Sacré clavardage... On ne sait jamais sur qui on tombe quand on fait du virtuel... C'est arrivé la semaine dernière. Il y avait quelque temps que je clavardait avec ce mec quand on décida de se voir. Il me donna son adresse et aussitôt, je montai dans ma voiture pour me rendre chez lui; il restait à 15 minutes de chez moi. Je stationnai et me rendit immédiatement à la porte de sa maison d'où je sonnai. Sans trop attendre, il vint me répondre. Quelle ne fut pas ma surprise en constatant que ce n'était pas tout à fait le mec de la photo qu'il m'avait envoyée. Le croyant beau, jeune et musclé, je me retrouvais devant un mec de soixante ans. - Tu es sûrement Xavier, me dit-il en me souriant. Entre, tu es attendu. Ouf... Le mec m'attendait donc, ce n'était pas cet homme. J'entrai et ce dernier me conduisit au salon pour me retrouver, encore une autre fois, devant une surprise; il y avait 4 mecs, tous dans la trentaine, en jeans et torse nu. Ils buvaient de la bière et fumaient un joint. - Ouan, beau pétard, me dit l'un d'eux en m'offrant une bière. - Non merci, dis-je, je ne bois jamais d'alcool. Sans trop m'en apercevoir, je me retrouvai couché sur le plancher avec un mec assis sur mon torse, une bière à la main. - Fais-lui en boire, commenda le sexagénaire. Steve, tiens-lui la tête. Alors, un mec me prit la tête entre ses mains tandis que l'autre me versait de la bière sur le visage, tentant de m'ouvrir la bouche. - Peut-être aimerait-il mieux la boire de façon différente, dit le vieil homme, les quatre mecs le regardant en sachant ce qu'il désirait. L'un d'eux se dévêtit complètement et monta sur une table. Il se pencha par devant, nous offrant son cul comme paysage. - Déshabillez-le. Dans le temps de le dire, je me retrouvai nu, à quatre pattes, directement sous le cul du mec. On me tenait par les épaules. Je ne pouvais plus bouger. Tout à coup, de la bière me coulait sur la tête. Un mec laissait glisser la boisson sur le cul du mec. On m'envoya la tête par derrière et j'ouvris la bouche, sachant bien que je ne pouvais rien contre eux. Mais bizarrement, je sentais que l'excitation montait en moi et ma queue prenait de l'expension. Il était difficile de le cacher. - Il aime ça les mecs, dit le sexagénaire. Peut-être aimerait-il aussi autre chose. Allez Claude, exécute. C'est alors que le plus musclé de tous déboutonna son jeans pour en sortir une belle grosse queue dure qu'il m'obligea à sucer pendant que la bière me coulait sur la tête. - A ton tour Mario, poursuivit le vieil homme. Celui-ci, je ne le vis pas, étant derrière moi. Tout ce que je savais, c'est qu'il me renterait sa queue dans le cul. Déjà, je la sentais pousser sur mon anus. Sans trop prendre de précaution, il me fourra à grands coups, poussant sa bite jusqu'au fond de moi pendant que je me délectais de la belle grosse queue que j'avais dans la bouche. Soudain, le mec sur la table descendit et me présenta son cul pour que je le mange. Hummmm, c'était excellent. C'était la première fois que j'aimais le goût de la bière. Il avait de belles grosses fesses bombées et j'avais de la misère à respirer tant ma face s'enfonçait entre ses fesses. Le mec derrière moi me labourait à grands coups brusques, ce qui me faisait laisser entendre des petits cris. Et puis on me priva du cul du mec qui enfila la queue de l'autre, juste devant ma face. Je voyais cette grosse bitte dure qui entrait et sortait de ce troufignon, apportant sur elle du lubrifiant chaud et gluant. Je me délichait. Je n'avais d'yeux que pour cette queue. Je la voulais. J'ouvris la bouche et le mec comprit, sortant sa queue du cul pour me la rentrer dans la bouche. Je n'avais jamais mangé une queue comme la sienne. Il opérait entre ma bouche et le cul du mec, alternant entre les deux; deux trois coups dans le cul, deux trois coups dans ma bouche. Et le mec derrière moi laissa entendre un grand cri pendant que je sentais son jus me remplir le cul. Il se retira et se coucha sur le dos, sous moi, pour me sucer pendant que celui qui versait la bière tout à l'heure se plaçait pour m'embrocher à son tour. Je n'en pouvais plus. Je croyais que mes reins allaient exploser. La bitte que j'avais dans le cul me frappait la prostate et la douleur devenait de plus en plus jouissante. Ma queue prenait tout le plaisir que lui donnait la bouche du mec couché sous moi. Soudain, celui qui enculait l'autre éjacula, remplissant les fesses bombées de sa semence qui coulait le long de l'anus. Je sortis la langue et le mec me colla son cul sur la bouche. Je lichai tout tandis que je me faisait remplir à nouveau le trou par le jus du mec, éjaculant à mon tour dans la bouche de l'autre. - Ca va faire un excellent film, dit le sexagénaire et lorsque je me retournai, il tenait une caméra en main. Pour tout commentaire: toxedo1@sympatico.ca
