Gay Erotic Stories

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Rude Initiation

by Steve Quentin


J’ai pris la décision d’écrire quelque chose de confidentiel. Ma prose sera protégée par un code secret qui traduit bien mes obsessions. L’idée est de construire un roman, de préférence " explicite " comme on dit dans les romans de gare...histoire de ne pas trop m’ennuyer ! La première chose, ça serait de créer une trame générale, une intrigue, un découpage. A chaque jour suffirait sa peine. Au travail ! J’hésite, écrirai-je un roman pornographique, grassement pornographique, ou bien un roman normal, complet, comportant des scènes réalistes ? Des scènes qui font bander le lecteur ou la lectrice. Il faudrait trouver le ton juste L’ordinateur est réparé, j’ai quelqu’inspiration et une libido frustrée : je me dis à demain. douche : bien sûr je me suis branlé les personnages principaux du roman personnages: une bande de 4 copains, Marc, Arthur, Gérard, et André. Il faut aussi des esclaves, objets sexuels non consentants, qu’il faut forcer, dresser, contraindre et punir. Eux aussi auront été capturés et retenus en fonction de la taille de leur sexe. Ce qui veut dire qu’on les veut avec un gros zob et de grosses burnes. Il faut des personnages annexes : une dizaine de soldats ou de mercenaires vigoureux, très bien membrés, des mecs chauds et durs, obéissants à leurs patrons. Mais parfois désobéissants, tout en acceptant de se faire punir Les 4 copains ont pris avec eux 4 mercenaires pour une soirée de dépucelage particulièrement chaude. Un esclave de 28 ans, Vincent, a été capturé récemment, jeune mec très musclé, pas immense, 1m78, une grosse queue lourde de 22 qui pend sur des burnes bien conséquentes, des poils bruns très abondants sur les jambes, sur les cuisses, tout autour de son superbe sexe non circoncis, ces poils montent sur son ventre, genre tablette de chocolat, et s’épanouissent sur ses pectoraux bien dessinés. Les 8 violeurs sont à poil, ou à moitié à poil, dans une petite pièce remplie d’une odeur assez costaud, de mâles peu portés sur la savonnette. Marc se tripote doucement la queue avec un regard assez mauvais en direction de Vincent qui vient d’entrer dans la pièce, amené par 2 autres mercenaires. Le gars est donc totalement à poil, taciturne, on sent qu’il n’en mène pas large ; la porte a été fermée derrière lui, et il reste là sans bouger. Eh ! Vise-moi un peu le mec ! Il en a un beau piston, tu vas voir on va faire joujou avec, on va t’enseigner des trucs dont t’as même pas idée ! Marc, qui est tout proche de la malheureuse victime, lui attrape les couilles et les lui tord méchamment. Vincent, surpris, gueule sous la douleur. Marc lâche le paquet et ordonne à l’esclave de s’approcher davantage Arrive ici, et mets-toi à genoux Il le force à s’exécuter, en lui faisant une clé au bras gauche. La douleur oblige Vincent à se mettre à genoux, Marc insiste, lui colle la gueule contre le sol en lui mettant son pied chaussé de lourdes godasses sur le cou. Il lui tord un peu plus le bras, à plusieurs reprises il insiste sur cette douloureuse torsion et Vincent ne semble plus disposé à se révolter. Il se rend bien compte que, bien sûr, il pourrait opposer une résistance, faire feu des 4 fers quand on essayerait de l’approcher, utiliser les techniques de combat qu’il connaît, mais quelle chance aurait-il contre 8 mâles aussi costauds et déterminés ? Allez ! Lève ton cul et écarte-le avec tes deux mains si tu veux que ma bite te rentre dedans sans faire trop de dégâts. Non ! Je ne suis pas PD, il n’est pas question que tu me touches ! Ce sursaut de révolte est immédiatement ponctué de deux solides gifles, l’une à droite, l’autre à gauche, envoyées sans ménagement par Arthur qui s’était levé et placé devant Vincent, pendant que Marc le mettait au pas, avant de le mettre tout court D’abord, t’as pas droit à la parole, ensuite tu ne nous tutoies pas, au contraire : tu nous appelles Maître, et t’es peut’être pas PD, mais dans pas longtemps tu vas être enculé, et pas qu’un peu ! Marc : une punition est nécessaire, qu’est-ce que vous en pensez les gars ? Deux nouvelles baffes ponctuent cette information Approbation générale, ponctuée de rires gras et d’encouragements à la victime : Salauds ! Salauds ! Lâches ! Vous n’êtes qu’une bande..... Il n’a pas le temps de finir sa phrase, Marc, Arthur et un des mercenaires l’ont empoigné, allongé à plat ventre sur le lit de Marc en lui refaisant le coup très efficace de la clé au bras, Marc hurle sous la douleur. Marc a compris que sa victime était déjà soumise, il a lâché le bras de Vincent, non sans l’avoir durement tordu une nouvelle fois, tout en lui balançant trois grandes baffes dans les flancs. Marc allume une cigarette, tire à plusieurs reprises dessus, de façon que l’extrémité en soit bien chaude, nos trois gaillards, le mercenaire de son prénom Jules, Marc et Arthur, sont plus ou moins assis sur leur victime qui ne peut pas bouger, et dont la gueule a été garnie de la paire de chaussettes qu’Arthur porte depuis au moins quinze jours, il a consenti à s’en défaire pour cette noble cause ! Marc tire à nouveau sur sa cigarette, et l’éteint immédiatement sur l’épaule de Vincent qui essaye de crier malgré son bâillon. C’est que ça doit faire mal, ce petit traitement ! Une odeur de grillé chatouille les narines de tout le monde, d’autant que Marc renouvelle l’opération trois fois. Et la prochaine fois, c’est pas ton épaule qui nous servira de cendrier, c’est tes p’tits tétons ou bien tes couilles ou le bout de ta queue ! Le corps de Vincent est maintenant couvert de sueur, et je ne pense pas que les menaces y soient pour grand-chose. Il ne les a pas même entendues, c’est la soudaineté de la douleur, et son intensité qui l’ont surpris. C’est qu’un gars comme ça, ça n’a pas trop l’habitude de souffrir ! Marc : il est temps de passer aux choses sérieuses, mets-toi en position, comme je te l’ai ordonné tout à l’heure. Tout le monde est excité, la température monte dans la petite pièce. Vincent, dégagé de ses trois tortionnaires, sent bien qu’il serait dangereux de résister davantage; il se met à genoux comme on le lui a demandé, et il écarte ses fesses avec ses deux mains. Sa grosse queue, qui vient d’être comprimée entre son ventre et le matelas quand les trois gaillards étaient assis sur lui, sa grosse queue donc est gonflée de sang, on ne peut pas dire qu’il bande vraiment, mais cette quéquette, on sent qu’elle mène sa vie à part et qu’elle est vaillante, même quand son patron a les foies, comme c’est évidemment le cas maintenant, et il y a de quoi ! Marc est derrière lui, et depuis un moment il s’occupe de son propre instrument, et c’est 22cm de béton qu’il a entre les mains. Quand je dis propre, ça ne veut évidemment pas dire qu’il vient de se laver la bite, non, pas vraiment ! Ca pue le fromage tout autour, mais personne ne semble s’en préoccuper, Marc moins qu’un autre qui a le regard mauvais. Il n’y va pas par quatre chemins, et il essaye d’enfoncer d’un seul coup son dard dans le cul de Vincent. Hurlement de Vincent, qui ne peut pas s’empêcher de se fermer à une pénétration aussi brutale. Ca rigole gras dans la chambrée. Tu l’as raté, Marc, t’es impuissant ou quoi ? T’inquiète, il va me le payer, c’te putain d’enculé ! En position, connard ! Et il lui fout trois méchants coups de poing dans les fesses, que ça va nous faire de beaux bleus tout à l’heure ! Arthur lui a remis sa paire de chaussettes puantes dans la bouche. Marc demande à Yves, un autre mercenaire, de lui sucer la queue avant le nouvel essai, et de bien l’enduire de salive ; ça n’est pas par bonté d’âme à l’égard de sa victime, c’est qu’il a pris conscience qu’il ne pourra rentrer dans ce cul de puceau qu’avec un minimum de précautions. Yves ne se le fait pas dire deux fois, et il enfourne la hampe de Marc avec beaucoup d’application. La queue du bourreau est maintenant toute luisante de salive, grâce aux bons soins d’Yves, Marc appuie son gland sur le trou du cul de Vincent, fermement maintenu par Yves et par Arthur, il force l’entrée, ça y est , grognement de Vincent à travers son bâillon, de nouveau il se couvre de sueur, Marc le lime lentement, mais à fond, il entrerait les couilles si c’était possible ! Vincent souffre, ça se voit, ses yeux sont remplis de larmes, mais il n’excite pas la pitié, au contraire ! Marc augmente le rythme sans épargner un seul centimètre à ce pauvre Vincent, qui, en plus, reçoit des baffes de la part d’Arthur qui trouve ce jeu amusant Vicieux de Marc ! Maintenant que ce cul est un peu habitué, il en ressort complètement son énorme engin pour avoir le plaisir d’en forcer à nouveau l’entrée. Aïe, ça fait mal , on dirait, à voir la gueule de Vincent, et Aïe encore ! Il a du mal à s’habituer le bougre ! Marc recommence l’opération six ou sept fois et à chaque fois plus violemment, il lui ramone maintenant profondément les entrailles, pendant ce temps-là, Arthur présente sa monstrueuse bitte devant la bouche de Vincent dont il a enlevé le bâillon Allez, suce-moi ! Fais moi bander, et t’as pas intérêt à mordre, j’te fais pas un dessin ! . Vincent s’exécute avec dégoût, il prend la tête du gros membre encore flasque dans sa bouche en même temps qu’il continue de recevoir de violents coups de butoir dans le cul, Arthur, qui n’a aucune reconnaissance, lui attrape les oreilles et leur fait subir un sale traitement, il les lui tord, les lui tire, les plie dans tous les sens, tout en imprimant à la tête de Vincent le mouvement de va-et-vient qui a tôt fait de produire les effets attendus : le zob d’Arthur est complètement monstrueux, 28cm de chair tumescente, avec de grosses veines menaçantes, le gland violacé semble prêt à exploser ; Marc ralentit son rythme, il fait un signe à Arthur, ils vont jouir en même temps ; ça y est, Marc est à fond dans le cul de Vincent et il décharge son foutre, Si Vincent en a pris autant dans le cul qu’Arthur vient de lui en remplir la gueule, alors il a les intestins bien nettoyés ! Vincent essaye de rejeter le sperme qui lui remplit la bouche, ça ne plaît pas à Arthur qui lui étale cette jute, sans ménagement sur la figure, il lui en fait rentrer partout, dans les trous de nez, dans les yeux. Marc décule, sa bite encore à moitié raide, est couverte de sperme et de merde, Marc se met à côté d’Arthur, et avant de lui rouler un patin, donne sèchement un ordre à Vincent : nettoie-moi la queue avec ta langue, rien qu’avec ta langue, tu mets pas ma queue dans ta sa gueule, du moins pas pour le moment ! Vincent obéit malgré son dégoût, il n’a pas trop le choix. Il n’a le droit qu’à de petits coups de langue, le nettoyage sera plus long ; dès les premiers essais, le membre de Marc réagit et effectue quelques soubresauts. La bitte de Marc est maintenant impeccable et aussi raide qu’avant d’avoir spermé, Vincent parait épuisé ; Marc et Arthur se roulent des pelles et de désintéressent de Vincent ; c’est alors que André et son acolyte décident de prendre la relève. André est un grand gaillard de 1m85, 85kg de muscles, couvert de poils noirs, pour le moment il est torse nu, il porte un 501 dont la braguette ouverte laisse apercevoir un slip jadis blanc, particulièrement bien garni. Vincent ne sait pas encore apprécier les bonnes choses, et la vue d’un tel paquet n’a rien pour le rassurer, surtout après ce qu’il vient de subir. André est du genre très méchant, comme il dit, il faut que sa victime soit un peu échauffée pour qu’il puisse donner toute sa mesure. Il s’approche de Vincent, un court fouet de cuir noir dans la main droite, il se tripote le paquet en pensant aux méchancetés qu’il va faire à ce pauvre Vincent qui dégouline de sperme et de larmes.. Debout ! J’vais t’larver sale raclure. A plat ventre ! Debout ! A plat ventre ! Viens ici ! Donne moi tes mains de sale branleur ! Il lui donne deux grandes baffes dans la gueule, lui prend les mains, les lui attache avec des menottes en cuir au collier qu’il porte autour du coup. Et on recommence l’exercice sans les mains : A plat ventre ! Vincent hésite, il n’a pas trop envie de se précipiter la gueule la première sur le sol, .il a eu tort d’hésiter, André a le sourire mauvais, il lance on fouet dont la lanière cingle durement les fesses de Vincent. Hurlement : tu m’étonnes, c’est que ça n’est pas vraiment un martinet pour enfant désobéissant, non, c’est une lanière de cuir assez épaisse au bout d’un manche très court. Dès le premier coup, la peau est salement marquée, André qui bande à mort dans son slip dégueu se concentre et lance un deuxième coup plus appuyé encore, il obtient des cris plus forts. Vincent se tord de douleur, bien après avoir reçu la lanière sur les cuisses. N’abîmons pas la marchandise ! N'oublie pas de me donner tes impressions sur schwanz19@hotmail.com André abandonne son fouet et s’empare d’une brosse à dent. Il décalotte sa victime qui bande en flanelle, lui frictionne le gland avec de l’alcool et se met à lui tapoter la queue assez rudement avec les poils de la brosse. Elle n’en peut plus, cette bitte, et elle crache dès le dixième coup de brosse, cinq ou six giclées de sperme épais. Tu sais qu’t’avais pas vraiment l’droit d’juter avant qu’on t’l’ordonne ! Viens, mon gars, viens ! On va te faire jouir pour de vrai, p’tite salope ! Tiens toi bien ! André, aidé par Yves, attache Vincent à une barre horizontale qui se trouve à peu près à 1m75 du sol, bras en l'air, jambes maintenues écartées par une barre rigide, les pointes des pieds touchant à peine le sol. C'est Yves cette fois-ci qui tient dans sa main gauche, car il est gaucher, une espèce de martinet constitué d'un manche de cuir tressé et de 7 lanières d'environ 40cm. André s'installe dans un fauteuil à proximité des acteurs de la scène, et Yves s'approche de la victime dont les masses de muscle frémissent à cause des tensions dues à la position très inconfortable dans laquelle se trouve Vincent. Yves promène les lanières sur le dos et entre les cuisses, et sur le sexe de Vincent qui tremble de peur: 10 coups sur les fesses hurle André. Les coups s'abattent mécaniquement, un deux trois....à chaque fois, Vincent contracte involontairement les fesses. André, qui s'est placé devant sa victime pour mieux jouir de ses souffrances, lui excite la queue à petits coups de langue, il lui malaxe énergiquement sa grosse paire de burnes, le pauvre Vincent ne sait plus où donner de la tête, il a les fesses en feu, la queue en folie les couilles dans un étau et il est écartelé par son propre poids. Il n'est pas encore au bout de ses peines, André a de l'imagination à revendre: Yves est allé lui chercher un grosse botte d'orties fraîchement coupés, Yves et André mettent des gants pour se protéger et empoignent chacun 5 ou 6 branches de cette sympathique plante. Vincent est toujours exposé nu, distendu, écartelé entre la barre supérieure trop haute pour sa taille, et la barre inférieure qui l'empêche totalement de fermer les jambes. Son cul, sa queue, ses couilles sont exposés sans qu'il puisse même faire mine de les protéger. Nos deux salauds vont en profiter sans retenue, Yves décalotte la bitte de Vincent pour que le gland prenne la dose qui lui revient et ça y est! Les deux bourreaux, chacun à leur tour caressent l'un les burnes, l'autre le zob de Vincent qui est au bout du rouleau. Friction appuyée sur la base de la verge, suivie d'une volée de coups sur le frein . La grosse queue de Vincent est plus que congestionnée. Tiens ! La voilà qui gicle à nouveau André trouve probablement que Vincent est à point pour lui, il le détache Vincent s’effondre sur le sol, il n’a plus de forces. Yves et André l’attachent par des menottes en cuir, les mains et les pieds au sol, le ventre appuyé sur une espèce de cheval d’Arçon qui lui relève le cul à 50 cm à peu près du sol. Les pieds sont écartés, le cul est bien offert à toutes les queues qui voudraient le pénétrer. Justement, celles d’Yves et d’André sont prêtes , énormes, rouges et fort menaçantes. Oh les salauds ! Ils essayent d’entrer les deux monstrueux engins en ensemble . André vient de rentrer son énorme gland dans le trou merdeux de Vincent ; il crie et pleure , et si on avait le temps on le plaindrait, ce pauvre enculé de Vincent. André enfonce son pieu jusqu’aux couilles, c’est plus des larmes c’est des sanglots. André ressort doucement la hampe et ne laisse que le gland, Yves, qui a un beau membre, mais un peu plus court tout de même que la bitte de cheval de son maître, se place sous le tréteau qui soutient Vincent approche son zob du cul déjà distendu, il appuie, insiste pour se frayer un chemin, il met du temps, ça y est ! Les hurlements de Vincent ont été étouffés par la puante paire de chaussettes que Marc, intéressé par la scène lui a refoutu dans la bouche. La queue de Marc grossit à vue d’œil et celle de Vincent, qui n’est pas rancunière, ressemble à une grosse saucisse bien cuite, les orties de tout à l’heure continuent à faire effet ! Les deux gourdins sont dans les boyaux de ce double enculé de Vincent, Yves et André pistonnent en choeur, enfonçant leurs deux membres avec violence sur toute leur longueur, et ça dure, ça dure...Vincent est couvert de sueur, son supplice n’en finit pas et il ne peut même pas crier, qu’est-ce qu’il lui arrive maintenant ? Marc, qui n’a aucune pitié , lui marche sur les mains avec ses grosses grolles , ah ! ça fait mal ! ça saigne ! Salaud de Marc ! L’enculade se poursuit sans la moindre pause, Marc en rajoute, ce dos luisant de sueur l’inspire. Il ponctue chaque coup de boutoir asséné par Yves et André d’un bon coup de ce fouet à 7 lanières dont il avait déjà apprécié l’efficacité un peu plus tôt. Ca y est, les deux enculeurs arrivent ensemble à la jouissance , Marc se branle, la jute gicle à la fois dans les tripes de Vincent et sur sa pauv’ gueule. Les deux salauds retirent leurs queues merdiques, on détache Vincent : repos ! N'oublie pas de me donner tes impressions sur "schwanz19@hotmail.com" La loque est débaillonnée, Marc lui met une paire de grosses godasses trop petites pour les panards puants de Vincent, Marc en serre les lacets de façon très serrée et arrose copieusement ces chaussures avec de l’eau, on le jette dans une étroite et basse cellule contenant déjà 3 esclaves à poil. Le repos ne sera pas sans souffrances, sans le prévenir, bien entendu , on lui a fait boire un diurétique tout en lui interdisant absolument de pisser et d’avoir aucune activité sexuelle : interdit de se branler, mais ça lui serait difficile de s'astiquer , vu qu’il a les mains attachées aux menottes de son collier, interdiction d’enculer ou de se faire enculer, interdiction de sucer ou de se faire sucer, pas sûr que ça soit lui qui décide ! Ses deux coturnes, eux, ont absorbé un très puissant aphrodisiaque. Ca peut faire de l’animation. 24 heures plus tard : Marc, André et Yves ouvrent la porte : ça schlingue ! il est clair que ce malheureux Vincent s’est fait queuter par ses deux coturnes sans ménagement. Il est clair aussi qu’il souffre des pieds , et qu’il n’a pas pu s’empêcher de pisser. Tout s’est passé comme prévu, et il a dû en chier ! Marc lui enlève ses grolles, ses pieds sont enflés, écorchés, tuméfiés. Des traînées de foutre lui dégoulinent du cul, ses pieds lui font tellement mal qu’il ne peut pas se tenir debout et il se casse la gueule dans sa propre pisse. André ; " t’as pissé malgré nos ordres, tu seras donc jugé et puni comme tu le mérites ! Yves ! emmène-le dans la salle de jugement et de punition. " .Vincent titube, ses pieds blessés refusent de le porter, il doit se traîner sur les genoux et sur les mains, Yves l’aide gentiment par de bons coups de pieds au cul. Ils arrivent dans une salle de torture, il n’y a pas d’autre mot, Vincent, nu bien sûr, est assis sur un tabouret fixé au sol comprenant un gros gode mi-souple, midur en son centre. Naturellement le gode a été introduit sans ménagement dans le trou du cul de Vincent. C’est un gode qui possède deux propriétés intéressantes, on peut l’allonger et augmenter son diamètre à volonté ou le faire vibrer ; il possède des bandes métalliques, ce qui permet de l’électriser. Le tabouret est assez haut de sorte que les pieds de Vincent touchent à peine le sol, mais ils y son attachés tout de même par des bracelets de cuir. Vincent a donc les jambes tendues et le cul bien rempli. Ses bras sont étirés et attachés par d’autres bracelets à une barre horizontale. Ses juges, à poil, sont confortablement assis en face de lui, des esclaves nus les sucent doucement, Yves et Raymond sont promus bourreaux. On attache des pinces métalliques aux couilles, à la queue et aux oreilles de Vincent, Raymond, dont la musculature est impressionnante et quant au sexe je ne vous en parle pas, Raymond est armé du petit fouet à 7 lanières. Tout le monde est prêt pour le jugement et l’exécution de la sentence qui sera sans doute prononcée. Imaginez-vous Vincent assis sur son tabouret enculeur, les pieds en sang et méchamment tuméfiés, la bitte congestionnée, énorme et tressautante ; spectacle assez bandant , il faut le dire ! MARC : " alors, il paraît que t’as pissé malgré les ordres formels, et même que t’as pris plaisir à te faire enculer ? Réponds !" Vincent : " Foutez-moi la paix ! Je n’en peux plus " André ; " Tu vas nous payer cette réponse insolente " Sur un geste d’André, le fouet de Raymond s’abat quatre fois sur les épaules de Vincent qui hurle sous la douleur cuisante; entre les cuisses de Marc et d’André, les esclaves accélèrent leur travail de léchage, les bittes grossissent. Marc : " combien de fois t’es tu fait enculer ? Vincent " ils m’ont enculé quatre fois chacun et ils ont joui à chaque foi, j’en suis malade " Marc : " 4 fois enculé, y a pris du plaisir, a donc menti et a pissé malgré l’interdiction formelle, voilà qui mérite une punition sévère ! N’est-ce pas les gars, sucez mieux que ça, esclaves ! Je veux juter en prononçant la sentence. André : " je demande un limage de cul avec le gode, 10 minutes, accompagné de 10 décharges de force 4/10, exécution immédiate, puis 20 coups de fouet sur le dos et les fesses, exécuteur Raymond, bouffage d’une merde venant de sortir du cul de l’un d’entre nous, merde bien chaude et bien puante, enfin 8 jours de trou régime alimentaire minimal, à poil et port de grolles serrées et mouillées, arrêtez de sucer, les esclaves, on a les bittes prêtes à jouir, et on jutera à la dixième décharge électrique " Marc ; " sentence acceptée, je rajoute 10 décharges électriques par jour de punition, sur le zob et sur les burnes , force 5. Exécution ! " Comme il l’avait prévu, Marc, à l’instant même où il prononce cette condamnation, est parcouru par une onde de plaisir, et il projette 5 jets de foutre épais. Le gode est mis en marche, il lime automatiquement le cul de Vincent qui commence à grimacer, toutes les 15 secondes il grossit et gicle un jet d’un foutre spécial pimenté, histoire de chauffer le cul de la victime, première décharge électrique, c’est le zob de Vincent qui déguste, ça le fait bander à mort et spermer un jus bien épais, le limage se poursuit inexorablement, Vincent semble jouir du cul, mais une deuxième décharge le calme, c’est toujours le gland qui reçoit sa dose, le limage de cul augmente en fréquence, Vincent râle, les bites de Marc et d’André, sucées par les esclaves atteignent les 28cm sans problèmes, en même temps les esclaves sont vexés régulièrement par des pincements, des baffes, des torsions de couilles, des frottements de sexe au gant de crin, c’est Yves qui se charge de ces mortifications. Troisième coup d’élec. Sur les burnes et les oreilles, en même temps, Vincent gigote sous la douleur et le limage continue cruellement, les décharges se succèdent la sueur couvre le corps du condamné, Marc décharge une grosse giclée de foutre sur la gueule de son esclave au moment précis où Vincent se tord sous les morsures de la dixième décharge, et l’esclave, en guise de récompense pour l’efficacité de ses coups de langue, reçoit de la part d’Yves une méchante torsion de nez ? André n’a toujours pas giclé, son membre est énorme, menaçant, violet et dressé comme furieux. Son esclave n’est pas à la noce, étouffé par l’énormité de la queue qu’il doit sucer, il est à deux doigts de gerber ? Et puis André, entre autres gentillesses, lui malaxe le paquet, lui écrase les couilles dans ses grosses mains musclées, et l’oblige à jouir à répétition et le gars qui continue de sucer avec application et dégoût, a les burnes vidées, il est épuisé. Marc vient de chier deux belles crottes fumantes sur une assiette, c’est pour Vincent cette petite gâterie : André : " allez, mon coco, tu vas nous bouffer ça tout de suite et à pleine gueule, sans fourchette, sans les mains, comme un chien ; bouffe ! " Raymond présente l’assiette fumante à Vincent qui essaye de s’en détourner, mais Vincent n’a pas beaucoup de possibilités de bouger, Raymond approche la merde puante de la gueule du condamné : " allez, mange ! c’est bon ! " Vincent ouvre la bouche et se met à bouffer la merde à pleine gueule, il en a partout, dans le nez, dans les yeux, il a du mal à avaler, mais ça passe, il doit lécher l’assiette jusqu'à la dernière trace, ça a été dur et la tronche qu’il fait, fait marrer tout le monde. Reste à appliquer les 20 coups de fouet, Raymond reprend l’instrument du supplice avec un sourire inquiétant, les coups descendent sur le dos et sur les cuisses, 1,2,3,,,12, Vincent se tord à chaque fois sous la douleur cuisante, il crie comme un fou et n’arrive qu’à faire bander ses bourreaux. Au 20° coup, Raymond s’arrête mais c’est comme si Vincent ne s’en apercevait pas tellement la souffrance s’irradie dans tout son corps. On le détache et on le ramène dans sa cellule : la séance a été sévère ! Les godasses ont été remises à ses pieds, il va continuer d’en chier. Gérard est resté fort discret pendant le supplice de Vincent, se contentant de mater, et de se branler aussi copieusement que les autres, sauf qu’il n’a joui à aucun moment, à aucun moment il n’a dépensé de foutre et ses forces sont intactes. Gérard est un gars relativement discret, mais on voit sans peine que, s’il sait particulièrement bien garder son calme et maîtriser son sexe, il est en ce moment super excité. Gérard est un mec de 25ans, 1m85, très musclé et sans un poil de graisse, brun, des poils il en a en abondance, sur la gueule d’abord, il a beau se raser tous les jours, à cette heure-ci ses joues sont bleues de barbe et fort piquantes, sur le torse, sur les cuisses et sur les jambes et tout autour du sexe. Le sexe de Gérard est impressionnant : dans cette forêt de poils noirs et luisants, émergent deux couilles grosses comme des œufs et un membre monstrueux lui aussi , un bâton de 29cm lorsqu’il est en érection, c’est la plus grosse et la plus longue queue du groupe, pour le moment, elle ne bande pas, ce qui ne l’empêche pas d’être très excitante, toute arquée qu’elle est sur la paire de burnes, et puis on sent qu’elle est bien vivante, de temps en temps elle tressaute comme si elle voulait attirer l’attention sur elle. A mon avis Gérard a un projet, je ne voudrais pas être la victime qu’il va choisir ! Gérard demande à Yves qu’il aille lui chercher Stan, un petit jeune bien foutu qui a été ramassé la veille et qu’on a mis à la diète, il paraît qu’il gueule dans sa cellule pour qu’on lui apporte à boire et à manger, il se croit peut-être à l’hôtel ! Le gamin arrive, 22ans, 1m75 sec, il râle, exige d’être libéré et je ne sais quoi encore ! Il ne va pas être déçu ! Gérard : " Dis-donc, Yves, on va s’occuper de ce p’tit con, qu’est-ce que t’en penses ? " Yves : "ouais, c’est bon, j’me sens encore en forme si tu fais l’plus gros du boulot " Gérard : " c’est vrai que t’as pas mal juté tout à l’heure mon salaud ! " Stan ; " C’est quoi, c’t’histoire ? relachez-moi ! " Stan a peur, il ne comprend pas pourquoi les deux mecs qu’il a en face de lui et qui le dominent sont tous les deux complètement à poil, ou plutôt, il commence à s’en douter et il a les foies. Il n’a jamais été enculé et il n’a jamais subi aucun sévices. Bref, il est puceau : ça ne va plus durer longtemps ! G : " déloque-toi tout seul, mon lapin ! " S : " pas question ! relachez-moi ! " Stan porte pour le moment un jean bleu troué, un T-shirt blanc sale qui moule ses pecs, des chaussures de sport, jadis blanches. G : " C’est un viol, mon gars, un viol, tu sais ce que c’est ? Et c’est toi le violé, c’est toi qui va en chier ! alors, à poil ! " Gérard se touche mollement la queue de la main gauche, il a attrapé un fouet avec la droite et il en menace directement ce pauv Stan. Stan se décide à obéir, il enlève son T-shirt, et exhibe du même coup un torse superbe, il ôte ses godasses de sport, ça schlingue ! il fait glisser son jean, et il s’arrête là, il porte un slip blanc tâché de sperme et de pisse, pas net de ce côté là ! Mais le paquet est conséquent. Y : " le slip, bordel ! tu l’enlèves et un peu vite ! T’as honte de ta p’tite queue, parcequ’elle est sûrement moins grosse que les nôtres ! " Il le fait glisser en tremblant, il libère ainsi son beau zob d’une vingtaine de centimètres tout de même. Mais il ne fait même pas mine de bander, il n’en mène pas large , le Stan ! Gérard et Yves se jettent un coup d’œil et sautent sur le gamin qu’ils plaquent au sol, Stan essaye de se débattre, mais Gérard est déjà à cheval sur son torse, les genoux sur ses biceps qu’il écrace et fait rouler, ce qui ne fait pas spécialement du bien, pendant ce temps-là Yves lui tord le pied gauche et lui empoigne le sexe. Il lui retrousse le prépuce, fait apparaître le gland et commence à le branler . Le type a la santé, malgré sa peur, son manche prend de la consistance. Gérard se met à lui filer des baffes, l’autre essaye de se défendre, une mélée s’instaure, Stan tente de se faufiler, les deux autres lui tombent dessus lui tordent bras et jambes, les coups pleuvent, les corps en sueur se mélangent, se triturent : c’est bien ce qu’Yves et Gérard souhaitaient. Après pas mal de coups , Stan se retrouve sur le dos, les pieds derrière la tête, fermement maintenus par Yves , le cul offert aux assauts de Gérard qui se trouve juste derrière en train de lubrifier son arme. Stan crie comme un veau , mais qui s’en soucie ? Gérard colle le bout de sa queue sur la rosette de sa victime et appuie de plus en plus fort : ça ne passe pas. Gérard prépare la voie en enfonçant un doigt, puis deux, il lime une dizaine de fois, verse une bonne dose d’huile sur son gland et se remet au travail, il appuie de plus en plus fort ,et hop ça passe, non sans un hurlement du gonze, à la fois blessé et humilié Maintenant que la tête de l’énorme noeud a franchi la barrière du sphincter, Gérard enfonce lentement mais fermement toute la hampe de son sexe, ce qui donne à Stan l’impression qu’il étouffe par le cul , impitoyable, Gérard va jusqu’au bout des 29cm, puis se retire doucement jusqu'à ce qu’il ne reste plus que le gland, et il recommence, s’enfonce, mais plus vite, jusqu’au bout et ça y va ! c’est le limage habituel mais avec un bâton exceptionnel qui dilate les boyaux de la victime au maximum : il a sa dose ! Le limage devient très rapide, et une fois sur trois ou quatre, Gérard ressort complètement son zob pour avoir le plaisir d’entendre chialer sa victime quand il force de nouveau l’entrée de ce cul trop étroit, ça doit faire mal ! Yves ne perd pas son temps, il maintient la victime sévèrement en lui écrasant les biceps avec ses genoux, et il l’étouffe à moitié, puisqu’il lui écrase la tête avec son cul qu’il essaye de l’obliger à le lui lécher. Stan, très occupé par ce que subit son cul, n’entend même pas ce qu’ Yves exige de lui. Yves s’en aperçoit, et trouve facilement un moyen d’attirer l’attention de ce p’tit con d’enculé de Stan ! Il lui envoie une série de baffes très costaudes en pleine gueule, le sexe bandé et pas propre du tout d’Yves frôle la bouche et le nez d’un Stan. Dégoutté. Yves lui pince le nez ce qui oblige vite fait Stan à ouvrir la bouche pour respirer. Yves : " allez, suce ! et lèche moi la merde que j’ai dans la raie des fesses !" Stan s’exécute malgré ses haut-le-cœur, sa langue s’active alternativement dans la raie culière et sur le sexe bandé de notre copain Yves. Plus ça debecte Stan, plus ça semble faire du bien à Yves qui continue de trouver d’intéressantes vexations à infliger à Stan : Yves appuie de tout son poids sur les biceps de Stan, il les lui roule méchamment, en même temps il lui triture les oreilles, elles sont maintenant en feu , il le gifle à tour de bras, essaye de lui rentrer la bite dans le nez. Et Gérard continue de fucker comme un malade le cul irrité de Stan, il rentre, il sort , ne prend plus aucune précaution, le gland à l’entrée du trou, il pèse de tout son poids et fait pénétrer le manche jusqu’à la garde d’un seul coup : 29cm de chair gonflée, tumescente, c’est un morceau que le Stan n’est pas prêt d’oublier, ses cris sont lamentables, mais au lieu d’inspirer la pitié, ils provoquent nos deux sadiques à plus de cruauté encore ! Gérard pistonne comme un malade le cul défoncé de Stan, les cris redoublent et ça ne s’arrête jamais, Gérard a une santé du tonnerre, Stan implore : "Assez, laissez-moi, je ferai tout ce que vous voulez, Maîtres, pitié" Pour toute réponse Gérard poursuit son pilonnage et Yves lui tord une nouvelle fois couilles et bite ; Oh que ça fait mal ! Yves se masturbe au dessus de la gueule de Stan, chochotte, il fait le dégoutté. "Sens comme elle pue ! J’lai gardé 15 jours sans la laver exprès pour te faire plaisir ! Sens-la bien, comme elle est grosse et bien dégueue !" et Yves s’astique en se malaxant en plus les burnes. Gérard halète, il est au bout , il va jouir, ça y est, il déverse des giclées de jute dans le ventre se Stan qui n’est pas habitué à pareil lavement, Gérard sort sa bite couverte de merde et de foutre et s’approche de la bouche de Stan pour qu’il la lui nettoie. Stan est dégoutté par ce zob qui lui a ramoné les intestins et qu’il doit maintenant sucer, mais Yves lui pince le nez et il est bien obligé d’ouvrir la bouche. " allez ! suce, et avec zèle s’il te plaît ! Passe ta langue tout autour, j’te l’enfonce jusqu’au fond de la gorge, dégueule pas, ou ça irait mal ! " Pendant ce temps-là, Yves s’est placé là où se trouvait Gérard tout à l’heure, il bande sérieux, et hop, sans prévenir il défonce à nouveau le cul de Stan et se met à le limer sans ménagement. " continue de sucer, et mieux que ça ! " Gérard, stimulé par le léchage de Stan, rebande royalement. Nos deux sadiques arrêtent de limer Stan par les deux bouts. " Et si on s’occupait un peu de la queue de notre nouveau copain ? " lâche Gérard avec un mauvais sourire. " Dis-donc, t’avais un calebar vachement sale, avec plein de tâches de pisse et de jute, tu te touches dans la journée ? Réponds ! " Yves lui colle deux baffes pour l’encourager à répondre. Gérard lui a remis son slip. " Ouais, j’me touche un peu " " raconte, en détail, et masturbe-toi en même temps ! " Deux nouvelles baffes ponctuent ce rappel à l’ordre. " J’peux pas m’toucher devant vous, j’vous en prie ,laissez-moi ! " Pour toute réponse, Gérard lui pisse sur la tronche un jet puissant que Stan essaye en vain d’éviter (A suivre… N'oublie pas de me donner tes impressions sur "schwanz19@hotmail.com") Due to international translation technology this story may contain spelling or grammatical errors. To the best of our knowledge it meets our guidelines. If there are any concerns please e-mail us at: CustomerService@MenontheNet

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Web-01: vampire_2.0.3.07
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