Gay Erotic Stories

MenOnTheNet.com

Sous le Soleil de Provence

by Thierry


Cette histoire s'est déroulée durant mes vacances d'été de 1996 en France et plus précisément dans le Sud, dans la région des Gorges du Tarn. Avant de la commencer et pour te donner l'eau à la bouche, une description de ma physionomie s'impose. Je commence par déboutonner ma chemise blanche de haut en bas et dévoile ainsi mes larges épaules, mon torse légèrement halé et dont les pectoraux sont suffisamment développés pour en dessiner le relief. Mes mains passent sur le bout de mes tétons durcis par l'excitation et glissent vers mon abdomen sculpté, la courbure de mes flancs est continue, fluide, douce révélant ainsi la finesse de ma taille. Ensuite, mes doigts atteignent le premier bouton d'acier de mon jean's moulant. Un à un, lentement, je défais chaque bouton, offrant ainsi à mon sexe un peu plus d'espace pour se gorger de sang et se mouvoir. On le devine pousser contre le tissus de mon Dim shorty, pour accentuer son dessein je passe la paume de ma main sur ce corps dont je sens les pulsations et la serre sur ce paquet chaud et vibrant. Je me retourne et me penche en avant pour baisser mon pantalon. Ce mouvement me permet de t'exhiber ma petite paire de fesses rondes, je passe mes mains dessus, me caresse la raie du cul et poursuit ma route entre mes jambes pour atteindre ma bourse toute resserrée. Là, je la masse pendant quelques instants comme si c'était la tienne.... Ummm quelle sensation! Je me redresse et lève l'une puis l'autre jambe pour me dégager de mon pantalon. Je suis face à toi, tu regardes mes jambes musclées par la pratique intensive du vélo tout terrain, elles sont recouvertes de poils blanchis par le soleil d'été. C'est alors que tu t'aperçois que mes mains sont fourrées dans mon Dim, tu les vois bouger, et tu devines qu'elles massent mes parties génitales. Tu as envies d'en faire de même, n'est ce pas! Vas-y! doucement, caresses-les. Les battements de ton coeur s'accentuent, ton sexe deviens encore plus dur, plus ferme. Tu me regardes de nouveau, tu vois ma queue brandie dont la base est entourée par des poils clairs, le gland humide en avant, il mesure dix-huit à vingt centimètres et sa courbure est vers le bas. Oh, qu'il est doux, cette peau a la douceur du satin tout comme la tienne et tu gémis de ne pouvoir la toucher, la sucer et que je ne puisses prendre la tienne dans la bouche, mais tu attends car le meilleur reste à suivre...Tu me regardes des pieds à la tête, estimes ma hauteur à 1 m 80 et mon poids à 68 kg. Comme tu l'avais deviné je suis un blond aux yeux gris bleus, ma peau est légèrement bronzée. Fanatique de vélo et amoureux de la nature, je profite des vacances d'été pour établir un trajet à travers les différents pays d'Europe. Ainsi, à ma manière, je vis des aventures dont je n'oublierais pas de si tôt dont celle qui va suivre. Mais, assez de palabres, commençons à revivre ces moments "sea sex and sun"... C'était un après-midi caniculaire, je descendais la route sinueuse qui part des Causes vers Sainte Enimie, première ville des Gorges du Tarn. Cette descente me grisait de part la vitesse que j'atteignais. De plus, le paysage qui se présentait devant moi était tellement splendide que mon attention en était complètement absorbée. C'est alors que j'entendis une voix m'interpeller, je tourna la tête par dessus mes épaules pour en déterminer la provenance et vis un homme debout à coté d'un vélo qui me regardait m'éloigner. J'eus le sentiment qu'il était en difficulté et me mis à freiner. J'allais à sa rencontre, et plus je m'approchais de lui mieux je distinguais ses détails. Il avait des cheveux châtains clairs légèrement bouclés, son visage était fin et il portait un petit bouc. On devinait qu'il devait être méthodique, minutieux tant la taille de son bouc était précise et nette. Il ne portait aucun T-Shirt laissant ainsi le soleil tanner sa peau. Les bretelles de son cuissard noir menèrent mon regard des ses belles épaules vers son torse sculpté et finalement mon attention fut attirée par la forme de son sexe et de sa bourse. Oooh, comment dire, je ne pouvais déplacer mon regard de son organe légèrement courbé sur le coté et plaqué sur le bas ventre. Une multitude d'images érotiques me traversa la tête, je sentis mon sexe se durcir et s'étendre sous le lycra du cuissard lorsque soudain le son de sa voix me sortit de ce doux rêve. Il m'expliqua qu'il avait eu une crevaison et qu'il n'avait plus de chambre à air de rechange. Je lui offris spontanément une des miennes et l'aida à réparer. J'eus l'occasion de lui toucher la main et la maintint un bref instant. Je la sentis chaude et douce et me mis à imaginer le reste de son corps sous mes caresses. Je leva mes yeux vers son visage et je le vis me sourire. Nous terminâmes la réparation. Avant de nous quitter, nous parlâmes un peu. J'appris qu'il était Hollandais, sa facilité à converser en langue française lui venait de sa mère qui était de nationalité belge comme moi. Il profitait des vacances scolaires pour visiter le sud de la France en vélo. Je lui proposa de continuer son voyage en ma compagnie mais il déclina l'invitation préférant tel un aventurier découvrir seul les paysages ocres de Provence. Bon gré, mal gré, nous nous séparâmes et prîmes des directions opposées. Pendant quelques instants, je le regarda s'éloigner et fixa mon attention sur ses belles petites fesses rondes. Puis, je monta sur mon vélo et repartis vers Sainte-Enimie. Pour mieux visiter cette petite ville, je liai mon vélo près d'un petit cabaret face au Tarn et je commençai la visite du site. Arrivé dans la partie haute de la ville, je m'installai sur un banc et contemplai le panorama. Quelques heures passèrent lorsque je redescendis reprendre mon vélo. Arrivé auprès de lui, je remarquai qu'un autre était posé dessus. Je le regarda d'un peu plus près et je compris que c'était le sien. C'est alors que je mis à scruter la foule pour le trouver, mais rien. Je décida de l'attendre et sans m'en rendre compte je m'assoupis laissant ainsi mes pensées se perdre dans le souvenir de ce jeune Hollandais. J'imaginais nos deux corps enlacés, nous baisant, nous caressant, nous masturbant l'un et l'autre, nos spermes giclant sur nos abdomens et nos cuisses dans un fond de gémissements, nous léchant mutuellement... Puis je sortis de mon rêve par le son d'une voix qui ne m'était pas inconnue. J'ouvris les yeux et le vit devant moi, les yeux pétillants, un grand sourire aux lèvres. Je compris qu'il avait décidé de me rejoindre. C'est alors qu'allait commencer une grande aventure. Nous partîmes donc ensemble sur la route le long du Tarn. L'heure se faisant, nous décidâmes de nous arrêter dans un des nombreux campings présent au bord de la rivière. La journée passa tranquillement, nous montâmes les tentes, mangeâmes et finalement discutâmes de choses et d'autres jusqu'au couché du soleil. Le sommeil commença à nous étreindre, et nous allâmes nous coucher dans nos tentes. La nuit fut douce et clémente, je m'endormis en pensant à Jan...Le lendemain matin, encore à moitié endormis, je mis ma main sur mes couilles et sentis un liquide gluant. Je me releva et vis du sperme s'étendant de mon gland à ma cuisse. Je compris vite que ma nuit avait du être parsemée de rêves érotiques. Je receuillis dans ma paume mon excrétion nocturne et la porta à mes lèvres, je me mis à savourer son goût légèrement salé, léchant ma paume avec insistance pour n'en perdre aucune partie. A cet instant, mon penis se mis à durcir. L'envie me pris de me branler, et je mis à entourer mon sexe de ma main et à la mouvoir de va et vient en imaginant mon beau Hollandais. Je gémis légèrement et crus entendre Jan m'appeler. J'étais complètement absorbé par ce moment que je ne me rendais nullement compte des mots que je formulais, des réponses que je renvoyais, des appels que je lançais. Et tout à coup, je le vis devant moi à quatre pattes, la moitié du corps dans la tente. A cet instant, une bouffée de chaleur m'envahit et mon visage s'empourpra mais Jan me sourit et me dit : "Alors beau jeune homme, ne serait-il pas mieux d'attendre celui que tu réclames tant ? Laisse moi te donner du vrai plaisir." Il s'approcha de moi, retira délicatement ma main et posa la sienne tout en me regardant avec son grand sourire. Il baissa les yeux et vit le reliquat de sperme étendu sur ma peau et tout en me masturbant il me lécha la cuisse remontant vers ma bourse. Il la prit dans sa bouche et il se mit à la masser délicatement de ses lèvres, mes testicules rentraient et sortaient de sa bouche chaude et sa langue les caressait longuement. Je gémissais tant le plaisir qu'il me procurait était grand : "Ooooh, mon dieu que c'est bon! Ouuui, Jan ne t'arrête pas, continuuue! Aaaah, encore, vas y....". Il lâcha mon sexe qui retomba sur mon abdomen, ses lèvres se fixèrent à la base de mon penis gorgé de sang, et commencèrent à le masser, je sentais sa langue se frotter sur mon organe, l'entourer. Il se mit à le remonter tout en frictionnant mes couilles. Arrivé à son sommet, il positionna sa bouche juste au-dessus de mon gland et il posa ses lèvres légèrement ouvertes et repoussa le prépuce tout en soufflant délicatement un air chaud. De ma voix, il sortit un son de bien être. D'abord, de la pointe de sa langue, il caressa le pourtour à la base du gland, puis remonta par l'arrête pour atteindre le sommet. Il se mit à agir de plus en plus vite, cela devint intenable tellement la sensibilité de mon sexe était grande. Finalement, il plongea d'un coup vers moi, accueillant ainsi l'entièreté de ma hampe et il commença à me tailler une pipe par de long mouvement ascendant et descendant de sa tête. Mon corps se mit à effectuer des mouvements amples allant de l'avant à l'arrière en accord avec les siens, mon sexe sortait et rentrait dans sa bouche baveuse et brûlante. J'allais au plus profond de sa gorge. Et puis, il se mit à accélérer ses mouvements, d'une façon frénétique, je n'en pouvais plus, je lui demandais d'arrêter mais il ne m'écoutait pas. Le plaisir devenait insoutenable, mes jambes s'écartant au maximum pour lui offrir le plus d'accès possible mais me débattant pour essayer de me dégager de son emprise. Il ma bloqua en maintenant fermement mes fesses. Je sentais que je n'allais plus tenir très longtemps, je serai mes fesses. "Jan, Jan, Oooooh Jaaan! Attention je vais éjaculer, arrrrête, noooon, pas maintenant" Mais il continuait de plus belle. Et puis, j'émis un long gémissement de plaisir et mon sperme giclât, longtemps et à chaque jet mon corps était pris de petits mouvements de soubresaut vers l'avant. Ma bourse se vida entièrement, Jan continuant inlassablement son acte de bienvaillance. J'étais épuisé. Ensuite, tout en maintenant le contenu chaud et salé dans sa bouche, il vint m'embrasser profondément. Mon sperme s'échappant légèrement de nos bouches et s'écoulant sur nos mentons. Il me lécha pour me nettoyer de ce nectar et je sombra dans le sommeil. La suite sera pour plus tard.

###

3 Gay Erotic Stories from Thierry

Du Calvaire au Plaisir

Les mains fermement accrochées au bord de la table, le torse humide sur cette surface froide, les jambes imberbes légèrement écartées, je sentais sa grosse queue se mouvoir dans mon anus lubrifié par sa première éjaculation. Ces va-et-vient, je les savourais avec délectation. Son assiduité à enfoncer son bâton de joie au plus profond de mes entrailles me faisait frémir tant sa vigueur

Quand la Soumission est Plaisir

Les mains fermement accrochées au bord de la table, le torse humide sur cette surface froide, les jambes imberbes légèrement écartées, je sentais sa grosse queue se mouvoir dans mon anus lubrifié par sa première éjaculation. Ces va-et-vient, je les savourais avec délectation. Son assiduité à enfoncer son bâton de joie au plus profond de mes entrailles me faisait frémir tant sa vigueur

Sous le Soleil de Provence

Cette histoire s'est déroulée durant mes vacances d'été de 1996 en France et plus précisément dans le Sud, dans la région des Gorges du Tarn. Avant de la commencer et pour te donner l'eau à la bouche, une description de ma physionomie s'impose. Je commence par déboutonner ma chemise blanche de haut en bas et dévoile ainsi mes larges épaules, mon torse légèrement halé et dont

###

Web-02: vampire_2.0.3.07
_stories_story