton fut. Et au retour, je te le baisserai et je te niquerai comme ça. Commentaire : sergent.stephane@wanadoo.fr

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Les Aventures du Sergent Stephane

Salut. Je m'appelle Stéphane, 26 ans, 1,76, 78k d'os et de muscles. Je suis instructeur de sport à l'armée. Bopecs, cuisses épaisses, un bon cul de mec : un jour, un pote m'a dit que mes fesses, on dirait deux ballons de rugby collés l'un contre l'autre. J'ai deux tatouages : des poignards entrelacés surl'épaule gauche et un aigle sur la hanche, qui se déploie en partie sur le cul.

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Web-01: vampire_2.0.3.07
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