Gay Erotic Stories

Je venais d'emménager dans ma nouvelle maison lorsque je fis la rencontre du voisin. Depuis quelques jours, je remarquais qu'à chaque fois que je sortais pour travailler sur mon terrain, le voisin s'assoyait sur sa galerie et ne cessait de regarder vers chez moi. Et un beau samedi après-midi, alors que je devais tondre ma pelouse, je tentai le tout pour le tout. Il faut dire que je fais du gym quatre fois par semaine depuis des années alors, mon corps offre tout de même un aspect plutôt agréable. Je décidai donc, pour tondre ma pelouse, de me vêtir que d'un jeans usé que j'avais coupé aux cuisses et, disons-le, coupé assez court. Je commençai donc à tondre, poussant ma tondeuse en m'arrangeant pour faire fonctionner mes muscles. Bien entendu, le voisin était sur sa galerie et me lorgnait discrètement. Je décidai donc d'en faire plus. Je détachai les deux premiers boutons de mon jeans, laissant entrevoir mon pubis rasé. Je n'avais pas peur car seul le voisin pouvait me voir. Soudain, il se leva et vint vers la clôture qui nous sépare. - Bonjour, me dit-il. Vous vous plaisez dans le quartier? J'arrêtai la tondeuse et me rapprochai de lui en lui souriant. - J'adore ce quartier. Il est tranquille. - J'espère que mes enfants ne font pas trop de bruit. - Pas du tout. - Je vois que vous avez fait des rénovations à la remise. Il faut dire qu'elle commençait à vieillir. - Parfaitement, dis-je. Vous voulez venir voir? demandai-je, me disant que peut-être, une fois dans la remise... Il traversa donc sans trop se faire prier et nous entrâmes aussitôt dans la remise. Je lui montrai les rénovations. - C'est très bien, dit-il. Vous travaillez toujours avec autant de finition? - Ca dépend pour quoi, répondis-je, fantasmant sur ce corps bronzé à demi-nu, provoquant alors une réaction à ma queue qui durcissait sans arrêt. tu vois, là, avec ça, dis-je en montrant la bosse dans mon jeans, je travaille toujours bien. Il me regarda en fronçant les sourcils. Oups... M'étais-je trompé? Je ne savais plus où mettre la tête. - C'est ce que je me demandais en te regardant, dit-il en s'approchant de moi et en plaquant sa main sur ma bosse. Tu crois qu'elle peut travailler assez bien pour me labourer? - Tu veux essayer? demandais-je en détachant complètement mon jeans pour en sortir ma queue dure qui commençait déjà à couler. Sans rien dire, il se débarassa de son bermuda, se retrouvant complètement nu devant moi. Il se retourna et s'agenouilla sur un coffre, m'offrant son cul pour que je laboure à fond. Je me penchai et, sortant la langue, je lui lécher l'anus. L'odeur de son corps réchauffé par la chaleur estivale me rendait fou de désir. Ma queue coulait abondamment et sans attendre, je la lui rentré dans le cul, doucement pour ne pas lui faire mal. - Envoye, vas-y, me dit-il en branlant son cul de gauche à droite. N'aies pas peur, il est habitué à en recevoir. Je ne me fis donc pas prier deux fois et je l'enculai à grands coups, mes couilles frappant les siennes. Soudain, la porte s'ouvrit et je vis deux de mes amis qui nous regardaient en souriant. - On se paie du plaisir ici, dit l'un d'eux en déboutonnant déjà son jeans. Il doit bien y en avoir pour nous aussi. Je comprenais ce qu'il voulait et je me retirai pour lui laisser la place. Le voisin me regardait, ne sachant trop quoi faire mais quand il reçut la queue de mon ami, il ne dit mot. Je baissai alors le jeans de mon ami, le lui enlevai et je lui rentrai ma queue dans le cul. J'ai toujours aimé faire une brochette de mecs. C'est alors qu'à mon tour, je me retrouvai, moi aussi, avec une queue qui me labourait. Je devenais fou de plaisir. Ma queue glissait dans le cul de mon ami et le mien prenait son compte avec le 20 centimètres de mon autre ami. J'étais bien entouré. Pendant ce temps, le voisin, lui, prenait plaisir. On l'entendait gémir en en demandant toujours plus. Soudain, j'entendis le mec que j'enculais crier sa jouissance, ce qui m'excita à fond. Je lui remplis alors le cul de mon sperme tandis que je sentais mon cul se faire remplir aussi. Nous venions tous ensemble, sauf le voisin. Nous nous retirâmes pour s'occuper de la queue encore bien dure de celui qui n'attendrait pas bien longtemps pour me gicler tout son jus dans la bouche. Je ne l'avalas pas, embrassant mon voisin pour lui remettre son sperme qui, lui, l'avala. Depuis ce jour, la remise devient souvent, la plupart du temps le samedi, un endroit de prédilection pour faire plus ample connaissance avec mon voisin. Pour tout commentaire: toxedo1@sympatico.ca