Gay Erotic Stories

MenOnTheNet.com

Sauvetage Princier

by Jérôme Toussaint


Le Prince Hans Ludwig von Hohenheim Zu Sigmaringen avait toujours été un très bel enfant, mais cette année il était devenu un jeune homme désirable. Je le voyais chaque année à Gstaad faire du ski avec ses parents depuis sa tendre enfance. Ces dernières années il prenait souvent le télésiège sur lequel je travaillais. Ce dernier offre les plus belles et longues descentes. Hans Ludwig, excellent skieur, prend toujours la piste noire. Elle est directe et slalome entre les pylônes. Hans Ludwig me connait. Avec seulement quatre ans de différence, on fait encore partie de la même génération. Plusieurs fois nous avons organisé des descentes ensemble ainsi que des concours de rapidité. Assez intimidé par sa présence je l'ai toujours laissé gagner. Dans mon esprit il ne pouvait pas en être autrement. Hans Ludwig est un garçon sûr de lui, sa famille est l'une des plus riches d'Allemagne. Il est beau, sympathique, intelligent... Je ne peux parler de lui qu'en utilisant des superlatifs. C'est pourquoi lors de nos concours, je n'ai jamais vraiment osé essayer de le battre. Il ne m'aurait pas été possible de l'imaginer perdant et encore moins à cause de moi. Nos relations sociales s'arrêtaient toutefois au verre que l'on prenait de temps en temps au bar de la remontée. Cette année, Hans Ludwig n'était pas venu avec ses parents mais avec deux amis ; Karl et Martin. Je les avais déjà vu à plusieurs reprises avec lui les saisons précédentes. Ils forment un superbe trio. Hans Ludwig enfant était blond très clair et est devenu châtain avec les années. Il a toujours une grande mèche de cheveux qu'il remonte continuellement sur son front. Sa peau bronze vite et au bout d'une semaine il devient très mat. Il porte toujours des lunettes noires qui, loin de lui assurer un incognito, lui donne un air de star. Cet air est confirmé par la présence qu'il dégage. Tout le monde se retourne sur lui, même ceux qui ne le connaissent pas en temps que prince héritier de Saxe Wurtemberg. Karl, lui est châtain foncé avec quelques reflets roux. Il est le plus passif des trois, il suit tout le monde sans commentaire. Je ne l'ai personnellement jamais entendu parler, ni vraiment sembler s'intéresser à ce qui l'entoure. Le soin qu'il donne à son physique seul l'anime. Les mots de jeune minet me semblent être les plus appropriés pour le décrire brièvement. Martin, lui est blond aux cheveux relativement longs. Il est toujours souriant et le seul du groupe qui s'extériorise vraiment. Il siffle toutes les belles filles, très nombreuses à Gstaad en saison, et leur décroche des paroles flatteuses qui les font rougir. Il possède une musculature impressionnante. Toutefois le prince est Hans Ludwig et reste le plus beau des trois. Il possède aussi un charisme impressionnant. J'en ai déjà été la victime lors de nos courses, mais il ne me semble pas avoir été le seul à l'être. Personne à ma connaissance ne lui a déjà refusé quoi que ce soit. A chacune de ses montées Hans Ludwig me sourit et me salue. Je le regardais autrefois passer avec le regard bovin du taureau voyant un TGV. Aujourd'hui j'essaie de porter à mon regard une intensité suffisante pour pulvériser ses lunettes noires. Malheureusement elles sont solides et je ne sais toujours pas si mon message visuel a bien été compris. Comme toujours, à chacune de ses montées Hans Ludwig continue à me saluer et à me sourire. Un soir, une rumeur se fait entendre dans la station, Hans Ludwig a disparu. Il faisait déjà presque nuit et les dernières remontées fermaient. Cette disparition devint rapidement une affaire d'état. La police interrogeait Karl et Martin pour savoir où il avait pu aller. Il lui arrivait parfois de partir seul pour de longues randonnées mais généralement tous savaient le chemin qu'il allait prendre. Hans Ludwig connaissait le hors piste et jamais ne faisait d'imprudence. Aucune avalanche n'était d'ailleurs signalée, la neige était ferme et solide. Les recherches allaient être difficiles à cause de la nuit et de l'immensité du domaine skiable de Gstaad. Toutes les bonnes volontés étaient sollicitées. Toutefois elles étaient peu nombreuses car seules les personnes trés expérimentées étaient appelées. Il n'était pas encore temps de perdre une dizaine de touristes novices pendant les recherches. J'avais fait moi-même ma petite enquête, Hans Ludwig avait bien pris ma remontée dans la matinée, mais on l'avais vu à la station plus tard. On l'avais vu seul, deux ou trois fois sur d'autres remontées, mais personne n'était capable de dire laquelle avait été la dernière. L'une d'entre elle m'intéressait. Hans Ludwig avait certainement voulu faire une des plus belles randonnées, celle qui mène de Gstaad à Zweisimmen en cinq heures de ski. A onze heures du matin, il était déjà tard pour partir, mais c'était possible si aucun incident ne venait troubler la route. Toutes les deux heures un car faisait la navette entre les deux villes et Hans Ludwig aurait pu le prendre pour revenir. A Zweisimmen, personne ne l'avait vu. J'annonçais au comité de secours que je partais pour Zweisimmen. J'étais certainement le plus apte à faire cette course de nuit car mon père et moi la faisions au flambeau avec les anciens avant que cette fête ne tombe en désuétude avec l'arrivée des touristes. Elle s'avérait dangereuse pour ces derniers qui voulaient la faire avec nous sans préparation. Et de jour, chacun était occupé à faire vivre la station et nous n'avions plus de temps à consacrer à cette superbe ballade de mon enfance. J'avais mis dans mon sac à dos, un sac de couchage et des couvertures. La nuit, la température tombe facilement au dessous de - 15 degrés et Hans Ludwig n'est pas équipé pour faire face à un tel froid. De plus, il ne connait pas les techniques de survie qui l'empêcherait de mourir. Kurt, un ami, remit en marche pour moi le téléphérique de la station et m'accompagna jusqu'en haut pour me féliciter de mon courage. J'avais pris une lampe frontale et des piles de rechange. Heureusement la lune brillait et éclairait fortement la neige, c'était un atout capital pour moi et Hans Ludwig. Cette dernière n'était pas tombée ce jour là, je pouvais donc suivre les traces. Les conditions de recherches étaient excellentes mais ne suffisaient pas. J'avançais pendant plus de trois heures dans le froid, la nuit et la solitude. Rien ne bougeait,j'entendais seulement le froissement de la neige sous mes skis. J'allais bon train et ne me sentais pas fatigué. Sur le chemin de Zweisimmen, il y a une halte que peu de gens connaissent vraiment. C'est une grotte, l'entrée est étroite mais elle s'élargit rapidement. Ses multiples boyaux doivent le mener loin sous terre car cette grotte possède une température constante de 14 degrés. Fraîche en été, elle semble chaude en hiver. J'avais déjà montré à Hans Ludwig cette grotte un jour que son père et lui m'avaient pris comme guide. Ils voulaient faire une longue ballade originale d'une journée et j'avais pris cette grotte comme but de promenade. Hans Ludwig avait treize ans à l'époque et avait été très impressionné par celle-ci. La grotte était à plusieurs centaines de mètres du chemin skiable Gstaad-Zweisimmen, et la seule piste possible pour y aller était naturellement balisée de sorte que là, on ne pouvait se perdre. La chance me sourit car cette piste avait bien été empruntée par une personne ce jour là, et je préssentais que c'était bien celles de Hans Ludwig. La neige tombée la veille, avait effacé les éventuelles traces précédentes. Je savais qu'il était encore là car ces traces uniques n'indiquaient aucun retour. Il ne pouvait donc être retourné par ce chemin qui était le seul possible. J'espérais surtout qu'il soit en bonne santé, la nuit était tombée depuis de nombreuses heures et il gelait à pierre fendre. Aux alentours de l'entrée de la grotte, les pistes se multipliaient Hans Ludwig avait pu se perdre et repasser de nombreuses fois sur ces traces. J'en découvrais rapidement la raison. Il était tombé une quantité exceptionnelle de neige cette année et l'entrée étroite avait été recouverte ainsi que tous les rochers alentours. Elle était introuvable pour ceux qui ne connaissent pas parfaitement la topographie des lieux. Pendant une demi-heure j'ai suivi à la lampe toutes les traces laissées sur la neige, sans succès. Je sentais qu'il n'était pas loin et la chance que j'avais de pouvoir le sauver excitait mes sens. J'étais passé trois ou quatre fois près de lui sans le voir. Il s'était intelligemment enfoui dans la neige pour se protéger. Il était inconscient, mais respirait. L'entrée de la grotte était à quinze mètres au dessous de lui. Je courus pour en dégager l'entrée. Je perdis un bon quart d'heure à la localiser et à creuser suffisamment profond pour que l'on puisse y entrer sans trop de difficulté. J'avais laissé Hans Ludwig dans la position où je l'avais trouvé. Je savais qu'il ne fallait pas trop le remuer avant d'être sûr de lui offrir un lieu de protection où il serait définitivement sauvé. J'avais installé dans la grotte une couverture de survie isolante, une couverture de laine et le sac de couchage en duvet d'oie. La literie bien préparée, je suis retourné dehors pour traîner le jeune homme à l'intérieur. Il était toujours inconscient et son corps était gelé. Il me fallait le réchauffer rapidement. Après lui avoir ôté ses chaussures de ski, ses gants et son anorak humides. Je refermais sur lui et sur moi le sac de couchage. Je savais que la température de la grotte conjuguée avec celle de mon corps allait le sauver rapidement. Je posais mes pieds sous les siens pour les lui réchauffer et lui enfonçais les mains dans mon sous-vêtement. Il était important que ses extrémités soient en contact avec la partie la plus chaude de mon anatomie. Ca me fit un drôle d'effet, mon sexe accueilli de façon glaciale cette intrusion. Je savais que peu de temps serait nécessaire pour le porter au fer rouge. De mes mains je frottais doucement son corps pour le réchauffer le plus rapidement possible. J'appréciais cette chance que j'avais de pouvoir le faire en toute liberté même si mes sensations n'étaient pas aussi chaudes que mes rêves les auraient souhaités. Mon sens de la morale me donnait entière liberté de pratiquer tous les gestes utiles à son sauvetage, mais pas ceux qui relevaient uniquement de mes désirs personnels. Ainsi je veillais à ce que son sexe reçoive autant de chaleur que le reste de son corps, mais je ne pouvais pas me résoudre à embrasser Hans Ludwig sous le prétexte fallacieux que cela pouvait lui être utile. Pourtant son visage était près du mien, nous étions joue contre joue et sa respiration venait faiblement réchauffer mon cou. Ses lèvres si minces m'attiraient et je résistais à cette envie en massant encore plus généreusement son sexe. Le mien était devenu très dur et je plaçais ses mains autour de mon sexe pour qu'elles puissent bénéficier de la chaleur irradiante qu'il dégageait. Lorsque je sentis qu'il était suffisamment réchauffé je lui ôtais tout ses vêtements ainsi que les miens afin que rien ne vienne troubler nos échanges thermiques. Je m'endormis la main sur son sexe et les siennes entre mes cuisses. Le lendemain à mon réveil je me mis à regarder simplement son visage, ses sourcils comme ceux d'une jeune fille, son nez fin et droit, ses lèvres de nouveau né, roses et sensuelles. Hans Ludwig dormait simplement, je l'entendais à sa respiration calme, je ne voulais rien faire qui puisse le réveiller, j'étais si bien nu contre lui. Sa température était normale, il avait été bien protégé. Mon sexe se gonflait de nouveau et mal à l'aise je le dégageais en le redressant contre le sien. Ce geste le réveilla et il me regarda de ses yeux bleus ciel éclatants. J'aurais voulu pouvoir les regarder pendant des heures, mais ils se faisaient chaque secondes plus interrogateurs. Je lui rappelais rapidement la situation, essayais de lui expliquer rationnellement et scientifiquement sa nudité ainsi que la mienne. Hans était faible, il acquiesça simplement de la tête. Je lui demandais de ne pas bouger, les secours allaient arriver, le laissant seul dans le sac de couchage sur et sous deux chaudes couvertures. Un hélicoptère passa à proximité comme je l'avais pensé. Hans Ludwig fut embarqué directement à l'hôpital de Gstaad spécialement conçu pour tous les traumatismes des sports d'hiver. Pendant trois jours je pris de ses nouvelles qui étaient excellentes. Ses parents alertés étaient venus lui rendre visite. Confiants dans sa guérison, ils étaient repartis en Amérique du Sud brasser de nouvelles affaires. Je n'osais pas aller le voir, car j'étais gêné par ce qui c'était passé. J'avais repris le jour même du sauvetage, mon poste au télésiège. J'avais eu droit aux honneurs de la presse locale. Les touristes échangeaient volontiers avec moi quelques paroles, mais ma gloire n'alla pas plus loin. J'appris qu'au troisième jour tous les tests étaient concluants, Hans Ludwig était retourné dans son superbe chalet situé sur les hauteurs du village. Le lendemain on m'annonça que j'étais remplacé jusqu'à la fin du mois, que mon salaire me serait bien sûr versé. Le prince Hans Ludwig von Hohenheim Zu Sigmaringen souhaitait en personne que j'aille le voir ce matin même chez lui. Il m'accueillit très chaleureusement et me présenta à Karl et Martin, me parant devant eux de nombreuses qualités que je ne me connaissais pas encore. Nous passâmes toute la journée ensemble, lui allongé sur un confortable divan en cuir en face d'un feu flambant. Il discutait avec moi tandis que ses amis se reposaient allongés sur le tapis en jouant ou lisant des bandes dessinées. Lorsque je m'étonnais que personne n'était à son service dans ce chalet, il me regarda étonné et faussement ingénu, me demandant sur le ton d'un ami qui demande un conseil si je croyais qu'il lui faudrait un serviteur. Hans Ludwig m'apparut alors sous les airs d'un garçon comme tous les autres, pouvant se débrouiller seul et surtout plein d'humour et d'à propos. J'en conçu pour lui une plus forte attirance qu'exaltait sa présence en pyjama à mes côtés. Hans me demanda de rester pour la soirée. Celle-ci débuta tranquillement sur des airs de Wagner et bientôt seules les hautes flammes éclairaient la pièce. Il m'avait demandé de me mettre à un bout du divan et adossé contre moi il avait allongé ses jambes sur ce dernier. Nous ne nous parlions plus depuis près d'une heure, simplement sensibles à l'agréable atmosphère qui se dégageait de la pièce. Karl et Martin s'était rapprochés. Ils commençaient discrètement à se caresser. Martin faisant abstraction de ma présence, se mit à déshabiller Karl avant d'ôter ses propres vêtements. Leurs corps étaient magnifiques; le rougeoiement des flammes sur leurs peaux bronzées accentuait la douceur de leurs formes. Seul le bas ventre était clair chez eux. Leurs sexes n'en ressortaient que plus vivement dans ces ombres de couleurs sombres. Karl, allongé sur le dos se trémoussait dans de petits cris plaintifs. Ses jambes repliées et écartées laissaient voir jusqu'à son anus. Martin à genoux et assis sur ses fesses, le sexe conquérant luisant de plaisir, lui caressait l'intérieur des cuisses. Cela eu pour effet d'imprimer à Karl un mouvement de reins qui ne me cachait rien de son anatomie. Son sexe était lové comme un serpent autour de ses testicules. Malgré ses geignements il fallut à Martin un temps long pour l'exciter suffisamment pour le faire se tenir droit. Mais là, quel spectacle, il était d'une longueur à faire perdre la tête de n'importe quel homme fier de la taille de son pénis. Martin lui pris le prépuce entre deux doigts et s'amusa à le descendre et à le remonter, ce qui acheva Karl. Son anus s'en ouvrait tout seul à chaque mouvement ; Karl dont j'avais si bien défini la passivité se décida quand même à approcher sa bouche du sexe de Martin dont l'état était resté remarquablement stationnaire. A chacune de ses sorties de bouche j'admirais le sexe de Martin qui de luisant était devenu brillant. On aurait dit que c'était ce sexe lui même qui voulait être chatouillé par les muqueuses de Karl. Il me semblait qu'il avançait sans cesse vers la bouche de ce dernier. Lorsque Martin se sentit prêt à jouir, il mit rapidement un coussin sous les reins de Karl qui restait allongé sur le dos. Il lui pénétra l'anus qui était déjà ouvert. Martin se jeta sur le corps de son ami et l'embrassa fougueusement, il ne se passa que quelques dizaines de secondes avant qu'il n'éclate et ne se retire vainqueur en s'allongeant sur le tapis. Le sexe de Karl avait repris sa forme de serpent lové tout en gardant une taille respectable. Martin lui fit honneur en le masturbant tout doucement dans le but de le faire hurler de jouissance ? Il s'effondrèrent l'un sur l'autre, s'embrassant encore avant de s'assoupir. Hans Ludwig et moi-même avions assisté à tout ce spectacle sans sourciller mais aussi certainement sans débander. Lorsque je jetais enfin un regard dans sa direction, il me lança un clin d'oeil qui me tua. - Regarde ces bêtes impudiques, me dit-il, quelle race, quelle beauté. Hans Ludwig semblait aussi fier d'eux que s'il montrait de superbes dogues allemands. En fait il était vrai que le spectacle avait été merveilleux et que ces jeunes garçons excellaient dans la démonstration de l'affection qu'ils se portaient l'un à l'autre. Hans Ludwig me dit de les laisser là, le froid les réveillerait lorsque le bois aurait fini de se consumer. Ils iraient alors se coucher. Il me demanda de l'accompagner à son lit. La faiblesse qu'il manifesta à ce moment là n'était qu'un prétexte pour mieux s'appuyer sur moi et ses gestes à peine voilés étaient une invitation soutenue à l'accompagner jusqu'à son lit et à ne pas l'abandonner. Il m'a semblé que cette nuit là le spectacle offert par Karl et Martin n'était rien. J'avais tout à découvrir avec Hans Ludwig. Avant de se jeter sur moi, il me déclara que c'est lui qui les avait si brillamment formés. Le lendemain, Karl et Martin me réveillèrent lorsqu'ils vinrent se coucher dans l'immense lit entre Hans et moi. J'étais allongé sur le dos, nu. Martin posa une de ses mains sur mon épaule. S'allongeant brusquement sur moi, il planta son sexe raide entre mes jambes juste sous le mien et m'embrassa le cou avec fougue. Son sexe s'animait et cherchait un lieu accueillant,à la fois chaud et humide. Je lui fis toute la place désirée. A cet instant Hans Ludwig me prit la main et la serra en signe d'accord et d'affection, je me laissais faire dans un oubli de tout. FIN If you wish more please view: http://perso.infonie.fr/pprem/pedro

###

3 Gay Erotic Stories from Jérôme Toussaint

Carnet de Notes

Carnet de notes Je me trouvais ce matin assis dans mon vieux fauteuil en buffle au Club des Lords Libéraux pour passer quelques heures en compagnie de mes amis. Je ne résiste pas au plaisir d'écrire l'histoire que je viens de leur raconter. Elle concerne, très joyeusement, quelques aspects privés de la vie en collège et l'ai illustrée de mes propres expériences. Le vieux

Initiation d'Exception

Le premier choc culturel que j'ai eu en arrivant à l'université de Moscou, je ne le dois ni à l'architecture stalinienne des bâtiments, ni au confort plus que spartiate des chambres. Cela fait partie des stéréotypes que l'on traîne sur ce pays avant de le découvrir. Mon choc à moi, ce sont les toilettes, et j'ai beaucoup de mal à m'y faire. Le robinet d'eau chaude des

Sauvetage Princier

Le Prince Hans Ludwig von Hohenheim Zu Sigmaringen avait toujours été un très bel enfant, mais cette année il était devenu un jeune homme désirable. Je le voyais chaque année à Gstaad faire du ski avec ses parents depuis sa tendre enfance. Ces dernières années il prenait souvent le télésiège sur lequel je travaillais. Ce dernier offre les plus belles et longues descentes. Hans

###

Web-02: vampire_2.0.3.07
_stories_story