Gay Erotic Stories

Mon chum m'avait avertit qu'un mec devait venir poser de la céramique à la cuisine mais il n'avait jamais dit que le poseur ne viendrait pas seul... J'étais seul ce soir-là car mon chum travaille de soir. Lorsque le poseur de céramique arriva, je n'étais vêtu que d'un t-shirt et d'un boxer ample aux cuisses. Il entra; ce genre de mec baisable mais dont on ne se souvient pas. Quelle ne fut pas ma surprise de voir entrer un autre mec qui, lui, s'imprégne dans votre mémoire la plus cochonne. Il devait avoir 30 ans. Il donnait l'impression d'être Italien, ou du moins de dessendance. Comme c'était l'été et qu'il faisait chaud, il était vêtu d'un jeans usé, troué dans l'entrecuisse et d'une veste de jeans, laissant voir ses muscles et sa poitrine velue. Sur les hanches, il portait un attelage de cuir avec tous ses outils qui cliquetaient à chaque mouvement. Il entra et je refermai la porte derrière lui. - Bon bien on va commencer tout de suite, dit l'homme qui semblait le patron. Allez Gino, pas de temps à perdre. Gino... Il s'appelait Gino. Dieu qu'il était beau et sexy. Mes yeux ne pouvaient s'empêcher de le lorgner, glissant sur son corps musclés. Il s'agenouilla et tout de suite, mon imagination opéra. Je m'étais assis sur le coin du buffet, les jambes écartées. Toutes les images qui se promenaient dans ma tête jouaient maintenant sur mon sexe qui grossissait à vue d'oeil et que je ne pouvais plus cacher. Il sautillait, sortant de mon boxer par la cuisse. - Tu aurais un petit balai? demanda l'Italien, toujours à quatre pattes, dos contre moi. Je me levai et pris le balai dans le placard pour le lui apporter. Lorsqu'il se tourna le visage vers moi, ma queue était là, complètement sortie du boxer, bien raide et du jus sortait du gland. Il leva la tête et me regarda en souriant; " c'est ça le balai?", demanda-t-il en lachant ses outils. Sans rien dire de plus, il ouvrit la bouche et engloutit ma queue, promenant sa langue chaude sur mon gland. Tout à coup, le patron se retourna et nous vit. Aussitôt, il nous rejoignit, se plaçant derrière moi. Il ouvrit son jeans, en sortit sa grosse queue qu'il plaqua à mon cul une fois après avoir baissé mon boxer. L'Italien, de ses grosses mains, m'écarta les fesses, laissant une place de rêve pour la grosse queue qui me pénétra avec douceur pour commencer poursuivant par des mouvements brusques. Le patron n'était pas très beau mais il savait labourer un cul. Je sentais chaque mouvement de sa queue qui frappait ma prostate et l'autre qui me suçait avec avidité. Je sentais ma semence qui approchait mais je ne voulais pas éjaculer tout de suite. Je voulais sentir aussi la queue de l'autre dans mon cul et je leur fis savoir. Je croyais que le patron lui laisserait la place mais non, il décida que tous deux m'enculeraient en même temps. Je ne savais pas si je pourrais les prendre les deux en même temps mais je pris placer tout de même sur le patron qui s'était étendu sur le dos, sa belle grosse queue en main pour que je m'y assois. Ouf... quelle était bonne. Derrière moi, l'Italien s'était sorti la queue et moi,penché par devant, je parvins à laprendre aussi, l'engloutissant au complet. Les deux queues glissaient l'une contre l'autre et je les sentais bien toutes les deux. Je n'en pouvais plus, c'était trop. L'Italien me labourait avec une telle force que ses couilles cognaient contre mes fesses. Sans même toucher à ma queue, le sperme sortait, coulant sur le patron qui criait sa jouissance. En même temps, les deux mecs se laissèrent aller en moi, me remplissant de leur sperme chaud et gluant. Ils sortirent et tous deux se mirent à me sucer, posant leurs lèvres de chaque côté de ma queue. Trop jouissif, je me mit à gicler partout sur leurs visages, le patron lichant tout de sa langue perverse. Pour tout vous dire, j'avais mal au cul mais dieu que c'était bon et là, je viens de décider de refaire la céramique de la salle de bain pour tout commentaire: toxedo1@sympatico.ca