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Vraiment Três Chaud ...

by Hector


J’avais le cafard ce soir là. Je me sentais bien seul et je voulais passer une bonne soirée pour commencer ce long week end avec le pont qui me donnait 4 jours à remplir. Je venais de m’inscrire dans un club de gym prês de chez moi, tout neuf et déjà pas mal fréquenté. Comme il y avait aussi un sauna, j’espérais y faire des rencontres… avec mon 1m80 pour 80 kgs bien sculptés et les cheveux châtains mi longs. je comptais y aller aprês avoir acheté des piêces pour la moto au passage.

J’arrive devant le concessionnaire et je me balade en jetant un œil distrait aux bécanes. Dans la file devant le comptoir, je vois deux mecs extraordinaires. Pas du tout des bodybuilders mais des athlêtes parfaits, sculptés dans le muscle L’un, blond, grand, archi moulé dans un jean três destroy, cheveux dans le dos, perfecto du genre moulant râpé et des santiags rouges complêtement éculées. Des hanches três étroites, un torse en V parfait, épaules larges et carrées, des cuisses longues et rondes, des muscles três secs partout.. Pratiquement imberbe. L’autre, aussi grand, cheveux bouclés noirs, des lêvres épaisses mais três belles, jolie gueule, en jean de cuir noir et blouson jean en haillons. Il doit être beaucoup plus jeune et dégage une impression de sensualité sexuelle explosive.

Sous leurs blousons, il est évident qu’ils ne portent rien. Des muscles fantastiques se montrent, libres et secs.

J’ai du mal à avaler. Ils me repêrent aussi avec mes tiags noires, três hautes, et ferrées au bout et mon jean cuir bien trop serré. Je le choisis toujours trois tailles trop petit et il se force en place en moulant tout comme de la peinture. Pour compléter, je le détrempe en été et le laisse sécher sur moi : il commence par rétrécir à mort puis se force en place. C’est du moulage intégral !

C’est du cuir le plus souple, fin et brillant possible, on croirait de la soie. Il sent pas mal car je me branle souvent dedans en laissant le foutre y sécher. Tous mes potes qui baisent avec moi envoient une giclée de foutre à l’intérieur : j’ouvre la braguette et ils me baisent comme une femme dans mon jean. Il est super serré, ils adorent ça. Je sens leur grosses pines qui rentrent entre ma peau et le cuir, qui me liment et qui s’éclatent dans mes poils, bousculant complêtement mes couilles et ma pine. Et c’est que le début ! idéal quand un mec semble un peu brutal ou un peu trop fortement monté !

Avec la sueur cela dégage un max ! tous ces foutres qui recommencent à sentir le mec et la virilité bestiale… le jean se ressert un peu plus à chaque fois quand le foutre sêche et du coup, il fait apparaítre mes deux couilles et la pine même quand je ne bande pas. En plus, maintenant je trique et on ne doit voir que ça. Je regarde d’en haut et c’est comme je veux, un vrai appel au viol. A mon avis les deux mecs ne vont pas tarder à réagir ! Comme le jean est vraiment beaucoup trop serré et forcé, il rentre profond entre mes fesses et ma pine devant a fini par se dégager en relief presque toute entiêre. Mes couilles apparaissent três nettement, un peu décalées comme chez ceux qui se branlent beaucoup (et je me branle vraiment beaucoup et souvent !) Ça ne sert à rien de porter ça sauf si on veut avoir la pine comme peinte en cuir noir. C’est un vrai appel au viol et encore à plusieurs…

Le feeling est en plus absolument génial car il est serré mais surtout três moulant et il ne me bloque pas les mouvements. Il m’est três souvent arrivé de me vider les couilles tout seul dans le jean rien que par le mouvement de la pine et son petit frottement sur le cuir quand je marche ! Quand ça arrive dans la rue alors que pas mal de monde mate déjà, choqué par l’indécence criante du tableau, qu’on me voit la pine qui gonfle et qui me tord en deux briêvement, me donnant un regard trouble, c’est inoubliable… sans compter l’odeur de foutre qui vient peu aprês. Ça marche : j’ai déjà été pris à partie par des mecs qui devinaient tout, un jour je me suis même fait embarquer et passer dessus par un groupe de jeunes noirs particuliêrement membrés. Ils croyaient me faire mal en organisant une tournante spéciale jusqu’à ce qu’ils comprennent oû était mon pied. Un week end inoubliable, croyez moi ! voici comment ça s’est passé :

J’avais tout juste 18 ans. J’étais três bien balancé mais encore un look ado plutót gouape. Déjà les cheveux assez longs, je ne pensais qu’à baiser et j’étais désolé que les filles n’apprécient pas autant que moi le look cuir que j’avais déjà.

Un soir je rentre tard en métro et par hasard je me mets dans la deuxiême rame du train. Elle était vide. Je m’installe sur une banquette, au milieu. Quelques stations plus tard, deux mecs rentrent. Un de mon âge et un autre d’environ 25ans. Tous deux en 501 cuir bien moulant comme moi, avec des blousons en jean archi pourris.

Ils jettent un coup d’œil circulaire et viennent s’asseoir de chaque cóté de moi. Faut dire qu’avec mon tee shirt blanc serré et mon cuir, j’en jetais plus que je ne l’imaginais ! Au début, rien. Puis três vite, un doigt se pose sur ma cuisse. Le plus jeune me regarde en même temps et me dit :

ª tu sais que t’es sapé comme un pédé ? » ª ah oui ? » ª et un petit pédé bien mignon encore » ª allez les mecs » répondis je assez peu tranquille. En même temps, une cuisse en cuir se colle à moi de chaque cóté. Je les regarde et je vois qu’ils sourient. ª ouf, j’ai eu peur » ª ça tombe bien, nous aussi on est pédés et t’es dans le wagon des pédés. Tu savais pas ? t’es puceau ou quoi ? » je bredouille des excuses. Ils se collent encore à moi plus. ª t’as jamais essayé avec des mecs » ª essayé quoi ? » ª ben oui, baiser et tout ça ! » je dis que non mais pour sauver la face il fut que je joue le jeu : ª pourquoi pas ? » ª c’est parti’ répondirent ils ensemble dans un éclat de rire. Ils commencent à me tripoter violemment. Le grand me pétrit le paquet. Il m’écrase les couilles dans sa main três douloureusement. Il me met ma main sur son paquet, énorme, dur et três chaud. ª viens chez nous on est à deux pas ». un peu plus tard on entre chez eux. Appartement três étudiant, ambiance chaude et sexe affiché partout. Du sexe d’hommes uniquement. Des énormes mecs, en cuir, en moto, tous três musclés et à poil avec des engins de rêve mais effrayants. Je détaille le tout. Ils reviennent vers moi. On va s’asseoir.

ª premiêre leçon, tu nous suces ». j’avais jamais fait et je suis tout ému. Deux pines d’assez grandes tailles jaillissent des cuirs, suivies par deux paires de belles couilles. Pas rasées. Je m’agenouille et approche la premiêre qui est bandée à fond et monte et descend. Je pose le gland chaud et sec sur mes lêvres. J’ouvre ma bouche un peu et il me pousse la tête violemment sur son sexe. Tout surpris je me retrouve avec un sexe d’homme entier dans la bouche ! Je découvre que c’est três bon et je fais maladroitement tout mon possible. je vois qu’il apprécie. Il commence à onduler en fermant un peu les yeux. Je trouve cela génial car j’ai en bouche leur virilité entiêre et elle est copieuse chez ces mecs. Il me frotte durement la tête sur son sexe. J’ai ses poils qui me râpent la peau du visage, qui rentrent partout, même dans la bouche et le nez. Sa pine est tellement gonflée qu’elle résiste à ce ballottement et c’est ma joue qui la force à suivre.

Il s’avance sur moi, me bascule en arriêre et se met à baiser ma bouche, à me rentrer sa pine non plus dans les joues mais dans la gorge, comme si j’étais un avaleur de sabre. Je panique devant l’assaut mais c’est trop tard. Bientót il est engagé jusqu’à la garde. Ses couilles sont sur mon menton, j’ai son cuir qui appuie sur tout mon visage. Il commence à limer lentement puis accélêre. J’essaye de m’échapper, j’en veux plus, j’ai peur du sida et je connais pas assez pour accepter un viol de ma gorge comme cela.

Il serre les cuisses et du coup je ne peux plus bouger du tout.

Sa pine rentre profondément dans ma gorge, je respire mal, je suffoque presque. Je respire quand ses poils sont pressés contre mon nez parce qu’il bande encore plus fort quand il est au fond, sa pine pousse ma glotte laissant l’air passer. L’odeur de mâle qu’il y a est prenante et riche. Il doit se branler souvent et pas laver ensuite, ça sent le foutre qui a ranci avant de sécher.

Il accélêre et brutalement va au plus loin qu’il peut et me balance dans un spasme sa charge de foutre dans la gorge. Il se vide consciencieusement. Son foutre a un goút sucré et poivré qui me pique la gorge. J’avale aprês une hésitation. Bienvenue chez les pédés ! et bien j’ai aimé !

Doucement et à regret, il se retire.

Le jeune me désape, pelant mon cuir. Il siffle en voyant mon cul petit, dur et bien rond. ª ça t’a plu le hors d’œuvre ? » ª … oui, c’était pas mal mais tu m’as surpris ! ª attends la suite des surprises ». il me retourne sur le ventre et je comprends qu’il veut me sodomiser. Je ne savais pas comment cela allait se passer et j’avais peur.

Le jeune écarte mes cuisses avec ses pieds et me tartine le cul d’un truc froid et três glissant. » c’est du lube pour que je puisse t’empaler et te défoncer sans te déchirer trop fort ».

Je contracte mes fesses.

Ils me battent le cul jusqu’à ce que je me calme. Je sens un objet rond forcer mon passage. Comme mon anus s’est refermé instinctivement, c’est un doigt qui rentre. Il m’explore le cul. Heureusement que je l’avais vidé avant de venir … un deuxiême doigt rejoint, ils se marrent et poussent un troisiême, en coin. J’ai mal et ils adoucissent la poussée ª t’es vraiment vierge ! t’avais pas peur de prendre la deuxiême rame, imagine que tu sois tombé sur des casseurs de pédés !c’était l’hosto direct ! » les doigts sortent. Le gland revient, se pose sur mon cul et commence une poussée lente. Je me concentre à me décontracter. J’ai três mal quand même. Ils s’en foutent cette fois. Le gland semble être rentré, je le sens qui vit en moi, me fouillant de l’intérieur. Quelle honte mais quel plaisir. Finalement j’adore et je le leur dis. Cela les encourage et la pine continue son exploration en plongée. Mes intestins résistent mais le lube laisse passer finalement. Il est au bout. Ils me font relever et en marchant lui entrain de m’empaler, m’approche d’un grand miroir en pied. Je me vois enculé pour la premiêre fois. Le mec est du genre nerveux et três fort. Ses muscles saillent sous l’effort du mec en rút et je les trouve três beaux. Il me remercie et me dit que je vais plaire à bien du monde. Son sexe est assez mince mais três dur. Je me risque à le palper derriêre moi, pour sentir ses muscles durcis par l’effort sexuel. Je commence à l’encourager :

ª t’es un super mâle, commence à me remplir, à me bourrer » , ª empale moi hard», ª t’es mon étalon », ª lime moi fort » ª je veux sentir ta pine plus fort et plus profond », ª je suis ta chienne , couvre moi à mort ». Il accélêre, me secoue dans tous les sens. Sa pine rentre et sort à tout vitesse, il va tirer son coup. Je me prends à regretter que ça se finisse déjà… je le leur dis.

Au même moment, une secousse de plus et il m’explose dans le ventre. Je sens un flot chaud qui me remplit le ventre. Je ne suis plus moi, juste un jouet. Quand il a fini, il sort à regret, le regard croisé.

Les deux s’affalent dans un canapé, pendant que je les lêche propre. Ils sont en sueur. Ils me proposent de faire venir des copains à eux pour qu’ils puissent goúter à mon ventre. J’accepte timidement.

Sachez que j’en ai pris 5 ce jour là. Et c’était ma premiêre tournante ! Ils étaient bien membrés mais trop jeunes, alors plus énergiques qu’endurants. Ça a été un coup violent et bestial chacun et au revoir. Je garde leur contact.

Mes deux mâles étalons de ce coup-ci payent et partent. Je prends ce qu’il me faut et j’ai le temps de démarrer pour les suivre. Mon échappement racing complêtement libre et vidé gueule fort et je suis súr que ma filature est déjà remarquée…normal, c’est fait pour. Ils se garent devant l’entrée du gym oû je me suis inscrit ! Génial, ils vont pouvoir me voir et moi les admirer.

On se sépare dans le vestiaire. Je rentre dans la grande salle, changé en short lycra extensible, genre cycliste, terrible au toucher, et qui surtout montre absolument tout et surtout quand je bande comme maintenant. Ça s’appelle maintenant un appel au viol par haut parleur !

Je ne les vois pas. Dommage.

Je me mets sur un banc pour les pectoraux, pour soulever des barres lourdes qui doivent être parées au déposé, sinon elles risquent de me tomber dessus avec la fatigue. J’en fais un paquet pour défouler ma frustration.

Vers la fin, je suis content de moi. Je tremble un peu de fatigue. Soudain, je sens une présence de chaque cóté de moi. Je regarde de chaque cóté et je ne vois que deux petits shorts en jean à l’état de haillons comme peints sur des fesses parfaites mais minuscules. Des poils sortent des trous qu’il y a partout. Échancrés en haut des cuisses, trop fortes pour y rester à l’aise. Un 501, ça se choisit à la ceinture : tant qu’on peut la fermer, c’est trop grand. On prend la taille juste limite pour y arriver. Il faut qu’il se casse pour se fermer et là c’est bon. Au début, les hanches ont mal car le tissu mord dans la peau três profondément mais avec le temps cela s’adoucit e on finit par aller bien. En général, il est alors vraiment super moulant et bandant à mort.

C’est mes deux mecs !

On engage la conversation. ‘Salut, ça va pas trop dur ?’ ‘Non, mais j’en peux plus’. ‘on va te parer, attends, prends pas de risques’. Ils s’approchent de ma tête de chaque cóté et tiennent la barre pour la remettre en place sur les crans.

Je reste un peu pour récupérer. Ils sourient tous les deux. Sympas. Impressionnants de muscles. Abdos plats et en tablette de chocolat, dos larges, biceps superbes mais três bien proportionnés. Ce ne sont pas des body builders. J’ai le regard qui se balade franchement. Ce qui m’attire le regard le plus, c’est le paquet énorme que je vois dans leur slip en jean. Ils remarquent que je n’arrive pas à m’en détacher le regard.

ª Ça te plaít » ? ª Oh oui, mais ça pourrait être plus complet » ª quoi ! » ª Oui, ça dépend de ce qu’on en fait et comment et combien de temps et tout ça ! »

Ils éclatent de rire et pensaient que je cherchais à les provoquer. Le plus jeune se retourne pour me faire face. Comme je suis allongé sur mon banc, j’ai son paquet devant les yeux à quelques centimêtres. Je le vois palpiter et je sens qu’il y a longtemps qu’il porte ce short. Une forte odeur de foutre ancien se dégage. Je vois même sur le haut du short pas mal de poils noirs qui dépassent.

On se lêve. Je bande comme un cheval et le lycra le met complêtement en valeur. Il est tard et il n’y a plus que nous trois dans la piêce. Ils voient ma trique et une main forte et fine s’approche pour me tester. Bien súr je laisse faire et gémis vite sous la caresse. Plus il me branle, plus il bande : entre deux ondes de plaisir je vois son short qui se remplit de plus en plus, le paquet gonfle três fort. Le sexe voudrait sortir mais ne peut pas vu c’est tant serré.

J’éjacule três vite en explosant dans mon short qui se trempe vite. Entre deux hoquets je les regarde. Le blond se caresse aussi. Les mecs me proposent un petit nettoyage, à charge de revanche. J’accepte avec empressement. J’ai les yeux cernés et ils me proposent de venir chez eux reprendre des forces. J’accepte avec empressement. Ils partent s’habiller et les revoilà : ils ont seulement passé leur énorme ceinturon à boucle sur leur jeans et cuir, remis leurs perfecto et leurs tiags. Ça leur donne une démarche três chaloupée et bruyante, j’adore.

Je les suis.

On arrive chez eux, pas três loin. Ils me précêdent, je peux détailler leurs muscles qui travaillent librement, c’est super. On rentre, on s’assoit.

À peine arrivés, je trouve qu’il fait três chaud et j’enlêve mon perf. Le typé brésilien vient gentiment vers moi et m’enlêve en me l’arrachant mon t-shirt noir. Je sais que je suis vraiment pas mal en dessous. Ils apprécient.

Je leur dis que je suis passif, três gourmand et assez endurant. Ils sont três satisfaits de ça. On a 4 jours devant nous… en fait je prends un vrai risque car je n’avais jamais fait de l’abattage avec deux mecs de ce genre et me trouvais assez sensible du cul. Vu les objets, il ne fallait pas laisser passer l’occasion !

Ils me désapent. Ils restent comme ils sont à ma demande car je fantasme sur mon viol par des loubards comme eux, et je rêve de sentir le cuir et le ceinturon frotter ma peau sans ménagement pendant que je suis empalé jusqu’au nombril à tour de róle. Je veux me sentir plaqué par des mains puissantes, parcouru sans ménagements, retourné et inspecté. Ça doit se terminer par un empalement puissant et long, três long. Je veux sentir leur force me dominer, me pénétrer et m’envahir complêtement en entier. Faut que ce soit hard, três hard, limite même, mais toujours sexe. Et surtout qu’il y ait plein de monde, de l’abattage hard.

C’est exactement dans leurs projets, j’ai de la chance. Je bande comme un fou. Eux commencent aussi. Je suis content comme tout. Ils sortent leurs engins et là je vois que ça va saigner !! Des concombres, ni plus ni moins. En plus, je commence à avoir envie que l’on me bourre le cul avec tout ce qui passe, pendant que je bande de plus en plus fort et que ma pine devient rouge et dure comme un gode.

Le plus jeune est le mieux monté. Une pine três longue, mais pas três épaisse. Une longueur pas banale, il doit remonter loin dans le ventre… il me tourne brutalement, me tartine du lube sur le cul et commence à pousser son gland sur mon cul. Par réflexe, je résiste. Il s’étonne et comprend : je n’ai pas beaucoup d’expérience, ça va être ma fête ! il n’apprécie pas d’avoir été un peu baladé sur le rodage de la marchandise ! J’ai intérêt à ne pas les décevoir si je ne veux pas me faire exploser le cul avec une bouteille ! il pousse de plus en plus fort et mon cul s’ouvre. Le gland se précipite dans mon cul en force. Je me sens écartelé, déchiré et j’ai mal. Ça leur plaít. Je sens qu’il continue à pousser et commence à appuyer sur le deuxiême barrage plus profond. Ça cêde pas… je gueule un peu de douleur. En réponse, il pousse comme une bête, je vois ses muscles bandés et motivés comme jamais un étalon ne l’a été !

Finalement, ça cêde dans une vague de douleur profonde assez fugace. J’ai peur qu’il m’ait déchiré mais non, il n’y a pas de sang. Ensuite il commence à remonter dans mon intestin en grognant de plaisir. Je regarde un peu, alors que la douleur cêde un peu : il en reste prês de la moitié à rentrer ! je suis empalé et ne peux pas bouger. Le plaisir de me sentir entiêrement enculé par cette bête de sexe remplace la douleur et je le lui dis. Il est content, surtout que je sois si serré. Il me dit que jamais il n’avait enculé un mec aussi serré que moi et qu’il doute que j’ai beaucoup d’expérience sexuelle, encore moins dans le hard. Je lui réponds que la motivation remplace, car je suis découvert ! Je sens son gland me ramoner le gros intestin, ce n’est pas douloureux du tout, c’est bizarre : une sensation d’avoir trop bouffé, d’avoir un animal dans le ventre. C’est exactement ce que j’ai : un animal de sexe qui va me faire passer une soirée inoubliable.

Génial. Je le dis à mon mâle qui me couvre tel un chien couvre sa chienne. Son gland doit être pas loin du nombril. Il me visite de l’intérieur avec sa tête fouilleuse violette et gorgée de sang, prête à me remplir de foutre chaud. Il rigole et adore aussi. Tout en limant comme une locomotive, il me relâche le torse et je me baisse un peu pour admirer ses couilles au travail grâce à un miroir placé oû il faut. Il semble maintenant être arrivé au coude du gros intestin, et cela devient soit dangereux de le forcer car il peut se percer et c’est mortel, soit il se redresse si on le pousse três lentement et três longtemps. Dans ce cas là, on peut aller encore três profond et quand la pine s’enlêve la sensation est inoubliable !!! or il lui reste bien cinq centimêtres à rentrer. C’est donc parti pour un três long moment d’enculage de profondeur. D’ailleurs, je note qu’il y a plein de miroirs dans la piêce et je peux me voir être sauvagement enculé sous plusieurs angles.

Ses couilles me semblent três grosses et butent contre mon cul, je sens ses poils me frotter, puis il ressort de plus en plus pour rentrer de plus en plus fort. A ce moment, j’ai comme une onde qui me traverse, comme un orgasme énorme. Mes couilles sont toutes petites et sont minuscules à cóté des siennes…mon cul est encore un peu sensible mais le plaisir profond l’emporte.

Je le supplie de ne pas tirer tout de suite pour qu’on reste comme ça le plus longtemps possible. Il me répond que la derniêre baise qu’il a faite il a tenu 45 minutes à limer avant de tirer son foutre comme pas un taureau n’en a jamais rêvé. Je veux bien le croire car ses couilles sont presque deux fois grosses comme les miennes.

Ils me proposent d’appeler des copains à eux car je vais en avoir besoin pour calmer l’appétit de mon cul, qui continue à s’assouplir. J’accepte mais à la condition qu’ils soient aussi mignons et branchés qu’eux. Pas de problême.

Pas longtemps aprês, des copains à eux rentrent et c’est vrai, ils sont vraiment supers. Il y en a de toutes tailles, mais tous três musclés et des jolies gueules. Certains sont quand même inquiétants car ils ont l’air de frappes sexuelles absolues. Des muscles en masse et toujours du jean hyper délavé et troué ou du cuir terriblement serré. On me demande en rigolant si ça va et je dis oui car m’est avis qu’il n’y a pas d’autres réponses possibles. La piêce pue bientót le foutre à peine sec.

Il y en a bien une dizaine. Des sacrés calibres.

Mes potes du début annoncent mon fantasme et ils sont tous d’accord pour ce trip qui a l’air d’être exactement ce qu’ils veulent. En fait, je ne les vois pas entrain de se faire enculer…

Ça commence. Cela va tourner vite au viol en série.

Alors que je suis en plein enculage, le brésilien m’attrape les couilles à pleines mains, me les tord et tire vers le bas. Je suffoque de douleur, tombe à genoux. Mon enculeur ayant prévu la manœuvre, suit. J’ai plus du tout envie de gaudriole, je commence à avoir un peu peur. Je me sens liquéfié. Ils rigolent fort. Je suis cerné par des ventres super plats, puissants, musculeux, parfois dans des souvenirs de jeans ou des cuirs gênants de précision. Plein de pines se pointent vers mon visage, avides et turgescentes.

On me fait basculer sur un lit três haut, sur le ventre. Je suis écrasé par mon mâle qui n’a toujours pas relâché. Je suis três bien avec lui et j’ai peur des autres qui me semblent plus gros et plus brutes que lui. Il passe ses cuisses dans mes jambes flageolantes et les écarte de force tout en limant. Je sens des tas de mains qui me palpent et me caressent entre les cuisses. Certains ont des gants de moto racing avec des clous partout et un cuir assez fin mais armé de coques de protection comme une armure. Ceux là grattent três fort. Puis graduellement, je commence à sentir des sexes qui me frottent à travers du cuir. On me met un paquet três chaud et vivant dans chaque main, et cela les immobilise. Pareil mes pieds sont entravés. Soudain, un ceinturon três large me frappe três fort. Je veux gueuler mais c’est impossible. L’un me plaque la figure sur un sexe dans un cuir noir et chaud. Il y en a qui ont des tendances sado dans le tas…

Au bout de quelques coups, je suis attaché três serré, les jambes écartées et suis maintenant offert à ces sauvages. Tout ça en restant enculé par mon mec ! Les autres sont un peu jaloux mais il tient bon. Je lui dis qu’il est génialissime et que je voudrais rester comme ça tout le week end. Réaction des autres qui protestent et qui me promettent un feu d’artifice !

Je ne peux rien faire. Je suis fouetté par le ceinturon juste assez pour que la peau devienne plus sensible. Chaque pine qui se frotte ensuite m’explose de sensations. Je sens mon mâle trembler, s’arrêter dans son mouvement et soudain je me sens me remplir d’un liquide chaud que je connais bien. Il continue à pomper en grognant et en se faisant encore plus lourd et plus profond. Je le sens se vider à longs traits au plus profond de moi. Puis il ressort lentement, cela me fait presque plus mal. C’et la fin d’un hors d’œuvre absolument génial. Je le lui dis et me répond à l’oreille qu’il y a une place dans son lit qui est libre pour moi dans la semaine. Loyer : une baise hard et três longue par jour. Je lui dis que je n’ose pas y rêver…

Mon cul ne reste pas vide longtemps. Un três mince et jeune, ganté de noir, tout en cuir, me place un premier doigt dans le cul. Il rentre sans problêmes. Enfin, il met les quatre doigts devant mon cul et pousse. Les autres rigolent. J’ai mal. Enfin, il arrive à rentrer la main. Il pousse três fort et puissamment : il rentre peu à peu jusqu’au coude ! et il commence à ouvrir la main et à remuer dans mon intestin ! Inutile de dire que je suis au bord de tomber dans les pommes ! Ce n’est pas vraiment douloureux mais cela me coupe toutes forces. Il y reste un peu, sort, puis de son autre main se libêre et met devant mon trou une pine de belle taille. Dure comme du bois. Il commence à pousser et rentre tout en un coup. Je le sens qui pousse contre mes entrailles. Il grogne de plaisir. Commence à onduler sans même me voir. Un autre m’attrape les cheveux, tire ma tête vers le haut et m’ouvre la bouche. C’est le brésilien. Il s’est libéré aussi et me présente une énorme pine pas três large mais três longue. Il me la rentre dans la gorge.

J’apprécie le goút âcre et le bel objet. Il commence à me limer. Mon menton vient réguliêrement frapper contre ses poils pubiens, puis il reste en place. Je sens ses couilles três grosses qui montent dans leur bourse qui se contractent. Il reprend ses mouvements et au bout d’un três long moment durant lequel je lutte contre l’étouffement, soudain il n’arrive plus à endiguer le flot de sperme qui monte. Il a quelques tremblements, et dans un spasme se vide dans ma gorge en longs coups violents. Cela semble durer três longtemps. Il me comprime la tête sur son sexe comme s’il avait peur que sa pine ne soit pas assez rentrée !

L’odeur est maintenant forte et j’ai la tête qui tourne. Il me désserre de son étreinte. Je vois ces muscles superbes qui se décollent. Il approuve bruyamment et j’en vois plusieurs qui se préparent à prendre la relêve. Ils sont beaux aussi, tous montés três gros, finalement assez jeunes. Des jolies gueules mais de frappes. Ils sont là pour baiser et c’est tout.

Il a maintenant sorti sa pine et je dois la lécher propre. Elle est violette de l’effort, et se radoucit. Ses couilles pendent loin en bas de nouveau, il s’est drólement vidé. Il est três content.

Il attrape le ceinturon et commence à me fouetter gentiment. Cela le refait bander. Un autre attrape un gode assez étrange : três long et annelé. Lisse, três huilé, il rentre facilement mais ils le font rentrer et sortir três vite de mon cul et de mon intestin : c’est hallucinant, le cul vibre et envoie des ondes douleur et de plaisir mêlées sans cesse, cela est épuisant.

Pendant ce temps, un autre continue de me limer la gorge. Il me griffe avec ses gants d’armure. Celui qui actionnait le gode le lâche et rentre tout seul dans mon cul. Il me frappe les reins avec ses cuisses três fortes. Mon cul me semble complêtement distendu. Il est agrippé à mes hanches de toutes ses forces. Je dois dire que j’aime pas mal. Il se vide dans mon intestin avec force et je sens un liquide chaud et visqueux me remplir de nouveau comme un lavement. Il se retire.

Comme il y en a encore qui arrivent, j’en compte maintenant une petite foule : je vais servir à faire de l’abattage. Je ne vais pas avoir trop mal grâce à la mise en train soignée mais ils me disent que jamais je n’aurais imaginé servir autant de jouet sexuel à tant de mecs à la fois. Ils me disent que les 4 jours vont y passer…

Un silence se fait. Je vois entrer un noir géant, il doit mesurer 2.15m de haut. Large comme deux mecs, parfaitement balancé mais des muscles simplement deux fois plus gros que ceux d’un mec normal. Je m’inquiête. Il vient vers moi et je n’ai pas le temps de fuir : il m’arrête et me jette de nouveau sur le lit. Il me domine de toute sa hauteur. Il a les traits assez fins et les cheveux lissés. Des muscles invraisemblables, je n’ai jamais vu ça, même dans une salle de gym. Un monstre. Il doit peser dans les 140 kgs mais du muscle pur et libre ! il sort de son cuir une pine qui doit faire dans les 25cm au repos. Il commence à bander et je vois le plus invraisemblable mastar se déplier ; il doit y en avoir prês de 30 cm avec une épaisseur comme un bras. Son gland est presque aussi gros qu’une petite balle de tennis. Assez pointu, d’un beau noir avec des reflets violets. Il palpite déjà. Le mec commence à se toucher pour bander et ça va três vite. Je veux éviter de crever déchiré car il est trop gros pour moi, c’est évident. Il s’en fout. Il me plaque sur le lit sur le dos pour que je puisse voir comment il va me violer. J’ai super peur et cela le fait rigoler. Son truc noir comme de l’ébêne commence à appuyer sur mon cul. On me remet du lube. Merci.

ª Tu vas voir, je vais t’exploser ton petit cul qui est três serré il paraít ».

ª Non ! » je hurle

Il m’agrippe les hanches et je reste muet quand je vois ses muscles commencer à jouer. Je me concentre sur une décontraction car je risque ma peau si je reste trop serré pour accueillir un tel engin. Il ne va pas faiblir.

Il pousse. Mon cul s’ouvre un peu puis au maximum et il en manque encore la moitié ! J’ai l’impression qu’il veut me rentrer un melon dans le cul !

Il pousse et en même temps tire mes hanches vers lui. Je commence à crier et je me sens me déchirer. C’est affreux, terrible. Il se marre et me dit que ça fait toujours comme ça la premiêre fois avec lui. Seuls les fistés à deux bras s’en sortent mieux mais il aime pas car il faut que la femelle ait mal, n’est ce pas. Soudain, quelque chose cêde : il a rentré son gland ! Cette bête de sexe énorme m’envahit avec une pine grosse comme un bras d’adulte ! J’ai atrocement mal et tout le monde en rie. Je me débats de toutes mes derniêres forces, je cherche à échapper au viol absolu qui a commencé. Les autres se branlent sur ma figure, je dois en plus éviter d’en prendre dans le nez pour au moins respirer quand on ne me viole pas la gorge. J’ai du sperme dans les yeux, ça pique un peu.

Je suis transformé en capote à moi tout seul entier.

Il commence à rentrer tout et je sens qu’il arrive au deuxiême barrage, profond, et qu’on ne peut pas commander soi même… il le fait éclater sans discuter. Mon anus interne commence à remonter, repoussé par l’énormité du chibre. Je vois la peau de mon ventre se gonfler au fur et à mesure qu’il progresse !

ª T’es vraiment bon et serré ! Je t’adopte ! Tu seras mon jouet sexuel permanent » Je halête sous la douleur. Mes jambes remuent, mes bras cherchent une prise pour échapper à ce monstre. Il me tient plaqué au lit par sa seule pine…

Graduellement il rentre. Cela fait 15 minutes qu’il y est. Enfin il est au bout. Mon intestin est comme une capote vivante. Je vois la bosse de sa pine géante qui déforme mon ventre. Un silence impressionnant s’est fait et tout le monde regarde la performance. Je suis paniqué mais totalement immobilisé. Jamais j’aurais pensé rentrer cela, être vraiment utilisé à ce point n’est le rêve de personne ! J’attends avec appréhension son foutre car cela va remplir encore plus ! j’ai la tête qui bourdonne, je crie de douleur.

Quand il bande, mon ventre se gonfle comme une tente vers l’avant et on voit la forme de sa pine se dessiner à travers ma peau ! C’est hallucinant. J’ai un alien dans le ventre. Je ne suis plus qu’un réceptacle à pine.

Il commence à limer et cela devient fantastique. La douleur s’efface un peu et le voir ainsi, une tête et les épaules plus grand que moi, me couvrant arc bouté sur mon cul, en perfecto et en cuir moulant avec juste ses couilles énormes qui sortent maintenant de notre assemblage, est génial. Ses muscles monstrueux jouent librement, chaque fibre se détachant des autres, dans un effort sexuel sans équivalent.

Il lime et c’est mon intestin, distendu, qui suit le mouvement, je suis tellement serré autour de sa pine dure et pleine de sang qu’elle ne coulisse plus dans mon intestin. Je connais, cela ralentit l’arrivée de l’orgasme et il va donc me limer plus longtemps. Il est en sueur et lime toujours. Il a commencé voilà une heure ! je ne suis plus qu’un chiffon autour d’un pieu qui m’empale comme personne n’a jamais été empalé. Je suis étourdi, la douleur est devenue supportable, la scêne est grandiose. Ce mec est un mâle du type monstre mais beau et sympa.

A chaque coup de boutoir, je vois la peau de mon ventre qui se soulêve et je me sens à chaque fois rentrer en lui, comme aspiré par cette pine qui est une trompe. Soudain il accélêre. Il se déchaíne et je m’inquiête de nouveau. Dans une explosion, il durcit et redresse encore sa pine et je sens un flot chaud prendre sa place au milieu de mon ventre. Il se vide à longs coups avec un air gourmand. Un premier jet. Un deuxiême, plus long mais moins brutal. Un troisiême suit ! je me remplis, la peau de mon ventre est distendue. Ses énormes couilles sont remontées contre mon cul et se vident encore. Ce mec est absolument incroyable. Il me félicite.

Je le remercie car c’est une expérience sexuelle absolument unique. J’ai envie d’accepter d’être son jouet. J’accepte finalement et il en est réjoui. Il m’annonce qu’il y a été doucement pour cette premiêre prise de contact, qu’il est fatigué aujourd’hui et que la prochaine fois il va me shooter au 7¯ ciel et que mon cul va exploser… il m’annonce une suite de viols absolument bestiaux car il compte se déchaíner et ne pas prendre de précautions puisque je n’en ai pas besoin.

Lui toujours en place, il nous retourne, je suis sur le dos et lui est sous moi. Je fais face à a meut frustrée et un peu jalouse. Ma pine taille normale est flasque et reprend ses esprits. Je les vois de face venir me couvrir sur le ventre, dans une masturbation continue. Je glisse bientót de foutres divers. Mon pote en dessous adore et je sens sa pine qui gonfle en rythme dans mes entrailles. Je ne peux pas bouger. Superbes efforts, jeu des muscles magnifiques. Pendant que l’un me bourre, un autre s’assied sur ma poitrine de face et me place sa pine devant la bouche. Je dois la lécher sans m’arrêter. Vu sa taille c’est un gros travail. De temps en temps, il me met une couille dans la bouche en se penchant en avant et tire doucement dessus en se reculant. Il me dit de ne pas la lâcher.

Un quatriême s’assied sur mon front et j’ai une des ses couilles sur chaque œil. Comme ça, j’ai une couille sur chaque orifice de mon corps et une pine dans chaque tuyau. Les deux sur ma tête s’embrassent à tout va et je sens les couilles bouger. Une pine dure et gonflée pousse sur mon nez et vient rejoindre celle que je léchais, dans ma bouche. C’est trop gros, ça rentre mal alors ils poussent ensemble : ils se rejoignent au dessus de ma bouche. J’ai les lêvres écartelées par ces deux pines qui finissent par rentrer.

Biens súr elles commencent à limer et rapidement, un tremblement puissant et me revoilà rempli de foutre poivré et amer. Le jeu est que je ne dois pas lâcher les couilles : j’en ai deux dans la bouche maintenant et les suce comme des bonbons. J’ai en permanence des couilles et parfois en plus une pine palpitante qui me chatouille la gorge. Pas facile de respirer dans tout ça ! je me concentre la dessus et les laisse absolument faire. Ils sont insatiables et font des paquets de foutre pas croyables. Le risque de noyade s’ajoute maintenant ! Imaginez, être presque étouffé par du sperme de tels mecs, des étalons absolus, des mâles comme il y en a peu !

On me remet sur le ventre et je sens que je suis écrasé, laminé : mon nouveau copain me dit que dans cette position, on rentre facilement 5 cm plus loin et que je vais voir. J’ai le haut de ses pectoraux immenses sur la tête. Son ceinturon me râpe la peau. Mon cul est resté ouvert de tous ces jeux et son gland viole encore une fois plus profond mais c’est quand même moins douloureux. J’en gueule quand même mais il se contente de m’écraser le visage. Il a dit : jouet sexuel et les jouets ne gueulent pas. D’ailleurs, mon premier copain se glisse sous ma figure, rentre sa pine dans ma bouche et se met tranquillement à me violer la gorge. Plus question de gueuler mais simplement de respirer… j’ai le cul défoncé par un camion et l’œsophage violé par un marteau pilon. C’est la vie !

Lui aussi m’accroche les cuisses et les écartêle violemment : ª Tu vas voir, ça va te serrer encore plus ! »

Le fait est que la douleur remonte, je ne sens pas de plaisir à être ainsi martyrisé mais seulement à voir par qui : ils sont des rêves de mâles enculeurs. Ça compense. Il arrive au point ou il était tout à l’heure. Et il continue à monter dans l’intestin ! Ensuite, il commence à limer de plus en plus fort. Cela devient génial car sa pine a réussi à se décoller de l’intérieur de mon intestin et coulisse assez librement. Il garde le rythme et je commence à avoir une succession d’orgasmes ininterrompus sous les coups de boutoir de mon mâle ! J’éjacule moi-même dans tous les sens, quelqu’un boit mon foutre, mais ça continue et encore et encore. Il voit l’effet produit et me redemande si j’accepte d’être son jouet définitif. J’accepte tout de suite, un peu vite peut-être.

Dans un tremblement total, il commence à éjaculer sa charge encore une fois. Il se fait lourd, je sens ses couilles se presser contre mon périnée et même se vider. Trois, quatre, cinq longs traits, suivis de plusieurs plus petits. J’essaye d’imaginer combien de foutre il lâche ainsi dans mon corps…

Il a fini. Il se laisse affaler contre mon dos. Sa pine est clouée dans mon ventre par 140 kgs de super mâle. J’ai l’impression qu’il faut le laisser reprendre ses esprits sans le déranger. J’attends. Pendant ce temps, les autres mecs violent à tout de bras ma gorge, j’avale tout ce que je peux et ça fait beaucoup.

Enfin il se dégage lentement.

ª Ça a été ? »

ª Oh oui, j’ai pas eu à me plaindre mais tu m’as fait mal quand même. J’ai bien rentré un demi litre rien qu’avec tes deux coups ! »

ª Si j’avais pas fait mal je ne serai s jamais rentré et avoue que t’aurais manqué quelque chose. Puisque tu es mon jouet sexuel, sache plusieurs choses : tu es disponible quand je veux, n’importe quand. Tu ne mets que du cuir et des tiags. T’es pas prisonnier, tu peux sortir oû tu veux. T’es la femme du roi dans la cité et tout le monde te doit le respect. Tu peux baiser avec mes potes si tu veux : avec eux c’est toi qui choisis mais pas avec moi. Si je dis ‘tournante’ alors tout le monde te baise et te viole et tu ne peux pas refuser. Même s’ils sont cent. Je m’engage à ne pas te faire baiser par des mecs qui ne sont pas de ton genre : ni gros ni barbus ni gras. OK ? »

ªJe m’entends répondre ‘oui’. A moi de donner mes conditions : ª Pas de foutre perdu , je bois tout ce que je veux. Je lêche tout à volonté. Par de scato ni d’uro. Tu ne change pas de look, tu me baise au moins tous les deux jours. OK ? il écarquille les yeux et accepte d’un ‘toi t’en veux, c’est súr’ rêveur.

Je satisfais les autres que je n’ai pas encore connus. Les plus jeunes à la fin car ils sont brutaux et pas contrólés.

Le temps passe, mes étalons ne faiblissent pas. J’ai le cul qui commence à devenir un peu insensible à force, je ne sens bien que les coups de bélier qu’ils me mettent dans leur frénésie de sexe et de foutre. Les plus jeunes sont les pires : ils baisent comme si il n’y en aurait pas assez pour tous. Ce sont aussi les plus vicieux.

Ils me mettent le cul en l’air, moi étant sur le dos, la tête plaquée par un mec assis sur mon menton, sa pine dans ma gorge. Mon cul, complêtement distendu, devrait les apitoyer et ne plus les intéresser. Au contraire ! c’est à qui m’enculera le plus sauvagement et le plus durement : ils me tordent les couilles de temps en temps pour le principe… la douleur est fulgurante mais cêde de plus en plus vite au plaisir de me voir enculé aussi frénétiquement.

A la fin, je crois que j’ai des nouveaux copains…

Ça vous a plu ? Dites le moi, et plus peut-être … 501perf@free.fr

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Web-01: vampire_2.0.3.07
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