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Ma Première Baise en Cuir

by Yamaha


A l'époque, je savais que j'étais très gay particulièrement porté sur le muscle, mais je n'avais pas encore découvert le cuir. J'avais 22 ans, super entrainé par trois soirées sportives chaque semaine, j'étais fort, bien sculpté, et je le savais. Je portais les cheveux longs, comme tous les mecs de mon âge. J'étais en permanence en jeans, qui avaient eu le malheur de ne pas grandir avec moi et étaient toujours trois tailles trop serrés, délavés à mort, d'autant que je les rodais longuement au papier de verre, surtout pour mettre mon paquet en valeur. Un beau jour, je me décide à passer aux puces pour essayer un jean en cuir. Je boucle la moto à un arbre, et cherche une de ces petites boutiques qu'il y a là bas, qui vendent des articles très orientés. Je marchais quasiment toujours en santiags, j'en avais plusieurs paires. Je les aimais très voyantes. Celles-là étaient rouge vif. Elles me donnaient toujours une démarche chaloupée et bruyante, le talon cognant le sol à chaque pas… dix centimètres de talon biseauté, c'est pas anodin ! Je rentre. Un mec jeune et bien foutu m'accueille. Je lui dis que je cherche un jean serré et bien luisant. Il me sort ma taille et un autre une taille plus serré, car il me prévient que cela se détend. On engage la conversation, on finit par sympathiser. Il me demande enfin pour quoi je veux les utiliser : moto ou soirées entre copains ? je dis les deux bien sûr, avec un regard appuyé. Il comprend et me sort ce qu'il appelle la coupe spéciale : en les essayant, je comprends : la raie arrière me rentre complètement entre les fesses, le paquet dépasse carrément devant, hyper moulé. Le jeune vendeur me dit qu'il vaut mieux les porter sans rien dessous, pour le confort. Je le prends mais encore une taille plus serrée, je veux qu'ils restent très moulants. J'ai un mal de chien à le fermer, mais j'y arrive. C'est dingue l'impression ! un panard total, je me mets à bander comme un cheval, et cela se voit en détails dans ce jean là ! Je paye, je sors et tout de suite je me heurte presque à deux mecs qui entraient. Tous deux plus agés que mes 22 ans, mais beaucoup plus musclés aussi, minces et immenses. Eux aussi, tiags, perfecto, jean cuir. Ils sont beaux. Je suis moi même un peu gêné car je sais que je suis parfaitement indécent avec ce jean si serré et qui finalement met tout en valeur. Il baissent le regard et l'un d'entre eux me fait un petit sifflement : " ça te fait de l'effet ! " Je lui dis que oui, et que ce soir c'est pas moi qui vais réagir le plus fort. L'autre s'approche et profitant qu'il y avait personne dans la boutique, me prend le paquet à travers le jean et le masse gentiment. Je bande comme un fou et je commence à éjaculer dans le jean ! les deux s'en aperçoivent et me proposent d'aller vider les concombres chez eux pas loin, avec quelques copains. J'accepte avec empressement et nous voilà partis, moi roulant les hanches avec mes tiags, ce qui faisait rouler mes couilles avec de façon hallucinante. Tout en éjaculant un peu plus à chaque pas, je les remarque qui commencent à bander aussi. Je prends peur car c'est des vrais étalons, leurs paquets gonflent à chaque instant de façon incroyable. On arrive chez eux. Il y en a déjà plusieurs autres, nous sommes bien une demi douzaine en tout. Tous aussi musclés, habillés en cuir hyper moulants, les cheveux longs à très longs. L'air de fauves en rut. Vu la chaleur, ils sont torses nus. Ils me dévisagent et on m'annonce comme la nouvelle recrue ! Je les salue et on ne perd pas de temps. Je retire à regrets mon cuir, comme je suis nu dedans, c'est vite fait. Les tiags volent dans un coin de la pièce, et je reviens au milieu d'entre eux. Les amuse gueules d'abord. Ils me font agenouiller au milieu d'eux en cercle, leurs paquets à hauteur de mes yeux. Tous sont énormes. Ils se rapprochent de moi et je suis cerné par ces couilles et ces pines qui gonflent démesurément. Je lèche tous ces cuirs, appréciant les tailles du contenu au passage. L'un se dégage, une pine fine et longue sort en force. Je lève les yeux pour voir à qui elles est, je ne vois que des pectoraux énormes qui me bouchent presque la vue ! Ses couilles restent prisonnières dedans le cuir, il peine à les sortir. Elles jaillissent enfin, elles sont complètement épilées et grosses comme des mandarines. Il me prend la tête par les cheveux et me rentre de force la pine dans la bouche. C'est le signal de la ruée, du viol collectif. En un clin d'œil, tous ont dégainé et me sautent dessus avec des rugissements de taureaux en rut furieux. J'ai la bouche pleine du premier, on me l'attache dessus avec des coins en liège entre les dents, au cas ou… un autre sort un pine incroyablement longue et me vise le cul. Un peu d'huile et il m'encule sauvagement d'un coup jusqu'à la garde. Gay j'étais, soit, mais pas très entraîné ! ça fait mal et ils me rassurent en me disant que je vais m'habituer si je ne crispe pas. Tout n'est qu'un simulacre, le viol y est bien mais reste contrôlé. Il faut simplement que j'accepte de jouer le jeu du jouet sexuel aussi longtemps qu'ils le veulent. Un autre se branle sur ma figure déjà bien écrasée contre le premier. Je vois un gros braquemart qui va et vient, violet et énorme, puis il éclate en m'engluant la figure. J'avale. c'est bon, très bon, le leur dit. Ils en redoublent de fureur sexuelle et celui qui m'a enfilé se met à me limer comme un dingue. Je suis secoué douloureusement de tous cotés, je m'abandonne. je me croyais fort, je ne résiste pas à ces montagnes de muscles parfaits me défoncer. Ils apprécient mes hanches très étroites, me forcent à tour de rôle, me remplissent le cul et la gorge sans ménagements aucuns. Je ne peux rien faire que compter les coups, et surtout avaler assez vite. Celui qui me lime me remonte loin dans le cul, c'est très agréable, il frotte directement sur la prostate au passage, déclenchant des ondes électriques qui me laissent crevé. Au bout d'un long moment, il éjacule. Je sens une marée chaude m'envahir au plus profond. Il se calme, lime encore un peu en faisant des cris rauques, je ne pense pas que ce serait le moment de l'interrompre…le super mâle en plein rut, couvrant sa femelle, sauf que je me sens pas vraiment femelle mais aussi mâle qu'eux. Simplement pas dans la même position. Il se retire enfin, après ce festival. Il est remplacé par un autre qui rentre une pine dirais je standard, sauf qu'elle est si dure que je crois qu'ils me mettent un gode. Mais non, il y a bien un mec derrière. Je note qu'il est plus mince que les autres, ses couilles sont rasées, assez grosses. Il est pourtant d'une force incroyable. On l'appelle champion car il est champion de triathlon comme je l'apprendrai plus tard. Il a des hanches étroites comme celles d'un adolescent ? des jambes musclées et fuselées, dures comme du bois. Il est très jeune. On m'apprendra qu'il a à peine 17 ans et pourtant sa force est dingue. C'est du genre nerveux et sec. Il a peu d'expériences sexuelles et je vois que cela l'impressionne, il en bande que plus et est d'une avidité qui fait rigoler tout le monde. Complètement nymphomane en fait, il dit que s'il se branle pas deux fois par jour, cela coule tout seul… il va pouvoir y aller de bon cœur ! il me choppe et me triture entre ses bras, frottant son sexe contre moi partout, frénétiquement. Il s'approche de mon cul et devient incontrôlable. Il rentre avec un cri de soulagement et commence tout de suite à limer. Ses couilles montent et descendent à toute vitesse. Il éjacule vite mais presque en continu. Il m'encule vicieusement, sortant lentement et rentrant le plus vite et le plus fort possible. Je sens sa pine me ramoner les intestins sans ménagement, il finit par s'agripper à mes hanches et en limant comme un forcené , il se décharge par longs coups. Je me retourne pour voir à qui c'est le tour. Et là j'ai peur. Un espèce de géant, peint en cuir, me dépassant de presque deux têtes, s'approche, un objet long comme une pine de cheval déjà bandé en majesté. Large comme une armoire, des hanches ridiculement petites, des muscles énormes et saillants sans rien pour les contrarier. J'apprends qu'il a été champion de bodybuilding jusqu'à ce qu'il se fasse virer de son équipe car il sautait ses collègues, plus près du viol que de la simple baise. Lui aussi est en santiags. Des muscles énormes jouent librement et on les voit à travers le cuir comme s'il était à poil. Son torse est sans un atome de graisse et impressionnant. Il me prend les hanches et me soulève simplement comme si j'étais une poupée gonflable. Il place sa pine géante et turgescente sous moi et m'empale brutalement en me laissant retomber dessus ! la première fois je crie de surprise et de douleur. Cela ne sert à rien, il s'en fout, il veut se décharger dans moi et me montrer que je ne suis qu'à peine plus qu'un trou pour foutre. Je suis écartelé sans pouvoir me dégager car il me tient en place. Plus je me débats plus il jouit. Il me dit que je suis très serré, je lui réponds qu'il doit pas en trouver souvent des trop larges pour lui ! je sens mon intestin remonter sous la pression qu'il applique et en plus il se met à limer en me resoulevant pour me laisser retomber. Au bout d'un moment, il nous couche, moi à plat ventre et lui me couvrant le dos. Je ne peux lui résister en rien. Il n'arrête pas de me limer pendant qu'un des autres nous filme en gros plan avec un camescope. Je suis laminé par cette bête de 140kgs donc plusieurs d'objets sexuels. Pour me faire taire, un autre me met sa pine dans la bouche et m'encule jusqu'à l'œsophage. j'ai le nez dans ses poils pubiens, qui sentent bon le fauve. La seule chose que je peux voir est une rafale d'abdos en plaque de chocolat impressionnants et un ceinturon à boucle énorme. Il lime dedans, très pénible puis me remplit l'estomac d'un coup. Le prochain me met ses couilles monstrueuses dans la bouche puis se branle sur mon visage. Vision étonnante, une grosse pine qui va et vient en très gros plan. Puis je sens que le foutre arrive en flots et me revoilà englué dans une marée chaude et épaisse. J'en ai partout, et pourtant je ne sens plus que mon cul éclaté et défoncé par mon géant qui continue à me limer de sa façon particulière. Il m'écrase le torse dans son effort sexuel, sa sueur dégouline sur moi. Pourtant, je disparais entre ses bras. C'est fantastique de sentir qu'un tel mâle me remplit de son meilleur jus et y laisse sa force. Il gonfle encore et soudain c'est l'explosion, de longs flots chauds m'envahissent, à longs traits, accompagnant le mouvement de cris sourds et satisfaits. Il reste en place, un peu calmé. Un sympa met mes couilles en bouche et me suce gentiment. Je ne peux plus bander tellement je suis rempli par tous les bouts mais c'est une sensation bien agréable. Il attarappe mes couilles avec les dents et tire gentiment. C'est fameux mais cela ne me fait que comme des décharges électriques supplémentaires car je crois qu'il mord un peu fort dedans. J'en ai donc trois sur moi en même temps. Deux autres se mettent en travers sur moi et se branlent entre moi et celui qui me suce, entre moi et celui qui me couvre. Ils sont restés en cuir tout le temps, j'ai pu apprécier comme c'est beau le cuir gonflé de muscles au travail. C'est irremplaçable à mon avis. Le jean est pas mal mais c'est tellement répandu que cela ne veut plus rien dire. Un cuir hyper moulant et même dans une foule tout le monde sait qu'il y a des couilles dedans. Pour moi, un cuir noir et moulant sur des santiags c'est ce qu'il y a de mieux et de plus évocateur ! ! ! Qu'on se le dise ! que tous les mecs qui ont des couilles, envie de s'en servir et qui veulent que cela se sache se fringuent comme ça ! on ira plus vite à se reconnaître ! tant pis pour les abdo kronembourg qui ne le savent pas ! Le géant finit par sortir, il m'attire les intestins en même temps en faisant ventouse, c'est pénible. Le foutre qu'il y a laissé lubrifie bien le tout alors cela reste possible. Cela fait sloutch en sortant. En le regardant, je me demande comment cela a pu rentrer : il a une pine grosse comme un bras ordinaire. Je leur dis que je suis prêt à être fisté. Ils sont surpris car il y a peu de volontaires pour ce jeu là. Un autre avec des cheveux noirs et longs se rapproche, il a une main fermée. Je lève le cul et je le regarde s'enfoncer sans efforts. Je n'ai même pas mal vu la préparation…il va jusqu'au coude. Et je le sens m'attraper l'intestin à la main et tirer ! comme s'il voulait me vider par l'intérieur! il lâche et visite mon intérieur. Je suis groggy et les vois se remettre à bander. N'en pouvant plus d'attendre, les derniers se baisent sauvagement. Ils se relayent devant moi pour être léchés et sucés, parfois ils m'enculent la gorge profondément, juste pour passer le temps. Au troisième fistage, ils arrêtent et décident que c'est bon. Ils se branlent tous une dernière fois sur moi, me couvrant rapidement d'une épaisse couche gluante. Ils expliquent que je suis un peu trop sonné et ne réponds plus très bien. Ils me tendent mon cuir tout neuf. Il est lourd du sperme qu'ils y ont copieusement mis à l'intérieur en m'expliquant qu'il faut le laisser sécher comme ça sur moi pour qu'il prenne sa taille exacte, comme un film de peinture noire. Cela sent fort pendant quelques jours mais si on porte du cuir en général on est pas gêné par des détails comme ça. Je glisse dedans facilement et suis soulagé qu'il me tienne le cul refermé car je ne sens plus rien et je sens que cela coulerait pas mal si il n'était pas bien serré ! Ce soir là j'en ais pris en tout douze, dont le fameux géant. Je n'ai jamais rêvé de telles brutes sexuelles. Infatigables, toujours pleins, ils me disent que la prochaine fois ils seront plus vicieux et plus sexuels. C'était pour eux qu'un galop d'essais… Je vous raconterai ça plus tard. Due to international translation technology this story may contain spelling or grammatical errors. To the best of our knowledge it meets our guidelines. If there are any concerns please e-mail us at: CustomerService@MenontheNet

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Ma Première Baise en Cuir

A l'époque, je savais que j'étais très gay particulièrement porté sur le muscle, mais je n'avais pas encore découvert le cuir. J'avais 22 ans, super entrainé par trois soirées sportives chaque semaine, j'étais fort, bien sculpté, et je le savais. Je portais les cheveux longs, comme tous les mecs de mon âge. J'étais en permanence en jeans, qui avaient eu le malheur de ne pas grandir

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