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Les Mystères du NIl 3

by Alex55


Les mystères du Nil 03

Les débordements de Hâpi

Après ma visite aux pyramides, je suis resté encore quelques jours au Caire. Cette ville recèle tant de merveilles. J’aurai l’occasion d’en reparler quand j’y reviendrai après un séjour dans le sud du pays.

Un soir, je prenais donc un train du sud, assez luxueux, que je m’étais offert en cadeau parce que j’adore les voyages en train : cabine privée, fenêtre panoramique, air climatisé, contrôle individuel de musique et d’éclairage, repas servis en cabine et, comble d’exception en Égypte, un wagon-bar ultra-chic avec fauteuils en cuir Chippendale.

Le train quittait le Caire à 18 heures et atteignait Assouan, la première cataracte du Nil, à 11 heures le lendemain matin. Le voyage était magnifique. Le matin surtout quand le train longeait le Nil et que je pouvais voir les ouvriers des champs qui travaillaient à l’irrigation des terres toujours selon les méthodes utilisées au temps des pharaons.

L’arrivée à Assouan fut pénible parce qu’il m’a fallu négocier de pied ferme avec une meute de chauffeurs de taxis, chacun voulant m’amener ailleurs que là où je voulais aller. Finalement, après une heure et trente de discussions, de balades inutiles, de détours sans fin, je suis parvenu à l’hôtel Hâpi, situé à l’entrée du souk, et dont le nom évoque tout un programme puisque c’est le nom du dieu qui est sensé contrôler les crues du Nil. Assouan est son domaine parce qu’elle se situe en aval de la première cataracte et a marqué la frontière de l’Égypte avec la Nubie durant plusieurs siècles.

J’ai défait ma valise, j’ai pris une douche, qui fonctionnait plutôt mal que bien, et, après une heure de sieste, je suis sorti vers la corniche.

Je n’avais pas fait cent pas dans la rue de mon hôtel en me dirigeant vers la sortie du souk qu’un jeune homme d’environ 24 ou 25 ans qui tenait un étalage de tissus, me fit signe d’approcher. Souriant et plutôt confiant, je me suis approché de lui. Dès que je fus assez près pour qu’il puisse me parler sans que personne n’entende, il me dit crûment, dans un Anglais assez correct : « You are new in Assouan? I will fuck you every day with my big cock! (tu es nouvellement arrivé à Assouan? Je vais te fourrer chaque jour avec ma grosse queue!) » Je n’en revenais pas. Je me demandais si je ne rêvais pas. Jamais, personne n’avait été aussi direct avec moi, si rapidement, surtout à l’étranger.

Je lui ai demandé ce qui lui faisait croire que j’accepterais sa proposition. Il répondit, avec une sûreté et une fatuité incroyable, que tous les étrangers à Assouan qui n’étaient pas accompagnés d’une femme, s’étaient toujours montrés ravis de sa proposition. Je lui ai répondu que je serais peut-être une exception.

Il n’était pas très beau de figure, mais semblait avoir un corps dur, musclé et solide. Il était petit mais très bien fait. La peau de sa figure gardait des traces d’acné mal résorbée et un œil regardait l’autre comme on dit, c’est-à-dire qu’il souffrait d’un strabisme évident et assez prononcé. J’ai poursuivi mon chemin et débutai ma promenade sur la corniche. Je me retrouvais comme dans un beau livre et mieux encore…puisque c’était du vrai! Je longeais l’île Éléphantine, séjour des dieux et des puissants de l’empire pharaonique durant des siècles et des siècles. Je voyais au-delà d’autres îles et, au loin, de l’autre côté du Nil, le mausolée de l’Aga Khan, maître spirituel d’Ismaël, une secte chiite. Au bout de la corniche sud, je fus arrêté par des rochers sur lesquels était construit le magnifique, ancien et légendaire hôtel Old Cataract, là où on avait tourné des scènes de Mort sur le Nil, le film tiré du roman d’Agatha Christie.

Sur le petit promontoire qui marquait la fin de la corniche, une troupe de quatre jeunes hommes, 17 à 20 ans était réunie. Quand ils me virent monter, ils sourirent mais avec une sorte de timidité. Ma présence semblait les exciter et les gêner tout à la fois. Je sentais qu’ils voulaient me parler mais ils étaient tout intimidés. Je leur ai souri pour les mettre à l’aise. Le plus vieux des quatre s’avança et me parla en arabe. Évidemment, je n’ai rien compris. Les trois autres se tordaient de rire. Que pouvait-il m’avoir dit de si drôle? Il marmonna finalement en Anglais quelque chose qui avait l’air de ceci : « D’où venez-vous et êtes-vous seul à Assouan? » Ma réponse sembla les ravir; surtout la deuxième partie : j’étais seul à Assouan. Il ajouta: « You can have sex with one of us, or with the four! (Vous pouvez avoir du sexe avec l’un de nous ou les quatre! » Incroyable! C’était la deuxième fois en 30 minutes que je me faisais directement offrir du sexe. Je leur ai dit que j’étais fatigué, mais que ce soir……. peut-être….. si l’on se rencontrait au même endroit……Ils palabrèrent quelques minutes et le plus âgé me revint avec une contre-proposition. J’ai compris que le soir ce n’était pas possible parce que les parents étaient à la maison. Mais demain matin, vers 10 heures, pas de problème! Au même endroit pour la rencontre. Je les ai assurés de ma présence pour ne rien perdre, mais je me sentais toujours libre de me raviser.

J’ai poursuivi ma promenade, allant prendre le High Tea à l’Hôtel Old Cataract. Super!

En revenant à l’hôtel, je n’étais pas dans ma chambre depuis deux minutes qu’on frappa à la porte. C’était un grand bonhomme long et mince comme je les aime, à la peau foncé comme celle des Nubiens dont j’allais bientôt devenir « accro » qui me souriait du haut de sa longue djellaba blanche et me dit : « Air condition, no work! » Je n’avais rien remarqué et rien demandé, mais je lui fis signe d’entrer et d’aller faire sa réparation. Il acheva son travail après 3 minutes, ce qui me fit douter qu’il y ait eu vraiment un bris. Il sortit après m’avoir longuement regardé et souri. Une heure plus tard, j’étais étendu presque nu sur mon lit, ne portant qu’un caleçon, quand on frappa de nouveau. C’était encore lui! « Hot water! No work!” me dit-il cette fois. Bon! Allez-y! répondis-je.

Il se dirigea vers la salle de bain en ne cessant pas de regarder la bosse dans mon caleçon qui avait commencé à gonfler aux images de la journée et aux promesses du lendemain.

Environ trois ou quatre minutes après être entré dans la salle de bain, il en ressortit, la djellaba relevée, arborant un énorme ‘gourdin’ noir presque bleu dont le gland dégoulinait de liquide transparent qui le rendait luisant comme du plastique ou du verre. Il sourit timidement et craintivement en disant : « You like? (Vous aimez?) » Quelle question! Bien sûr que j’aimais! Il aurait fallu être difficile pour ne pas aimer cette merveille d’ébène. Me voyant sourire, il s’approcha de moi plus confiant et m’indiqua qu’il voulait que je le prenne dans la bouche. J’ai ouvert grand en sachant fort bien que tout ça n’entrerait pas, mais ce qui allait entrer valait l’effort. Assis sur le bord du lit, lui debout devant moi, je me suis mis à le sucer tout en lui malaxant les fesses avec mes deux mains. Puis, je me suis penché pour prendre toute sa poche dans ma bouche. Ses gémissements augmentèrent m’indiquant qu’il adorait. J’ai recommencé à le sucer et j’ai tenté d’introduire un doigt dans son cul. Il recula un peu comme pour me faire savoir que c’était là un territoire réservé. Si je voulais qu’il revienne, il ne fallait pas trop l’effaroucher. Je n’ai donc pas insisté. Mais, glissant mes mains dans sa craque de cul, je les remplissais de son odeur et venait, par moment, sentir mes mains. Cette dernière était forte, mais ce n’était pas de la malpropreté. C’était son odeur naturelle qui sentait fort la sueur et les hormones mâles. Quand il me voyait sentir mes mains, il souriait et disait : « Good! Good! You like me! (C’est bon! C’est bon! Tu m’aimes!) » Je lui ai répondu qu’en effet je l’aimais de partout. Il parut comprendre et sembla très content. Il était ainsi récompensé de ses efforts et de son audace.

Il ne lui fallut pas davantage de temps pour jouir qu’à mes chameliers de Gizeh. Et sa liqueur était aussi abondante. Il laissa retomber sa djellaba presque aussitôt après sa jouissance, sans se nettoyer (faut dire que j’avais presque tout bouffé), il me sourit, reprit son coffre à outils et me dit : « Tomorrow! Et il ajouta avec un large sourire, complice cette fois-ci, Air condition, still no work! (la climatisation ne fonctionne pas encore)» On éclata de rire tous les deux et il sortit.

Décidément, si chacune des propositions qui m’étaient faites à Assouan se renouvelait chaque jour, je n’aurais plus de sperme en bourses après quelques jours. Bah! On verrait bien!

Le lendemain matin, je m’étais abandonné à suivre mon instinct et à aller vers ce qui était offert. Je me suis donc rendu au bout de la corniche pour voir les garçons de la veille. Inutile de dire qu’en passant devant l’étale de mon vendeur de la veille, j’ai encore eu droit à un vulgaire : « Today, I fuck you! » Mais, j’ai continué mon chemin sans répondre. Les garçons m’attendaient sur le promontoire de la corniche. Ils n’étaient plus que trois cependant. J’ai deviné qu’ils s’étaient peut-être défaits du plus jeune qui ne devait pas avoir plus qu’une quinzaine d’années. Avant de m’amener chez l’un d’eux, ils tentèrent de me faire comprendre que je devais leur donner de l’argent pour « jouer » avec eux. Ils me demandèrent 100 livres égyptiennes (ce qui fait $50.) Cela me parut raisonnable mais, compte tenu du niveau de vie en Égypte, ce montant était énorme. Aussi, cela est presque anti-culturel de payer le montant demandé. Ils parurent ravis de recevoir 25 livres chacun. J’étais d’accord pour payer parce que dans certains pays, l’homosexualité est considérée comme un vice, une perversité, voire un crime. Le fait de recevoir de l’argent déculpabilise le partenaire. Ils arrivent à se faire croire qu’ils ne sont pas homosexuels car ils font ça pour de l’argent. En réalité, je savais très bien que ces garçons allaient jouir de leurs corps et du mien avec férocité. L’argent allait leur permettre de s’abandonner, de s’amuser, de jouir et de continuer à se percevoir comme de vrais mâles aimant les femmes par la suite.

Ravis et de bonne humeur, les trois garçons et moi remontâmes une rue perpendiculaire au Nil durant quelques centaines de mètres, puis nous virâmes à gauche empruntant un chemin, à demi pavé et à demi en terre battue, qui était bordé de maisons à deux étages, sorte de duplex dont le rez-de-chaussée était le plus souvent occupé par une boutique ou un commerce. Ils s’arrêtèrent devant une porte et on monta tous les quatre à l’étage. J’ai compris que c’était là qu’habitait le plus vieux qui devait avoir environ 20 ans.

L’escalier débouchait sur une sorte du cuisine servant aussi de salle à manger et, vers l’avant, c’était une pièce commune, sorte de salon avec coussins par terre et petites tables basses et, vers l’arrière, c’est une grande pièce divisée par des draps tendus depuis le plafond jusqu’au sol qui séparaient les matelas déposés aussi par terre. Ces draps étaient les « murs » des chambres. On repassera pour l’intimité.

Voyant mon étonnement, le garçon voulut me signifier qu’il n’avait justement pas beaucoup d’intimité. Il me fit le geste classique de la masturbation, en jouant du poignet, et m’indiqua tout de suite que c’était bien difficile de le faire confortablement avec quelqu’un de l’autre côté du drap.

Mais il riait et semblait accepter cette situation de bon cœur. Il me signifia aussi que l’appartement étant libre le matin, nous pouvions nous amuser en toute tranquillité. Presque en même temps, les trois garçons enlevèrent leur djellaba. Les deux plus jeunes portaient des sous-vêtements, le plus vieux était tout nu en-dessous. Ils étaient tous déjà bandés et le sous-vêtement du plus jeune (qui devait avoir entre 16 et 18 ans) était élimé et les élastiques étaient si étirés par les lessives que sa queue sortait complètement sur le côté et un des testicules pendait en dehors du slip. Il riait et tassa la bande élastique pour révéler complètement ses attributs.

Ils étaient pas mal beaux tous les trois et super sexés. Un peu négligés sans doute car une odeur de garçon mal lavé se répandit vite dans la pièce dès que les djellabas furent tombées. Les glands recelaient tout autour quelques traces de fromage blanc que la toilette rapide n’avait pas complètement fait disparaître. L’un d’eux d’ailleurs passa son doigt autour de son gland et le porta à ses narines pour le sentir. Il eut un geste de recul exagéré et fit une terrible grimace; ce qui fit rire ses copains à pleine gorge. Ce rire exagéré était leur façon de se mettre à l’aise et exprimait toute leur nervosité devant cette situation qui n’était peut-être pas tout à fait nouvelle pour eux, je n’en savais rien, mais elle devait toutefois être plutôt rare.

Tous les trois étaient beaux! Ils avaient ce profil égyptien qui fait de plusieurs d’entre eux des êtres racés et magnifiques. Cheveux foncés et frisottés, teint cuivré aux reflets d’or, lèvres sensuelles, nez étroit à la hauteur du front et plus large au niveau des narines, les yeux grands à larges pupilles avec un fond couleur de sable du désert. Quand ils vous regardent, vous avez l’impression qu’ils vont vous aspirer pour vous faire partager un peu de leur âme. Leur sexe dressé était un obélisque de Louxor, une merveille héritée de la plus haute antiquité sans doute. Ils sentaient la sueur rafraîchie et asséchée par la nuit mêlée à la poussière des rues de terre et de sable, l’âcre parfum de cuir et de peaux, sans doute des dromadaires et les relents de liquide séminal séché comme autant de restes des songes récents. Ils dégageaient enfin parfois, quand ils bougeaient trop vite, un léger effluve de cul mal entretenu. En bon Égyptiens, ils voulaient m’enculer tous les trois et se disputaient à savoir qui serait le premier. Je leur ai fait comprendre que je ne voulais pas de cela, du moins pas tout de suite. Il fallait s’amuser d’abord. Hamed, celui qui semblait le plus jeune, s’installa alors sur plusieurs oreillers, écarta les jambes et montra son cul mais ce n’était certes pas pour qu’il fût pénétrer. Il voulait qu’on le lèche.

Son copain Hanni s’allongea sur le dos et Hamed vint faire atterrir son cul sur sa bouche. Dédaignant l’odeur forte, douteuse et insistante que son cul découvert et ouvert laissait se répandre dans la pièce, Hanni se mit au travail. C’était son grand ami, son camarade de toutes les heures joyeuses et tristes, il ne regardait pas son hygiène.

Il était tout à lui faire plaisir. Mustapha, le plus vieux, me fit signe qu’il voulait me rendre le même service que son copain rendait à l’autre. Je l’ai laissé faire malgré mon étonnement.

Il léchait divinement bien. Sa langue passait sur les côtés des fesses ne négligeant aucun recoin. Elle fouillait l’intérieur du cul en repoussant les plis de l’anus. Il y mettait salive, souffle et pression, en alternance avec salive, caresses et chatouillements. J’étais aux anges. Pour le remercier, je l’ai sucé longuement, léchant sa belle tour brune dorée comme si j’eusse poli une pièce d’archéologie. Je la rendais brillante et lustrée. Il gémissait si régulièrement que je ne me suis pas aperçu qu’il approchait de l’orgasme quand j’ai senti des flots de liquide chaud m’envahir la bouche. Il avait joui déjà! J’ai compris que cela faisait plusieurs jours qu’il n’avait pas joui.

Les deux autres qui en étaient toujours au léchage de cul, bien qu’ils aient inversé les rôles, s’étonnèrent que Mustapha ait terminé son jeu. Ils foncèrent donc sur moi et nous entreprîmes une fellation à trois. Je suçais Hamed qui suçait Hanni qui me suçait. Puis on changeait de bord. Mustapha, remonté par le spectacle, vint s’ajouter dans la ligne de production et le bruit de nos succions envahissait la pièce ajoutant une odeur de salive humide à celles déjà existantes des queues et des culs. À tour de rôle, chacun éjacula dans la bouche de l’autre. J’étais rassuré car je ne voulais pas qu’on s’encule. La propreté d’aucun atténuait mes ardeurs. Mais, ils avaient l’air bien heureux de l’heure qu’on venait de passer ensemble et voulurent la répéter. Le plus vieux encore une fois me dit dans un Anglais très simple : « Tomorrow? » Je lui fis signe que non. Il dit alors: « Tomorrow after tomorrow? » Je lui ai répondu par un signe qui voulait dire: “Peut-être » et lui fit comprendre que, si ça fonctionnait, la rencontre aurait lieu au même endroit à la même heure. Il était tout excité et satisfait.

Je leur ai glissé dans la main ce que je leur avais promis et j’ai ajouté un 10 livres de plus à chacun. Ils vinrent m’embrasser de joie. Je me suis rhabillé en même temps qu’ils remettaient leur djellaba et je suis parti en les laissant derrière moi pour regagner la corniche.

J’ai continué ma découverte d’Assouan tout en essayant de me négocier un moyen de transport pour traverser le désert de Nubie afin d’aller à Abou Simbel. Je ne voulais pas prendre l’avion comme le font très généralement les touristes. J’ai finalement trouvé quelqu’un qui acceptait de m’y amener dans deux jours. On devait partir à 2 heures du matin dans une sorte de Land Rover. Je ne serais donc pas au rendez-vous des jeunes dans deux jours. Mais tant pis, je n’avais vraiment rien promis!

Je n’étais pas entré dans ma chambre d’hôtel depuis dix minutes qu’on frappât à la porte. C’était le réparateur de la veille. Tout souriant et beaucoup plus à l’aise que la veille, il me redit peut-être l’une des deux phrases qu’il savait en Anglais : « Air condition, no work? » J’éclatai de rire et je l’ai fait entrer. Il monta sur une chaise pour rejoindre l’unité du climatiseur mais pivota tout de suite sur lui-même et releva sa djellaba révélant encore une fois un magnifique morceau qui semblait ne pas avoir débandé. J’ai repris mes exercices buccaux de la veille, surveillant pour ne pas me faire une entorse de la mâchoire tellement le morceau était impressionnant. Il déchargea encore une fois son « stock » de foutre dans ma bouche et annonça en quittant : « Tomorrow? » Décidément, c’est à croire que le sexe se disait « tomorrow » en Arabe.

Je me suis contenté de sourire. Et il est parti sans m’accorder aucune attention sexuelle. À ce compte là, je lui demanderai de me payer la prochaine fois, me suis-je dit en souriant.

La soirée fut consacrée à lire des notes et des textes sur Ramsès II et les temples d’Abou Simbel.

À suivre………Prochain épisode : Les métamorphoses de Min

Alexandre


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