Gay Erotic Stories

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Mon Initiation, Part 1

by Julien


En 1989, j'avais 25 ans et je me demandais si j'étais normal... En effet, je n'avais jamais fait l'amour... J'ai donc décidé qu'il me fallait rencontrer quelqu'un afin de connaître les secrets du fruit défendu. Mais comment faire ? Heureusement, une invention magnifique venait de naître... Le Minitel ! Sans trop tarder, je me suis connecté aux fameux 3615, puis aux 3614 moins ruineux... Mais toujours pas de fille à l'horizon... Des mecs par contre, ça il y en avait ! Même plus qu'il n'en fallait! "Je ne vais quand même pas me faire Pédé non ?!" me disais-je. Au bout de quelques temps, je désespérais de trouver une fille, mais je restais connecté en "dial" avec des mecs. Ca m'amusait et en même temps, ça m'intriguait. Oui, ça m'intriguait ces mecs qui se faisaient des trucs entre mecs. "Et que se font-ils en fait ces mecs ?" me demandais-je. La meilleure façon pour le savoir, c'était de demander. Et me voilà en train de tapoter sur le clavier lors de chaque "dial" avec un mec "Salut, j'ai jamais fait l'amour avec un mec, c'est comment ?". Bon, je sais, je devais avoir l'air hyper naïf, mais cela a porter ces fruits puisque du coup des tas de mecs ont eu envie de me répondre. Et vas-y que je te raconte les taillages de pipe, les sodos, les poppers,... Mais un nouveau désarroi s'installait : c'est quoi poppers ? C'est quoi sodo ? C'est quoi tailler une pipe ? Bref, les discussions allaient bon train. Tout le monde voulait initier le petit Candide. Surtout quand ils apprenaient que le petit Candide en question avait 25 ans, les yeux bleus, 1m72, 69kg et était puceau. Autre problème : il fallait mesurer le kiki! En effet, la question qui me revenait le plus souvent était : " BM ? - C'est quoi BM ? - Bien Monté ou Bien Membré. T'es BM ? - Ben j'sais pas moi, tu me demande de drôle de trucs. J'ai jamais eu à comparer avec personne. C'est comment quand on est BM ? - Ben mesure ta queue et dis-moi combien elle fait !" Bref ! Ca devenait de plus en plus compliqué. Il fallait toujours essayer d'imaginer ce que l'autre voulait dire... Puis un soir ou je minitellais en compagnie d'une bouteille de Whisky, un type s'est proposé de me faire mieux comprendre toutes ces choses. "On pourrait en discuter autours d'un verre" me propose-t-il. Va savoir pourquoi, mais j'ai répondu "Pourquoi pas ?". Et me voilà en train de lui donner mon adresse. Un quart d'heure plus tard, il arrive chez-moi. C'était un mec tout à fait quelconque, pas très beau, d'une trentaine d'années. J'ai beaucoup apprécié sa discussion. On a d'abord parlé du Whisky qu'on était en train de siroter, de la musique que j'aime (il a vu mes disques), nous avons échangé nos idées quant aux films que nous aimons, le boulot de chacun (lui pompiste et moi électricien)... Bref, c'était très sage comme discussion. Puis vint La Question : "Et alors, que fais-tu sur Minitel ?". Bien sûr, je m'attendais à ce que l'on en parle. "Ben, comme je suis encore puceau à 25 ans, je me suis mis à la recherche d'une gonzesse sur Minitel, mais je n'y trouve que des mecs. - Et ça t'intéresse les mecs ? - Ben, j'en sais rien, j'ai jamais été avec un mec non plus..." Je sens quelque chose de chaud sur ma cuisse et me rend compte que c'est sa main qui est posée dessus. Comme je la regarde, il me demande : "Ca te dérange ? - Non, je ne crois pas". En fait, j'étais hyper gêné, mais je n'osais rien dire, rien faire. Et sa main qui commençait à se faire un peu plus entreprenante... "Et t'aime bien dialoguer avec des mecs sur Minitel ? - A défaut d'autre chose... Il n'y a pas tellement de filles sur le Minitel, et les rares filles qui y sont ne sont pas très "ouvertes" et souvent plutôt moche à ce qu'il paraît. - Et de quoi parles-tu avec les mecs en général. - C'est toujours la même question qui revient : BM ? - Ah ah ! Et alors, c'est quoi la réponse ? T'es bien monté ou pas ? - J'en sais rien, j'ai jamais comparé." En même temps que je dis cette dernière phrase, je sens que sa main va franchement sur mon sexe. "Ca te plaît ça, hein". Ces doigts se glissent à travers les boutons de ma braguette. "Moi, ça me fait bander. Touche-moi." Non mais qu'est-ce qu'il me prend ? Me voilà en train de mettre ma main sur son pantalon. "Ah oui, ça se sent." Tu m'étonnes ! Il a un sexe qui semble énorme ! Le v'la qui me défait la braguette ! "Heu... Ca ne va pas un peu vite ? - T'as raison, allons dans ta chambre... - Tu crois ? - Je suis sûr que t'en as envie. La preuve, c'est que tu bandes." Puis nous voilà dans la chambre. Lui le sourire aux lèvres et moi coincé comme ce n'est pas possible. "Détends-toi et laisses-moi faire. Je vais d'abord te déshabiller pour voir ce que tu caches là-dedans". Plus coincé que moi, tu meurs ! Pour me laisser faire, je me suis laissé faire ! C'est qu'il a pris son temps le bougre, pas loin d'un quart d'heure pour me mettre en slip. Le pire, c'est que ça me plaisait un max et qu'en plus ça se voyait. Il me caressait, me couvrait de baisers, me léchait les pointes des seins, me mordillait le sexe à travers le slip,... "Bon sang, mais que c'est bon", me disais-je. Ses mains me caressèrent le dos puis descendirent jusqu'aux fesses. "T'as les fesses bien rondes et ferme." Puis, ses mains entrèrent dans mon slip. "Ca te plaît quand je te caresse les fesses ?" Pas le temps de répondre, je sens mon slip qui fout le camp. Me voilà nu devant un inconnu. Une certaine honte s'installe en moi. "Ben, tu vois que t'es Bien Monté !" Il me prend le sexe dans la main et m'embrasse sur la bouche. "C'est doux et ça à l'air frais" me dis-je pendant qu'il me couche sur le lit. "Tu veux me déshabiller ? - Je ne sais pas. - Bon, je vais le faire tout seul." Ce qu'il fit en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Et quand il a enlevé son slip, j'ai dû rouler des yeux gros comme des billes puisqu'il m'a demandé : "Elle n'est pas mal non plus celle-là hein ?" Je veux mon neveu ! Je n'aurai jamais cru que ça puisse exister un truc comme ça. Oh ce n'est pas la taille qui m'a fait cet effet puisqu'elle était à peu de choses près aussi grande que la mienne. Non, c'était la forme... Elle était toute recourbée vers le haut. "Tiens, prends-la dans la main." Elle était toute dure. C'était la première fois que je tenais le sexe d'un autre homme dans la main. Je m'étais mis a genoux sur le lit pour mieux la tenir. J'ai senti sa main se poser sur ma tête. Je me suis reculé. Il m'a poussé sur le lit pour que je m'étende à nouveau et s'est couché sur moi. Je sentais son pénis dur et chaud contre mon ventre. C'était bon. Il s'est mis à me caresser sur tout le corps, me retournant de temps à autre. Il a été d'une extrême douceur. Là où ça m'a fait bizarre, c'est quand je l'ai vu mettre mon sexe dans sa bouche.... Faut-il vous rappeler que j'étais "Candide qui n'a jamais rien vu de X". Là, j'étais scié ! Comment peut faire un truc pareil ? Ca doit être dégouttant ! Mais qu'est-ce que ça me faisait du bien. "T'aime ça hein !" Je me suis mis à rire, mais n'ai pas osé lui dire "On ne parle pas la bouche pleine" et ai prétexté que c'était nerveux. Ca n'en finissait pas et ça n'en finissait pas d'être bon. En même temps qu'il me suçait, ses mains se promenait sur moi, puis il me soulevait, me prenait les fesses à pleine main. Mes fesses lui plaisaient beaucoup apparemment, car il s'y attardait. Il cessa de me sucer pour mieux me caresser et mieux me regarder. Ces doigts se firent plus engageant, voire même entreprenants. Je les sentais sur mon anus humide. Il me regardait droit dans les yeux, à l'affût de la moindre réaction. "Ca te plaît ?" Que pouvais-je répondre d'autre que "Oui" ? Et comment que ça me plaisait, ça me plaisait même vachement ! Il se coucha sur le dos et me soulevât comme une plume sur son ventre. Je me suis dit qu'avec une force pareille, il pourrait faire de moi tout ce qu'il voulait. Ca me fit un peu peur... Mais il restait tendre et câlin. Il continuait de me caresser avec délicatesse. Je lui fis de même. Ca me faisait drôle de caresser le torse d'un homme, mais il m'a fait tant de choses que je me sentais redevable de quelque chose. "Peut être était-ce pour cela qu'il s'est couché sur le dos. Peut être dois-je lui faire la même chose que ce qu'il m'a fait. Y arriverais-je ? Il n'y a qu'un moyen de le savoir." Je le caresse partout, avec autant de douceur que je peux. Je l'embrasse sur la bouche, moins évident quand il met la langue, mais ça a tellement l'air de lui plaire. J'embrasse ses tétons, les lèche, ça le fait gémir... Je continu à apposer des baisers de plus en plus bas. Je baise son nombril. De nouveau cette main sur ma tête, mais avec des mots en plus : "Vas-y suce-moi". Non, je ne peux pas. Je voudrais lui faire plaisir, mais quelque chose m'en empêche. "Je ne peux pas... Je suis désolé..." Ca doit vraiment se lire sur mon visage. "Ce n'est pas grave." Je lui lèche à nouveau les seins puisqu'il aime tant ça. Il me prend par les fesses et approche mon sexe de sa bouche pour me sucer à nouveau. Ses mains se dirigent vers mes fesses, je les écarte pour qu'il me caresse l'anus. Un doigt, puis deux y pénètre. Je ferme les yeux de plaisir. Il sait que j'aime ça. Quant à moi, je le masturbe en douceur jusqu'à ce qu'il me demande d'arrêter. "En tout cas, tu sais branler un mec... T'aime ce que je te fais? - Oui" répondis-je avec un sourire. On s'embrasse à nouveau. Penché sur lui, je sens son sexe dure et chaud contre la raie de mes fesses. Je me mets à onduler pour lui caresser la verge avec la raie de mes fesses. "Tu la veux ma queue ? - Je ne sais pas... - J'ai envie de te prendre, tu vas aimer ça. - Je ne sais pas... - Alors suce-moi au moins. - Je ne peux pas." Là, je crois qu'il s'est vexé. Il s'est mis à se branler tout seul et m'a joui sur le ventre. C'était agréablement chaud, mais je ne pouvais pas en profiter, car il s'est levé pour se rhabiller. "T'es pas fait pour les mecs ! - Mais si, j'ai beaucoup aimé ce que tu m'as fait. - T'aime qu'on te fasse des trucs, mais tu ne donnes rien ! - Mais c'est la première fois pour moi. Je ne peux pas dès la première fois mettre ton sexe dans la bouche... C'est un truc que je n'ai jamais fait. J'avais envie que tu m'en... Que tu me prennes... Mais ça me fait un peu peur... Il paraît que ça fait mal la première fois... - Ah bon ? T'en avais envie ? On ne dirait pas ! - Mais tu m'en demande de trop pour la première fois. - A mon avis, t'es pas fait pour les mecs et c'est tout ! Allez Ciao !" Il est parti. Moi j'étais en larmes... Pourquoi ? Je ne sais. Je ne sais pas si c'est parce qu'il est parti. Je ne sais pas si c'est parce que j'avais honte de ce qu'il m'avait fait. Je ne sais pas si c'est parce que j'avais honte de ce que je l'ai laissé faire. Je ne sais pas si c'est parce que j'avais honte de ce que j'avais fait. Je me posais des questions bien pires qu'avant son arrivée. Je me sentais sali, souillé et meurtri. "Je dois être Pédé. Ca ne fait plus de doute. Vu comme j'ai aimé ce qu'il m'a fait, je suis Pédé. Il va falloir que je me trouve un "mec" et que je lui fasse ce que je n'ai pas osé faire à l'autre..." Ca n'arrêtait pas de travailler dans ma tête des jours durant. Environs une semaine plus tard, je suis retourné sur le Minitel et j'y ai rencontré un autre mec qui disait aimer s'occuper des autres. Je l'ai invité à venir chez-moi. C'était un mec du même âge que moi, assistant dans un hôpital pour enfants. On a discuté un bout de temps puis on est allé se coucher. Quand il m'a vu tout nu, il avait l'air content. Il faut dire que lui il avait plutôt un petit kiki, mais il paraît que ce n'est pas la taille qui compte... "Qu'est-ce que tu aimes ? - Me laisser faire. Et toi ? - M'occuper d'un mec qui se laisse faire." Tout un programme... Je me suis donc laissé faire tout ce qu'il voulait. Mais il n'était pas aussi exigeant que le précédant. Lui, ce qu'il aimait, c'était caresser, embrasser et sucer un mec. De temps à autre il me laissait le caresser ou le branler, mais disait à chaque fois "Laisse-toi faire et ne fais rien." Il m'a fait jouir, m'a embrassé puis m'a dit "Dors maintenant" en me caressant. J'étais bien. Je me suis endormi. Le lendemain matin, j'étais content de le sentir à côté de moi. C'était la première fois que j'ai dormi avec un mec. Je me suis tourné vers lui, il était déjà éveillé. Je lui ai fait un bisou sur la bouche et lui ai dit "Bonjour". J'étais tellement content qu'il soit là que je l'ai embrassé plus fort. J'avais envie de l'aimer. Je l'ai caressé. Je lui ai embrassé les seins, puis je suis descendu sous les draps pour lui embrasser le ventre, le nombril, les jambes, les genoux, les pieds... J'avais une envie folle et suis remonté jusqu'aux cuisses. J'ai fermé les yeux pour baiser son sexe. Mais je n'ai à nouveau pas pu... Je voulais pourtant le faire jouir. Je lui ai alors caressé sa petite verge avec tendresse. "Aïe ! Arrête ! J'ai le prépuce hyper sensible." Il a du remarquer ma déception et est vite redevenu plus tendre... "Ne m'en veut pas, tu ne pouvais pas savoir. Viens je vais faire ce que je préfère, je vais m'occuper de toi... De quoi as-tu envie ? - Je voudrai que tu me prennes. J'ai envie de savoir comment c'est de se faire sodomiser. - Je ne te promets rien, je ne l'ai jamais fait à personne." Je me suis couché sur le dos. Il m'a longuement caressé le dos, les fesses les jambes. J'étais très excité à l'idée que j'allais me faire "enculer"... Oui, je serais un "enculé". Ca me faisait sourire. "Qu'est-ce qu'il y a ? Ca te fait du bien ?". Il mouillait ses doigts et me caressa l'anus. Un doigt puis deux me visitèrent. Que c'était bon, ça me faisait gémir. "Tu veux que je me mette à quatre pattes ? Ca serait peut-être plus facile pour toi... Je ne sais pas. Essayons... Non, attends, là t'es trop haut... Non, là t'es trop bas... Je... Ah... Remonte... Heu... Non, je crois que je n'y arriverai pas". Eh oui... Il fallait s'en douter, Le kiki douloureux ne pouvait me rendre visite. On s'est quitté après le petit déjeuner en se promettant qu'on se rappellerait pour se revoir tout en sachant qu'il n'en serait rien... Mais j'étais maintenant décidé. Il fallait que je sache comment c'est. Retour au Minitel. "C'est comment quand on se fait enc... Heu sodomiser ?" - J'sais pas, on ne me l'as jamais fait. - C'est super top. J'adore ça . Pourquoi tu cherches un mec à enculer ? - C'est bof. Il m'est arrivé qu'un mec me le fasse, mais ça ne m'a pas tellement plu." Bref, les réponses furent mitigées. Ca ne m'avançait pas dans ma quête de connaissance des moeurs homosexuelles. Tiens, un nouveau rendez-vous. Un mec de chez Peugeot Sochaux. Il était petit, moustachu et souriant. "Tu fais souvent des rencontres comme ça ? - Moi, non. T'es le troisième à vrai dire. Et toi ? - Oh, de temps en temps. J'ai un collègue, cariste comme moi, et de temps à autre on baise ensemble. Et t'aime quoi ? - Ben surtout me laisser faire. En fait, je ne sais encore rien faire. J'ai déjà essayé des trucs, mais je n'ose pas. Ca ne te dérange pas si je me laisse faire ? - Non, bien sûr. Et puis tu verras que ça viendra tout seul. Il faut être patient." Vraiment sympa ce gars-là. On est allé au lit, on s'est déshabillé, et là je me suis dit "Ou je suis vraiment Bien Monté, ou je collectionne vraiment les petits zizis". M'enfin, il faut faire avec... Et je ne l'ai pas regretté, car il a été très tendre. Il m'a laissé le masturber et nous avons jouie ensemble. Je lui ai proposé de dormir avec moi et il a accepté. Le lendemain matin, j'étais à nouveau content d'avoir quelqu'un à côté de moi. J'avais envie de le câliner. Il se lassait faire en me regardant. Je luis baisait la poitrine, le ventre, les cuisses. Il me regardait faire. Je fermais les yeux et continuait à poser des baisers sur ses hanches, ses cuisses, son nombril. Puis, je descendis doucement. Je caressais mes lèvres des poils qui partaient de son nombril pour rejoindre son pubis. Je sentis enfin son sexe. C'était d'une douceur exquise. J'aimais sentir le soyeux de son sexe sur mes lèvres. J'ai ouvert la bouche pour y faire entrer son sexe. Je l'ai mouillé avec mes lèvres. J'ai délicatement repoussé son prépuce avec mes lèvres. Je sentais maintenant son gland contre ma langue. C'était une étrange sensation, mais jamais ça. J'ouvris les yeux. Il me regardait toujours. Je le suçais, maladroitement, en faisant comme il me semblait qu'il fallait le faire, en imitant ceux qui me l'ont fait, mais il avait l'air d'apprécier. Ma bouche faisait des va-et-vient sur son pénis durci de plaisir jusqu'à ce que je sentis une goutte au drôle de goût. "T'es mouillé, je ne peux plus continuer, je suis désolé..." Je devais avoir l'air embarrassé. "Ca ne fait rien. Tu ne crois pas que tu en as déjà fait bien plus que ce que tu pensais ?" Je me suis couché à ses côtés puis il m'a caressé. Je me retournais exprès pour qu'il s'occupe de mes arrières. Il s'assit sur mes cuisses pour me caresser. J'écartais les fesses pour y inviter ses mains. Je gémis à chaque fois que ses doigts effleuraient mon anus. Il se coucha sur moi. J'écartais un peu plus les cuisses. Je voulais qui me prenne. Je sentais que son sexe était entre mes fesses. "Tu veux que je me mette à quatre pattes ? Ca serait peut-être plus facile pour toi..." Ca me rappelait l'expérience précédente. " Non, attends, là t'es trop haut... Non, là t'es trop bas... Je... Ah... Remonte... Heu...J'y arrive pas, t'as les fesses trop rondes et ferme..." Ben voyons ! Ca va encore être de ma faute ! En fait, le kiki était trop petit ! Ne pourrais-je donc jamais goutter aux plaisirs interdits de la sodomie ? Quelques jours plus tard, je m'en souviens, c'était le 31 décembre 1989, j'ai rencontrer (chez lui) un mec d'une quarantaine d'années, contremaître chez Peugeot Mulhouse, qui voulait absolument m'attacher et me raser le sexe. Ca ne va pas non ! Bon ben il s'est contenté de sucer avec un filet de citron sur le sexe. N'empêche que je me suis dit qu'il y a vraiment des barges sur terre. Pendant quelques jours, j'ai laissé tomber le Minitel. Puis un samedi soir, j'ai dialogué avec une fille. "Bon, cette fois parlons sagement. De toute façon, elles sont toutes coincées ici", me disais-je. Elle m'a proposé d'aller me promener avec elle le lendemain. Pas la peine d'espérer la prendre dans les fourrés, on était en février 1990 et il avait neigé les jours précédents. "Pourquoi pas, à demain". Et c'est comme ça que j'ai fait connaissance avec la fille qui devint plus tard ma femme. Mais restons en à cette année 1990. J'avais donc rencontrer une fille et vous vous doutez bien que l'on n'a pas fait que de jouer à la bataille navale... J'ai donc fait connaissance avec l'amour dit "Normal". J'aurais du être content, mais non, je ne me sentais pas encore satisfait. Il me venait toujours cette envie de connaître les plaisirs interdits. Je continuais donc de "draguer" sur le Minitel, mais ne recevais plus chez moi, de peur de me faire surprendre par ma copine. Je suis donc allé chez un mec de Colmar, un banquier d'une quarantaine grisonnante. Comme d'habitude, je me suis laissé faire et lui ai proposé de me sodomiser. Hélas, ce n'était pas son truc, mais il avait des films homos où l'on pouvait voir des scènes de "ça va ça vient". Ca m'a vachement excité de voir ces enfilades. Le fait d'être avec ma copine, ne me permettait plus de faire autant de rencontres que je l'aurais souhaité. Un jour ou nous nous sommes fâchés, c'était le jour de mon anniversaire fin mai, je me suis remis sur le Minitel. Et là, j'ai fait la connaissance d'un mec vraiment cool. Il était responsable d'un centre culturel à Colmar et m'a invité chez lui. J'ai passé une soirée formidable... Nous avions d'abord discuté sagement, puis, après quelques verres, nous sommes devenus plus câlins. Il me déshabilla tout à fait et me fit visiter son appartement nu. Les fenêtres étaient ouvertes et la lumière allumée. "Tu ne crois pas que l'on pourrait me voir ? - On s'en fout. T'aime pas être comme ça, nu avec moi ? - Heu, si." Puis, il me prit la main et m'emmenât jusqu'à une fenêtre pour m'y embrasser. Il a bien vu que des passants regardaient la scène, mais ça lui plaisait d'exhiber mes fesses aux yeux de ses voisins. J'avais froid, nous sommes donc allés au lit. Il commençait à enlever ses chaussettes, mais je lui dis "Attends, laisses-moi faire". Pour la première fois, je déshabillais un homme. Il était debout devant moi, en slip. Moi, j'étais assis sur le lit. Je lui caressais les jambes, les cuisses, le dos. Mes mains descendirent sur ses fesses. Je lui ôtais son slip. Sa verge se dressait devant moi. Je ne sais pas ce qui m'a pris étais l'alcool ou réellement le désir ? J'ai enfoui sa verge tumescente dans ma bouche et l'ai sucé aussi longtemps que je pouvais. J'y ai pris un réel plaisir. J'aimais caresser de ma langue son pénis dur et humide. J'étais fou de plaisir. Il retira son sexe de ma bouche. Il a failli jouir sur moi. "Ca va trop vite. Doucement". Il me coucha et me fit monter au septième ciel. "Je voudrais que tu me prennes. - Tu veux que je t'encule ? - Oui. - Mais je n'ai pas ce qu'il faut. - Ah bon ? Qu'est-ce qu'il faut ? - Ben de la crème, sinon ça risque de te faire mal. - ... :-((( - Mais on le fera une prochaine fois si tu veux..." Il n'y eu jamais de prochaine fois. Il a changé d'adresse et je ne l'ai plus jamais revu. Puis à nouveau le calme plat pendant quatre ans. Lors d'un voyage d'affaire en Allemagne en avril 1994, j'avais du temps de libre et j'en ai profité pour me promener dans la ville d'Hamm. Il y avait un sex-shop. Pour la première fois, j'entrais dans un tel lieu. C'était un petit magasin en trois parties : au fond, des cabines de visualisation, devant, tout ce qui est hétéro et au milieu, tout ce qui est homo. C'est au milieu que je suis allé. Il y avait au mur plus de films que je n'aurai pu imaginer. Sur un grand meuble placé au centre, était posé des revues et des livres. Un bonhomme était là, entrain de lire une puis deux puis trois revus. Je fis de même. Je feuilletais tranquillement en m'attardant bien sur les photos de sodomie. Le mec regardait de temps en temps par dessus mon épaule puis il sorti. Je décidai de sortir aussi. Il m'attendait dehors. "¡#~&@" Me dit-il. "Ich sprache nicht deutch" répondis-je de mon allemand approximatif. Il a quand même réussit à me faire comprendre que ça lui plairait bien si j'acceptais de le suivre dans sa voiture. Nous voilà donc dans son automobile en route pour un endroit discret. Il m'apprend qu'il est marié et qu'il a des enfants, mais qu'il aime bien venir dans ce patelin pour faire des rencontres avec des mecs. Il trouve un coin tranquille et se gare. Les sièges en position rabattue, nous nous mettons la quequette à l'air mutuellement. Il a fallut que je me retienne de rire, sa zigounette était vraiment minuscule. Moi qui avais envie de sucer un mec... Enfin... On s'est branlé, il m'a redéposé à notre point de départ. Encore une aventure qui m'a laissé sur ma faim. A mon retour à Mulhouse, je me suis remis sur le Minitel et j'ai rencontrer un mec qui disait aimer enculer les mecs. En avant toute ! Je vais donc chez lui. Pas de préambule avec lui. On va directement au plumard et on se fout directement à poil. Je comprends vite pourquoi il est pressé, il a la gaule ! Que je suis rassuré de voir une bitte de taille raisonnable. J'en suis tellement content que je la gobe sans tarder. Ca lui plaît de se faire sucer. Alors, je continue. Puis, on se caresse, se suce, se lèche... Puis, il me fout son cul sur la figure pour que je lui lèche le trou de balle. J'aime pas ça ! J'suis venu pour qu'on s'occupe de mon cul, par pour que je m'occupe de celui des autres... Trop tard, il me jouie dessus et m'a tellement bien masturbé que je jouies presque en même temps. "Ca a été rapide hein ?" Ben, tu m'étonne ! Il était plus pressé qu'un lapin ce mec ! "Ben oui. Je croyais que tu voulais me prendre ? - Heu, ouais, mais j'sais pas, j'avais envie de me faire bouffer l'cul. - La prochaine fois, demande d'abord si l'autre est d'accord. - Allez ciao". Et je suis parti. Ca m'avait énervé que l'on puisse m'obliger à faire un truc qui ne me plaît pas. Et en plus, je ne me suis de nouveau pas fait enculer. J'ai refait une pause, puis je me suis mis sur le Minitel le matin avant d'aller bosser. Tout à coup, un message "Appelle-moi dans la matinée au 07.....", puis plus rien. Courant de la mâtinée, je téléphone du boulot. "Salut, j'suis routier et j'suis souvent de passage près de Mulhouse. J'ai vu sur le Minitel que t'es près de Mulhouse, c'est pourquoi j't'ai envoyé mon numéro de portable. Qu'est-ce que tu recherches? - Un mec tendre et câlin. Et toi ? - Un mec avec qui passer de bons moments quand je suis à Mulhouse. Tu veux que l'on se rencontre ? - Pourquoi pas? - OK. Alors rendez-vous au plan d'eau du Pont d'Aspach cet après-midi à 16h30. Ca te va ? - OK, mais comment se reconnaître. Tu ne peux pas me louper, j'ai un camion bleu garé sur la route qui va vers Heimsbrun il est immatriculé 34 (Hérault). - OK à ce soir". Me voilà donc en train de grimper dans une cabine de camion. Le mec est plus gros. Il avait tout prévu dans sa cabine. La couchette était prête, des rideaux aux fenêtres et au pare-brise. Il m'invita de suite à m'étendre sur la couchette. "Tu vas voir, ça va te plaire... - Quoi donc ? - Ce que je vais te faire... - Et que vas-tu me faire ? - De quoi as-tu envie ? - De me faire sodomiser. - Dans une cabine, ça ne sera pas évident, mais si tu veux on ira une fois en hôtel et j'te prendrai. Tu veux ? - D'accord. Ca t'arrive souvent de prendre un mec ? - Oui bien sûr. Chez-moi, j'ai un copain de ton âge et il veut aussi que je le prenne à chaque fois. Je le fait tellement en douceur que ça ne te fera que du bien." Sur ces bonnes paroles, il me déshabilla, me caressa, me mit le doigt dans l'intimité et sa bitte dans ma bouche. De temps en temps, le vent faisait soulever les rideaux des fenêtres et je voyais passer des gens. Lorsqu'il a joui, il m'a plié en deux et m'a dit "Branle-toi", ce que je fis. Pendant ce temps, il me fouillait le cul. Ma verge était au-dessus de ma bouche. Il m'a regardé et m'a dit "Vas-y, suce-toi". Il m'a aidé à me plier un peu plus et à ma grande stupéfaction, j'ai réussi à mettre le bout de ma queue dans la bouche. Ca m'excitait un max. Je m'en suis joui sur la figure et dans la bouche. Je n'avais jamais pensé faire ça auparavant. Ca m'a beaucoup plu de faire connaissance avec le goût du sperme dans la bouche. De plus, c'est plus rassurant quand c'est le sien. Par après, je l'ai rappelé plusieurs fois pour qu'il tienne sa promesse de me rencontrer dans un hôtel pour Tagadatzointzoin, mais il avait toujours d'autres excuses foireuses. Alors, j'ai laissé tombé.

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