Note préliminaire : J'espère que vous avez compris que la traduction de ce texte n'avait pas comme but de plagier l'auteur. Si j'ai traduit cette histoire, c'est parce que je l'ai adorée, tout d'abord, que j'ai ensuite voulu faire partager cette histoire à des francophones et enfin parce que j'adore traduire. Bien sûr, le français ne rend pas exactement les nuances de l'anglais, et je ne pourrai jamais égaler le travail original de l'auteur. Par respect pour lui, je rappelle que je ne suis pas l'auteur mais simplement un traducteur. Par ailleurs, je ne sais si cette histoire peut être publiée en français. J'ai essayé de contacter l'auteur à l'adresse e-mail mentionnnée dans la version originale (acepecs@usa.net), mais le mail m'est revenu. Si vous connaissez sa nouvelle adresse e-mail, veuillez me contacter à l'adresse zps99@caramail.com Peut-être cette histoire a-t-elle déjà été traduite en français. Si c'est le cas, je n'en ai trouvé aucune trace sur Internet. J'espère toutefois que ma version vous plaira. Preliminary note : I hope you've understood that the translation of this text had not the aim to plagiarize the author. If I translated this story, it's because I loved reading it first, then because I wanted to share the work of the author with French-speakers and at last because I love translating. Of course, French doesn't have the same effect that in English, and I could never even up the original work of the author. By respect for him, I remark that I'm not the author, but simply a translator. Besides, I don't know if this story may be published in French. I tried to contact the author at the address mentioned in the original version (acepecs@usa.net), but the mail came back to me. If you know his new e-mail address, please contact me at zps99@caramail.com Maybe this story has already been translated into French. But if it does, I didn't found any version on the Internet. I hope nevertheless that my version will please you. Alors que Nick terminait sa seconde série de cent pompages, le téléphone se mit à sonner. "Est-ce Nick Koursoulis ?" La voix à l'autre bout était celle d'un vieil homme, elle était très accentuée. Nick était perplexe. "Nick Koutsoulis, oui." "Nick, je suis M. Werner, ton voisin de la rue d'à côté, Corio Street, n° 31. Le facteur a laissé un paquet ici qui t'est destiné. Cela semble être important." Nick avait rencontré M. Werner une fois il y a un mois à peu près, lorsqu'il tondait sa pelouse de derrière. Il accepta de passer et prendre le paquet. Il nettoya avec une serviette les perles de sueur, qui s'étaient formées à cause de l'exercice sur sa grosse poitrine et ses bras sculptés. Il regarda dans le miroir de la salle de bains pour admirer et estimer les résultats de ses efforts. Son corps âgé de seize ans répondait parfaitement aux exigences de son père. Il était en effet en face d'une image d'un très beau jeune homme: une paire de pectoraux surdéveloppés surmontés par des nichons étirés à la taille d'une pièce d'un dollar, siégeant sur la forme bien musclée. Ses gros muscles étaient couverts par la plus douce peau d'olive ainsi qu'une fine couche de riches rondeurs d'adolescent, qui s'étendaient sur son torse de jeune beau mec, complétant ainsi l'image d'un animal bien nourri à la fleur de l'âge. Sûrement assez bon à manger, pensa-t-il lui-même. Il se changea rapidement avec une chemise bâillante en coton et un pantalon troué puis quitta la maison. Il se présenta devant la porte du n°31 et frappa. Pas de réponse. Il frappa à nouveau, plus fort. "M. Werner, c'est…" La porte s'ouvrit un peu, puis plus largement. Nick entra mais ne vit rien dans l'obscurité. "Y a-t-il quelqu'un ?" Il avança dans la pièce et immédiatement il sentit une douleur provenant d'une fine seringue dans son mollet droit. On lui avait fait une piqûre avec un tranquillisant. Il n'eut pas le temps de réagir ou de se défendre. Nick se replia sur le sol et la porte se ferma derrière lui. Le verrou avait été mis en place. Quand il émergea finalement de sa léthargie, il vit droit devant lui un homme qui semblait avoir la soixantaine, habillé avec un costume en tweed et une cravate, assis sur une chaise à 2 mètres devant lui, sirotant un verre d'alcool. Un cigare allumé reposait dans un cendrier à côté de lui. L'homme souriait à Nick. Il y avait un scintillement dans ses yeux derrière ses lunettes en or. "Bonsoir, mon jeune ami. C'est un moment que j'ai longtemps attendu." "Que diable…" Nick réalisa soudain qu'il ne pouvait pas bouger. Ses bras étaient étirés le long de ses côtés, ses poignets maintenus par des menottes de fourrure. De chaque menotte partait un câble attaché à un anneau sur le mur à droite et à gauche. Il ne pouvait pas du tout bouger. On avait enlevé ses chaussures et ses chaussettes, et ses chevilles étaient encerclées par des sangles de cuir. Celles-ci étaient attachées à des anneaux vissés au sol. Ses chevilles et ses jambes étaient largement écartés de force. Regardant tout autour de la pièce, Nick remarqua beaucoup d'œuvres d'art : sculpture, dessins, peintures – toutes représentant des beaux mecs musclés. Il y avait plusieurs lampes de table tout autour qui produisaient une lumière tamisée. "Nick, je suis si content que tu es venu me rendre visite. Je t'ai admiré tout l'été. C'est si excitant de te regarder t'exercer dans la cour de derrière, je perds parfois le contrôle de moi-même." Nick commençait à se sentir vraiment mal à l'aise mais en même temps très excité. "Vieil homme, laisse-moi partir maintenant et je ne parlerai à personne de ce petit incident. Même pas à la police. Tu as ma parole." Le vieux gentleman mit ses lunettes sur la table à café, se leva lentement, et marcha vers Nick. Il plaça une main sur la joue de Nick, la caressa, passa par le menton, puis avec le dos de sa main caressa l'autre joue. "Ta peau est si douce, Nick. J'ai si souvent admiré à distance le développement de ton torse. Cela me paraît clair que tu travailles dur chaque jour pour te former un corps parfait, un corps comme ceux des dieux grecs." M. Werner descendit ses mains sur le devant de la chemise de Nick, assez lentement pour sentir la musculature sous la chemise. Il sourit. "Les jeunes filles se pâment d'admiration pour toi, Nick ? Oui, je suis sûr qu'elles doivent. Je sais qu'elles doivent." Nick commença à suer. La pièce était chaude pour commencer, et ces paroles étranges le rendaient de plus en plus craintif. La main du vieil homme s'arrêta sur le bouton supérieur de la chemise de Nick et le défit avec une adresse surprenante. Puis il descendit vers le second, le troisième, le quatrième, qui s'ouvrirent aussi, puis le cinquième et le sixième. M. Werner soupira profondément lorsque la large poitrine nue de Nick était exposée à ses yeux. Les beaux blocs des muscles pectoraux semblaient dégager une aura de jeunesse virile. Le vieil homme répéta le mouvement avec ses mains sur la poitrine de Nick, mais cette fois les mains passèrent sur la peau nue. "Oh Nick, tu es si chaud, et je commence à sentir ton excitation, la sueur qui perle sur tes côtés." Nick se débattait pour se libérer de ses liens. Il fit un puissant effort pour se détacher des menottes de fourrure. M. Werner regardait ses puissants muscles de la poitrine se soulever et se fléchir alors que le jeune homme se tordait , tendait et débattait son corps. De la voix la plus basse, presque un murmure, le vieux gentleman dit : "Nick, c'est un magnifique spectacle que tu m'offres ! Je ne pouvais pas rêver mieux que de te voir exécuter ces mouvements de cette manière juste à quelques centimètres de mes yeux ! Tu me rends très heureux, mon jeune ami, et même un petit peu excité." Nick remarqua avec horreur que le pantalon en tweed de l'homme était légèrement grossi juste en dessous de la ceinture en alligator. Maintenant les deux mains de M. Werner étaient placées sur les seins gonflés de Nick , juste devant les nichons. "Mon garçon, tu deviens si chaud. Peut-être puis-je te rafraîchir. Mes mains sont froides." Il commença à faire des cercles autour des nichons bruns avec ses mains fines et froides, et le mouvement circulaire stimulant fit bientôt pointer les nichons hors de leurs aréoles. L'homme utilisa ses doigts manucurés pour effleurer légèrement l' endroit essentiel. Nick se sentit hors d'haleine. Ses boules s'agitaient dans leur sac. "Et maintenant, mon ami, je vais t'enlever la protection de cette chemise. J'espère que tu excuseras mon initiative." Le gentleman tira la chemise costaude hors du pantalon, puis pris une paire de ciseaux en argent et commença à découper l'arrière de la chemise à partir du bas. Avec le plus grand soin il découpa une ligne droite le long de la colonne vertébrale de Nick jusqu'à atteindre le col, et coupa dedans aussi. Finalement il découpa le long des coutures de l'épaule et les deux pièces de vêtement tombèrent sur le sol silencieusement. Une fois de plus Nick se débattait pour se libérer et cette fois le vieil homme avait une vue de ses muscles du dos gonflant sous la peau tannée. "Mon cher garçon, Je ne pourrais pas être plus heureux que de voir la magnifique pose de ton corps, juste pour mon plaisir." Il plaça ses mains sur le dos des puissantes épaules de Nick et sentit le bandage des muscles des épaules alors que le jeune athlète continuait à se débattre pour se libérer, sans succès. Les mains descendirent sous les aisselles poilues et s'attardèrent là alors que Nick se débattait le plus possible. Quand Nick se calma un peu, le gentleman utilisa ses mains maintenant chaudes pour explorer et masser le dos transpirant de sueur. Finalement M. Werner revint vers sa chaise, deux mètres en face de l'adolescent à moitié nu, redressa sa cravate, reprit son cigare et but à son verre. Ses yeux étaient projetés sur le beau corps de son captif, à l'embarras profond de Nick. "Y a-t-il quelque chose que je puisse t'apporter, mon jeune Adonis ? Un verre d'eau, peut-être ? De la bière ? Du coca ?" La question était si bizarre que Nick ne pouvait pas penser à quelque chose à dire. Il vit l'homme quitter la pièce, puis revenir avec un gant de toilette humide. M. Werner nettoya le visage chaud et en sueur du jeune homme avec le gant, puis le cou, et finalement les gros blocs de la poitrine gonflée de Nick. "Quel incroyable développement tu as ici mon jeune ami, si épais mais avec une peau si douce." Le gant décrivait des cercles sur les pecs puissants de Nick comme s'il polissait une voiture, la chair, cependant, était composée de monticules qui s'avançaient. Finalement il s'arrêta. Quelques instants plus tard M. Werner était de retour, cette fois avec dans la main une lame de rasoir. "Ne sois pas effrayé, mon ami, ceci ne touchera jamais ta peau. Vois-tu, ceci va m'aider à révéler plus de ta magnificence sans endommager définitivement ce pantalon de coton. Je vais l'ouvrir le long des coutures. Demain tu vas chez un bon tailleur et elles seront recousues ensemble." M. Werner était incroyablement rapide et habile avec la lame de rasoir. En deux minutes il avait découpé toutes les coutures du pantalon, et celui-ci tomba aux pieds de Nick. M. Werner les lança sur le côté et retourna sur sa chaise. A ce moment seulement une chose protégeait les parties privées de Nick, un caleçon de nylon rouge clair. M. Werner focalisa ses yeux sur cet endroit. Nick voulait disparaître. "Nick, tu ne dois pas être modeste avec moi. Tu vois, je t'ai vu faire des exercices à l'état naturel complet. Crois-moi, cela m'a donné un plaisir infini de te regarder. Ton frère, aussi, est un cadeau pour mes yeux, mais il manque de musculature et de volume. J'aime la manière dont tu bouges, la manière dont ces énormes seins de mec bougent sur ta poitrine, bondissent et frémissent avec chacun de tes mouvements. Comme sur aucun autre garçon que je n'aie vu depuis des années. Mais je me languis d'avoir un coup d'œil rapproché à ta plus précieuse possession. Tu vas me laisser voir, n'est-ce pas ?" M. Werner quitta sa chaise et vint s'asseoir devant lui. Nick regarda en bas son excitation grandissante, réalisant que le gars était juste à quelques centimètres de la cible, pratiquement respirant sur celle-ci. Il recula aussi loin que possible, mais étant donné ses liens serrés ce n'était que de quelques centimètres seulement. M. Werner accrocha ses pouces dans l'élastique du caleçon de Nick. Il tira sur le caleçon de deux centimètres vers le bas. Nick tressaillit. Deux autres centimètres. Nick frémit d'embarras. Deux autres centimètres, révélant la touffe pubienne de poils noirs bouclés. Werner soupira et continua. Les deux centimètres suivants révélèrent la base de l'outil de Nick. Deux encore, et un soupir profond de la part du vieil homme qui respirait fort. "J'ai rêvé de faire ça. Depuis des mois j'ai attendu pour enlever tous les vêtements de ton corps, le corps d'un dieu. Et maintenant je vais voir le centre de ton être masculin, c'est…ici !" Avec un coup bref il descendit le caleçon de trente centimètres, et la grosse bite de Nick bondit à pleine vue. Rapidement M. Werner coupa le caleçon avec ses ciseaux d'argent et le lança sur le côté. "C'est trop merveilleux! C'est gros et épais. Ca appartient à un taureau ou un cheval, non ? Tu dois être si fier de ton équipement masculin. Ta peau est douce comme celle d'un bébé mais ton pénis prouve à tout le monde que tu n'est pas un bébé mais un homme." Nick leva les yeux vers le plafond lorsqu'il sentit la chaleur de la bouche se refermant sur son organe. Les doigts de M. Werner jouaient avec les grosses boules alors qu'il léchait la bite. Juste quand Nick avait atteint le moment où il voulait que le vieil homme fasse des pompages aller-retour, la bouche de M. Werner le relâcha. Mais le premier pompage de son pelvis n'était pas perdu pour le vieil homme. "Ah, tu veux sodomiser, Nick, n'est-ce pas ? C'est bien. Vous les jeunes êtes faits pour ça. Tu veux faire ça tout le temps, non ? Tu veux aller maintenant près de ta petite amie et plonger ton engin dedans, non ? Ce serait une belle chose à voir, je suis certain." Calmement le vieil homme marcha derrière l'adolescent. En une seconde Nick entendit le bruit du tweed, des chaussures enlevées et tombées sur les sol, des vêtements lancés sur le côté. "Je ne pensais pas que j'en arriverais là, Nick. Je n'étais pas sûr que tu m'exciterais comme tu le fais. Maintenant je pense que j'ai la réponse." Les deux parties des fesses de Nick furent séparées par les mains du vieil homme. Nick vacilla en avant aussi loin que ses liens le permettaient lorsque le contact fut établi. Il avala des bouffées d'air dans sa bouche. Le toucher et le commencement de pression de la bite sur son anus. "Ahhhhhh !" Pour une fois les mots manquaient au gentleman bavard, alors qu'il logeait la tête de sa bite protégée dans le trou du cul du jeune homme. De là il poussa vers l'intérieur très lentement et très soigneusement, gardant Nick en position de sodomie en bloquant ses mains ensemble juste en dessous du nombril du jeune homme. Comme il plongeait plus profondément dans le canal rectal, sa force augmenta d'une manière qui surprit le jeune mec à la réception de la fin de la sodomie. Nick était maintenant empalé. Son jeune corps bien monté se débattait et transpirait, ses fesses alternativement tendues et relâchées et son trou de cul agrandi de manière soumise pour recevoir l'intrus. Sa propre bite avait atteint une condition dure avec l'érection. Comme le vieux mec était inséré à fond dans le rectum de Nick, ses mains commencèrent à parcourir tout le devant du torse du jeune homme, sur son estomac soyeux avec juste des rondeurs d'adolescent, sur sa belle poitrine surdéveloppée, au-dessus de ses nichons super sensibles, et vers le bas, vers les cuisses musclées. A léger gémissement échappa du jeune homme lorsque les mains affamées approchèrent, puis entourèrent le centre du sexe, revinrent autour, dessous, le frôlant mais ne le touchant jamais. "S'il vous plaît", murmurait Nick. Comme le gentleman commençait gentiment à se retirer, puis revint brusquement, puis en arrière, et en avant, il parla juste dans l'oreille de Nick. "S'il vous plaît quoi, mon jeune sportif ? Que puis-je faire pour toi que je ne fais pas encore ? Dis-moi exactement ce que tu veux." Nick était humilié de demander, mais il ne pouvait pas le tenir lui-même. "S'il vous plaît mettez vos mains sur moi." "Sur quelle partie de toi, Nick. Dis-le. Dis ce que tu veux." "Je veux vos mains sur ma…BITE !…S'il vous plaît !" Sa poitrine était maintenant pressée contre le dos chaud et musclé du jeune homme. Ses bras encerclaient la poitrine du bas du captif, ses mains empoignant les seins et les nichons de chair, il huma l'odeur douce d'un jeune mâle, respirant l'essence de la jeunesse, ce pouvoir, cette masculinité. Maintenant le pouvoir était sien, et il en savourait chaque moment. "S'il vous plaît prenez ma bite, saisissez-la, touchez-la", sollicita Nick. M. Werner mordilla l'oreille de son captif et puis enroba de ses mains l'épaisse bite de Nick, elles formèrent un tunnel pour qu'elle y pénètre. Le toucher était léger, sensuel, et constant. Maintenant chaque fois que M. Werner le pénétrait, le propre bassin de Nick faisait pénétrer sa bite dans le tunnel de peau. Quand M. Werner se retirait, la bite de Nick se retirait aussi, frottant à nouveau contre les murs du tunnel. Nick était sur le chemin du paradis. Chaque homme approchait rapidement du point de non-retour. M. Werner fut le premier à traverser la frontière. Avec une poussée finale plongeant profondément, il sentit le réservoir exploser et des torrents de sperme allèrent dans le jeune cul, profond, profond dans les fesses mâles. Il était passé dans une extase sexuelle, tous ses fantasmes s'étaient réalisées, toute sa jeunesse retrouvée. Ses mains serraient la jeune bite. Comme Nick sentait les mains fermement refermées sur sa bite exaltée, il explosa aussi. "Oh, doux Jésus, je vieeeeeeeeeennnnsss !” Son sperme d'adolescent juta dans des longs jets à travers la pièce, sentant tout le jus chaud de l'homme dans son jeune corps bien monté, tarissant ses boules d'adolescent à chaque jet.