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Mon pêre, Musclebear

by Patsl


Mon pêre, musclebear

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ça vous a fait jouir? n'hésitez pas à me l'écrire! On pourra aller plus loin

patrick_saint_laurent@hotmail.com

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Salut!

C'que j'vas vous raconter est arrivé y'a environ 10 ans au moment oû j'avais 23 ans. Je sais que ça peut avoir l'air fou pis tiré par les cheveux, mais tout ce que j'vas dire est totalement véritable. Si l'idée de voir un fils baiser avec son pêre vous dégoúte, ben aller lire d'autres histoires à l'eau de rose. C'est pas icitte que vous allez l'avoir. Ça va être plutót hard...

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J'm'appelle Patrick. Du plus jeune que j'me souviens, l'été et les fins de semaine, je travaillais au garage de mon pêre à Montréal. Je l'aidais à faire la job, j'faisais le réceptionniste pendant qu'y se tapais le travail dans l'atelier. Comme d'la job, l'été, c'était plutót rare, je pouvais passer mon temps à d'autre chose. Comme y'a un gym dans le bureau à l'arriêre, j'pouvais en profiter pour m'entrainer. À 12 ans, j'étais déjà accro et à 18, j'étais déjà un bodybuilder confirmé. Faut dire que partout oû on allait en famille, y'avait toujours un banc pis des haltêres. Mon pêre pouvait pas se passer d'une journée d'entrainement : son programme était fixé dans l'béton depuis des années et il le suivait religieusement. Faque, dans la maison, dans le garage, au chalet, bref, partout oû on allait, On avait le stock pour s'entrainer. Mon pêre s'entrainait depuis ses 18 ans pis mon frêre et moi, on a été quand on a pogné nos 12 ans. Mon pêre nous à toujours motivé à nous dépasser pis y reste depuis ce temps-là un coach ben hot pis motivant.

Et ça a donné des résultats! À 15 ans, je pesais déjà 200 livres! Mon frêre lui, à ses 20 ans, y'approchait presque les 300. Ça donne une idée!

Mon pêre lui, y'a pas toujours été ben viril. Y s'plaít à raconter qu'à 17 ans, y'avait l'air d'un ver de terre : 6 pieds 5 pouces à 150 livres, c'est dans le mince pas mal! Y'avait pas un poil sur le corps pis, évidemment, y traínait derriêre lui des années de complexes oû tous ses camarades d'écoles et ses collêgues de travail riait de lui en l'appelant l'échalotte pis ª le grand flan mou.» D'aprês les photos que j'ai vu, j'comprends! c'tait pas fort!

À 18 ans, toujours écoeuré de se fire rire de lui, y'a fait c'que ben du monde vont faire : y s'est lancé dans le bodybuilding comme si y'avait pas de lendemain. Aprês des années d'efforts, des tonnes de fonte soulevées, y'a réussit à se forger un corps que tout le monde s'arrachait. Comme on dit, y pognait pas mal fort quand y sortait dans les bars. C'est probablement là aussi oû y'a rencontré ma mêre. Pis c'est probablement là aussi oû y pognait ses nombreuses maitresses. Mon pêre était assez immature encore pis, parlait pas beaucoup, s'exprimait jamais. Chus pas súr qu'y'était fait pour une vie de famille. Vous voyez le genre de gars, chus súr.

En tout cas. Tout ça pour dire que son mariage avec ma mêre a duré juste quatre ans. Juste assez pour y faire deux p'tits. Pis comme ça, du jour au lendemain, elle a quitté la maison sans donner de nouvelles pis on l'a jamais revu. On s'en rappelle évidemment pas. Même mon pêre semble avoir tout oublié d'elle. Aprês son départ, on est allé vivre chez les grands-parents paternels pendant que mon pêre baisait à droite et à gauche. Je sais pas si le fait d'avoir un corps musclé est une chose qui rend immature mais en tout cas, ça a duré plusieurs années.

À 30 ans, un coup d'vieux peut-être, j'sais pas, mais y'est arrivé chez mes grands-parents en leur disant que le temps du niaisage était terminé pis qu'y'était temps qu'y'assume son róle de pêre. On est donc retourné vivre avec lui. C'est d'ailleurs à c'moment-là qu'y s'est acheté son garage.

Une chose est súre, c'est qu'd'être pogné avec deux enfants, ça remet les choses en place. Mon pêre a réorienté sa vie en nous consacrant le plus de temps possible et se défonçant comme une bête sauvage à tous les jours à l'entraínement. Jamais y'avait mis autant d'énergie. On dirait que parce qu'y tentait de structurer sa vie, ben la qualité de son entraínement s'en ressentait. Pis là, y s'est effectué une transformation que lui-même aurait jamais cru possible. J'm'en souviens, je l'ai vu de mes propres yeux sur plusieurs années. Mon pêre est passé d'un gars correct, musclé oui, en forme c'est súr, mais sans rien d'exceptionnel à un homme. C'que nous autre dans la famille, on appelle un vrai.

C'était comme si sa virilité avait éclaté tout d'un coup. Y partait sur des bases solide ok, mais y reste que ce qu'y s'est passé sous nos yeux, mon frêre et moi, continue de nous surprendre encore aujourd'hui quand on compare les photos de mon pêre à 20, 30 et 40 ans...

Ses méthodes d'entraínement avaient changé, son effort quotidien s'est décuplé, son alimentation pis son hygiêne de vie aussi. Plus aucun de ses amis le reconnaissait. Les gens qui le connaissait depuis des années auaient pu dire qu'il était en train de devenir quelqu'un d'autre. Évidemment, ça a eu des impacts sur notre propre éducation. On mangait comme lui, on se comportait comme lui et on s'entraínerait plus tard comme lui.

Entre l'âge de 30 à 40 ans, mon pêre est passé de 250 livres à plus de 425. des bras de 20 pouces à des brase de 31 pouces... C'est plus qu'énorme, c'est hypnotisant. Lui qu'y'était imberbe, y s'est vu devenir un vrai musclebear avec une forêt ben dense de poils jusque dans le dos. Lui qu'y'avait pas un poil dans l'visage, y'est rendu avec une barbe ben forte pis se rase trois fois par jour. Y s'est juste laissé pousser une bonne moustache ben épaisse, ben noire, qui le rend encore plus mâle. Évidemment pour supporter une masse de muscle aussi importante, sa charpente aussi s'est développée. y'est rendu aujourd'hui avec des mains plus large que mes cuisses. Des doigts aussi large que ma queue avec des poils noirs partout. Son torse est presque de trois pieds d'épais! Évidemment, une virilisation d'même, ça s'accompagne de ben d'autre chose : sa voix est devenue vraiment grave, vraiment virile et sa façon de bouger, de marcher aussi.

Être ado avec un pêre comme ça, c'est pas facile! Au fur et à mesure qu'y devenait plus viril, y devenait de plus en plus autoritaire. Juste mais contrólant. Mais comme y'avait une aura d'hypermasculinité qui émanait de lui, on le suivait sans trop se poser de questions. Je le remercierai jamais assez d'avoir su nous élever avec autant de détermination. Aujourd'hui, chus rendu un beef, comme lui.

Mais au moment oû l'histoire que j'vous raconte se passe, j'ais 23 ans. Je mesure 6 pieds, je pêse 265 livres, chus aussi poilu que mon pêre, pis j'ai une bonne queue de 10 pouces ben large. Comme je me rase trois fois par jour moé aussi, j'ai décidé de me laisser pousser la moustache, juste pour essayer. Ça m'prends juste une semaine pour en avoir une comme mon pêre. Évidemment, y'est pas sans le remarquer...

* * * * *

Y'était en train de rentrer des boítes dans la maison. Son t-shirt serré se déchirait presque autour de ses biceps gonflés. ª Eille mon boy, t'es en train de devenir une homme! qu'y'm'dit en riant. C'est quoi c'te moustache-là? » ª Ben quoi, j'lui répond, j'ai pas de permission à d'mander! pis ça m'va ben, j'trouve! » ª Ah, pour ça, ça te donne un air plus vieux! qu'y m'dit. Mais t'as l'temps t'sé. T'as tout le temps qu'tu veux. Moé j'l'ai laissé poussé au début parce que ça m'donnait l'air d'un homme pis qu'j'trouvais ça important. Toé, t'es pas obligé tu suite, t'as juste 23 ans! C'est pus à mode ben ben!»

ª T'sé p'pa! moé pis la mode...»

Il pris cinq minute pour s'ouvrir une biêre pis s'allumer une cigarette. J'l'ai toujours trouvé ben hot quand y fumait. Ça le rend encore plus viril. Son visage si carré, sa moustache si épaisse... Fuck, mon pêre est vraiment hot. ª On dirait qu'tu veux finir par être mon jumeau toé! qu'y m'dit en m'offrant une cigarette.» Dans la famille, on est tous fumeur. Je l'sais, c'est pas ben politically correct, mais ça nous donne un outil de plus pour la virilité. Y'a rien de plus hot que de voir une cigarette allumée entre les gros doigts poilus de mon pêre ou les miens. Ça m'fait bander à tout coup.

ª T'sé, qu'il me dit, chus vraiment fier de toé. Quand j'te r'garde, j'me dis que j'ai pas manqué. T'es rendu un homme, t'as l'air d'un vrai beef. J'aurais ben aimé être de même à ton âge. Toé pis ton frêre, vous faites des jaloux pis j'vous dis quand on sort tous les trois ensemble, y'a pas mal de tête qui s'retourne! J'vous ai toujours élevé à vous foutre de c'que les autres pensaient, de vous défoncer au max pis j'pensais jamais que ça marcherait à c'point-là. Faque, tu veux mon avis mon gars, ta moustache, garde-là. Fais-toé même pousser la barbe si tu veux. T'as pas besoin de suivre une mode, t'es déjà assez différent des autres pour pas avoir besoin de ça. On est des hommes pis que tout se qu'on peut faire pour l'être encore plus, faut s'en servir. Tu s'ras jamais assez viril, mon gars. Y'a pas de fin à ça. C'est pour ça que j'prends le temps de sculpter mon corps pis chus fier en tabarnak quand j'le r'garde dans l'miroir à chaque soir dans ma chambre avant d'me coucher. Faque gêne toé jamais pour me d'mander c'que j'pense du tiens, ça s'ra jamais négatif, t'es rendu un homme, un vrai gars. Pis t'es assez développé juger par toi-même c'qui t'fais ben ou pas, hein. T'es mon gars pis chus fier en crisse. Quand j'te r'garde, j'me dis que t'es rendu là oû ben d'autre gars de ton âge pourront jamais se rendre. T'es rendu hot mon gars. Ben hot. »

Je savais que ce qu'il avait à me dire était pas évident pour lui. C'était pas un homme qui démontrait beaucoup d'affection. Mais juste de me faire approuver par lui, de me faire dire qu'il me trouvait hot, j'sais pas pourquoi, ça ma fait bander comme un malade. Mettons que ça paraissait à travers mes jeans. Pis y l'a remarqué assez vite. Ah, y'a rien dit, non. Mais j'le voyais j'ter un regard assez souvent pour savoir que ça le troublait lui aussi. Jamais on avait parlé de ça. De toute maniêre, j'aurais pas pu dire si c'était sa propre virilité qui l'excitait ou mon érection. Toujours est-il que je l'ai vu s'asseoir de maniêre à c'que son érection naissante paraisse pas. Y semblait de plus en plus nerveux. Y s'allumait une nouvelle cigarette et sans le savoir, ce qu'il s'apprêtait à me dire allait changer ma vie à jamais.

- T'sé mon gars, y'a pas de limites hein. Je sais qu'on a jamais parlé de ça, mais j'me reconnais en toé. T'es comme moé quand j'tais jeune. Sauf que t'es plus viril que je l'étais. T'sé, j'sais pas comment te dire ça mais fuck, mais j'te trouve vraiment hot. J'veux pas que t'interprête ça mal. C'est juste que, t'sé, on est toute pareil les hommes : c'est dans la virilité qu'on se sent le mieux. Pis c'est toujours avec d'autre hommes que j'ai pu trouver satisfaction. Pour moé, y'a rien de plus vrai, de plus mâle qu'un autre mâle. J'te r'garde, ton torse poilu, tes pectoraux ben ronds, tes épaules ben larges pis tes cuisses ben formées pis j'me dis que si j'te connaissais pas pis qu'j'te voyais dans la rue, j'me r'virerais pour te r'garder.

Y'avait de plus en plus de misêre à parler. Y suait pis y regardait partout. Je savais três bien c'qu'y voulait m'dire. Mais j'disais rien. J'continuais de l'écouter en bandant comme jamais. Tortillée dans mes jeans, ma queue me faisait plus mal que jamais. Pour la premiêre fois de ma vie, j'voyais mon pêre comme un objet de sexe! J'l'aurais mangé drette là, j'y'aurais enlevé ses jeans, j'aurais grugé sa queue comme un malade jusqu'à c'qu'y vienne comme un porc. J'le voulais là. now.

- Pourquoi juste si tu me connaissais pas? Tu m'connais là, pis tu m'regarde! » que lui dit.

- Pat, fais-moé pas dire des affaires que j'pense pas! J'te dis juste que la virilité, c'est quequ'chose de rare, c't'une image pis une attitude pis chus toujours prêt à connaítre du monde qui ont le même intérêt. Mais crisse que tu l'as ben! Je l'sais, c'est pas l'genre de chose qu'un pêre dit à son gars, mais ça fait longtemps que j'te vois évoluer. Moé, j'trouve que l'admiration de la virilité, l'attitude mâle, c'est proche de l'excitation. Ça m'excite.

- T'sé p'pa, quand tu dis que tu t'regardes dans l'mirroir, ça t'fais-tu bander? Je l'sais qu'on a jamais parlé de cul dans maison, mais chus ben curieux. Moé aussi j'me r'garde le soir. Pis ça m'excite. Pis c'est bon en hostie.

- C'est vrai qu'on en a jamais vraiment parlé. T'as ben raison, c'est bon. C'est bon en crisse. T'sé, avant que j'commence à m'défoncer avec la fonte pour de vrai, j'avais pas un maudit poil sur le corps. Pis quand c'est arrivé, tout d'un coup, en un an, j'me sus vu devenir poilu pis j'ai aimé ça en chien. Quand j'prends ma queue dans mes mains poilues pis que j'me crosse, j'm'allume un bon cigare, je r'garde c'que j'suis pis j'trouve que l'image est ben excitante. Ça m'fait presque toujours v'nir comme un malade. Je l'sais ça l'air ben égocentrique, mais crisse que c'est qu'tu veux que j'te dise, l'idéal de masculinité, je l'ai. Faque si j'étais pas aussi poilu, aussi musclé, j'aurais peut-être d'la misêre avec le cul. Là, j'peux t'dire que chus ben en crisse.

- C'est la même chose pour moé, p'pa. Chus assez content d'avoir du poil sur les doigts comme toé. J'me r'garde pis j'me dis, c'est ça, moé avec chus un ostie d'mâle. Mais tu vas toujours être un but. t'es mon pêre oui, mais t'es aussi un objet de masculinité. Un crisse de bel objet! Pis j'espêre que j'vas être pareil comme toé, un jour.

j'lui dit ça en souriant, juste pour le tester. Il se contentait de sourire. Son érection était maintenant à ce que j'imaginais son comble. Et il ne se cachait plus, comme par défi pour me montrer que la conversation qu'on avait était franche pis ben honnête.

- Depuis que j'vous ai repris avec moé, chus jamais allé voir une femme. J'ai toute crissé ça là. Moé, c'que j'veux, dans la vie comme dans mon lit, c'est du vrai. Du mâle. De l'attitude. Pas des affaire de moumounes. J'me sus forcé pour être c'que chus. J'me sus forcé en crisse. J'en ai bavé. Le corps que j'me sus forgé, c'est des années pis des années de détermination, de dépassement, de sueur. Pis c'est à toé aussi mon homme. Toute ça, c'est ton héritage.

- T'as pas chaud p'pas? moé chus aprês crever. On parle de nos corps, de nos queue pis chus bandé comme un malade. Toé aussi à c'que j'vois.

- Patrick, je l'sais que c'est dur, mais crisse, faut pas niaiser. c'est pas parce que chus bandé pis qu'ça m'excite de parler de d'ça qu'y faut aller plus loin.

- J'comprends p'pa. J'veux juste te dire que t'es un modêle pour moé pis que même si t'es mon pêre, c'qu'on vient de s'dire là, ça m'excite en tabarnak. J'veux être comme toé. Tu m'excites.

Mon pêre s'est levé pis m'a donné un bon gros hug. J'avais les mains dans son dos pis j'me r'tenais pour pas lui déchirer son t-shirt. J'sentais sa grosse graine lourde pis bandé collée contre ma cuisse pis j'sentais ma queue commencer à couler d'excitation.

- Mon gars, ça s'rait facile. Juste là. icitte comme deux bêtes. Mais t'es mon gars pis ça c'est sacré » qu'y ma chuchoté tout en sentant sa moustache me gratter le derriêre de l'oreille. J'ai presque senti que j'allais v'nir sans m'toucher. ª Bon, c'est pas tout ça. Faut que j'passe à l'épicerie pour le souper. » qu'y m'a dit en mettant fin à la conversation pis en changeant de ton pour me montrer que les confidences, ben c'était définitivement terminé.

* * * * *

Fuck! j'peux pas dire combien de fois j'me sus crossé en pensant à notre conversation. J'ai jamais jouis d'même de ma vie. J'ai du shooter un bon litre de dêche tellement j'ai été excité. J'en pouvais plus. Y'allait falloir qu'y s'passe quequ'chose. c'est pas parce que c'est mon pêre que ma queue bande pas! À connait pas ça, elle la famille!

* * * * *

Deux semaines plus tard, je rentrais de voyage aprês une semaine à New-York avec des amis. Aprês avoir crié un ª Salut chus re'vus! » j'me sus rendu compte que peronne était dans la maison. Ou ben que personne voulait répondre...

J'ai entendu mon pêre hurler dans sa chambre au 2e. J'étais pas trop sur mais on aurait dit que quelqu'un braillait aussi dans sa chambre. J'ai monté les escaliers sans faire de bruit pis là, la porte était juste assez ouverte pour que je vois une scêne qui allait sexuellement finir de m'achever définitivement. Mon pêre était debout sur le lit, bandé comme un diable et fourrait la gueule de mon frêre tout en le soumettant à son hypermasculinité. Ma queue a fait un bon pis déjà, en une fraction de seconde je jutais comme un fou. Bandé comme jamais, mon pêre, nu, ses grosses cuisses poilues ouverte laissait toute la place à sa crisse de grosse graine. Eille c'est pas mêlant, elle faisait au moins 15 pouces pis large comme une canette de biêre! Fuck, c'était trop hot. ª Tiens mon homme, mange la graine de ton pêre! c'est ça, gruge-moé ça ce casque là! » qu'y y disait tout en y rentrant ça jusqu'au fond d'la gorge. J'voyais même le cou de mon frêre s'élargir pour pouvoir y prendre la queue ben comme faut. Mon frêre, une barbe ben fournie pis ben épaisse, grognait comme un porc. Moé, j'pensais mourir tellement mon coeur battait vite.

Aprês, mon pêre a couché Marc sur le dos pis y s'est mis à y manger l'cul comme si y'avait pas mangé depuis un mois. Lui aussi, y grognait. Mais c'était comme un ogre. J'voyais les épaules ben rondes de mon pêre se bander à chaque fois qu'il faisait un mouvement pour pogner les pectoraux de mon frêre à pleine mains. Pis là, sans se librifier, mon pêre s'est faite juter pour entrer dans l'cul de Marc. Lentement, les 15 pouces sont rentrés pis mon pêre, au visage ben autoritaire, faisait glisser la queue dans l'trou d'cul d'mon frêre ben lentement. Le mouvement de son bassin faisait ressortir ses abdos pis tous les muscles de son dos. Y s'est à y parler ben cochon.

- T'aime ça t'faire fourrer par ton pêre hein mon crisse?, profites-en mon gars, t'es chanceux en câlisse, t'as le mâle le plus musclé d'la planête dans ton lit. JE SUIS le plus gros bodybuilder du monde pis j'fourre mon gars à plein cul. T'as la plus belle queue juste pour ton cul, pis c'est ton crisse de pêre qui t'la donne. Avoye, pogne moé les pecs, squeeze moé ça mon homme, montre-moé qu't'es capable d'en prendre, montre-moé qu't'es un câlisse de trou pour que j'te remplisse avec ma crême.

Mon frêre, ben y'avait d'l'air possédé. y r'gardait mon pêre le fourrer pis y semblait complêtement parti. Y répétait juste le ª ah fuck p'pa » pis y s'lamentais en grognant :

- avoye, p'pa, défonce-moé l'cul, donne moé d'la queue. fuck, j'veux ta tabarnak de crême dans' face. j'veux qu'ty m'shoote toutte c'que t'as.

Mon frêre est comme moé pis mon pêre, une vraie forêt de poil. Faque y'avait ben d'la misêre à s'pogner les tits. Mon pêre s'passait la main dans l'poil de ses pecs pis y s'est mis à crier :

- c'est ça qu'tu veux mon câlisse de porc? Tu veux ma grosse dêche? TU VEUX L'AVOIR MON CRISSE DE JUS D'MÂLE? TU VEUX QUE J'TE BEURRE BEN COMME FAUT, HEIN MON OSTIE D'CHIEN SALE?

Ses mouvement étaient de plus en plus vites. J'voyais sa queue sortir d'un pied pis rentrer d'dans encore jusqu'au fond. Mon frêre se faisait défoncer comme un porc par mon pêre pis la tension augmentait comme pas possible. C'était évident que marc allais shooter sans se toucher. Faque mon pêre s'est enlevé complêtement pis y s'est mis à y manger la graine tout en grognant. Mon frêre pis lui, deux crisses de gros mâles poilus pis musclés comme des diables, fourraient comme des malades; j'étais sur le point de v'nir. Mon frêre cria de sa voix grave un :

-FUCK MAN, J'VAS T'SHOOTER ÇA DANS FACE, FUUUUCK!

Pis la grosse moustache épaisse de mon pêre continuais de glisser sur sa graine. Mon frêre se tordait comme un fou, tenais les bras de mon pêre avec ses grosses mains poilues et tous les muscles se son corps se sont tendu. On y voyait ben la définition de tous ses abdos pis ses cuisses pendant que mon pêre, carrément imposant, se tenait sur ses deux bras pour continuer de sucer la graine pleine de jus de mon frêre. Ses trapêzes pis ses épaules striées était tendues aussi au max pis quand y s'est enlevé de sur la queue de mon frêre, des bon gros jets de crême gluante se sont enfonçés dans la moustache du paternel. sa face en était pleine, sa bouche débordait pis laissait couler du sperme jusque dans son cou pis dans le poil de ses gros pecs gonflés. Je l'ai vu recommencer à fourrer mon frêre comme un monstre pis j'me suis dis que j'pouvais pas rester là comme ça, y'allaient finir par me voir. Chus descendu au salon pis en même temps que j'entendais les cris de gros mâle perdu sortir de la chambre, pendant que mon pêre tapissait le torse de mon frêre se litres de crême chaude, j'ai shooté ma dêche comme un porc, silencieusement, en espérant que moé avec, j'allais pouvoir vivre la même affaire dans pas long. Y continuaient de crier comme des bêtes quand chus r'tourné à mon char pis j'ai attendu un bon quinze menute avant de rentrer à nouveau dans la maison en claquant la porte assez fort pour qu'y m'entendent pis en criant ª c'est moé! chus r'venus »

Mon pêre est apparu en robe de chambre, pas attachée, pis est chercher un verre d'eau. J'avais les yeux fixée sur sa queue lourde qui devait faire au moins dans les 10 pouces débandée pis mon regard à r'monté jusqu'à ses pecs encore mouillés pis l'échange de regard qu'on s'est donné s'est terminé par un clin d'oeil de sa part.

- t'as fait un bon voyage, pat? qu'y m'a dit en s'allumant une cigarette tout en regardant son briquet comme si s'avait été une opération ben importante.

Mon frêre pis lui m'avaient caché ben des affaires! ª à c't'heure que j'sais s'qui s'passe quand chus pas là, m'a pouvoir m'essayer moé avec » que j'me suis dit. J'me suis allumé une cigarette pis j'ai dit

- ouin, c't'ait pas pire

* * * * *

Cetait un ostie d'cochon! Y m'faisait chier quand y voulait! Eille, chus pas faite en bois moé! On aurait dit qu'y faisait par exprês. Y réparait le char d'un client pis y'était tout nu en dessous de son habit. Fuck. Ses bras étaient tellement bandés que j'voyais presque les veines à travers! Comment voulez-vous que j'me concentre pendant c'temps-là! J'me sus l'vé pour aller lui dire. Mais j'ai même pas eu à le faire, y s'est présenté dans la réception avec le haut de son costume sale attaché à sa taille. Le body à moitié flambant nu pis y s'est assis sur la chaise en avant d'moé. Y s'est allumé une cigarette. Y me r'gardait en souriant...

- Pourquoi tu ris, p'pa?

- Y fait chaud hein?, pourquoi tu reste habillé d'même aussi, mon homme. Tu devrais au moins enlever ça ses shorts-là!

- T'aimerais ça, hein?, t'aimerais ça voir mon cul, hein? - Ostie, on est entre homme, on est des vrai macho Pat, au moins qu'on s'montre crisse!

- Come on, p'pa! si y'a un client qui rentre pis qu'y t'vois à moitié tout nu, tu penses-tu qu'y va t'prendre au sérieux? Pis à part de ça, y fait pas chaud à c'point-là!

- Calvaire, t'es donc ben stuck-up à matin! J'te dis qu't'es pas d'même quand on est à. maison! Tu me r'garde sur un temps pis chus pas fou. Tu voé ben que j'aime ça moé itou montrer mon body à mon gars! Faque arrête de niaiser pis profites-en câlisse!

- Pogne pas les nerfs, p'pa! Si j'te r'garde, c'est ben parce que ça l'air que c'est juste ça que j'peux faire!

- Ah ben crisse, est bonne celle-là! j'te l'ai déjà dis, t'es mon gars! t'es un tabarnak de malade si tu penses que ça va s'passer! Y'a des affaires qu'un homme fait pas avec son gars, tu comprends-tu ça?

Y m'disait ça comme si y'était en crisse mais au fond, j'le croyais pas. Pas aprês ce que j'avais vu déjà deux semaines avant! Faque, pour lui casser son p'tit trip d'autorité, j'lui ai dit : - peux-tu m'expliquer comment ça s'fait que c'qui s'applique à moé s'applique pas à Marc?

- De quoi c'que tu parles?

- Prends moé pas pour un épais, p'pa! tu sais três bien de quoi j'parle! Faque j'ai ben d'la misêre à t'suivre quand tu m'dis qu'tu veux rien savoir. C'est quoi, chus pas assez intéressant pour toé?

- J'pense qu'on va avoir à s'parler à soir toé pis moé. J'accept'rai pas d'me faire dire quoi faire par mon fils, c'est pas vrai!

Y commençait à pomper raide. J'voyais les veines de ses avant-bras commencer à palpiter. Y'était rendu rouge comme un homard pis y respirait comme un homme qui faisait tout pour se contróler. Y'était-tu en crisse pour vrai ou ben y jouait encore?

- R'garde moé ben comme t'es là mon câlisse, tu m'voé-tu là? parce que dis-toé ben que c'est la premiêre pis derniêre fois que j'te l'dis : T'ES MON GARS TABARNAK, PIS J'TE FOURRERAI PAS MA QUEUE DANS FACE CÂLISSE. Y'A DÉJÀ ASSEZ D'T'ON FRÈRE QUI JOUE À'GRANDE FOLLE PIS À TAPETTE QUE J'VEUX PAS QU'TU FASSE PAREIL. T'ES UN HOMME CRISSE DE CIBOIRE PIS TU VAS L'RESTER. MOÉ J'AI ASSEZ D'EXPÉRIENCE POUR SAVOIR C'QUE J'VEUX. SI TON FRÈRE VEUT S'FAIRE FOURRER PAR LA QUEUE D'SON PÈRE, C'EST PU MON PROBLÈME, J'VAS L'ENCULER COMME UN CRISSE DE PORC PIS C'EST TOUTTE C'QU'Y MÉRITE. J'VEUX PAS ÇA POUR TOÉ, TU COMPRENDS-TU TABARNAK?

Il était rendu au point d'exploser. J'l'avais jamais vu d'même. J'pense que si y jouait, y s'croyait en ostie. Ça ma pas empêcher d'y répondre :

- CÂLISSE, J'AI 23 ANS TABARNAK, TU PEUX-TU COMPRENDRE QUE TU PEUX PU RIEN POUR MOÉ? C'EST PAS EN FAISANT DES CHOSES QUE TU PENSE QU'Y SONT PAS FAISABLE QUE TU VAS M'EMPÊCHER DES VOULOIRS PAREIL, CRISSE!

Ss grosses mains couvraient presque sont visage à chaque fois qu'y prenait sa cigarette dans sa bouche. Y faisait sortir la fumée par ses narine avec une violence, comme si y soupirait en même temps. fuck, j'bandais en dessous du bureau.

- Bon, j'pense que c'est pas icitte qu'on va régler ça. Les clients peuvent rentrer. chus pas súr que ça les exciteraient de voir un pêre dire à son gars pourquoi y veut pas baiser avec lui! qu'y m'a dit en sortant vers l'atelier. ª Réserve ta soirée mon gars, à soir on va avoir un crisse de bon talk! » qui m'a crié avec un voix tellement grave que j'ai l'impression que toutte s'est mis à vibrer dans l'garage.

* * * * *

Le souper se passait pas vraiment bien. On osait pas vraiment se parler ni un ni l'autre. Quand y m'regardait, j'détournais mon regard. Y faisait pareil. On soupirait tous les deux. Y'a cassé la glace :

- Bon, on va pas s'faire chier d'même pendant des années là. On est rendu au digestif pis j'aimerai ça fumer mon cigare pis boire mon scotch en paix. Dis-moé le une fois pour toute c'qu'y t'fais chier pis on en parlera pus!

- Tu penses-tu que ça va se régler comme ça? Chus pas d'accord, t'es bucké pis j'comprends pas pourquoi. Crisse, j'fais pas ton affaire? J'me d'mande ben pourquoi on a eu c'te conversation l'autre jour! Crisse, t'aime les hommes, les vrais, les mâles, les pervers, pis j'te donne toutte ça! t'es-tu pogné à c'point-là coudonc?

- Fuck Pat, chus pas faite en bois moé non plus. J'veux pas qu'on s'engueule pour ça! Tu peux-tu comprendre que ça fait des années que j'me r'tiens pour pas t'violer? C'est juste que j'veux pas faire comme avec ton frêre. T'as-tu vu c'qu'y d'l'air aujourd'hui?

- Moé p'pa, j'vois juste qu'y'est plus viril que toute les gars que j'connais. j'vois pas pourquoi tu freacke avec ça!

- Pat crisse, tu voé rien ou quoi? T'as pas r'marqué si tu nous as vu baiser qu'y'est à genoux devant moé? j'veux pas une lavette au lit moé tabarnak. J'veux du vrai. Chus un macho moé Pat, tu devrais comprendre que j'veux l'meilleur! pas une moumoune musclée pis poilue qui veut juste se mettre à genoux pour se faire enculer pis s'faire dominer!

- Pis tu pense que j'peux pas être à la hauteur? Tabarnak tu veux quoi?

- Tu m'prends pour quoi?

- Fuck p'pa, t'es l'homme le plus hot d'la planête. Attends-toé pas que ça finisse de même! Tu vas m'exciter longtemps encore! Crisse, t'en connais-tu d'autres des hommes comme toé? Non hein? parce que si ça existait, j'te jure que j'srais pas là à perdre mon temps! Ça fait au moins douze ans que j'rêve à toutes les nuits que tu viens m'fourrer! C'pas dure à comprendre crisse, j'te prends pour c'que t'es, t'es un ostie d'pig, tu m'excites, j'veux baiser avec toé, chus tanné de bander dans l'vide aprês un macho qui s'fait chier avec ses principes. J't'ais pas encore sur derniêrement que tu fourrais des gars mais depuis que j't'ai vu avec Marc, je l'sais. Faque c'est encore pire! J'VEUX FOURRER AVEC TOÉ TABARNAK! POURQUOI TU DONNES À MARK C'QUE TU VEUX PAS M'DONNER CIBOIRE!

- On est pas pour se fâcher comme c't'aprês-midi crisse! Si on est pour baiser un jour, pis j'ai pas dit qu'on allait l'faire, j'veux pas qu'ça s'passe comme avec ton frêre crisse!

- Qu'est-ce qui s'est passé avec Mark? ça fait longtemps?

- bon, j'vas nous chercher du scotch pis attends-toé à l'histoire du siêcle. Tu l'verras pus pareil ton frêre!

J'pense qu'à force de lui parler, y s'était calmé pis raisonné. En tout cas, y'est rev'nu avec deux scotch pis la boite de cigares complêtement torse nu pis un sourire au visage. Faut dire que pour lui, chaque occasion de fumer un cigare était une façon de plus de montrer qu'y'était un homme. l'obsession. Toujours. Mais faut dire que j'étais aussi pire que lui, faque...

- Tu voé Pat, c'est ça qu'j'aime de toé. toé t'es pas juste un mâle de l'extérieur. tu l'es complêtement. Comme moé. On est deux macho. Ton frêre, y'a beau être ben musclé, ben poilu avec une bonne barbe pis toutte, y reste toujours que'qu'chose qui fait que ça marche pas complêtement. Dans une autre famille, chus súr que ça aurait donné une folle. Mais mettons qu'avec moé, y'avait pas d'chance. Toé, tu réponds mieux. Anyway, c'est pas ça que j'veux dire. Marc, y veux jamais toutte faire pour montrer qu'y'est une homme. Y veux pas fumer un bon cigare parce qu'y trouve que ça y va pas. Y veux pas de moustache parce qu'y trouve que c'est out. Quessé qu'tu veux, y'est trop femme pour moé. C't'une bonne piêce à baiser, ça oui. Mais crisse, j'aime ça moé quand c'est vulgaire, sale pis viril! Lui y'est toujours à terre à attendre que j'y shoote ma crême dans face!

- Fuck p'pa, avec c'que t'as entre les jambes, j'frais pareil!

- oui, au début! mais un moment donné, tu prendrais ta place ciboire! lui, y'est toujours comme un p'tit chien qui demande sa ration. Y veut toujours se faire dominer pis s'faire défoncer! On peut s'faire enculer pis rester plus viril que celui qui nous défonce! J'ai juste pas l'impression d'avoir un égal à cóté d'moé quand j'baise avec lui! Faque y'est bon pour se vider mais demandes-y pas plus, y pourras pas te l'donner.

Pendant ce temps-là, on allumait nos cigare et on se regardait fumer avec nos grosses mains poilues. Je r'commencais à bander dur...

- C'est comme ta maniêre de fumer. Crisse, toutte est dans l'attitude! Tu voé, toé, tu prends ton cigare comme si c'était rien. Tu l'fumes pis t'aime pas pis tu l'vis, comme un mâle, c'est toutte. Lui y'est pas capable. on dirait qu'est toujours trop impressionné par c'qu'y voé! Ma queue, trop d'biêre, un cigare, la graisse de char, crisse toutte le dérange. Y'est juste une tapette ben montée pis trop propre! J'ai déjà essayé d'y pisser dessus. J'me disais qu'y'allait aimer ça s'faire dominer d'même. Ben non câlisse! y'est allé renvoyer dans chambre de bain ciboire!

- Pourquoi tu baise avec d'abord! t'es pas obligé!

- Quand est-ce que tu veux que j'me pogne un gars? Surement pas avec mes clients! Les vrais gars, ça répare leur char eux-autre même!

- Quand même t'as tu besoin de t'vider à c'point-là?

- Ça paraít que tu m'as jamais vu shooter toé! Faut que j'me vide à tou'es soirs sinon les draps sont touttes collants. J'produits au moins deux pintes de crême par jours crisse. C'est pas d'ma faute!

- Deux pintes? Ciboire, ça doit t'coúter cher de kleenex!

- J'le bois, qu'est-c'qu'tu pense! Mais bon. Si j'avais su pis j'avais eu l'choix, dis-toé ben qu'c'est toi que j'aurais pris dans mon lit. Toé chus súr que t'as pas peur du cul hard, d'une bonne douche de dêche pis d'un bon golden trip aprês.

- Fuck que t'es hard p'pa. Si tu savais, câlisse, j'te donnerais toutte c'que j'ai. Imagine toé pis moé, nos deux dêches ensemble! câlisse que ça serait hot!

- Tu vois, on en parle pis j'bande.

Y me montrait sa graine à deux mains à travers son pantalon. Le cigare dans la bouche, les bras bandés pis poilus. Fuck j't'ais pus capable. J'le voulais tabarnak.

- P'pa, tu vois ben qu'tu fais par exiprês. T'es vraiment sadique crisse. Pourquoi tu m'montre ça? s'tie, je l'sais que si j'me garroche sur ta queue comme un malade, tu vas m'dire que t'en a assez d'un comme ça. T'attends quoi? que j'sois pus intéressé pour que tu m'viole?

- en riant : t'es vraiment tordu hein? ou tu pense que j'le suis en crisse!

- Oui j'le pense. Pis je l'sais que c'est c'qu'y'est arrivé avec mark.

- T'as raison. c'est lui qui s'est garroché sur moé aprês qu'on se soit entraíné ensemble un soir. Y m'a tellement supplié que j'lui ai laissé manger ma graine. Mais c'est loin d'être mon premier gars t'sé. J'ai déjà connu des gars plus virils que lui. c'est ça qui m'déçoit de mark. J'peux pas dire que j'l'ai manqué, non, mais c'est pas c'que j'veux dans mon lit. J'pense que tu peux comprendre ça.

- ben oui, j'comprends. Je l'sais c'est quoi pogner un gars viril. Mais c'est dur en crisse quand ton idéal c'est ton pêre pis qu'y veut rien savoir. T'sé le fantasme ultime, le total, le top du top? Toé, tu l'as peut-être jamais rencontré sinon dans ton mirroir mais moé, j'le cotoie à tou'es jours pis j'trouve ça dur. J'comprends marc, t'sé. chus pareil à lui. Y vas-tu toujours être avant moé parce qu'y'est plus vieux pis plus musclé? J'pourrai jamais l'rattraper crisse, y progresse au même rythme que moé. Fuck, un soir tu vas te réveiller enchaíné avec ma queue dans ton cul!

Mon pêre riait comme un fou. Y savait que j'pourrais jamais aller jusque-là. Mais en même temps, j'le sentais s'ouvrir de plus en plus à chaque jours depuis quelques semaines. Faque j'voulais pas trop l'effaroucher. Mais un moment donné faut que les choses se passent! En tout cas, j'ai eu le mérite d'y dire c'que j'pensais. Y'a apprécié :

- j'peux te l'dire, Pat. Marc fait pas trop mon affaire mais c'est une bonne botte pareil. y'a pas grand monde qui peut avaler pis prendre une grosse graine de 15 pouces! J'sais pas si tu l'as vue mais crisse, bandée pleine, c'est un ostie d'montre que j'ai entre les deux jambes! Sauf que moé, c'que j'veux, c'est du mâle total. La virilité à l'état pur. L'attitude mâle. c'est súr que tu fais l'affaire à 100% mais j'veux pas perdre ma relations avec toé comme chus en train de l'faire avec lui! c'est rendu qu'on s'voit juste pour que j'le fourre! Crisse, ça reste mon gars pareil!

- P'pas, pourquoi tu pense que ça serait pareil avec moé?

- J'le pense pas. J'ai juste peur.

- Ok j'comprends. Quand tu s'ras plus súr de toé, viens m'voir. Pis si ça adonne que tu t'en rends compte au beau milieu de la nuit, gênes-toé pas pour me réveiller!

- en riant : Ok, ok, j'oublierai pas!

- chus sérieux moé!

- Rassure-toé mon homme, quand on parle de cul ensemble, chus plus sérieux que l'pape.

- Y'a une chose qu'on a pas parlé encore par contre.

- quoi donc?

- si tu dis que tu veux m'violer, qu'est-ce que tu voudrais m'faire?

- Fuck, j'ai pas pensé à ça moé! J'pense juste que j'me sentirais ben avec toé. J'ai besoin d'un macho ben masculin qu'y'a pas peur de montrer qu'est un homme au lit. Pis j'pense, j'me trompe peut-être, je l'sais pas, que tu s'rais le bon gars. c'est súr que si j'te pognais, ça serait violent. c'est toutte. Pis toé, tu voudrais faire quoi?

- Moé j'veux t'voir la moustache pis la face dégoúliner de crême ben épaisse. J'veux t'voir grogner aprês mon gland quand y'est rendu dur comme d'la roche. J'veux manger ton crisse de cul poilu pis bombé. J'veux qu'tu m'fourre d'aplomb pis t'voir shooter ta dêche su moé. J'veux qu'tu m'pisse dessus. J'veux voir tes gros doigts sur MA graine. J'veux t'voir jouir comme un crisse de chien sale. J'veux qu'tu m'pisse dans l'cul. T'as pas idée comme j'veux m'battre avec toé dans ton lit.

- Fuck Pat, t'es en train d'mexciter en crisse là. T'es sérieux en crisse.

- Moé j'le suis pour vrai.

C't'ait trop. J'me sus l'vé. j'me suis approché de sa face pis j'y ai mis mon paquet juste à la hauteur ben bandé.

- Je l'sais que c'est ça qu'tu veux, p'pa. Y'a rien d'aussi viril qu'un homme qui mange la queue d'son fils. Y'a rien comme un homme qui grogne pendant qu'y'est aprês s'faire ramoner la gorge par la grosse graine de son gars.

Là, y'a pogné comme un fix. La bouche entrouverte pis les yeux pognés dans graisse de beans. Je savais que c'était gagné. J'ai sorti ma queue rendue violette tellement es'tait rendue raide pis j'y ai dit pour l'achever.

- Y'a rien comme deux macho qui s'fourre ensemble. tu vas pouvoir me gruger l'casse pis m'défoncer comme t'as toujours voulu. T'es un crisse de tabarnak de pig mon homme! Vas-y, crisse. prends-là, ça fait assez longtemps que tu te r'tiens.

y'a écrasé son cigare pis là, comme un malade, y'a collé sa bouche sur ma queue. Y s'est mis à manger ma graine pis y grognait comme un porc. Juste de voir sa moustache glisser sur ma grosse graine, une bonne grosse moustache noire ben dense, j'ai faillit y sooter ma crême tu suite. Là, y s'est levé, y'a sorti son gros bat épais de garagiste pis y'a commencé à prendre les commande. Un pêre, ça reste un pêre. Pis le miens, c'est un ostie d'cochon sale!

- Prends-là mon homme. Prends la ma graine. Fuck, depuis l'temps que j'veux qu'tu m'mange la graine. R'garde toé mon homme! t'es un vrai ostie. R'garde moé ça toutte ton poil pis ton body ben formé. Câlisse que t'es un macho crisse! C'est toé que j'veux. Ahhh, fuck mange moé ça c'te bon bat là. c'est bon hein mon ciboire? T'auras jamais une queue d'même ailleur dans l'monde.

Là, à force de parler d'même, y'était en train de s'exciter au point qu'y'allait v'nir trop vite. Y s'est enlevé pis m'as frenché à pleine gueule pendant qu'y m'pognait l'cul à deux mains. J'sentais nos poils pis nos pectoraux se fróler.

- Viens dans ma chambre mon crisse. Tu vas passer au cash.

* * * * *

- Fuck p'pa, crisse que tu manges ben! Fuck, mon crisse de mâle, fourre moé astheur. Défonce moé l'cul ciboire! J'la veux ta graine ostie!

- Tu vas voir c'est quoi deux hommes qui fourrent ensemble mon homme, tu vas voir c'est quoi du cul ben macho. Crisse y'a pas une femme qui peut donner ça à un homme c'est pas vrai. Câlisse que c'est hot. j't'avertis, moé j'y vas pas à moitié! Y'est trop tard pour reculer.

Y M'élargissait le cul avec ses doigts gros comme un cigare pis y'a placé sa graine juste à l'entrée. Y'a commencé à se crosser comme un malade pour faire sortir son jus. Juste pour lubrifier. Pis d'un coup sec, y'est rentré. Ta-bar-nak! y'allait presque me tuer pis y s'en crissait : y pognait son trip pis sa queue battait dans mon cul. Y m'pistonnait avec des câlisses de grands coups rapides. Sa grosse queue épaisse était en train de se gonfler pour me shooter sa crême. Y dégoúlinait de sueur, son cul s'faisait aller de tou'es bords, y m'défonçait comme un homme.

- Y'était temps hein Pat! C'tait l'temps qu'tu connaisse une queue d'un homme, un vrai.

* * * **

ça faisait presque une heure qu'y m'fourrait. Y'avait pas d'limites! Mon cul était au vif pis y continuait juste pour qu'on s'retienne de v'nir le plus longtemps possible. Mais aprês une heure, y'a pris un break. Y s'est allumé une cigarette en portant le briquet avec sa main massive et poilue jusqu'à son visage, la queue toujours dans ma graine.

- Y'a rien comme une bonne smoke pendant qu'on fourre. Ostie que c'est hot! Ça t'excite d'avoir un pêre comme moé hein mon crisse? t'as le gars le plus musclé du monde qui te fourre le cul tabarnak. R'gard moé ça, ostie, tu vois-tu mes veines sur mes grosses cuisses? Tu vois-tu mes gros pecs ben chauds? Tu vois-tu comme chus un homme? Jamais tu t'es faite fourré comme un mâle comme moé tabarnak. Pis toutte ça c't'a toé.

y s'est mis a accélérer. ça faisait au moins deux heures qui m'fourrait comme un porc. Sa queue r'bondissait sur ma prostate à chaque coup. Son visage était plein de sueur qui coulait sur moé. Y continuait de fumer pendant qu'y commençait à jouir.

- Mon tabarnak de câlisse, j'vas t'shooter dans ta face. Toé aussi tu vas voir c'est quoi une bonne moustache pleine de bon jus épais. crisse prépare toé. Mon homme, ostie mon cochon d'tabarnak, j'vas cracher ma calisse de dêche, yeeeeeeeeeeeeees, fuuuuuuuuuuuck, TABARNAK V'LA MA CRÈME MON CALISSE MANGE LÀ, MANGE TOUTTE C'QUE TU VEUX MON CRISSE, AAAAAAAAAAAAAAAAH.

y s'était enlevé de mon cul pis sa queue était rendue juste en dessous de ma moustache épaisse. ça shootait large en crisse. Y'arrêtait pas. Y'en avait tellement que ça revolait à une dizaine de pieds en arriêre de moé. ça coulait pus, c'était juste un gros jet. Pas des p'tits comme dans les films de cul, non crisse, une vraie grosse décharge qu'y'arrête pas de shooter.

J'en avais dans les cheveux, dans la face, dans la moustache, partout. Mon pêre continuait de grogner comme un malade pendant que j'commencais à v'nir moé avec.

- câlisse p'pa, j'vas shooter moé aussi. crisse avale-la. FUCK, J'TE FOURRE TA GUEULE DE GROS MACHO, CHUS TON GROS CRISSE DE GARS MUSCLÉ PIS J'TE CRACHE MA DÈCHE DE MÂLE DANS FACE!

Là, c'est pas mêlant, y continuait de v'nir pendant que j'y disais ça! y'est penché vers ma graine pis y'a toutte pris ça au fond de sa gorge. J'ai commencé à shooter pis comme chus comme lui, moé avec, je shoote en une fois mais ça dure longtemps, y s'est mis à avaler. Quand sa bouche est devenue pleine, y s'est enlevé pour grogner pis mon jet de dêche s'est mis à revoler partout. y s'est mis à en avoir dans les cheveux, la moustache, partout. Évidemment, le plus gros, au moins une bonne pinte a aboutit sur mon torse bombé pis ben poilu. Lui, y continuait à v'nir comme un chien sale. Heureusement que chus poilu en crisse parce que sinon on aurait perdu toute c'te bonne dêche là dans le lit. Lui, comme sa bouche était pleine, y s'est amusé à la faire dégoúliner de sa bouche. Son manton était plein de crême qui dégoútait sur son torse. Crisse que c'était hot.

Y s'est penché su moé pis nos deux corps gluants de bonne grosse dêche de garagiste se sont frottés pendant qu'on s'mangait le jus qu'y'était resté pogné dans nos moustache rendues encore plus épaisses par les bonne décharges qu'on avait eu.

y'était encore bandé par contre. Faque y s'est pas gêné pour me rentrer encore sa graine dans l'cul.

- Fuck on s'prends un bon cigare mon homme, faut fêter ça. Câlisse que c'était bon! Tanarnak, t'es un crisse de chien hot, un vrai mâle de cul.

On s'est allumé nos cigare pis aussitót, y'a recommencé à m'fourrer. Je savais qu'on allais revnir ben vite parce que c'est d'même dans famille. On shoote facilement quatre-cinq fois de suite sans se fatiguer. Quand j'dis qu'on est des vrais crisse de mâle, des hommes pis des vrais, c'est pas des jokes!

Mais là, usé à corde, je sentais encore plus facilement sa grosse queue me rentrer dans l'fond. Crisse qu'y'était hot quand qu'y'était su'l bord de v'nir! Toutes les veines de son corps, déjà ben apparentes, palpitaient, sa peau dev'nait ben tendue pis tout ses muscles dev'nait striés. Même ses biceps! Pis moé, ben chus pareil. Faque, juste de m'voir plein de veines à travers mon poil noir ben épais, j'pense que ça l'a faite cracher sa câlisse de grosse crême épaisse encore une fois. Ses grosses gosses me claquaient le cul pendant que, le cigare dans bouche, on jouissait comme des porcs. Sa décharge était encore plus hot, plus bonne que la premiêre fois. Je l'sentais me remplir pendant que moé, j'déchargais partout dans les airs.

- AHHHHHHHHHH TABARNAK, MON CÂLISSE DE CHIEN SALE, CRISSE MOÉ TA GROSSE DÉCHARGE SUR MOÉ, CÂLISSE MOÉ ÇA DESSUS, J'EN VEUX DANS MA FACE ENCORE!

Là, j'ai presque peint mon pêre avec ma dêche. y s'promenait sa grosse main velue sur ses pecs pis ses abdos pour ben étaler ma crême pis y'a remis son cigare dans sa bouche pour mieux pogner sa queue pis me l'enlever du cul. Y'avait déjà commencé à juter ben comme faut; j'étais plein comme une crisse de cruche. Aussitót qu'y'a enlevé sa grosse graine épaisse, j'ai senti sa bonne grosse décharge me couler du cul. À ben dire, c'était pas couler mais plutót cracher, la pression était trop forte, mon cul déchargait sa crême. Pis lui, sa queue, encore une fois, continuait de cracher dans un jet continu pis y m'envoyait ça entre les deux pecs. comme les draps semblaient une perte totale, y s'est pas gêné pour se mettre à me pisser dessus juste aprês qu'aye finit de shooter.

- AHHHHHHHHH, mon crisse de câlisse. prends ma pisse astheur. t'es rien qu'un câlisse de tabarnak de plotte de mâle à fourrer, prends-moé ça c'te jus là mon crisse.

Y'a replacé sa graine dans l'fond de mon cul pis y s'est mis à m'pisser dedans. La pression est devenue assez forte pour que j'me mette à pisser moé avec. Mon jet revolait ben haut dans les airs pis ça retombait dans ses cheveux pis sur ses crisses de bonnes épaules striées pis ben larges.

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On a finit ça par toute se sucer le corps entier pis s'allumer une bonne cigarette avant de dire combien on s'admirait. Crisse que j'le trouvais beau. Mon pêre, montagne de muscle, forêt de poil, large comme deux frigidaire pis macho comme pas possible se grattait la moustache pour y décoller le reste de cêche séchée. Tabarnak que c'est hot de voir son musclebear pis muscleman de pêre fumer une derniêre cigarette aprês une grosse baise.

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Mon pêre, Musclebear

Mon pêre, musclebear * * * * * ça vous a fait jouir? n'hésitez pas à me l'écrire! On pourra aller plus loin patrick_saint_laurent@hotmail.com * * * * * Salut! C'que j'vas vous raconter est arrivé y'a environ 10 ans au moment oû j'avais 23 ans. Je sais que ça peut avoir l'air fou pis tiré par les cheveux, mais tout ce que j'vas dire est totalement véritable. Si l'idée de voir

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